Kidnapping et Soumission Tome 06

BÊTA PUBLIQUE

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« Et quand on ne réussit pas à faire votre quota? » demanda Sweet Pussy.

« J'avais prévu ta question. Eh bien vous allez voir tout de suite ce qui se passe pour les fainéantes. »

La Maîtresse de la maison close emmena Sweet Pussy et N°1 au fond du couloir et ouvrit la porte. Dans la pièce un homme était en train de cravacher une fille attachée sur un chevalet, les fesses en l'air. Son cul était dilaté par un plug de très bonne taille. Les globes fessiers étaient zébrés de traces rouges. L'homme administrait une bonne correction et le cul de la fille se dandinait à chaque coup de cravache. Les traces viraient au cramoisi et du sang coulait de certaines marques. La fille hurlait à tue-tête à chaque coup de cravache. L'homme, lui, ne tenait aucun compte des suppliques de la fille et administrait sa correction impassiblement.

« Voilà ce qui arrive aux fainéantes. Si vous ne voulez pas tâter de la cravache de Grégor, tapinez bien! »

Pendant que la Maîtresse parlait, l'homme détacha la fille et la tira par ses longs cheveux bruns. Sous la douleur, la fille tentait d'amoindrir le mal en posant ses mains sur sa chevelure. L'homme arrêta de la traîner et ouvrit la braguette de son pantalon.

« Allez, suce putain! »

La fille en pleurs ouvrit la bouche et suça la bite que l'homme lui présentait. Il tenait toujours à pleine main la chevelure de la fille et forçait les mouvements de va-et-vient. Au bout de quelques minutes, l'homme cria et jouit dans la bouche de la fille qui fut obligée d'avaler le sperme. L'homme la libéra de sa contrainte et la fille toussa plusieurs fois.

« Le spectacle vous a plu? Alors habillez-vous dans cette chambre et travaillez bien sinon!! »

N°1 emmena Sweet Pussy et elles allèrent toutes deux dans la chambre.

La Maîtresse de la maison close amena un sac et en sortit des affaires. Devant Sweet Pussy furent placés une mini-jupe écossaise rose, un chemisier transparent, des socquettes, le tout en latex, des chaussures type betty boop à semelles compensées, un collier et deux bracelets en cuir avec des clous. Devant N°1, la Maîtresse déposa un uniforme de bonne avec son voile, des bas, le tout en latex et des escarpins à brides avec cadenas.

Sweet Pussy commença à s'habiller. La jupe couvrait juste ses fesses car on pouvait voir un peu de ses lèvres intimes qui pendaient beaucoup avec les anneaux. Le chemisier, transparent, était trop juste avec ses seins et on pouvait voir son nombril. Les socquettes lui seyaient parfaitement. Elle chaussa ses betty et en se penchant, N°1 aperçut ses fesses. Sweet Pussy fut surprise de ne pas avoir de masques. N°1 s'habillait en même temps. La robe de boniche était courte.

La Maîtresse sortit de la chambre.

« Mais pourquoi, on fait toujours la pute, je pensais qu'on restait dans des clubs avec des Maîtres? Là on fait la pute! Avec les Maîtres, ce n'est pas pareil. »

« Sache que pendant tes épreuves, ton mari y a participé. »

« Ce n'est pas possible! »

« La perversité de Maîtresse Aurore n'est plus à démontrer et lorsque tu as sucé des bites et bu du sperme, tu as obligatoirement sucé celle de ton mari. Il est dans l'aile des Maîtres? »

« Oui, il est dans cette partie du château, pourquoi? »

« Pour ton information personnelle, les hommes qui se trouvent dans cette aile, sont éduqués comme esclave d'abord puis Maîtresse Aurore les enseigne à devenir des Maîtres! Je l'ai vécu moi-même! Lorsque j'ai été kidnappée avec mon mari, tout comme toi d'ailleurs, j'ai subi les mêmes traitements que toi. J'ai sucé des bites à n'en plus finir. J'étais masquée et je voyais donc les bites arriver pour les sucer. Mais ce que Maîtresse Aurore n'avait pas prévu ou vu est un petit signe distinctif sur la queue de mon mari. Il avait un grain de beauté sur la bite, juste à la jointure des couilles. Lorsque j'ai sucé les 50 bites, j'ai vu celle de mon mari. Sans savoir que c'était moi, Il me traitait de putain, de salope, de garage à bites pendant que je le suçais. Pour éviter des supplices immondes, j'ai suivi tous les ordres de Maîtresse Aurore. »

« La salope et le salaud! Cela veut dire que Maîtresse Aurore m'a fait sucer Manu sans que je le sache et qu'il se faisait sucer la bite par une inconnue qui était moi en réalité! »

« Bingo, bien venu dans le monde réel du SM! Alors pourquoi tant de simagrées. Pourquoi tu ne baiserais pas alors que ton cher petit mari se fait sucer la bite, baise et encule des esclaves, lui? »

« Non, je ne te crois pas, Manu ne ferait jamais cela! »

« Tu en veux la preuve? Dans quelques semaines la tournée des clubs sera terminée. Tu veux savoir ce que fait ton gentil petit mari, prends la place d'une esclave et tu verras ce qu'il te fera subir! »

« Mais toi, en suivant tous les ordres de Maîtresse Aurore, tu entrais dans son jeu! »

« Peut-être mais j'ai subi, comme toi les piercings, tatouage et augmentation des seins pour ne pas subir sa colère vénale. As-tu vu comment elle punit les esclaves récalcitrantes ou celles qui s'évadent en les marquant au fer rouge sur les seins et fesses? »

En entendant cela, Sweet Pussy en était toute retournée et s'allongea sur le lit en pensant à tout ce qu'elle avait subi au château. Elle revoyait les scènes durant lesquelles elle avait sucé 50 bites et s'était fait enculer plus tard par 50 bites pour avaler ensuite le sperme. Elle revoyait aussi la soirée durant laquelle Manu l'avait enculée alors qu'elle suçait un Maître. Elle en avait les larmes aux yeux. Elle se mit à pleurer amèrement.

N°1 prit les mains de Sweet Pussy et les serra contre ses seins. Elle la consola en la prenant dans ses bras et en l'embrassant tendrement sur le visage. Sweet Pussy se laissa aller et ses lèvres se collèrent à la bouche de N°1 pour un langoureux baiser, baiser qui fut interrompu par l'entrée de la Maîtresse de maison.

« Alors les putes, on allait gouiner? »

« Pas le temps pour cela, il y a du boulot qui vous attend! Allez en piste pour cette nuit! Prêtes, les putes? Alors au boulot, le temps c'est de l'argent!!! La pipe, c'est 50 euros. La chatte, c'est 100 euros. Le cul, c'est 150 euros. La totale, c'est 200. Le tarif de groupe c'est 300. Et tiens, toi, la petite écolière, une sucette pour appâter le client! »

Sweet Pussy et N°1 marchèrent quelques mètres dans un couloir. Sweet Pussy se sentait stupide à tenir sa sucette en marchant dans ce couloir. Elles arrivèrent devant de petites chambres avec une fenêtre qui donnait sur la rue. Un tabouret pivotant et une barre en inox étaient placés devant la fenêtre. Le volet était, pour l'instant fermé. Un lit deux places se trouvait dans le coin à droite de la porte d'entrée de la chambre. Un lavabo avec des serviettes, une boîte de mouchoirs et une poubelle se trouvait au pied du lit. Les murs étaient d'un rouge criard. Des écailles de peinture étaient apparentes dans un coin près du plafond. Le sol était recouvert d'un revêtement plastique gris.

« Toi, Sweet Pussy, ce sera ta chambre. N°1, tu prends celle d'à côté. »

« Oui Maîtresse. » dirent en cœur les deux esclaves.

Sweet Pussy entra dans sa chambre. Elle se positionna sur le tabouret et tira sur le rideau rouge. Elle avait vue sur la petite ruelle piétonne. Des centaines de mecs passaient et regardaient les vitrines. Sweet Pussy repensait à son week-end avec Manu. Ils avaient marché dans ces rues du Red Light District et regardaient les filles dans les vitrines en pensant au métier qu'elles faisaient. Maintenant c'était elle qui était dans cette vitrine, tapant contre la vitre pour que le client vienne. Elle devait écarter les jambes pour mettre en haleine le client, elle montrait ses gros seins. Elle tournait la tête pour que sa tresse virevolte dans les airs. Elle mettait son doigt dans la bouche pour un simulacre de fellation et suçait de temps en temps la sucette en montrant bien sa langue piercée. Un client s'arrêta devant sa vitrine. Elle tapa au carreau et lui fit signe de venir à l'intérieur. L'homme demanda par signe le tarif. Sweet Pussy montra fit un signe avec sa main gauche en tendant ses doigts et de son autre main pour signifier la pipe. C'était 50 Euros. L'homme hésita. Sweet Pussy sortit alors sa langue et lui montra ses piercings. Elle prit sa courte jupe dans ses mains et la leva pour montrer son sexe piercé. L'homme leva le pouce.

Elle lui fit signe de passer sur le côté et ferma le rideau pour signifier aux badauds qu'elle était occupée. Il pénétra dans la chambre et déposa les 50 euros dans la corbeille à l'entrée. Sweet Pussy se mit à genoux et dégrafa le pantalon de son client. Elle prit un préservatif dont elle déchira le blister dans ses dents et le mit entre ses lèvres pour le poser sur le sexe de l'homme. Elle goba le sexe pour couvrir la bite de l'homme. Ravi de voir la pute lui couvrir le sexe d'un préservatif, sa bite durcit encore plus fort. Sweet Pussy suça la bite de son client. Il éjacula dans un cri de satisfaction. Sweet Pussy sentit le préservatif se remplir et la bite se ramollir dans la bouche. Elle tira le préservatif avec ses doigts en pressant le sexe pour extirper les dernières gouttes de sa jouissance. Elle prit le préservatif et le jeta dans la poubelle. L'homme remit son pantalon et sortit sans un regard pour la pute.

La Maîtresse de la maison entra dans la chambre.

« Eh bien, tu ne perds pas de temps toi! Déjà un client, tu fais fort. Pour les filles de passage, on a une tradition ici. Les préservatifs ne se jettent pas dans la poubelle mais s'accrochent sur ce tableau. »

Elle montrait un tableau sur lequel étaient fixés de petits crochets en rangs d'oignons par dizaine. Sweet Pussy alla dans la poubelle et reprit le préservatif de son client pour l'accrocher sur le tableau au clou N°1. Sweet Pussy regardait le tableau et le nombre de crochets.

« Ce n'est pas l'heure de rêver! Il y a encore du monde qui attend tes faveurs! Et ajuste ton Maquillage! »

La Maîtresse entraînait déjà Sweet Pussy vers son tabouret. Lorsque Sweet Pussy fut installée, la Maîtresse de la maison close sortit de la chambre. Sweet Pussy retoucha son maquillage et rouvrit son rideau. Il y avait encore plus de monde que tout à l'heure et les visiteurs ou les curieux se marchaient presque dessus pour circuler en ville. Sweet Pussy regardaient les gens, dans une très grande majorité des hommes passaient dans la rue. Elle lécha sans trop d'envie sa sucette. Trois jeunes hommes s'arrêtèrent devant sa vitrine, regardant avec envie cette petite écolière. Ils lui demandèrent son tarif. Sweet Pussy indiqua avec ses mains les trois dizaines. Les trois hommes firent un signe de tête disant que le tarif était cher mais elle montra sa langue en léchant sa sucette et releva de sa main gauche sa jupe pour montrer sa chatte annelée. Les trois hommes se regardèrent et discutèrent le bout de gras. Après une ou deux minutes, l'un d'entre eux leva le pouce pour dire ok et Sweet Pussy leur demanda de passer sur le côté en baissant son rideau. Les trois hommes entrèrent dans la chambre. Sweet Pussy ferma la porte derrière eux.

« C'est trois cents. » Dit Sweet Pussy.

« Tiens voilà ton salaire, maintenant on en veut pour notre argent. »

«Sweet Pussy se déshabilla lentement devant les trois hommes. L'un d'entre eux se frottait le menton et souriait de plaisir. Les trois hommes ôtèrent leurs vêtements.

Maître Alexandre vint chercher Sweet Pussy à 05h00 du matin. Elle était prête ; elle n'avait eu que le temps de se doucher ; elle attendait nue, avec son collier métallique autour du cou, dans sa chambre. Maître Alexandre entra avec une cape sous le bras.

« Prête Sweet Pussy? Mets tes bottes noires! »

« Oui Maître. »

Sweet Pussy chaussa ses bottes. Maître Alexandre recouvrit le corps de Sweet Pussy et attacha une chaîne à son collier. La cape en latex mauve arrivait à mi-cuisse. Elle referma les boutons pour couvrir son corps. Le Maître voulut l'en empêcher mais il retint son geste.

« Où allons-nous Maître Alexandre. »

« Tu n'as pas à poser de question. Tu me suis, point. »

Ils sortirent de la ruelle pour se rendre dans Oudezijds Voorburgwal, le 4x4 les y attendait. Le véhicule démarra. Sweet Pussy suivait la route d'un regard distrait et s'assoupit quelque peu. Maître Alexandre la réveilla lorsqu'ils furent arrivés. Lorsque Sweet Pussy descendit du véhicule, elle vit le panneau d'entrée : Wellness klinik. Elle stoppa nette sa marche. Maître Alexandre tira sur la chaîne pour la faire avancer.

« Pitié Maître, qu'est-ce qu'on fait ici, Qu'est-ce que vous allez encore me faire? «

« Tu vas avoir des seins comme N°1. Et pour cela, il faut que tu passes une nouvelle fois sur le billard. »

« Je vous en prie, Maître. Ils sont déjà assez gros, non? » dit Sweet Pussy en ouvrant sa cape pour lui montrer ses seins.

« Pas la peine de m'amadouer, ton rendez-vous est prévu. Tu vas être la jumelle de N°1. Entre! » Insista Maître Alexandre.

Maître Alexandre entra dans la clinique, il tenait en laisse Sweet Pussy et se dirigea directement dans le bureau du Professeur Van Ribien. La standardiste les vit entrer et passer sans un mot devant la réception. Celle-ci fut surprise par l'accoutrement de Sweet Pussy mais reprit ses esprits et héla les deux « envahisseurs ».

Maître Alexandre leva le bras et fit signe de la main tout en disant :

« J'ai rendez-vous avec le Professeur Van Ribien. Pas de problème. »

Maître Alexandre et Sweet Pussy entrèrent dans le bureau du Professeur. Sweet Pussy resta debout.

« Là! Pas bouger. »

Maître Alexandre serra la main du Professeur et discutèrent quelques instants. Maître Alexandre montra quelques photos de ce qu'il désirait en matière de poitrine pour sa soumise. Maître Alexandre sortit une liasse de billets de 500 euros. Sweet Pussy comptait dans sa tête en même temps que son Maître les mettait sur la table, 7000 euros si elle n'avait pas commis d'erreur. Le professeur mit la liasse de billets dans un tiroir de son bureau et se leva. Il prit au passage quelques photos dans sa main et se présenta devant Sweet Pussy. Maitre Alexandre détacha la boucle de ceinture qui maintenait la cape fermée sur le corps de l'esclave. La cape tomba et Sweet Pussy se retrouva nue, en bottes, devant le professeur. Celui-ci vit les seins déjà proéminents de l'esclave et tendit le bras pour comparer les seins sur les photos et ceux de Sweet Pussy. Le professeur soupesa les seins de Sweet Pussy avec son autre main.

« Bon, Ok Alexandre. Je m'en occupe. Mais après son opération, il lui faudra beaucoup de repos. »

Le Professeur appuya sur son interphone et une infirmière vint chercher Sweet Pussy. Le Professeur se leva et serra la main de Maître Alexandre pour se rendre en salle d'opération.

Sweet Pussy était déjà sur la table d'opération. Elle regimbait mais l'infirmière lui demanda gentiment de se calmer. Elle lui posa un catheter et la solution anesthésiante se répandit par le bras. Sweet Pussy fermait à peine les yeux lorsqu'elle vit le professeur entrer dans la salle. Elle se réveilla quelques heures plus tard dans une chambre. Maître Alexandre était à ses côtés.

« Alors, on revient parmi les vivants. »

« Ohhh, où sommes-nous et j'ai mal Maître. »

« Oui, je sais. Tu pourras sortir ce soir et nous irons rejoindre ta sœur jumelle. »

Sweet Pussy vit que les draps étaient fortement relevés, elle ne voyait pas le bout du lit. Elle voulut baisser le drap pour voir ce qu'on lui avait fait mais Maître Alexandre intervint et l'empêcha de bouger.

« Pourquoi j'ai aussi mal dans la poitrine, Maître? » dit Sweet Pussy.

« Ne bouge pas, tu as subi une grosse intervention pour tes seins. »

Maître Alexandre sortit de la chambre et prit son portable pour organiser le retour de Sweet Pussy. A 19h00, une infirmière conduisit Sweet Pussy à l'entrée de la clinique en fauteuil roulant. Les irrégularités du sol envoyaient une douleur dans la poitrine de Sweet Pussy encore groggy par l'anesthésie et les calmants. L'infirmière l'aida à monter dans le 4x4 et lui demanda de s'assoir au milieu pour mettre la ceinture de sécurité ventrale.

Le grand blond et Maître Alexandre montèrent dans le véhicule.

« Chez Maître Tumba. » dit Maître Alexandre.

Sweet Pussy ne comprit pas toute la phrase de Maître Alexandre. Elle somnolait et ne tarda pas à se tomber dans les bras de Morphée grâce au ronronnement du moteur. Le crissement des roues sur les gravillons et l'arrêt du véhicule réveillèrent Sweet Pussy. Elle ouvrit les yeux sur une magnifique demeure éclairée de manière indirecte par des projecteurs. Maître Alexandre l'aida à descendre du véhicule et la porte d'entrée s'ouvrit à leur arrivée. Une jeune femme blonde vint leur ouvrir. Elle était habillée d'un uniforme de soubrette qui lui couvrait à peine les fesses et laissait ses seins à la vue de tout le monde. Sophie était son nom. Sweet Pussy, requinquée après un sommeil réparateur de plusieurs heures, vit que ses fesses portaient des stries bien rouges, signe d'une correction récente. Des piercings ornaient son visage. Un collier métallique ornait son cou. Deux chaînes partaient de son collier pour relier les anneaux de ses seins, les chaînes étant courtes, ses seins étaient tirés vers le haut. Les convenances d'accueil faites par une révérence et un baiser sur la main droite de Maître Alexandre, les visiteurs entrèrent et furent enfin accueillis par Maître Tumba.

Sweet Pussy eut un mouvement de recul lorsqu'elle vit le Maître des lieux. Elle se rappelait la terrible séance au kit kat club de Tournai.

« Ne t'inquiète Sweet Pussy, rien ne t'arrivera, tu es ici en convalescence, pour le moment! » dit Maître Tumba le sourire aux lèvres.

N°1 arriva derrière Maître Tumba. Le regard de Sweet Pussy s'illumina à son apparition. N°1 voulait prendre dans ses bras sa compagne mais Maître Alexandre la stoppa du bras dans son élan.

« Oui, désolé Maître, j'oubliais son opération. »

« Tu les verras lundi matin. Tu pourras comparer avec les tiens! Sweet Pussy, dans ta chambre. N°1, tu l'accompagnes et tu prends soin d'elle pendant le week-end! Vous êtes ici jusqu'à samedi prochain. Moi je repars au château.»

« Oui, Maître. » fit N°1.

Le week-end, Sweet Pussy le passa dans la chambre en compagnie de N°1. Elle était aux petits soins pour Sweet Pussy, la relevant lorsqu'elle désirait boire, l'allongeant lors que le sommeil la gagnait. La télévision était allumée toute la journée avec des films SM diffusés en boucle afin qu'elle ne perde pas de vue la raison pour laquelle elles se trouvaient dans cette maison mais aussi aller dans les clubs. Sweet Pussy eut droit à de vrais repas vitaminés pour la cicatrisation et surtout pour reprendre des forces.

Après la collation du lundi matin, Maître Tumba emmena N°1 et Sweet Pussy dans son donjon.

« Je vais vous présenter ma dernière acquisition. »

Maître Tumba quitta le donjon pendant que les deux esclaves s'installèrent dans des sièges plus que confortables placés au centre d'une pièce voutée. Les plafonds et les murs étaient en pierre. Des barreaux aux fenêtres empêchaient toute sortie. Sur les murs, il y avait pléthore d'objet pour infliger de bonnes corrections : Des fouets, des cravaches, des canes. Sur une étagère, des dizaines de godes étaient rangés du plus petit au plus grand en diamètre. Il y avait un dressing avec des dizaines de tenues latex ou des harnais de toute sorte. Au milieu de la pièce, il y avait une colonne en pierre sur laquelle était fixée une croix de Saint André et juste devant une chaise métallique identique à celle sur laquelle s'était souvent retrouvée assise Sweet Pussy au château. Elle eut d'ailleurs un frisson dans le dos lorsqu'elle vit celle-ci. Du plafond, pendait une barre de fer assez épaisse de laquelle étaient fixées deux chaînes avec des bracelets métalliques à leur bout. Juste à l'aplomb de celles-ci, au sol, deux chaînes traînaient sur le sol. Deux bracelets les terminaient.