Julie Glisse Dans La Soumission

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Le lendemain Louis fit sa valise et partit pour le travail. La journée fut pénible si bien que Louis remettait en question sa décision d'hier. À la fin de la journée il avait abdiqué. Julie eut un saut d'humeur quand elle vit la voiture de Louis dans l'entrée. Julie eut un léger sourire quand elle vit Louis à genoux avec collier au cou. Louis : Pardon maitresse je regrette ma conduite, je ne recommencerai plus. Julie : Tu joues avec ta chance, je te donne une dernière chance mais c'est la dernière.

Louis : Merci maitresse, s.v.p. n'en parlé pas à Bill. Julie : Tu veux dire à notre Maître. Louis : Oui à notre Maître. Julie : Je vais voir comment tu te comportes.

Suzie était en prière dans la chapelle du couvent quand la mère supérieur vint la chercher. M.s: Suzie suivez moi, je besoin de vous parler. Suzie suivit la mère supérieur jusqu'à son bureau. Elle avait déjà fait le parcours vers son bureau il n'y avait pas si longtemps et était toute moite au souvenir de cette journée là. M.s : Alors Suzie vous vous plaisez dans notre congrégation.

Suzie : Ho oui ma mère, beaucoup. M.s : Suzie si je vous ai fait venir ici ce n'est pas pour vous punir, un soulagement baigné d'une certaine déception lui traversa l'esprit, c'est que bientôt plusieurs sœurs vont devoir nous quitter du à leurs âges avancés et nous avons besoin d'une remplaçante pour prendre en charge les jeunes filles qui arrivent chez nous.

M.s : Nous considérons que malgré vos dix huit ans à peine atteint, vous avez le sens des responsabilités et tous les atouts pour ce poste et la congrégation mise sur la jeunesse, après tout je suis moi même en charge de ce couvent alors que je n'ai que 32 ans.

M.S : Cependant vous devez prononcer vos vœux avant d'être en poste. Suzie : Oh ma mère je suis prêtes à les prononcer tout de suite. M.s : Je suis sûr que oui, mais cela aura lieu dans 3 mois, mais avant vous devez passer ces derniers mois dans le monde auprès de votre famille afin de d'être sûr que vous avez bien la vocation. Ici vous êtes protégée de tout et vous ne pouvez pas faire un choix avec diligence. Vous devez connaître le monde extérieur, afin de devenir un aide aguerrie pour ces jeunes novices qu'on recueille.

Suzie : Mais ma mère. M.s : Y a pas de mais, la décision est prise demain sœur Brigitte va te reconduire chez toi, aujourd'hui tu es libérée de tes taches afin de te préparer et faire ta valise. Suzie : Bien ma mère je vais appeler à la maison pour les aviser de ma venue. M.s : Pourquoi ne pas leurs faire une surprise à la place. Suzie : Merci ma mère c'est une bonne idée.

Suzie toute excitée marchait dans le sombre corridor du couvent menant à sa chambre. Dans 3 mois elle serait sœur et pourrait enfin quitter sa soutane blanche avec cordelière en laine pour toute ceinture et revêtir l'uniforme noir des Sœurs de la Vierge Marie. Suzie était heureuse de pouvoir revoir sa sœur Léa, sa mère et Louis l'ami de sa mère. Elle aimait bien Louis, il était toujours si gentil avec elle mais avait du mal à comprendre la relation entre sa mère et lui, ils étaient passablement différents.

Vendredi matin, Louis venait de terminer son petit déjeuner quand Julie l'interpella : Aujourd'hui tu restes à la maison, tu feras le ménage et t'assureras de faire les commissions et préparer le souper et n'omet pas la bière préférée de Bill. Tu n'as pas oublié qu'il vient ce soir? Louis : Comment pourrais-je oublié ça, tu ne cesses pas de me le rappeler, mais je dois aller au travail, j'ai une rencontre avec le grand patron. Julie : Appelle le et dis lui que tu es malade, que tu as attrapé un virus et ne veux pas contaminer tout le bureau. Louis : Mais. Julie : Chutt, je ne veux pas de discutions et n'oublie de mettre ton petit ensemble blanc, Bill adore le blanc.

Louis appréhendait la soirée mais devenu sous la menace complètement servile, il exécuta les ordres de sa maitresse. Louis s'appliquait à passer l'aspirateur pour plaire à Julie. Suzie appuya de nouveau sur la sonnette mais n'obtenant aucune réponse, elle tourna la poignée de porte et celle-ci s'ouvrit n'étant pas barrée. Le seul son perceptible dans la maison était celui de la balayeuse, Suzie comprit pourquoi on ne lui avait pas répondu.

Suzie eut un moment de faiblesse quand elle aperçut Louis en petit déshabillé blanc. Elle se retourna offensée d'avoir été témoin d'une telle situation. Louis à la vue de Suzie, rougissant de la tête aux pieds se cacha tant bien que mal derrière un divan. Louis : Désolé Suzie que tu me vois dans cette tenue mais que fais-tu ici? Suzie : Plus tard mais dis-moi avant que fais-tu habillé de la sorte? Louis : Les choses ont bien changé depuis la dernière fois que tu es venue. Suzie : Je vois, cela mérite une bonne explication.

Louis : Oui mais avant peux-tu me passer le téléphone que je puisse appeler ta mère. Suzie : Tient voici. Louis signala le numéro de Julie. Julie : Allo Louis : c'est moi Julie Julie : On dit maitresse quand tu t'adresses à moi. Louis : Maitresse ta fille est là. Julie : Pi, ce n'est pas la première fois que Léa te voit en petite tenue. Louis : Ce n'est pas Léa, c'est Suzie. Julie : Quoi, qu'est-ce qu'elle fait à la maison? Louis : Je ne sais pas encore, je t'appelais pour avoir la permission de me changer. Julie : Mais oui tu peux, juste une minute je dois parler à Bill : Bill c'est Louis au bout du fil, il me dit que la plus jeune de mes filles est à la maison alors on doit annuler pour ce soir. Bill : Il n'en est pas question, elle va apprendre à connaître cette mauviette. Julie : Bien Maître mais il me demande la permission de se changer. Bill : Non il reste comme il est, dit lui que nous arriveront plus tôt.

Julie : Louis Bill dit que tu dois rester habillé comme tu es, on va arriver plus tôt. Louis : Bien maitresse. Louis venait à peine de raccrocher quand Suzie lui demanda : C'est quoi cette histoire de maitresse, dis moi ce qui se passe ici. Suzie fut estomaquée devant les explications que lui donna Louis.

Suzie : Je vais aller porter ma valise dans ma chambre, je reviens tout de suite et on va en discuter. Suzie fut surprise de voir que l'on avait repeint sa chambre en rose et refait la décoration en une chambre de petite fille.

Pendant ce temps Louis avait reprit ses activités pour terminer avant l'arrivé des ses maitres. Suzie n'en croyait pas ses yeux et avait hâte de voir sa mère pour discuter avec elle de tout ça. Rougissante elle tentait d'éviter de jeter un regard vers Louis mais le phénomène l'intriguait si bien que lorsque Bill et sa mère arriva, le trouble s'était déjà installé dans ses pensées.

Suzie s'élança dans les bras de sa mère mais eut un moment de faiblesse quand elle vit Bill qui suivait. Louis avait omit de lui dire qu'il était noir. Quand Bill lui serra la main elle n'eut qu'une pensée, elle serrait la main du diable. Son petit corps frissonna à cette pensée. Bill souriait car ce petit détail n'avait pas échappé aux yeux du prédateur qu'il était. Avant le souper Suzie expliqua la raison de sa venue surprise et tout au long de son récit elle ne pouvait cacher son malaise devant la soumission de Louis envers Bill et sa mère.

Suzie sauta de joies quand elle vit Léa arriver avec Ben. Après une longue étreinte elle fut surprise de voir Léa aller embrasser Bill d'une façon aussi désinvolte même avant de dire bonjour à sa mère et ce devant son propre petit ami. Son effarement se continua quand Ben l'embrassa en la serrant dans ses bras. Au souper les explications fusèrent de toutes parts si bien que Suzie se demanda qu'est-ce qu'elle allait bien pouvoir faire pour pallier à la situation. Bill décida qu'un matelas serait installé à l'extérieur de la chambre pour Louis. Ainsi sa chambre était devenu celle de Louis pensa-t-elle.

La soirée se passait doucement jusqu'au moment Suzie entendit Bill dire : C'est l'heure Julie. Elle fut sidérée quand Julie accrocha une laisse au collier de Louis et le força à la suivre à quatre pattes et monter au deuxième étage. Louis fut forcé de se pencher sur le pied du lit et commença à paniquer quand Julie lui lia les mains et les pieds au lit. Quelques liens supplémentaires et il fut bientôt dans l'impossibilité de bouger, le cul relevé dans les airs.

Julie retourna au salon : Maître il est prêt. Bill : Bon ne le faisant pas attendre pour rien. Bill fit un signe de tête à Ben et Léa qui montèrent dans leur chambre. Suzie épuisée par cette journée chargée en émotions suivit sa mère et Bill dans les escaliers. Elle vit Ben et Léa ressortir de la chambre de sa mère en disant : Bonne soirée Louis. Voulant en faire tout autant elle s'arrêta nette dans l'encadrement quand elle vit dans le miroir de la commode Louis ficelé sa culotte abaissée et le cul exposé.

Bill et sa mère lui souhaitèrent une bonne nuit. Troublée elle s'engouffra dans sa chambre, chapelet à la main elle tenta de s'endormir. Mais comment dormir après une journée aussi bouleversante pour une jeune fille qui venait de vivre 3 ans de quiétude au couvent. Voilà maintenant que sa sœur commençait ses litanies. Léa : OH! OH! OHHHHHHHHHHHHHHHH! OH MON DIEU! OHHHHHHHHHHHHHHHHH! Ben n'arrête pas Mmmmmmmmmm. Je jouiiiiiiiiiiis Encooooooorrrrreeeeee Haaaaaaa. Je viiiiiieeeeens.

Pendant ce temps Bill prodiguait à Louis son enseignement : Quand on te donne un ordre tu vas apprendre à t'exécuter immédiatement, tu as choisi de rester tu dois être dressé immédiatement et je vais le faire avec grand plaisir. Louis vit Bill retirer sa ceinture et la déposer sous ses yeux. Bill se déshabilla complètement, prit son caleçon et l'enfonça dans la bouche de Louis. Bill : Je ne voudrais que tous t'entendent crier.

Quand Bill reprit sa ceinture Louis serra les fesses et se prépara au pire.

Les premiers coups résonnèrent dans la chambre. Louis : OUCH! OUCH! Ouuuuufff OOOOOOOOOOOOOOOOOOH. WHAP! WHAP! WHAP! WHAP! Léa jouissait et à chaque fois qu'elle entendait un WHAP! Elle criait OOOOOOOOO Ouiiiiiiiiiiiii plus forrrrrt. Ben lui redoublait d'ardeur et la pilonnait de plus belle, Mmmmmmmmmmmmmm. Je viiiiiiiiiiiieeeeeeeeeeeeeeeeeennnnns.

Bill lui poursuivait sa leçon. SMACK! SMACK! SMACK! SMACK! SMACK! SMACK! SMACK! SMACK! Louis : Aïe, aïe, aïe! Urh! Aïe!, Suzie était troublé par cette luxure qu'elle ne connaissait pas. Bill : Si tu te conduis bien la semaine prochaine je te permettrai de rester pour apprendre comment on baise une femme mais pour ce soir tu sors de la chambre.

Au bout d'un moment Suzie entendit Louis se coucher en pleure sur sa couverte dans le corridor. Julie : Merci Maître de lui avoir donné la leçon qu'il méritait, je pense qu'il ne causera plus d'ennuies. Excitée et pour le remercié Julie goba le membre de son maitre et commença une fellation comme elle n'avait pas fait depuis des lunes. Mmmmmmmmmmm.

Au bout d'une demi-heure Bill s'installa à l'entrée de la chatte de Julie et le bal commença. Julie : OH! OHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH! OH MON DIEU! OHHHHHHHHHHHHHHHHH! Mmmmmmmmmmm. OH ouuuuuuiiiiiiiiiiiii, je jouis! OW! OW! OW! OW! OW! OW!

Suzie sentit son corps réagir aux murmures qui traversaient les cloisons de sa chambre. Une odeur qu'elle découvrait pour la première fois lui montait aux narines, elle mit plusieurs minutes avant de remarquer que cette odeur provenait de sous ses couvertures. Elle fut tentée de glisser sa main dans sa culotte trempée mais elle résista. Comme elle l'avait fait à l'occasion dans le noir de sa chambre au couvent, elle serra les cuisses produisant une pression sur son clitoris et lentement la sensation s'amplifia, l'amenant indubitablement vers le plaisir : Oooooo! Repentante de s'être laissée aller, elle promit à Dieu d'expulser ce démon hors de chez elle, puis sombra dans un sommeil agité.

Le lendemain Suzie se réveilla tôt et croisa Louis étendu par terre, offusquée, elle s'empressa d'appeler la mère supérieur pour lui raconter les événements et demander la permission de retourner au couvent. La mère supérieur lui expliqua qu'elle devait affronter cette épreuve afin de fortifier sa foi. De plus elle lui exhorta de faire tout qu'il fallait pour ramener tout le monde dans le droit chemin. Suzie la remercia et lui promit de faire tout son possible pour ramener les enseignements de Dieu dans sa maison.

Elle le savait, la tâche serait dure mais elle réussirait. Le samedi et le dimanche furent consacrés à prendre contact avec ce diable qui habitait chez elle. Bill était agacé par l'insistance de Suzie à lui parler de Dieu pendant que tout son être aurait bien aimé lui soulevé sa soutane et lui faire adorer autre chose. Déroutée quand il lui dit qu'il retournait chez lui pendant la semaine, elle s'enhardit et suggéra à Bill qu'il passe la voir dans la semaine pour qu'il puisse discuter. Fatigué, Bill accepta de venir la voir mais à la condition que cela reste entre eux. Confiante, Suzie consentit à la demande.

Bill partit, Julie se montra plus modérée mais avisa Louis que ce n'était que partie remise le temps que Suzie était là. Suzie passa enfin une nuit moins agitée. Bill avisa le bureau et Julie qu'il devrait s'absenter quelques fois dans les prochains jours. Julie était contente qu'il y ait relâche le temps que Léa retourne au couvent. Ben et Léa consentirent à être plus discrets pour un temps.

Bill rendit visite à Suzie pendant la semaine comme promit mais le vendredi il commençait en avoir marre de cette jouvencelle et de sa chasteté. Il décida qu'il prendrait les choses en mains. Bill décida qu'il valait mieux annuler sa venue à la maison pour la fin de semaine. Louis respira un peu mieux et pu coucher dans la chambre des maitres mais au pied du lit. Suzie se réjouit de la nouvelle constatant que ses paroles avaient porté fruit.

La semaine suivant Bill se montra bon joueur et accepta même de rentrer dans une église avec Suzie. Bill du faire plusieurs concessions, il n'avait jamais eu autant de difficultés devant une femelle. Devant le bon déroulement de leurs rencontres Suzie était confiante de parvenir à ses fins. Bill expliqua à Suzie qu'il pourrait être avantageux pour les deux de profiter de la fin semaine loin de sa famille pour en apprendre un peu plus l'un sur l'autre.

Le vendredi matin Bill augmenta la pression et lui dit: Voilà 3 semaines que nous nous voyons et que tu me parles de ta foi mais sans jamais chercher à t'ouvrir à notre monde, tu restes bien à l'abri derrière ta soutane sans goûter à rien de ce que ce monde peut offrir alors je ne vois là aucune force de ta foi si elle n'est jamais défiée.

Suzie réalisa que Bill avait raison, elle devait se jeter à l'eau si elle voulait mener à bien sa mission. Suzie : Alors que veux tu que je fasse pour te persuader. Bill : Pour notre fin de semaine ensemble, je veux que tu sois habillé comme les jeunes filles de notre monde, nous allons aller chez une amie qui tient boutique et je vais t'acheter quelques vêtements plus confortables. Suzie : Je suis d'accord, quand veux-tu aller magasiner?

Bill : Maintenant, je ne vois pas l'utilité de perdre du temps, il est tôt dans la journée et nous avons beaucoup de choses à faire.

Bill entra dans la boutique suivit de Suzie. Quand Mme Rosaline les vit entrer, elle n'eut qu'une seul pensée (voilà une brebis qui va être sacrifiée) mais le plus important elle servirait à faire son avant midi. Suzie passa d'essayage en essayage et devint assez vite mal à l'aise devant les choix de Bill qui favorisaient des vêtements de plus en plus sexy. Sa honte augmenta quand ils passèrent dans la section de lingerie personnelle. Suzie devint écarlate quand Mme.Rosaline dit : Mon cher Bill vous allez l'adorer dans cet ensemble. Bill : Vendu alors, ajoutez-les avec le reste.

Bill : Ha oui j'oubliais elle a besoin d'un costume de bain, alors s.v.p. respectez son jeune âge. Mme.Rosaline : J'ai exactement ce qu'il lui faut mais je vous suggère qu'elle soit bien entretenue. Rosaline fin un clin d'œil à Bill et lui remit le costume, Suzie tenta bien de voir mais Bill la gronda et lui administra une tape sur les fesses.

Suzie : Oww! Le souvenir d'une sensation remonta à la surface, un jour qu'elle fut surprise à fumer une cigarette au couvent, elle avait reçu la bastonnade par la mère supérieur et c'est là qu'en se tortillant et en serrant les fesses et les cuisses qu'elle avait découvert les jouissances que son clitoris pouvait lui procurer.

Bill : Voilà se qui arrive aux jeunes filles indisciplinées. Le temps d'un instant, Suzie perçut la sensation qui lui manquait le plus du couvent, celle que produisait la tutelle de la mère supérieur. Quand ils furent sortis de la boutique Suzie demanda à Bill : Mme. Rosaline, qu'a-t-elle voulu dire par entretenue? Bill : Bon allons chez moi d'abord pour te changer et je te l'expliquerai, je demeure juste sur le boulevard en arrière. Bill : Tu vas laisser tes nouveaux vêtements chez moi afin de t'éviter les questions de ta mère. Suzie fut soulagé par sa proposition.

Quand elle entra dans la maison de Bill, un parfum lui monta au nez. Suzie crut percevoir le même bouquet qui émergeait de sous ses couvertures certains soirs. La maison était fantastique mais la décoration lui rappelait qu'elle était entrée dans l'âtre du diable. La fin justifie les moyens se disait-elle.

Bill : Bon tu vas prendre une douche pendant que je te choisis une tenue plus appropriée pour la journée.

Suzie remarqua par la fenêtre de la chambre de bain, la superbe piscine entourée d'une haie qui décorait la cour arrière, c'était donc pour ça l'achat du costume de bain. Quand sa douche fut terminée elle entendit un cognement à la porte. Suzie : Oui Bill : Ouvre la porte un peu que je te passe tes vêtements. De l'autre coté de la porte Suzie dans sa nudité absolue voyait cette grosse main noire lui tendre du linge morceaux par morceaux. Suzie : Bill il me manque un morceau très important. Un trouble l'envahit quand elle vit dans l'embrasure de la porte, une culotte string entourant le long membre de Bill, le gland encré dans l'entre-jambe et qu'elle devrait mettre sa main sur celui-ci pour en prendre possession. Devant son hésitation Bill lui dit : Ta foi est donc si faible!

Les choses allaient beaucoup trop loin mais il l'avait suivit dans son monde pendant 3 semaines et elle lui avait promit de le suivre à son tour, c'était bien peu pour la conversion d'un pécheur. Lentement elle abaissa sa main sur le phallus, la chaleur de celui-ci toucha les nerfs de sa main qui se referma aussitôt sur le monstrueux pénis. Paralysée, Suzie eut le temps de sentir la veine principale qui remontait le long du membre jusqu'à l'énorme gland avant de pourvoir glisser sa petite menotte et retirer la culotte, Ce fut comme un éclair, la chaleur passa de sa main à son bras puis se répandit dans tout son corps.

Suzie demanda à Dieu de lui donner la force de combattre ce diable dont on lui avait tant parlé mais dont tous avaient omit de l'à mettre en garde contre ce sceptre de feux qu'il détenait et qui lui donnait toute sa puissance.

Tremblante Suzie mit une jupe courte pour la première fois de sa vie puis se glissa dans sa mini-culotte, non sans avoir du au préalable essuyer sa chatte de nouveau, Déterminée à poursuivre son œuvre, elle ouvrit la porte et affronta le regard de Bill qui lui demanda : Humm ma chère tu es à croquer, alors pas trop ébranlée? Toujours d'accord et décider à connaître ce monde auquel tu veux renoncer? Suzie : Absolument, Dieu est avec moi et m'aide à affronter les épreuves que votre monde met sur ma route, je n'en serai que plus forte.

Bill : Alors tu dois commencer par une obéissance totale à mes directives. Suzie : Ce ne sont pas elles qui vont ébranler mes croyances. Bill: Nous verrons! Nous verrons!

Avant de partir Suzie eut le temps de remarquer les photos sur le mur, le thème était le même pour toutes, des femmes attachées subissaient des sévices sexuelles, une en autre laissait à penser que sa mère était une des victimes mais elle ne pu vérifier ses doutes car Bill ouvrit la porte et l'invita à sortir.