Kidnapping et Soumission Tome 07

BÊTA PUBLIQUE

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La Maîtresse arriva.

« Eh bien mes deux petites ouvrières, on a bien travaillé à ce que je vois! »

Elle les emmena devant la fosse qu'elles venaient de remplir. Les deux esclaves virent alors la fosse en béton pleine d'une eau marron et de fétus de paille agglomérés aux déjections et à la terre. L'odeur de la fosse était infecte.

« Regardez, la fosse est pleine! »

En disant cela, Maîtresse Marie poussa les deux esclaves dans le dos qui tombèrent dans la fosse.

Les deux corps plongèrent dans la boue immonde.

« Ah ah ah!!! Regardez-moi ces deux souillons recouvertes de merde. Vous pouvez remonter par cette échelle. » Sweet Pussy remontait de sa « piscine ». Alors qu'elle prenait appui sur la dernière marche, Maîtresse Marie posa son pied droit sur l'épaule de Sweet Pussy.

« Où vas-tu crapette? »

« Me laver Maîtresse. » dit Sweet Pussy doucement.

« Ton bain est là! » dit Maîtresse Marie en montrant la fosse à purin. Maîtresse Marie poussa de son pied l'esclave qui replongea dans la fosse. Avec l'élan, tout son corps plongea dans la mixture.

Sweet Pussy et N°1 remontèrent de leur « piscine » après leur bain de boue.

« Allez retour dans votre étable. Je me suis assez amusée avec vous deux. »

Maîtresse Marie les suivait et regardait leur corps dégoulinant de merde qui commençait à sécher au soleil. Arrivées à l'écurie, Maîtresse Marie prit un tablier et des gants. Elle attacha les esclaves à leur collier.

« Demain, soirée spéciale. Repos toute la journée après un bon bain! »

Maîtresse Marie apporta deux écuelles avec la même bouillie blanche.

« Allez, on mange! »

N°1 et Sweet Pussy s'approchèrent de leur gamelle à quatre pattes et plongèrent la bouche dans l'écuelle. Elles mangèrent délicatement afin que la crasse qui recouvrait leur visage ne se mélange à leur pitance en s'humidifiant.

« Je ne veux plus rien dans vos gamelles. »

Maîtresse Marie se plaça entre ses deux esclaves et appuya sur le haut de leur crâne pour que leur visage s'écrase dans leur pitance.

Lorsqu'elles eurent fini de manger elles reprirent leur place.

« Nettoyez-moi la nourriture qui se trouve sur vos gueules! Pas de gâchis ici! » hurla la Maîtresse.

Elles se nettoyaient délicatement pour que leur langue ne touche pas la crasse qui enveloppait leur visage. Maîtresse Marie s'en aperçut et dans un accès de colère prit la tête des esclaves et les frotta l'une contre l'autre. La langue de Sweet Pussy racla le visage de N°1 et eut un haut de cœur lorsque sa langue et sa bouche touchèrent le mélange de merde et de boue. Elle vomit sur N°1.

« Vous resterez comme cela toute la nuit et la journée de demain! »

Maîtresse Marie avait ordonné à son commis d'aménager l'allée de la porcherie pour y installer des sièges et une estrade. Une table avec tout ce qu'il fallait pour accueillir ses convives par un apéritif dînatoire avait été dressée. Les porcs avaient été emmenés dans un terrain afin de ne pas déranger par leurs couinements pendant la petite sauterie de Maîtresse Marie. Plusieurs Maîtresses étaient habillées de combinaison latex. L'une d'elles, assez menue était parée d'un short et d'un soutien-gorge. Elles portaient des cuissardes rouges et des gants d'opéra. Le short ouvert duquel dépassaient les lèvres de son sexe, le soutien-gorge et les gants étaient bordés de pointes en inox. Certaines Maîtresses tenaient en laisse un chien. Les Maîtres, quant à eux étaient tous en smoking. Maîtresse Marie prit la parole :

« Mes chers Maîtresses et Maîtres, prenez place s'il vous plaît. Vous allez assister à un spectacle particulier ce soir. Les deux esclaves que voici vont vous mettre en appétit. »

Les Maîtresses et Maîtres prirent place.

Le palefrenier tirait deux chevaux par leurs rennes et monta la rampe.

« Allez les deux putes, occupez-vous des chevaux! Toi tu commences par AZUR et toi par ROYAL FRAME. »

Le palefrenier installa un cheval à côté de N°1 et un à côté de Sweet Pussy.

« Vous me sucez mes étalons pour récupérer leur sperme dans ces saladiers.»

N°1 prit l'organe et commença à le branler et à le sucer. Sweet Pussy ne bougeait pas et était horrifiée de ce qu'on lui demandait de faire et de voir N°1 sucer le sexe du cheval.

« Maîtresse Marie approcha de Sweet Pussy, les traits du visage tendus par la colère qui naissait en elle.

« Si tu ne fais pas ce que je t'ordonne tu vas tâter de ma cravache! »

Sweet Pussy commença à masturber le sexe de l'équidé avec un certain dégoût et sans entrain.

N°1 suçait l'équidé et le branlait simultanément. Avec ces allers et venues sur le sexe du cheval, elle sentit la semence monter dans cette bite animale et approcha le récipient. Le sexe lâcha de nombreux jets de semence qui vinrent s'écraser sur le fond du saladier.

Sweet Pussy, elle, branlait timidement et maladroitement son cheval. Des murmures se firent entendre dans l'assistance, ce qui exaspéra Maîtresse Marie.

« Je t'ai ordonné de sucer le sexe de mon cheval, pas de le branler! Je vois que j'ai du mal à me faire obéir. Tu vas voir comment je traite les esclaves rétives! »

Elle tira par le bras Sweet Pussy et l'entraîna au bas de l'estrade.

« Palefrenier, amène-moi la chaise métallique de reconditionnement. » Le commis disparut du hangar et on entendit ensuite un bruit de roulettes. Le palefrenier tirait une chaise métallique qu'il plaça devant l'estrade.

N°1 regarda Sweet Pussy du coin de l'œil alors qu'elle suçait son second équidé.

« Pitié Maîtresse, laissez-moi, je ne suis pas un animal, je n'ai pas à faire ça, c'est dégoûtant!! »

« Ton impudence et ta désobéissance te coûteront cher salope. Assied-toi sur ce chevalet. »

Sweet Pussy était devant une espèce de chaise faite de tubes métalliques comme celle du château. Elle avait la particularité que l'on s'asseyait à l'inverse et que le dossier se trouvait donc sur la poitrine entre les seins. Sur le siège, deux énormes plugs étaient positionnés à dessein.

Sweet Pussy voulut s'assoir...

« Lèche-les comme une bonne petite pute que tu es! »

Sweet Pussy lécha les deux plugs et les lubrifia abondamment en déposant sa salive pour faciliter le passage qui n'allait pas être sans mal se disait-elle.

« Allez, empales-toi sur ces bites d'acier! »

« Oui, Maîtresse. »

Sweet Pussy positionna son cul et sa chatte pour que les plugs soient en face de ses trous. En prenant appui avec ses mains sur le dossier du chevalet, elle commença à onduler des fesses pour faire pénétrer les deux plugs. L'assistance ricana de voir ce cul tatoué bouger de la sorte. Sweet Pussy grimaçait en sentant les deux plugs emplir son fondement et son sexe car ils étaient de bons diamètres. Lorsqu'elle fut calée, Maîtresse Marie vérifia en appuyant sur les épaules de son esclave, qui couina, que les plugs étaient à fond. Maîtresse Marie prit les bras de Sweet Pussy et les attacha aux bracelets prévus à cet effet. Le cou de Sweet Pussy vint se positionner dans un demi-cercle métallique que Maîtresse Marie referma par un autre demi-cercle qui, une fois fermé, formait un collier. Maîtresse Marie pivota d'un quart de tour un papillon pour éviter toute ouverture fortuite. Ses seins prirent position dans un carcan métallique. Maîtresse Marie abaissa la partie supérieure et vissa les deux vis papillons des tiges filetées, ce qui bloqua les seins de Sweet Pussy et vint légèrement les comprimer dans les ouvertures, plus petites que la base de ses seins. Les chevilles furent aussi attachées ainsi que ses cuisses. Sweet Pussy se retrouva complétement immobilisée dans cet assemblage tubulaire.

Pendant ce temps-là, N°1 continuait à sucer les chevaux que le palefrenier lui amenait. Elle en était à sa sixième fellation et le récipient se remplissait des abondantes salves de sperme chevalin.

« Que mérite cette esclave, mes chères consœurs et chers confrères? »

Des cris s'élevèrent de l'assistance :

« Marquez-la au fer rouge! » cria un Maître.

« 100 coups de fouet pour cette salope! » dit une Maîtresse.

En entendant cela, Sweet Pussy poussa un cri et essaya de s'extirper de son harnachement en gigotant comme elle pouvait. Maîtresse Marie prit alors un harnais équipé d'un ball-gag métallique qu'elle plaça sur la tête de Sweet Pussy. Ce harnais de tête était formé de fers plats et d'un anneau pour la bouche. Maîtresse Marie força le passage de la bouche en cognant le métal sur ses dents. L'esclave ouvrit la bouche et lorsque l'anneau passa entre les dents, Sweet Pussy ne put plus la refermer. L'anneau avait deux bouts de tiges filetées qui dépassaient vers l'extérieur. Maîtresse Marie prit deux fers plats vissés ensemble et les désaccoupla.

« Tire ta langue de suceuse de bite! »

Sweet Pussy obéit et tira sa langue au plus loin. Maîtresse Marie, tout en maintenant la langue à l'extérieur, dévissa le piercing se trouvant au beau milieu de sa langue. La chose faite, elle posa un fer plat sous le dessous du membre, l'autre sur le dessus et enfonça l'écrou au travers de la langue de Sweet Pussy. Celle-ci cria en sentant l'écrou pénétrer sa langue car celui-ci était d'un plus gros diamètre que son piercing d'origine. Sweet Pussy se retrouva avec la langue pendante et alourdie par le métal. Maîtresse Marie connecta alors le harnachement buccal à l'anneau par les deux tiges et y fixa deux vis papillon. La langue de Sweet Pussy était tirée à l'extrême à l'extérieur et dardait comme une bite en érection.

« Attention, cette esclave n'est qu'en prêt, je ne peux donc pas la marquer à vie, ni la tuer, Maîtresse Aurore ne me le pardonnerait pas. Mais une bonne correction lui fera le plus grand bien et l'incitera à obéir aux ordres.»

Maîtresse Marie prit alors une canne de bambou et se positionna derrière Sweet Pussy qui ne pouvait voir ce qu'elle allait subir.

Un cri se fit entendre dans le hangar :

« ARRRRRGHHHHH! »

Maîtresse Marie venait d'asséner un violent coup de canne sur les fesses de Sweet Pussy.

« Et compte chaque coup, salope! »

« Huin. » fit en sanglotant Sweet Pussy.

« ARRRRGGHHH. »

« Dfeux. »

Sweet pussy reçut cinq coups sur ses fesses tatouées qui maintenant étaient striées de 5 traces rouges desquelles perlaient des gouttes de sang. Et Sweet Pussy compta chaque coup. Maîtresse Marie s'approcha de son esclave et lui fit face.

« Tu vas m'obéir maintenant! »

« Bvoui, Maîtreche. » fit Sweet Pussy qui poussa un autre cri lorsque Maîtresse Marie appuya sur la télécommande qu'elle tenait en main. Une courte décharge électrique traversa le corps de Sweet Pussy. Les plugs étaient reliés à une centrale d'électrostimulation bien dissimulée sous le chevalet, donc invisible pour l'esclave. Cette décharge contracta son anus et ses muscles vaginaux.

Quelques secondes plus tard, une autre décharge secouait le corps de la suppliciée. Puis une autre.

Les secousses s'arrêtèrent et Maîtresse Marie repassa derrière Sweet Pussy. Elle se crispa en attendant le coup sur son cul.

« AAAAARRRRRRGHHHHHHH! »

« Fsife. »

« ARRRRRGGGHHH . » Une décharge électrique lui traversait le corps avant de finir de compter.

Maîtresse Marie repassa devant Sweet Pussy. Elle sanglotait, un filet de salive coulait de son anneau buccal. Sweet Pussy regarda du coin de l'œil la Maîtresse attendant avec appréhension sa colère. Maîtresse Marie appuya sur sa commande et une décharge électrique lui traversa les seins. Le visage de Sweet Pussy se crispa sous l'effet. Lorsque l'impulsion s'estompa, Maitresse Marie asséna un violent coup de canne sur les seins de Sweet Pussy.

Maîtresse Marie appuya sur sa télécommande et une impulsion électrique traversa sa langue. Elle reçut un coup violent sur ses seins et un autre aussitôt qui fit dire à Sweet Pussy :

« Affez Maitrèche. Pitchié, ve vais obvéir. Ve fais fufer les fevaux. »

« A la bonne heure pétasse. »

Maîtresse Marie délivra Sweet Pussy de son harnachement qui retourna doucement vers son « stand » avec les chevaux qui attendaient la traie. Sweet Pussy prit place sur le tabouret. Le fait de s'assoir la fit grimacer et lui rappela sa récente correction. Elle prit d'abord le saladier dans une main et le sexe du premier équidé de l'autre et suça celui-ci tout en le branlant. Avec ce traitement, le sexe du cheval ne tarda pas à prendre de la vigueur et une longueur conséquente. Quelques minutes plus tard, Sweet Pussy sentit la montée du sperme chevalin mais n'eut pas tout à fait le temps de retirer sa bouche pour recevoir le liquide séminal dans le saladier et son visage en fut quelque peu éclaboussé. Elle en reçut dans sa bouche, ce qui la fit cracher dans le saladier. Le palefrenier riait de voir les deux esclaves être autant avilies et souriait à chaque fois qu'il amenait un cheval pour sa traie.

N°1 finit de sucer son lot de chevaux. Elle regardait Sweet Pussy branler et sucer ses équidés. Lorsque le dixième cheval fut branlé et son sperme fut dans le saladier, Maîtresse Marie prit les deux saladiers. Deux chaises métalliques furent amenées. Ces chaises avaient, bien sûr des bracelets et deux plugs de bonne taille se dressaient sur le siège.

Maîtresse Marie, d'un claquement doigt, fit se lever les deux esclaves. Lorsque la Maîtresse pointa du doigt les deux chaises, N°1 et Sweet Pussy se dirigèrent vers les chaises et s'installèrent sur celles-ci. Sweet Pussy ressentit une douleur sur ses fesses meurtries lorsque celles-ci se posèrent sur le métal froid. Les culs des esclaves s'empalèrent sur les plugs. Maîtresse Marie bloqua alors leurs poignets et leurs chevilles. Elle prit alors un tuba transparent qu'elle enfonça dans la bouche de Sweet Pussy et serra fort les courroies derrière la tête. N°1 reçut le même équipement.

Pour s'amuser, Maîtresse Marie serra les narines de Sweet Pussy qui fut obligée de respirer par le tuba. Puis Maîtresse Marie obstrua le tuba. Les yeux de Sweet Pussy s'écarquillèrent cherchant l'air donateur de vie. La Maîtresse regardait dans les yeux son esclave qui suffoquait, ses doigts s'agitaient sur la chaise et de vagues grommellements sortaient du tuba. Maîtresse Marie rendit possible la respiration en ôtant ses doigts du tuba. Elle prit alors deux entonnoirs transparents qu'elle raccorda sur le tuba de chaque esclave. Les deux esclaves surent alors ce qui allait leur arriver. Le palefrenier fut mis à contribution et, avec Maîtresse Marie, versa le contenu des saladiers dans les entonnoirs. Maîtresse Marie ouvrit simultanément les vannes des tubas et le liquide séminal se déversa dans la bouche de chaque esclave.

« Buvez-moi ce breuvage, mes deux salopes. Ah ah ah. Et toi, Sweet Pussy, tu avales car je ne suis pas Maîtresse Aurore, tu n'auras pas de seconde chance. Tu avales ou tu crèves!»

Les mains des esclaves se crispèrent sur les chaises. Sweet Pussy avait les larmes aux yeux. Elles burent le liquide séminal jusqu'à la dernière goutte. L'assistance applaudit lorsqu'elles eurent fini de boire.

Maîtresse Marie démonta les tubas et les harnais. Du liquide coula de la bouche de N°1 et Sweet Pussy éructa plusieurs fois du goût acre du sperme chevalin et rota une fois ce qui fit hurler de rire l'assistance. Elle pleurait amèrement. Maîtresse Marie posa un collier au cou des esclaves.

« Bien mes deux putes, maintenant vous allez servir d'esclaves sexuelles à mes convives. Que pas un n'ait de remarque à me faire sinon je vous corrige. »

« Oui Maîtresse. » firent les deux esclaves.

Maîtresse Marie conduisait ses deux esclaves en laisse dans l'assistance. Une Maîtresse stoppa l'avancée de Maîtresse Marie.

« Je prends celle-ci. » Dit la Maîtresse en pointant du doigt N°1.

Maîtresse Marie donna le bout de la laisse à la Maîtresse qui l'emmena à l'écart de l'assemblée. Maîtresse Marie continua d'avancée quand une Maîtresse se positionna devant Maîtresse Marie. Sweet Pussy reconnut Maîtresse Tatiana.

« Je la prends, puisqu'il ne reste qu'elle. »

« Faîtes-en bon usage Maîtresse Tatiana. »

Maîtresse Tatiana s'en alla en tirant sur la laisse. Sweet Pussy avait du mal à suivre sa nouvelle Maîtresse et en passant entre les convives, elle sentit que des mains lui touchaient les fesses et le sexe.

Maîtresse Tatiana alla dans un coin de la pièce. Elle écarta les pans de son short ouvert en tirant sur la laisse:

« Lèche-moi la chatte salope! »

Sweet Pussy obtempéra et commença à lécher les lèvres de Maîtresse Tatiana.

« Allez, esclave, plus profond. Je veux sentir tes piercings loin dans mon vagin! »

Sweet Pussy s'activa pour contenter sa Maîtresse temporaire.

N°1 quant à elle, se trouvait au centre de l'allée à quatre pattes, le visage contre le sol en béton, les fesses pointant vers le ciel. La main d'une Maîtresse se trouvait dans son sexe tandis qu'une autre main était plantée jusqu'au poignet dans son fondement. Les traits du visage de N°1 étaient tirés au maximum car les intromissions étaient violentes. Elle poussait des cris stridents qui raisonnaient dans le hangar. Maîtresse Tatiana prit la tresse de Sweet Pussy d'une main et lui tourna la tête en direction de l'autre attraction.

« Après ce sera ton tour, une main dans chaque trou, on va vous exploser les trous! Vous aurez de vrais garages à bite après un traitement pareil! »

Les deux Maîtresses retirèrent leurs mains de N°1. Son anus restait grand ouvert. Une Maîtresse apporta une batte de base-ball et une cartouche de graisse. Après avoir enduit de graisse sa batte, la Maîtresse l'enfonça dans le cul de N°1 qui hurla de douleur par cette intromission brutale et énorme. Sweet Pussy prit peur à la vue de cette scène et se cacha le visage. N°1 était toujours face contre terre, le cul en l'air avec une batte de base-ball qui pointait vers le ciel. La Maîtresse prit la batte de base-ball et commença à la faire aller et venir dans le cul de N°1. Ses doigts grattaient le sol comme pour s'agripper à quelque chose, son visage était déformé par la douleur.

« Sweet Pussy! Viens ici. » Hurla la Maîtresse.

Sweet Pussy décolla sa bouche du sexe de Maîtresse Tatiana.

« Viens ici te faire défoncer ton cul, salope. Je viendrais y mettre ma main! »

Sweet Pussy avança à quatre pattes et se positionna face contre terre juste à côté de N°1. Elle était toujours en position, le cul ramoné par la batte de base-ball.

La Maîtresse commença par prendre la pompe à graisse que tenait le palefrenier. Elle enfonça l'embout dans le cul de Sweet Pussy et actionna la pompe. Après quelques coups de pompe, La Maîtresse retira l'embout et enduisit l'anus d'une bonne couche de graisse. La Maîtresse prit alors un gant comme ceux des vétérinaires lorsqu'ils inséminent une jument ou une vache et mit en pointe ses doigts pour les enfoncer dans le cul de l'esclave. Elle commença alors à travailler l'anus de Sweet Pussy qui s'ouvrit doucement comme une fleur. Les doigts s'enfoncèrent doucement dans le cul. Sous l'effet conjugué des doigts et de la graisse, le cul s'ouvrit plus et bientôt ce fut la main complète qui disparut dans le fondement de Sweet Pussy qui gémissait et qui ouvrait la bouche pour happer de l'air comme pour se soulager de la douleur qui lui traversait le corps. La Maîtresse posa son autre main sur le sexe de Sweet Pussy et l'enfonça dans son vagin. Après quelques va et vient, la Maîtresse ôta ses mains gantées et prit la seconde batte de base-ball posée contre le mur. Elle prit aussi la pompe à graisse qu'elle actionna pour badigeonner l'anus de Sweet Pussy puis la batte elle-même. La Maîtresse positionna la batte contre l'anus de Sweet Pussy qui sentit doucement la poussée de l'engin contre ses fesses.

« Allez salope, ouvre ton cul sinon!!! »

Sweet Pussy poussa en crispant les traits de son visage et la batte commença à étirer son anus qui se dilata petit à petit pour parvenir à engloutir le bout de la batte de base-ball.

C'est dans un soulagement non retenu que la batte pénétra le cul de Sweet Pussy sous les applaudissements de l'assistance. Les deux battes de base-ball pointaient vers le ciel et la Maîtresse prit en main les deux battes et ramona simultanément les deux culs.