La Condamnée

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- Tu vas rester tranquille, oui?!!! Hurla-t-elle en me giflant copieusement.

- Pardon, Madame, je ne le ferai plus, aaahh!!! Pardon ...Ah!!! Non, ahh!!! Moins fort s'il vous plait, implorai-je

Madame Olga demanda alors aux gardiens de commencer ma préparation. Un des gardiens me riva aux chevilles des fers très lourds et rouillés, reliés par une grosse chaîne de près d'un mètre.

- Mains derrière le dos, putain blanche, m'ordonna mon gardien.

Mes poignets furent ferrés également, mais seul un anneau reliait les deux fers si bien que je ne pouvais absolument plus bouger mes mains, les mains derrière le dos. Je n'étais désormais plus maître de mon propre corps. Mon excitation grandissait ; le poids des chaînes, tous ces gens, les ordres des gardiens me mettaient dans un état second. Mon sexe était trempé...

- Tes nouveaux bijoux te plaisent? lança quelqu'un dans la salle sous les rires et les applaudissements.

- Après le maquillage et les bijoux, passons à la coiffure, me dit Madame Olga avec un sourire sadique. Une saleté comme toi, ça doit avoir plein de poux!

Assise sur un tabouret, on me coupa les cheveux avec des ciseaux. Les mèches tombaient sur mon corps et sur le sol, mêlées à mes larmes de rage et de honte. Le gardien s'empara alors d'un rasoir électrique et me tondit le sommet du crâne, laissant les côtés garnis comme un homme atteint de calvitie. Il ramassa deux mèches au sol et me les enfonça dans les narines puis me promena sur toute la scène pour que tout le monde puisse bien se moquer et me prendre en photo.

Il reprit son travail et en quelques passages, ma tête fut aussi lisse qu'un œuf. Nouvel intermède pour bien me soumettre aux moqueries de la salle...

Jamais, même dans mes rêves les plus pervertis, je n'avais pensé à une telle humiliation. J'en savourais autant que j'en haïssais chaque moment.

Mon excitation était à son comble. Et la vision de mon ex-secrétaire au 1er rang vint encore l'augmenter.

- Si tu te voyais avec ton crâne d'œuf ; tu es toute belle, ma salope, crois-moi!!! me lança-t-elle, hilare.

Je voulus bondir au-devant de la scène pour lui cracher dessus mais mes deux gardiens me rouèrent de coups. Ils me firent rejoindre mon tabouret en rampant, s'acharnant sur moi à grands coups de pieds.

- Par mesure symbolique mais aussi pour qu'une telle criminelle ne puisse enfanter d'autres déviants comme elle, la condamnée aura le sexe fermé, expliqua la fonctionnaire à la foule.

- Noooon, nooon, pas ça, pitié, pitié Madame!!! hurlai-je en vain.

Maintenue fermement par un des gardiens, le second et Madame Olga me percèrent les grandes lèvres avec un poinçon chauffé à blanc et je fus fermée par un lourd anneau de métal. Je m'évanouis presque, foudroyée par la brulure fulgurante mais je subis vaillamment ce 1er supplice.

- T'inquiète pas, sac à foutre, il te reste ta bouche et ton trou de cul, me rassura Madame Olga.

Nue, enchaînée, la tête rasée, mes mamelles et

mes fesses exposées à tous, le sexe distendu par l'anneau, j'étais devenue une sorte de bête curieuse et mon sort devait en effet faire réfléchir et se tenir tranquille la population. Les nouvelles lois de l'administration pénitentiaire avaient donné naissance à des artistes de l'humiliation comme Madame Olga...

Pourtant je n'avais plus qu'un désir, vivre ma nouvelle vie d'esclave et me soumettre de la plus honteuse des façons. Malgré l'anneau qui me fermait le sexe, la cyprine coulait sur l'intérieur de mes cuisses, ce que pouvaient voir les spectateurs des 1ers rangs.

- Il faut encore te vermifuger ; tu ne voudrais tout de même pas infester toute la prison avec tes puces, non?!!! me dit-elle. Allez, au pied, saloperie!!!

Je me jetai à genoux devant Madame Olga, attendant ses ordres.

- Ta face de truie par terre, ton gros cul bien relevé, sous-merde!!! Et écarte tes fesses avec tes mains!

Je fis ce qu'on m'avait ordonné. Sur un geste de la fonctionnaire, un des gardiens me maintint la tête au sol en appuyant sa semelle sur mon cou. Pendant que le deuxième forçait mes sphincters avec une sorte de pompe à vélo remplie d'un liquide visqueux qu'il vida dans mes entrailles en riant.

Pour que tu la chies pas, on va te mettre ça dans le cul ; autant que tu t'habitues directement à notre calibre, car dans la prison, presque tous les gardiens sont blacks et ils aiment pas les esclaves blanches au cul trop serré!!! me dit-il en me montrant un énorme phallus d'acier terminé à sa base par un anneau retenant une cloche de vache, qu'il fit tinter joyeusement.

- Quelqu'un dans la salle voudrait-il être assez charitable que pour aider une ex-collègue à conserver son vermifuge? gouailla ma tortionnaire.

Ce fut immédiatement la ruée et une bousculade vers l'estrade. J'espérais que Lillian serait choisie pour me sodomiser avec le phallus mais ce fut finalement mon ex-chauffeur qui fut le plus rapide. Je décidai de ne pas le décevoir. C'était un gros homme chauve, tout proche de la retraite, assez primaire avec un regard borné et sévère.

Essoufflé par sa lutte pour arriver sur scène, il se planta devant moi, hésitant.

Aussitôt, je me mis respectueusement à genoux en le regardant dans les yeux, les reins cambrés et les seins offerts.

- Ben, ... je... voilà, alors il parait que c'est moi qui dois vous.... vous... enfin, vous me comprenez, hein, Madame la Directrice? dit-il un peu mal à l'aise.

- Monsieur René, il n'y a plus devant vous qu'une condamnée, qui ne mérite aucun respect ni marque de politesse. Parlez-moi comme vous parlez à votre chien et ce sera très bien. Allons, donnez vos ordres, Monsieur et j'obéirai, lui dis-je calmement en me prosternant devant lui. J'avais hâte de sentir cette brute me pénétrer devant tout le monde. Il se ressaisit rapidement...

- Euh, je... Allez, salope, grosse pute, montre-moi ton cul et plus vite que ça!!! Ouvre-le mieux que ça, tu comprends, imbécile?!!! En aboyant ses ordres, il se tournait vers la salle comme pour obtenir l'approbation de ses collègues. Ceux-ci applaudissaient à tout rompre...

S'emparant du godemiché, il l'appuya contre mes sphincters et je le laissai pénétrer en moi au plus profond de mes entrailles. Je poussai un râle de plaisir, les yeux mi-clos en donnant moi-même une dernière poussée pour bien m'empaler sur le gigantesque phallus.

- Aaaahhh, merci Monsieur René, c'est un honneur pour moi que vous ayez accepté de contribuer à mon châtiment. Le primate se tourna alors une nouvelle fois vers l'assemblée en levant ses poings au ciel en guise de victoire, le sourire béat.

Je devenais folle en me contorsionnant sur le phallus d'acier et, abandonnant toute pudeur, je me perdis dans l'avilissement :

- Madame Olga, je demande une ultime faveur : Monsieur René a participé à ma mise en servage et je voudrais l'en remercier de la façon qui lui plaira, dis-je bien fort pour que toute la salle entende.

Après discussion avec la fonctionnaire, mon ex-chauffeur opta pour me donner 10 coups de règle sur les seins. On lui donna une latte plate en métal souple de 60 cm qu'il tapota d'une main sur l'autre puis Monsieur René me la mit sous le menton pour me relever le visage et me dit :

- Les coupables comme toi ont besoin d'une bonne raclée ; tu vas voir ce que tu vas prendre, directrice de mes fesses, connasse! Quand je pense à toutes les fois où je t'ouvrais respectueusement la porte de la voiture et jamais un merci!!! Ben maintenant, tu vas me remercier de t'avoir battue, hein, t'as compris, tête d'œuf?!!!

J'écoutai à genoux les paroles de mon bourreau et je le regardai droit dans les yeux alors qu'à 10 reprises, il abattait sa règle sur mes seins.

Après quelques coups, je hurlais sans retenue et lui me frappait de plus en plus fort, faisant bondir mes seins de façon obscène, pour le plus grand plaisir des 300 spectateurs.

- Flaccc!!! Aaaaaahhhh!!!! Flacccc!!! Rhaaaahh... oui, Monsieur René.... Flaccc!!!! Aaaaarrhh!!! Aaaah, Monsieur...Flac, flac, claccc!!!!! Aaaah...hhh...Monsieur René, oh, oui, rhaaah...aaaahhh!!! sanglotai-je.

Mes seins striés de marques rouges avaient presque doublé de volume sous les coups. Cette brute avait une force hors du commun. J'étais à ses pieds, vaincue... Je le remerciai en lui baisant longuement les pieds sous l'œil amusé de mes gardiens. Il redescendit de la scène sous les applaudissements de mes ex-employés.

Allez, feignasse, lève-toi, il est temps de partir ; on t'attend à la prison! m'ordonna Madame Olga.

Je me relevai avec difficulté, empalée par mon godemiché, mes seins et mon sexe piercé me faisant souffrir mille douleurs. Pendant qu'elle me mettait en laisse, Madame Olga me fit remarquer :

- Avec la cloche à ton gros cul de salope et tes gros pis, tu as de plus en plus l'air d'une vache!

- Oui, Madame, je ne suis plus qu'une bête de somme et on va m'utiliser comme telle. Une condamnée aux travaux forcés ne doit plus ressembler à une femme mais simplement accepter son sort d'esclave. J'ai hâte d'être mise au travail et de payer ma dette envers la société le restant de mes jours. J'espère qu'on sera très sévère avec moi, lui répondis-je.

- Eh bien, voilà déjà un bon début! Allez, hue, bourrique! rigola-t-elle. Puis, s'adressant à la salle : Votre Directrice vous quitte ; elle a trouvé du travail chez un nouvel employeur ; je suis certaine qu'elle a obtenu de meilleures conditions, ha, ha, ha!!! Mais elle va descendre vous faire ses adieux ; vous pourrez la féliciter comme il se doit!!!

En laisse derrière la fonctionnaire, nous descendîmes nous frayer un passage à travers une haie d'honneur improvisée par les employés. Les gardiens qui me suivaient ne faisaient rien pour me protéger des gifles, des crachats, des pincements, que m'infligeaient mes anciens employés.

Ding, dilling, tintait la cloche honteuse qui pendait entre mes fesses pour me ridiculiser à chaque pas.

- Houuu, houuu!!!

- Saloooope!!! Tu vas en baver dans ta prison! Ils vont te dresser, sale esclave!!!

- Tu n'es plus rien qu'une merde!!! Hoouuuu!!! Les insultes fusaient de partout.

- C'est toi qui va travailler pour nous, maintenant, ha, ha, ha!!!

Un groupe de secrétaires qui me détestaient et me jalousaient brandissaient leurs agrafeuses. Elles s'acharnèrent sur mes seins et mes fesses, me faisant pousser des cris stridents, tirant vainement sur ma laisse et mes chaînes pour échapper à leurs morsures.

J'aperçus le groupe des veilleurs de nuit ; je me dirigeai vers eux et m'agenouillai sans un mot. Ils me rossèrent à coups de poings et de pieds.

Arrivés à la sortie de l'immeuble, je regardai derrière moi une dernière fois la vie que je quittais. En me retournant pour monter dans le fourgon cellulaire, je ne pus masquer ma honte car devant moi se trouvait Lillian, le sourire narquois.

- Alors, saleté, on s'en va sans me dire au revoir? me nargua-t-elle.

L'humiliation et la rage étaient trop fortes et je la toisai d'un « sale petite garce, tu savoures ta vengean... » Mais je n'eus pas le temps de finir ma phrase : un des gardiens m'asséna un violent coup de poing dans le ventre qui me fit tomber aux pieds de ma dénonciatrice.

- A genoux quand une dame te parle, pourriture!!! Et sois polie, sinon, ça va barder!!!

- Je vous demande pardon, Madame Lillian.

Regarde-moi bien, je vais te faire un cadeau pour ton départ. Et lentement, elle se pencha et me gratifia d'un gros crachat.

- Merci, Madame, lui répondis-je en recueillant avec ma langue une partie du liquide visqueux.

- Ta gueule, idiote!!! J'ai compris ton manège. Tu n'es qu'une salope maso dégénérée! Tu m'as laissé volontairement le dossier de tes escroqueries sur ton bureau. Ça te plait d'être à poil devant tout le monde, hein poufiasse!?! Mais dis-toi bien que toute une vie d'esclavage, c'est long! Dans peu de temps, tu regretteras ta vie de bourge et ton bureau confortable! Mais moi, je rigolerai bien. Là où ils t'emmènent, c'est l'enfer!!!

- Ah, j'oubliais, ajouta-t-elle, comment me trouves-tu avec ta robe? Et regarde cette bague, tu la reconnais?

- Oui, Madame, dis-je, la tête basse, tentant de ravaler ma colère. De toutes façons, je n'ai plus besoin de vêtements ni de bijoux là où je vais...

- Ça, c'est vrai, mais tu pourrais me féliciter tout de même. Allons, je veux t'entendre t'humilier devant moi, dit-elle en gloussant et en virevoltant pour me faire admirer sa robe.

- Madame Lillian, cette tenue vous va à ravir ; vous la portez mille fois mieux que moi. Je suis très heureuse que vous la portiez à ma place. Merci, Madame Lillian, merci.

Malgré ma honte et ma rage, je sentais monter en moi une incroyable excitation mon vagin était trempé et l'anneau qui me maintenait fermée, frottait contre mon clitoris, y faisant battre mon sang et chaque pulsation et mouvement infime de mes cuisses me rapprochait de la jouissance.

J'étais nue, couverte de chaînes devant ma rivale, vaincue, contrainte de m'humilier moi-même devant elle et j'aimais ça. Pour rien au monde, je n'aurais voulu revenir en arrière. Dans la rue, les passants s'arrêtaient et s'approchaient du fourgon, avides de satisfaire leurs mauvais instincts comme chaque fois qu'une femme nue quittait le monde libre pour rejoindre celui des esclaves.

Madame Olga m'ordonna de me relever pour le départ.

J'avais une envie terrible d'uriner depuis que j'étais arrivée sur scène mais je n'avais plus osé demander la permission. A présent, avec le coup de poing du gardien, ma vessie ne pouvait plus résister et malgré mes efforts désespérés pour me retenir, je me laissai aller devant tout le monde, debout jambes écartées, offrant un dernier cadeau à celle qui m'avait envoyé en prison.

- Tu te pisses dessus, à poil, en pleine rue. Tu n'as plus aucune pudeur, ma parole, hein, espèce d'animal? me dit-elle d'un air dégoûté et méprisant. Mais... Mais, qu'est-ce que tu as fait?! Mais cette truie en a mis plein mes chaussures!!! cria Lillian, prenant à témoin tous les passants.

Puis me regardant d'un air bienveillant : tu les aimais tellement, ces chaussures et maintenant qu'elles sont à moi, tu les abimes avec tes gouttes de pisse ; ce n'est pas bien me dit-elle, d'un ton de reproche, comme on parle à un petit enfant. Je savais ce qui m'attendait...

Sans un mot, avec un sourire cruel, elle me montra le sol avec son doigt et me présenta un de ses pieds. La tête basse, je me mis à genoux en serrant mes poings puis je me baissai pour nettoyer consciencieusement les escarpins que je portais autrefois. Ma langue léchait la semelle, puis s'attardait longtemps sur les talons aiguilles, comme une prostituée vénérant le sexe de son client.

Qui m'aurait dit que je ferais un jour des choses aussi honteuses, nue à genoux en pleine rue, pataugeant dans ma propre pisse, devant des dizaines de passants amusés. Pourtant, je n'aurais pour rien au monde voulu revenir en arrière. A partir de ce moment, je devenais pleinement une esclave condamnée à perpétuité, acceptant mon sort, abandonnant toute pudeur et fierté...

- Allez, monte, on part, truie! me dit un des gardiens en me tirant par la laisse à l'intérieur du fourgon grillagé.

Le fourgon m'emporta vers mon horrible destin. Je me demandais encore comment Lillian... ou plutôt Madame Lillian, devais-je dire, avait reçu mes vêtements et la bague... Les lui avait-on donnés pour la récompenser? Ou alors... au procès, je l'avais vue à côté ce mon mari. Est-ce que...?

Mais tout ça n'avait plus d'importance, à présent.

Une traction sur ma laisse m'arracha à ma rêverie : c'était le gardien assis à ma droite qui réclamait sa récompense.

A genoux devant lui, j'ouvris docilement ma bouche pour le recevoir.

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18 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 5 mois

super

AnonymousAnonymeil y a 6 mois

Superbe récit !

ZIONIZIONIil y a 7 moisAuteur

Merci pour vos encouragements. Je n'ai plus rien publié car je prépare une BD. Je ne manquerai pas de vous informer quand elle sera (je l'espère) publiée...

AnonymousAnonymeil y a 9 mois

Chère ZIONI,

Je découvre récemment « la Condamnée » alors que ce texte était pourtant disponible depuis 2014.

Je l’ai lu et relu plusieurs fois avec autant d’intérêt et je tiens à vous féliciter pour la façon magistrale dont vous traitez le sujet.

Tous les commentaires sont d’ailleurs très élogieux si l’on exclue celui du « docteur es-fantasme » qui n’a rien compris à l’univers fantasmatique et qui « assume d’être un sale con ».

J’ai lu de nombreux textes concernant les fantasmes de soumission mais aucun n’atteint un tel degré de réalisme sans pour cela tomber dans la vulgarité ou l’obscénité habituelle.

On est très loin du fantasme de 5 à 7 dans un « donjon » parisien de 10m2. On est dans la mise en scène du fantasme absolu et sans retour.

Tout est suggéré, libre au lecteur de développer et la charge érotique est maximale. Les sévices imposés à Madame Endersson ainsi que son proche avenir sont effrayants… et, pourtant, je l’envie !

À quand un autre récit ?

Un grand bravo et un grand merci.

Philibo.

Silvain004Silvain004il y a plus d’un an

Relu encore une fois. Toujours aussi excitant cette mature perverse .....

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