La Cadeau Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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« Inouï... » s'exclament en chœur Bruno et Patrick, « t'es vraiment une grosse cochonne » me dit Isa « supporter ça... à sa première séance... chapeau... bravo l'artiste... chapeau ma grande... t'es vraiment douée pour ça..., tu es faite pour subir, tu es vraiment une soumise-née..., j'ai eue la main heureuse et une sacrée intuition, tout à l'heure je t'initierai à l'amour au féminin, tu apprendras à lécher une femme... »

Patrick me reprend par les bras, investi mon sexe, Bruno se positionne devant moi, il bande à nouveau, j'ouvre ma bouche et le suce au rythme que m'impose Patrick, j'ai de nouveau le ventre en feu, Patrick prend son temps, Bruno de fait en fait autant, je sens mon ventre fondre, des spasmes de plus en plus violents l'agitent, Patrick accélère ses mouvements, Bruno me regarde, je ne tarde pas à hurler des mots sans suite, puis lorsque je sens Patrick éjaculer dans mon sexe je hurle à nouveau « Ouiiiii... »

Patrick me lâche les bras, je tombe sur le guéridon, je sens une main débloquer la sangle, Bruno m'aide à me relever, me soutient, Isa pose la serviette sur un fauteuil, Bruno m'assoit, je suis tétanisée, incapable de bouger, je réalise que je suis une soumise, faite pour être dominée et qui ne jouit que dans ces conditions, je suis anéantie et heureuse...

Je reste une vingtaine de minutes dans le cirage, Isa, Patrick et Bruno, se resservent un apéritif, je les entend commenter ma prestation en termes élogieux, je sais que désormais, je serai leur « jouet » , bizarrement j'en suis heureuse....

Nous sommes à table, nous avons fini de souper, Bruno me demande de reculer ma chaise, de me branler jusqu'à ce que je jouisse, durant le repas, j'ai du leur raconter ma vie sexuelle, je me suis exécutée honnêtement, leur racontant la vérité, le néant de ma vie sexuelle jusqu'à aujourd'hui, le ratage complet de mon mariage du fait de ma passivité, maintenant je me caresse sans aucune honte, jambes écartées, le sexe béant, commentant mes sensations.

Je me caresse depuis plusieurs minutes, rien ne se passe, Bruno se lève, prend la cravache et me cravache les seins, mon ventre à un spasme, sur son ordre je n'ai pas ralentie ma caresse, mais l'ai accéléré...

« Regarde la mouille Patrick... » s'exclame Isa « incroyable... », les coups continuent à pleuvoir sur mes seins, je commence à murmurer des mots sans queue ni tête, Bruno abandonne la cravache, se penche vers moi, et me mord un sein, puis l'autre, mon ventre à un nouveau spasme, les morsures continuent, mon ventre tremble, je hurle « j'éprouve... j'éprouve... Oui.... », j'ai jouis encore une fois.

« Totalement maso... » déclare Bruno, « impensable, elle ne jouit que sous la contrainte et la douleur, je t'aime ma biche, ma soumise, je te rendrais heureuse, tu seras marquée continuellement, mais une femme comblée... », il m'embrasse à pleine bouche, je lui rend ses baisers, je suis heureuse, je jouis enfin, la douleur de mes seins mordus, marqués par ses dents, m'indiffère, il me fait jouir, j'aime ça, je l'aime, qu'il me fasse ce qu'il veut...

Nous sommes de nouveau à table, Isa revient avec une cafetière, nous buvons notre café, Bruno me caresse, je sens mon ventre réagir, je lui avoue, il me félicite de ma franchise, je lui répond « je n'ai pas le droit de te mentir, mon amour, mon maître... ».

Je suis toujours gluante du sperme dans mon cul et mon sexe, je demande à Bruno la permission d'aller me nettoyer dans la salle de bains... « Isa, dans le jardin et au jet... »

Je subis à nouveau, grelotte, Isa m'essuie et me ramène dans la salle à manger par la laisse, je me laisse faire passive, heureuse, les autres décident pour moi... je suis vraiment née pour être serve, cette évidence me ravie, enfin mon existence à un sens...

Nous sommes allongés sur le lit avec Isa, tête-bêche, nous nous léchons, les hommes assis sur des chaises nous regardent en buvant un digestif, commentent nos ébats, je me plie aux directives d'Isa, sur son ordre, enduit son anus de lubrifiant, elle en fait autant avec le mien, j'ai compris ce qu'elle désire, je réitère les gestes qu'elle a utilisée sur moi et les imite, nous nous « fistons » mutuellement, elle continue néanmoins à me gamacher le sexe, j'en fait autant.

Isa mouille, soudain elle demande « Bruno, cravache... j'ai la main dans son cul, je ne vais pas tarder à partir, elle n'a pas plus de réaction qu'une moule sur son rocher... punis la, sois sévère... »,

Les coups arrivent sur mon cul, une main me saisit un sein (Patrick) tord la pointe, le malaxe, j'ai un spasme dans mon ventre, des ongles griffent mon dos (Patrick), la houle envahie mon ventre, Isa sent ma réaction, accélère les mouvements de sa langue, je règle mon tempo sur elle, les coups continuent à pleuvoir sur mes fesses soudain je crie « Ouiiiii... », Isa hurle à l'unisson avec moi, nous avons jouis ensemble.

« Eh ben, camarade, mon frérot ,tu t'es mis un sacré fardeau sur les bras, Isa est soumise, mais Paule, ça dépasse tout, je n'en ai jamais eu entre les mains des comme-ça..., je pense qu'il te faudra la marquer au fer rouge et l'anneler rapidement, la violer dans son sommeil, le plus souvent possible, la dominer en permanence... ».

« Le fer est prêt, je l'ai fait en perruque au boulot, elle sera marquée ici, samedi prochain, elle aura ma marque sur son sexe, je la percerai ensuite aux seins et au sexe, ainsi... quiconque la prendra aura mes initiales sous les yeux, lorsqu'elle écartera ses jambes... à l'automne, je la prostituerai dans les rendez-vous de chasse... »

J'entends ces paroles et les prend pour argent comptant, c'est ma destinée... « Oui mon amour, fais de moi ce que tu veux... je t'appartiens totalement désormais, je suis à toi... ».

Je suis dans le donjon, Bruno me fixe une corde autour d'un sein, serre, fait un nœud, un nouveau tour, recommence, après cinq tours, il fait une boucle, procède de même avec l'autre sein, mes seins me font mal à gémir, ils ne tardent pas à violacer, je ne bronche pas, j'attends.

Une barre est fixée à mes chevilles, mes jambes sont écartées, mes bras attachés dans le dos.

Bruno manipule une corde, elle descend, un crochet la termine, il positionne les deux boucles qui terminent les cordes qui enserrent mes seins, tire sur la corde, je me sens soulevée, bientôt je n'ai plus que le bout de mes orteils qui touchent le sol, une dernière traction, mes pieds décollent du sol, je suis pendue par les seins, la douleur est horrible.

J'entends Bruno, remuer des objets, il revient vers moi, me regarde, me dit « je t'aime... », tire sur la pointe d'un de mes seins, la transperce à la verticale avec une aiguille, puis à l'horizontale avec une autre, il procède de même sur l'autre sein, revient avec une chaîne terminée par deux boucles, passe les boucles derrière les aiguilles, puis accroche des poids, la douleur est infernale.

Il me détache les mains « branle-toi, soumise... », maladroitement mes mains trouvent mon sexe, je commence à me caresser, un sifflement, un coup de cravache m'arrive sur les fesses, Patrick appuie ses coups, mes fesses me brûlent, je continue néanmoins à obéir et me caresser... mon ventre à un spasme, un autre coup arrive sur les fesses, je vois une bougie s'approcher de mes seins, Isa penche la bougie, la cire brûlante coule, elle recouvre mes seins, mes mains continuent à s'activer, Isa prend une cravache et fait sauter la cire avec, mon ventre tremble... j'obéis à Bruno, règle ma masturbation selon ses ordres, je gémis, je ne sens plus la douleur « j'éprouve... j'éprouve... » je ne tarde pas à hurler « Ouiiiiii.... ».

« Impensable... » tel est le commentaire de Patrick, je suis descendue, déliée, les aiguilles enlevées, Bruno me caresse, insiste sur mes seins, m'embrasse, je répond à ses baisers...

Je suis ramenée par la laisse dans la salle à manger, Patrick tire au milieu de la pièce une malle, s'allonge dessus, Bruno me positionne, Patrick sans précaution aucune m'encule, Bruno se penche sur moi, il pénètre mon sexe, les deux hommes s'activent, ils ne tardent pas à décharger en moi, je me laisse faire, inerte, je n'ai aucune réaction...

« Maso à ce point-là, c'est du vice... » déclare Bruno, « t'as raison frérot, j'ai un drôle de taf devant moi... mais je suis persévérant... »

Isa me ramène dans le jardin et à nouveau me nettoie au jet, je suis laissée dégoulinante sur la terrasse, je grelotte... je me contente de grelotter...

Bruno vient me rejoindre, Patrick le suit, il me prend par la laisse, m'amène sur la pelouse « à genoux, ouvre la bouche... », je m'exécute, il prend son sexe, je vois le jet jaillir, il urine dans ma bouche, sur ma figure, sur mon corps, c'est bon, c 'est chaud... lorsqu'il a fini Patrick prend le relais, je subis sa miction, Isabelle arrive m'ordonne de m'allonger, s'accroupit au dessus de moi, et elle aussi urine sur moi, suivant l'ordre de Bruno ma main s'active, mon ventre tremble, je finis par hurler mon plaisir...

« En plus elle adore être humiliée, c'est vraiment la soumise idéale, je t'aime ma Paupau... » s'exclame Bruno...

Je suis à nouveau nettoyée au jet, mise à sécher attachée à un poutre de la terrasse...

Nous sommes couchés dans le lit de la chambre d'amis, Bruno me caresse, m'embrasse, je répond à ses baisers et ses caresses, il commence à me manier le sexe, mon ventre tremble, coule, Bruno se redresse, se met à genoux sur le lit, place mes jambes sur ses épaules et me dit « je ne veux t'entendre que pour jouir.., je vais t'utiliser pour ce que tu es, mon vide-couilles... », sans précaution il pénètre mon anus, mon visage se crispe, j'ai mal, puis se retire pénètre mon ventre, alterne les pénétrations, mon ventre tremble, lorsqu'il accélère ses mouvements, je prononce des mots sans suite, lorsqu'il éjacule, je hurle mon plaisir...

Nous sommes couchés enlacés, épuisés, je confie à Bruno « mon amour, c'est la première fois que je jouis comme ça... », il m'embrasse, me serre dans ses bras, les mots sortent seuls de ma bouche « ... mon amour, avant que nous nous endormions, je voudrais que tu me cravache le ventre, le cul, les seins, s'il te plaît... soit sévère... »

Quelques instants plus tard, je suis allongée sur le ventre, je mords l'oreiller, les coups de cravache arrivent avec régularité sur mon cul, sur l'ordre de Bruno, je me retourne, mon ventre et mes cuisses reçoivent leur ration, je compte en disant « Merci » à chaque coup, selon l'ordre de mon maître, lorsqu'il est satisfait du résultat, il m'ordonne de m'agenouiller sur le lit, de lui présenter mes seins en les soutenant avec mes mains, je recommence à compter les coups en remerciant... je ne suis plus que douleur...

Bruno me caresse le sexe, à nouveau je jouis, j'en suis désormais convaincue, je ne peux jouir que dans la douleur, en soumise... paradoxalement j'en suis heureuse, sereine...

Nous nous endormons enlacés...

Lorsque je me réveille, j'aperçois le jour au travers des volets, je suis seule, j'entends des voix, j'arrive dans la cuisine, embrasse Patrick, Isa, qui me fait tourner sur moi-même pour admirer mes marques (je me suis regardée dans la glace de l'armoire, je suis fière de ces marques de coups, j'en ai sur les seins, les fesses, les cuisses, le ventre...), j'embrasse Bruno à bouche que veux tu.

Je m'assied, Brubru se lève, remplit un mug, me demande « avec ou sans sucre, du lait?, tu veux du thé à la place du café? », « non mon amour du café sans sucre, à partir d'aujourd'hui, il faut que je maigrisse un peu, je suis trop grasse du cul, en maigrissant tu pourras rentrer plus profond dans mon ventre, j'en ai envie... mon amour... »

En buvant mon café, je questionne Isabelle « c'est quel jour l'anniversaire de Bruno? », « Aujourd'hui... », j'embrasse Bruno « bon anniversaire mon amour de la part de ton « cadeau », excuse-moi mais personne ne me l'avait dit, bon anniversaire Brubru chéri..., mon Brubru d'amour... ».

« On fête ça quand Isa?... »

« Ce soir, barbecue, côte de bœuf, carpaccio, œufs en gelée, patates à la braise, roquefort, tiramisu..., je lui ai préparé un repas composé de ses plats préférés, il adore les grillades, si tu n'a jamais vu un homme se taper une côte de bœuf à lui tout seul, tu verras, aimer la viande à ce point là c'est impressionnant... un ogre le Nono d'amour... un goinfre oui... un goret... quand tu lui fais ce qu'il aime... le Nono... ah je l'adore, du coup à cause de toi, je n'ai pas pu en profiter, j'ai dû me contenter du vieux débris d'amour qui me sert de mari, salope... adorable salope soumise... »

Isa se lève et vient me rouler une pelle, je répond à son baiser, je suis consciente que je dois tout accepter, et le fait avec joie...

Nous sommes dans la salle de bain, sous la douche, Bruno m'a débarrassé de mon collier et mes attaches, il me nettoie consciencieusement, insistant sur mes marques, m'embrassant à chaque fois que je grimace, il est derrière moi, une de mes mains, branle son sexe... je suis heureuse...

(En fait, j'attends le moment favorable pour lui demander ce qui a germé dans mon esprit, s'est imposé à moi comme une évidence...).

Bruno me sèche avec une serviette, je lui fais face, je l'enlace autour du cou, me penche et murmure à son oreille « mon amour... marque moi ce soir, il y aura de la braise dans le barbecue, marque moi avant le repas, pose moi des anneaux, tu m'attacheras, me bâillonneras, je serai courageuse et muette, je t'en supplie, je suis ton cadeau d'anniversaire après tout... »

Bruno m'embrasse et me murmure à l'oreille « merci ma Paule, ma soumise, mon amour, tu as raison, nous allons aller chercher chez moi le fer, et annoncer notre décision à Isa et Patou... je t'aime.... » (sa main caresse mes fesses, je sais que je supporterai la brûlure, je supporterai tout venant de lui, il me caresse doucement les seins en murmurant) « ils sont magnifiques... je les adore.. », je répond « ils sont à toi, tout à toi, qu'à toi, d'autres peuvent leur faire subir ce qu'ils veulent, malgré tout ils sont, seront et resteront à toi, mon amour... »

Nous revenons dans la cuisine, Isa et Pat sont toujours en train de petit-déjeuner, la nuit a dû être aussi agitée pour eux, ils ont l'air de comater pas mal et se ressourcent avec du café, Bruno annonce sa décision de me marquer dès ce soir et mon total accord, en soulignant que c'est mon désir...

« D'accord, c'est votre choix, je téléphone à un copain infirmier pour qu'Isa aille acheter à la pharmacie ce qu'il faut pour les brûlures et leur soin, nous vous offrons les anneaux, tu décideras quand lui faire poser, bon anniversaire mon frérot... »

« J'aurais jamais cru que ça tournerai comme ça, j'en suis baba... incroyable... » déclare Isa pensive... elle joue avec les boucles de ses seins et me dis « regarde ce qu'il en a fait, à force d'accrocher des poids, des gants de toilette, ils pendent... salaud de sadique, pauvre femme soumise... »

« Dis donc, Mamie, tu exagères, tes seins se tiennent encore bien, et je te signale pour mémoire, que tu adores lorsque je tire dessus... » répond Patrick...

Dans la chambre, Bruno m'ordonne ma façon de m'habiller, sur son ordre, je me penche en avant, main sur les genoux, cul cambré, il m'enduit l'anus, une douleur, un objet vient de le pénétrer, Bruno m'essuie les fesses, je reçois l'ordre de me relever, mon anus dilaté me fait mal, je me tais, je passe sur les indications de Nono un chemisier, une jupe courte, des chaussures à talons compensés, il déboutonne au-delà du raisonnable le chemisier, relève la jupe pour me caresser les fesses, je me cambre pour recevoir la caresse...

Bruno roule prudemment, par contre, sadiquement, accélère lorsqu'il y a des ralentisseurs, malheureusement, il y en a beaucoup dans notre ville... mon cul souffre, je supporte... (dès que je suis montée dans la voiture, j'ai relevé sur son ordre ma jupe, je suis assise fesses nues sur le siège...), il profite du peu de circulation pour me fouailler le sexe avec sa main droite, je mouille bien évidemment, il tire également sur mon sein gauche en tordant le mamelon, je gémis de douleur, mon ventre coule, je le sens...

Les doigts de Nono s'agitent dans mon sexe, j'entends distinctement le « floc floc » que fait ma mouille, je rougis, Nono s'en aperçoit et me murmure « adorable salope... soumise d'amour... »

(c'est dingue, Bruno se dirige vers le quartier où j'habite, lorsqu'il tourne dans une rue, je réalise que j'habite la rue en face, de l'autre côté du « city stade »)...

Nous arrivons à son appartement, l'ascenseur nous dépose à l'avant-dernier étage, j'ai effectuée la montée, la jupe relevée, la main de Nono sur mon cul..., nous pénétrons sur le palier dans le couloir, Bruno ouvre une porte...

« c'est incroyable mon amour, regarde, viens voir, j'habite en face... », Bruno se rapproche de la fenêtre, « tu vois le balcon avec les fleurs, la table et le parasol fermé? », « Oui.. au deuxième étage... », « c'est chez moi... mon amour, nous sommes voisins... ».

« Tu veux prendre quelque chose, un café? », « volontiers, j'en ai besoin... », Bruno s'affaire sur la cafetière, je jette un coup d'œil autour de moi, apparemment le rangement et le ménage ne sont pas son fort, sa tasse de thé, je me promet d'y remédier...

Le bruit de la cafetière envahit la pièce, Bruno me fait face, il déboutonne mon chemisier, descend ma jupe « je ne veux te voir que nue, à l'intérieur... », il me caresse la poitrine, suce les pointes de mes seins, me murmure « je les adore... tout.. tout comme ton ventre et ton cul, ma salope d'amour... »

Assise sur une chaise, devant une tasse de café, je sens le « plug » (j'ai appris le terme) me défoncer encore un peu plus l'anus et manipule entre mes mains, une tige de fer terminée par un ovale, un « B » est soudé sur dans l'ovale.

Bruno me prend par le main et m'entraîne vers sa chambre, le lit n'a pas été fait, il y règne un désordre indescriptible..., un fatras, c'est le fouillis total...

Je suis allongée, sur le ventre, Bruno retire le plug, me fait me retourner, repasse mes jambes sur ses épaules, pénètre sans aucune précaution mon anus, commence à le limer, puis pénètre mon sexe, je sens mon ventre trembler, Bruno continue d'alterner ses pénétrations, puis se concentre sur mon sexe, je ne tarde pas à gémir, je bredouille des mots sans suite, gémis et ne tarde pas à hurler mon plaisir lorsqu'il éjacule dans mon ventre.

Je suis allongée sur le dos, mon ventre tremble, Bruno le caresse, je n'aurais jamais cru qu'il était possible d'éprouver un plaisir pareil, j'ai enfin joui... je pleure, Bruno joue avec le fer, le pose sur mon ventre, là où ce soir je serai marquée à jamais, Bruno lèche mes larmes sur mon visage, je tiens son sexe dans une main, je me redresse et le nettoie avec ma bouche, je suis heureuse, je sais maintenant ce que veux dire une femme comblée, je le confie à Bruno, qui pour réponse, me caresse tendrement le ventre.

Nous restons un long moment allongés côte-a-côte, nos mains frôlent nos corps, je suis heureuse, je suis amoureuse...

Bruno me nettoie le ventre et le cul, remet en place sans précaution le « plug », mon visage se crispe et m'ordonne d'aller me rhabiller, il s'habille, prend un sac de sport, y dépose le fer qui me marquera à jamais...

Nous revenons chez Patrick et Isa, à peine entrés dans la maison, Bruno me dénude, puis leur montre le fer, qui me marquera ce soir.

Isa me prend par la main « on va se baigner, vous venez... on barbote un peu, après nous prendrons l'apéro et nous mangerons, allez les hommes à poil et dans l'eau », je n'avais pas fait attention hier soir, une piscine est installée dans le jardin, entourée de protection en plastique imitant les thuyas qui occulte toute vue sur le bassin.

Nous nageons tous quatre dans l'eau, j'ai toujours mon plug dans l'anus, ne le sent plus, je suis coincée dans un coin de la piscine, là où la profondeur est la plus faible, six mains me caressent, me fouillent, me palpent, je me laisse faire, je suis heureuse...