La Cadeau Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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Nous avons fini de déjeuner, Bruno me prend par la main et déclare, « nous allons faire une sieste crapuleuse... »

Je suis agenouillée sur le bord du lit, Bruno retire le plug de mon anus, je sens son sexe contre ma rondelle, je tend mes bras en arrière, il les saisit, les tire vers lui, son sexe pénètre mon anus, il me sodomise lentement, prenant son temps, je sens mon ventre se crisper, lorsqu'il accélère ses mouvements je ne tarde pas à murmurer « oh oui... j'éprouve... j'éprouve... », lorsqu'il se libère dans mon conduit, je crie...

Je me retourne, embouche son sexe et le nettoie avec ma langue, il me félicite de mon initiative, nous nous couchons enlacés et nous endormons...

Dix-huit heures, nous avons dormi longtemps, nous nous levons, je murmure à l'oreille de Bruno « marque moi vite, mon amour, perce moi vite aussi, j'en ai envie, je ne bougerai pas... »

« Reste allongée »...., allongée sur le lit je vois Bruno revenir avec un rasoir coupe-chou, un blaireau, un bol, je gigote lorsqu'il enduit mon sexe de mousse (avec le blaireau ça chatouille) et consciencieusement, délicatement, il rase à nouveau mon sexe.

Lorsque nous débouchons sur la terrasse, nous voyons Isa et Patrick lézarder dans des bains de soleil, le barbecue fume, le fer est plongé dans la braise, Bruno s'étonne « ... vous aviez deviné?... », « évidemment... ».

Les deux hommes ont installé le guéridon sur la terrasse..., je suis allongée sur le guéridon, bras et jambes écartés, mes pieds sont coincés derrière ceux du guéridon, je serre dans mes mains les autres pieds, j'ai refusé d'être attachée...

Patrick me glisse un morceau de bois dans la bouche, je mord dedans, il se place derrière moi et positionne un miroir, de la tête je fais signe que c'est ok, j'ai demandé à voir mon marquage, Bruno s'approche, il tient le fer rougi dans une main, l'autre me caresse le ventre, d'un geste décidé il appuie le fer sur mon ventre, l'odeur de chair brûlée envahie instantanément la pièce, la douleur est horrible, je ne gémis pas, je ne bouge pas, je vois désormais le « B », gravé à jamais sur mon ventre, j'en suis fière.

Patrick a pris le fer des mains de son frère, Bruno m'embrasse le ventre, m'enlève le morceau de bois, m'embrasse, embrasse mon visage plein de larmes...il laisse couler de l'eau froide sur mon ventre...

Isabelle me pulvérise, un produit sur la brûlure, une sensation de froid, la douleur s'atténue, Isa continue ses pulvérisations, toujours cette sensation de froid, à nouveau de l'eau froide, la douleur est désormais très atténuée, Bruno me couvre de baisers.

Je me lève et prenant mon maître par la main me dirige vers la chambre pour me regarder dans un miroir, Isa et Patrick nous suivent.

Je m'admire dans la glace, embrasse mon maître, le remercie...

Nous prenons l'apéro sur la terrasse, je suis assise sur une chaise protégée par une serviette de toilette, un coup de sonnette Patrick va ouvrir, revient avec un homme..

« Gérard, l'infirmier... », Isa lui propose un verre « un jus de fruit, je bosse cette nuit... pas d'alcool... », « lève-toi et montre moi... » me dit-il en me prenant par la main, « tu ne lui as pas fait de cadeau à ta soumise, elle est résistante ou motivée la môme... » dit-il à Bruno, « chapeau... rien à dire c'est propre, la marque au fer nickel, donc pommade, les spray, dans 10 jours normalement ce sera cicatrisé, elle est en bonne santé, tu passes cette pommade, pour la marque, cette nuit, tu lui pose un pansement de protection, une culotte, dans la journée, à poil, ça cicatrisera à l'air, comme je te l'ai expliqué Isa... », l'homme boit son verre d'un trait, « allez salut, je repasserai Mercredi... bon appétit... »

Je rigole comme une folle, Bruno est aux prises avec l'os de la côte de bœuf qu'il est en train de ronger, c'est d'un comique...

Bruno a fini de s'escrimer sur son os, revient après s'être lavé les mains, il tient une serviette à la main, la pose sur ses genoux, je vais m'y installer, il me caresse doucement les seins, joue avec mon sexe, mon ventre ne me fait pas trop mal.

Isa m'a guidé pour mes soins de marquage, je m'allonge dans le canapé, je refuse les spray, je veux jouir de ma douleur, elle en convient m'enduit la plaie de pommade, pose un pansement de protection et se fiche de moi en me tendant une culotte (à ma taille) que je dois garder cette nuit.

Je suis blottie contre Bruno dans le lit, je tiens son sexe dans ma main, il durci à nouveau, je me penche, l'engloutis, c'est la deuxième fois depuis que nous nous sommes couchés que je le prend dans ma bouche, il éjacule à nouveau, j'avale son sperme lentement.

Bruno n'arrête pas de me caresser le ventre, je descend ma culotte, la retire, me retourne à plat ventre, glisse l'oreiller sous mon ventre, me cambre...

Bruno sort de la chambre, revient... Il pose une cravache sur mes fesses, fixe des pinces sur mes seins, les mâchoires des pinces sont crènelées, mes pointes cruellement mordues, comment a t-il deviné ce que j'attendais... allongé à côté de moi, il caresse mes fesses et mon dos avec la cravache, juste un frôlement, il manipule une molette sur une pince, la pression augmente, mon visage se crispe, il en fait autant avec l'autre sein, il enduit mon anus de lubrifiant, me demande d'écarter mes fesses avec mes mains, enfonce le plug dans mon petit trou, il me frôle doucement le bas des reins, je sens mon ventre se crisper, une main écarte mon sexe, un frôlement, une sensation de piqûre, il me caresse le sexe avec ce que je crois être un blaireau, l'effet est extraordinaire, mon ventre ondule, la caresse diabolique se poursuit, je me cambre pour m'offrir plus, m'ouvrir plus, les poils irritent mon sexe, les changements de rythme qu'il impose à sa caresse m'excitent, je mord le traversin pour ne pas hurler, Bruno a maintenant enfoncé le blaireau dans mon sexe, les poils irritent mes lèvres, il accélère ses va-et-vent, lorsqu'il me juge à point, il enfonce d'un coup sec le blaireau dans mon vagin, les poils du blaireau s'écartent, m'irritent le conduit, la vague de plaisir me saisit brutalement, je mord le traversin, je pleure...

« Tu es diabolique... tu es en train de faire de moi un véritable animal... regarde (je visse les molettes des pinces, la douleur de la pression sur mes pointes est infernale...), tu vois, je t'offre ma douleur, (je tire sur les pinces) tu vois, je supporte tout pour toi... », il me remet sur le ventre, me pénètre le sexe, je ne tarde pas à hurler mon plaisir...

Il prend une pince, tire dessus, la douleur est atroce, l'enlève, fit de même avec l'autre sein, me prend dans ses bras, lèche mes larmes « je veux que tu sois mon animal, ma Paule, mon animal soumis, mais aussi mon amante, mon amour... ».

Il me repasse de la pommade, me pose un pansement, qu'il fixe avec du sparadrap...

Nous avons fini par nous endormir, il a laissé le plug dans mon anus..., m'a expliqué que je devais avoir le réflexe de toujours écarter mes fesses avec mes mains, pour faciliter la pénétration par cet endroit...

Je dors mal, j'ai un sommeil agité, la brûlure ma démange, je sais que je ne dois pas y toucher, en prime Bruno bande en dormant, il est collé contre moi son ventre contre mon cul, je passe une main, m'enlève le plug, guide le sexe de mon amant dans mon conduit, me contorsionne pour qu'il pénètre plus profond, il dort toujours, mais maintenant par réflexe, lime doucement mon conduit, un baiser sur mon dos, m'apprend qu'il s'est réveillé, il me serre contre lui, une de ses main se glisse sous moi et m'attrape un sein, l'autre fouille mon sexe...

Un main me triture, tire, tord mon sein, l'autre s'active dans mon sexe, alternant les caresses entre mon vagin, mes lèvres, mon clito, par réflexe je cambre mon cul pour qu'il pénètre plus profondément, la chaleur envahit mon ventre, son doigt s'attarde dans le conduit de mon vagin, il caresse à travers la paroi son sexe, l'effet est extraordinaire, je ne tarde pas à psalmodier « j'éprouve, j'éprouve... », une pression sur mon épaule, je me redresse, je suis assise maintenant sur son sexe, sa main continue de fouiller le mien, s'active sur mon clito, je serre mes lèvres pour ne pas hurler, tout mon corps tremble, je m'écroule en arrière sur le lit, secouée de tremblements, je n'avais jamais joui avec une telle intensité.

Il me bascule à plat ventre, je me cambre, me pénètre pour prendre son plaisir dans mon anus, mon cul animé d'une vie propre va au-devant de ses coups de boutoir... lorsqu'il se vide dans mon conduit, je suis à nouveau tétanisée.

Allongés, côte à côte il me caresse la poitrine, quelques minutes plus tard, une pression sur ma tête, je me redresse et lui nettoie le sexe avec ma bouche, ma langue s'active à le nettoyer.

Il se lève, revient avec un plateau et les produits pour nettoyer ma cicatrice, m'essuie et me nettoie le derrière, nettoie mon sexe, je me laisse faire comme un bébé, il enlève mon pansement d'un coup sec, me tend une glace... je pleure de bonheur... comment a t-il deviné que je voulais voir ma marque...

Nous sommes allongés côte à côte, tête contre tête, je tiens la glace à bout de bras, j'admire ma marque...

Il m'embrasse sur la joue, de petits baisers rapides, passe une main sous mon dos, serre un sein, sa main serre l'autre, je continue à tenir la glace, il tire maintenant sur mes seins, les tord, les pince, je murmure « encore... encore... », il alterne les caresses, les mauvais traitements sur ma poitrine, je continue à râler doucement « encore... encore... », il continue à caresser et martyriser ma poitrine, soudain mon corps se tend comme un arc, mon ventre se propulse vers le haut, mon dos se cambre, mes jambes me soulève, je m'écroule fauchée par l'orgasme...

Je l'embrasse tendrement, j'ai la tête sur son épaule, je caresse les poils de sa poitrine « c'est pas normal, maintenant quoique tu me fasses, je jouis... tu sais ce dont j'ai envie... j'ai envie d'être cravachée, attachée, nous ne pouvons pas, je ne veux pas réveiller Pat et Isa, pourtant mon amour, je n'ai envie que de ça... t'offrir mon corps, ma douleur, t'appartenir totalement... », il m'embrasse « merci mon amour de soumise... ».

Il me nettoie à nouveau le sexe, passe de la pommade sur la cicatrice (je le regarde faire avec la glace...), repose un morceau de tulle gras, le fixe au sparadrap, m'enfile ma culotte, je me laisse faire.

Nous discutons enlacés, nous finissons par nous endormir.

(à suivre)...

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