Jeux Pervers - 02 (Libérée)

BÊTA PUBLIQUE

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Et, là, Hervé ne peut plus se retenir. Il jouit en elle avec force. Puis, après quelques minutes de récupération, il se lance dans un profond nettoyage, s'aidant de ses doigts pour faire ressortir son propre sperme qu'il avale goulûment. C'est alors qu'il dit :

« Ton amant t'en a mis une bonne dose, le salaud ! »

Cette phrase suffit à déclencher l'orgasme de Laura. Lorsqu'il prend fin, elle se dit qu'elle a sa réponse. Elle connaît les envies de son mari, enfin, presque toutes, mais ne sont-elles que des fantasmes? Laura ne peut se débarrasser du doute.

Le week-end suivant, Hervé a l'intention de proposer à Laura une soirée dansante. Il n'en ont pas eu l'occasion depuis bien longtemps. Pour sa femme, qui adore ça, il n'est qu'un piètre danseur pour l'accompagner. Ce n'est toutefois pas un problème car il espère bien qu'elle trouvera un ou plusieurs beaux cavaliers. C'est d'ailleurs pour ça qu'il veut l'emmener en boîte de nuit ce soir.

En attendant le retour de Laura, qui est partie faire quelques courses, Hervé reprend l'écriture de son roman. Il a en tête quelque épisode un peu croustillant dans une relation fils-mère bien proche de l'inceste. Après seulement quelques mots écrits, Hervé s'arrête, imaginant que sa femme est peut-être déjà tombée sur ce texte en fouillant sur son ordinateur. Aller plus loin dans ce récit pourrait créer un gros problème dans leur couple si Laura revenait poursuivre sa lecture.

Il sent bien que sa femme serait très choquée par ce qu'il a envie d'écrire, elle qui a eu si longtemps un rôle de mère attentive. Elle aurait certainement une réaction de rejet face à ce fantasme malsain qui le pousse à écrire cela. Il pourrait crypter son document, mais il ne sait pas trop comment faire. De plus, si Laura se trouvait devant un document maintenant protégé, elle saurait forcément qu'il a quelque chose à cacher. Il décide, à contre cœur, d'abandonner pour l'instant l'écriture de son roman.

A son retour, Laura applaudit des deux mains à la proposition de sortie de son mari. Ils doivent d'abord dîner dans un restaurant étoilé, avant d'aller danser. En l'absence de sa femme, Hervé avait choisi la tenue qui lui plairait pour elle, ce soir. Sur le lit, Laura trouve une jupe pas trop courte mais bien fendue sur le côté, un chemisier au décolleté profond, un soutien-gorge conçu pour bien resserrer les seins, une petite culotte assortie, un porte-jarretelles et des bas.

« Cette tenue est très bien pour ce dîner dans un grand restaurant, mon chéri, mais pas vraiment adaptée à une soirée dansante », lui dit sa femme.

« Tu ne vas tout de même pas revenir ici pour te changer ! De plus, pour danser, je t'emmène dans un club très chic, alors ...? »

« Bon, c'est comme tu voudras », répond Laura qui ne veut pas gâcher cette belle soirée par une dispute.

Laura commence par mettre soutien-gorge et slip avant de prendre le porte-jarretelles. Hervé l'arrête d'un geste, disant :

« Ce n'est pas comme ça, ma chérie ! »

« Parce que, toi, tu y connais quelque chose? », lui répond Laura avec un sourire moqueur.

Hervé se lance dans une explication :

« Et bien oui ! Si tu mets d'abord le porte-jarretelles, tu pourras retirer facilement ta petite culotte si nécessaire. »

« C'est vrai », lui accorde Laura qui pense à un possible petit besoin pressant, alors que son mari a, lui, d'autres idées.

Lorsque Laura est prête pour leur soirée, son mari la complimente :

« Tu es magnifique, ma chérie ! Tu vas faire tourner les têtes de tous les hommes, ce soir. »

C'est une Laura aguicheuse qui lui répond :

« Oui, au moins ça c'est sûr ! »

Le dîner est parfait et Laura s'y sent bien à sa place dans cette tenue. Elle n'a pu empêcher son mari d'ouvrir un bouton de trop de son chemisier, mais elle a fini par s'habituer aux regards des maître d'hôtel, sommelier et serveurs. Voyant que son mari avait remarqué cela et qu'il paraissait en être heureux, Laura n'a pas corrigé sa tenue. Bien au contraire, elle a pris des attitudes permettant la plus belle vue possible. Au cours du repas, Laura s'excuse, devant faire un petit tour aux toilettes. A ce moment, son mari la retient un instant par le bras, en murmurant :

« Là-bas, tu vas retirer ta petite culotte et tu me la donneras en revenant ».

« Oh non ! », lui répond sa femme sur un ton qui veut dire « oh, oui ! »

A son retour, Laura lui tend la petite culotte bien humide qu'elle a chiffonnée dans sa main pour plus de discrétion. Hervé l'enfourne rapidement dans la poche de sa veste.

Lorsqu'ils quittent le restaurant, puis montent en voiture pour se rendre au night-club, Laura n'a toujours pas récupéré son sous-vêtement. Pendant le trajet, elle dit à son mari :

« N'aurais-tu pas oublié de me rendre quelque chose? »

« Non. C'est confisqué jusqu'à demain ! », répond-il.

Hervé dépose sa femme devant le night-club en lui disant :

« Rentre seule, ma chérie. Je vais garer la voiture et je te rejoins après. »

Laura n'est pas certaine que son mari fasse ça uniquement pour lui éviter une petite marche. Aurait-il envie de la voir se faire draguer? Elle n'en est pas sûre non plus, mais elle se dit qu'elle verra bien comment les choses évolueront. Elle s'installe dans une petite alcôve libre, au bord de la piste de danse. Il n'y a que deux places et ce sera donc parfait pour elle et son mari.

A sa grande surprise, un homme d'une cinquantaine d'années lui demande la permission de s'installer à côté d'elle. Sans même lui laisser le temps de répondre, l'inconnu lui dit qu'il va lui chercher un verre au bar et lui demande ce qu'elle veut. Tout a été si vite qu'elle ne voit pas comment refuser sans dire qu'elle attend son mari. Elle choisit un whisky que l'homme s'empresse de lui apporter. Il se présente : Marc, homme d'affaires. Laura répond en donnant son vrai prénom. Ils échangent des banalités pendant un long moment, Laura sirotant lentement son whisky. L'homme la déshabille du regard et ses yeux plongent souvent dans son décolleté qui est assez provoquant. Laura pense qu'elle aurait dû refermer ce bouton de trop, ouvert par son mari pendant le dîner. Elle l'avait oublié et ce ne serait pas discret de le faire maintenant. Ce n'est pas grave, puisque son mari va bientôt la rejoindre. Elle pourra alors quitter cet homme après l'avoir remercié.

Quand Hervé arrive dans le night-club, Laura est surprise de voir qu'il ne se dirige pas vers elle. Il s'installe au bar, adossé au comptoir, ce qui lui permet de bien voir sa femme, qu'elle soit dans l'alcôve ou sur la piste de danse, où l'homme l'entraîne maintenant. Laura ne peut refuser. Leur danse assez rythmée et ne permet pas de contact rapproché. Cependant Laura, qui adore danser, se déhanche d'un façon très sensuelle, presque provocante. C'est peut-être ce que son mari souhaite, se dit-elle, puisqu'il est resté loin d'elle, sans pourtant la quitter des yeux. Peut-être a-t-il envie de la voir flirter un peu? Laura ne se retient pas dans ses mouvements rapides. Elle fait bien bouger sa poitrine qui déborde un peu du chemisier trop ouvert. Elle amplifie les pas de sa danse pour bien découvrir une jambe par la grande fente de sa jupe. Un regard d'envie de son partenaire lui montre que celui-ci a vu la courte apparition d'une jarretelle. Laura sait bien que ce type de sous-vêtement excite énormément les hommes. Celui-ci ne fait pas exception. Il la fait maintenant tourner rapidement avec l'espoir de découvrir encore cet endroit caché. Pour mieux la voir ainsi, il garde un peu de distance. C'est heureux, se dit-elle, car un contact rapproché pourrait lui faire sentir qu'elle est nue sous sa jupe.

Dans un pas de danse qui se termine en la serrant de près, l'homme pose un baiser furtif sur les lèvres de Laura, qui se dégage tout de suite, prétextant un besoin d'aller aux toilettes. Elle cherche ainsi à lui échapper car elle n'est pas certaine que ce soit du goût de son mari. L'autre raison est que cet homme ne lui plaît pas trop, non pas qu'il soit désagréable, mais il est surtout très moche. C'est le hasard et non son choix qui l'a faite tomber sur lui. Elle ne sait comment s'en séparer sans le vexer.

A son retour des toilettes, Laura passe le long du bar où il y a beaucoup de monde. Elle trouve un endroit dans la foule où elle peut se tenir un instant à côté de son mari, pour pouvoir échanger avec lui dans un murmure :

« Que veux-tu que je fasse? », lui dit-elle.

« Que tu vives ta vie, ma chérie. Moi, je te regarde ... avec beaucoup de plaisir », lui répond Hervé.

« Ce n'est pas très clair. Par exemple ... quelles sont ... mes limites? », questionne Laura, avant d'entendre son mari répondre tout bas :

« Tu as carte blanche, mon amour. Allez, dépêche-toi de le rejoindre. »

Pour Laura, tout va très vite, trop vite. Elle n' a pas pu dire à son mari que l'homme ne lui plaisait pas. Aussi Hervé ne comprendrait-il pas qu'elle n'aille pas rejoindre cet homme dans l'alcôve où il l'attend maintenant. Lorsqu'elle se dirige vers son partenaire, Laura se sent comme forcée de faire ça par son mari, pour sa seule excitation de voyeur. De plus, c'est avec un un homme qui ne lui plaît pas. Ces deux points lui font penser que c'est ce que doit vivre une prostituée, obligée par son souteneur et n'ayant pas le choix du client. Curieusement, cette pensée, qui devrait la révolter, l'excite si elle en croît l'humidité nouvelle de sa chatte. Dès qu'elle rejoint l'homme dans l'alcôve, Laura tempère cette impression en se disant qu'il ne s'agit que d'un flirt, rien de plus.

Son partenaire a renouvelé les consommations et, même si c'est loin de lui faire risquer l'ivresse, un peu d'alcool devrait faciliter la suite, se dit-elle. L'homme passe un bras autour des épaules de Laura et l'attire vers lui pour l'embrasser à pleine bouche. Il n'est pas mauvais dans ce domaine et Laura répond à son baiser. Elle remarque qu'en fermant les yeux cela lui est très supportable. Une main se glisse par la fente de sa jupe pour toucher sa peau nue au-dessus des bas. Craignant que l'homme découvre sa nudité, Laura cherche à faire diversion en disant :

« Encore une petite danse, peut-être? J'aime beaucoup ce morceau. »

Sur la piste, l'homme ne suit le rythme de la musique qu'un moment. Il finit par se coller contre Laura, la serrant fortement par la taille. Ils ne font plus qu'onduler sur place au mépris de toute synchronisation musicale. Laura sent une dure bosse presser contre son pubis et s'étonne de la taille de la chose. Malgré la laideur de son partenaire, elle ne peut résister à l'envie d'aller un peu plus loin, aussi est-ce elle qui prend l'initiative d'embrasser fougueusement son vis à vis, cherchant sa langue de la sienne. Elle garde même les yeux ouverts en se disant que le visage n'est pas tout. Un coup d'œil furtif à son mari, lui permet de voir un petit geste du pouce qui montre bien son intérêt.

L'homme glisse une main entre eux pour passer sous le chemisier et caresser un sein. Les doigts finissent même leur chemin sous le soutien-gorge pour pincer un téton tendu. Dans cette position, leurs corps sont moins proches, aussi Laura ose-t-elle poser une main sur la bosse du pantalon et serrer, bouger, serrer de nouveau, comme pour mesurer l'engin que lui offre son partenaire d'un soir.

Cette 'familiarité' autorise l'homme à faire passer sa main par la fente de la jupe pour caresser une fesse nue avant de revenir entre eux pour se poser sur une chatte toute aussi dénudée. L'homme replie deux doigts qui glissent alors facilement dans un vagin trempé. Laura espère que personne n'a remarqué, en dehors de son mari, qui évidemment n'a rien perdu de la scène. Un regard vers lui permet à Laura de se sentir autorisée à aller plus loin, alors qu'elle ne s'était jamais faite doigter la chatte en public.

Sa main vient se poser de nouveau sur la bosse qui l'impressionne tant et fait coulisser la fermeture de la braguette. Ses doigts touchent immédiatement un gros membre bien dur que rien ne cache, car l'homme ne porte pas de sous-vêtement. Au moment où elle va faire sortir le sexe, Laura se rend compte que ce serait aller trop loin dans ces circonstances, aussi abandonne-t-elle son partenaire sur la piste de danse pour retourner aux toilettes. C'est à un besoin urgent qu'elle doit faire face à cet endroit ... mais pas à celui auquel on pense. Il lui faut simplement se donner la jouissance qui s'impose après des préliminaires aussi poussés. Laura se fouille la vagin comme une folle jusqu'à l'orgasme. Elle espère que personne n'aura entendu son cri de plaisir.

Laura, à son retour, passe de nouveau près du bar, sans se faire voir de son partenaire. Comme il y a maintenant moins de monde, Hervé s'est placé dans un recoin sombre qu'elle trouve tout de suite. Ils vont pouvoir échanger en toute discrétion :

- Laura : « Ne suis-je pas allée trop loin? »

- Hervé : « Non ! C'était très excitant. J'espère que tu vas faire bien plus. »

- Laura : « C'est que cet homme ne me plaît pas beaucoup. Il est très moche. J'ai fait cela pour toi, mon chéri. »

- Hervé : « Merci, mon amour. J'apprécie ce que tu fais pour moi. Mais ... cet homme n'aurait-il vraiment rien pour lui? »

- Laura : « Euh ... si ... enfin ... à un certain endroit ... »

- Hervé : « Je vois. Mieux que moi? »

- Laura : « Il n'y pas de comparaison possible, mon chéri. Tu ne joues pas dans la même catégorie ! »

- Hervé : « Es-tu prête à faire encore plus pour ton mari? »

- Laura : « Ici, ce n'est pas possible. »

- Hervé : « Tu as tes clés de la maison dans ton sac, alors fais-toi reconduire chez nous. Je serai caché dans le dressing de notre chambre. »

- Laura : « Est-ce vraiment ce que tu veux? »

- Hervé : « Oui, mon amour. J'en rêve depuis si longtemps. »

- Laura : « Te rends-tu compte que je vais te faire cocu, mon petit mari? »

- Hervé : « Je sais. Profite bien du plaisir d'une vraie femme libre, ma coquine ... et ... laisse bien la lumière allumée, évidemment »

Dès le départ d'Hervé, Laura rejoint son partenaire d'un soir dans l'alcôve. Elle doit laisser à son mari le temps d'arriver chez eux et de s'installer à son poste de voyeur. Laura, assise à côté de l'homme qui l'embrasse avec ardeur, passe sa main par la braguette et caresse ce gros sexe, qu'elle n'ose pas sortir de son logement, de peur de faire scandale. Cependant, elle ne s'inquiète curieusement pas de son chemiser dont l'homme vient d'écarter les pans, ni du soutien-gorge qu'il a détaché pour laisser ses seins libres, exposés à la vue de tous. Elle se laisse longuement caresser, appréciant le mouvement des doigts qui vrillent ses tétons. C'est finalement Laura qui, craignant que les choses ne dérapent trop, donne le signal du départ.

Dans la voiture, Laura n'hésite pas à faire sortir par la braguette ce gros sexe qui lui fait tant envie. Elle le branle bien et le gland lui humidifie le creux de la main. Faisant cela, elle se sent salope et, au lieu d'en avoir honte, elle en est excitée. De son côté, son partenaire, qui a une voiture automatique, ne conduit que de la main gauche, la droite étant bien occupée à fouiller ce vagin offert, Laura s'étant laissée glisser sur le siège pour lui faciliter l'accès. Je suis vraiment une cochonne, se dit-elle. Laura, en guidant l'homme vers son domicile, lui fait prendre des chemins détournés, peut-être pour laisser le temps à son mari voyeur de bien s'installer ou peut-être simplement pour profiter de cette exhibition qui l'excite à chaque fois qu'ils se trouvent arrêtés à un feu à côté d'une autre voiture.

Lorsqu'ils arrivent dans la chambre conjugale, Laura remarque tout de suite la porte entre-baillée du dressing. C'est face à celle-ci qu'elle se place pour se mettre intégralement nue, accompagnant son déshabillage d'un clin d'œil complice à son mari qu'elle ne peut voir. L'éclairage de la chambre est assez doux, aussi Laura, pour dépasser les attentes de son voyeur, allume la puissante lampe posée sur sa table de nuit, celle qui lui sert pour ses lectures. Elles sera ainsi comme sous les projecteurs et cette pensée concourt à amplifier son excitation.

Marc, qui s'est mis nu également, la rejoint au milieu du lit. Dans la violente lumière, la laideur de son partenaire est encore plus évidente, mais, au lieu de la rebuter, cela excite Laura. Elle se dit que son mari, qui la regarde, doit penser qu'elle est la reine des salopes pour s'offrir à un tel homme. Peut-être son mari se dit-il plutôt qu'elle a choisi cet homme pour sa grosse bite. A cette pensée, Laura se demande si le sexe de son mari, qu'elle croyait de taille moyenne, n'est finalement pas un tout petit modèle. Il faudra qu'elle aille souvent voir ailleurs pour avoir la réponse à sa question.

Après ce qui s'est passé au night-club et dans la voiture, les préliminaires ne sont plus nécessaires. Laura le montre en écartant largement les cuisses, s'offrant d'une façon presque obscène. Elle va se faire prendre sans retenir son plaisir. Ses gémissements seront un cadeau supplémentaire pour son mari voyeur. Elle n'a pas besoin de se forcer car, l'homme lui relève les jambes, les posant sur ses épaules et l'enfile d'un mouvement violent, qui lui arrache un cri de douleur et de plaisir mêlés.

Laura ne s'est jamais sentie si dilatée. De plus, son partenaire la pistonne dans une cadence infernale. Chaque mouvement en avant force sur le col de son utérus. Jamais elle n'avait senti ça avec son mari. C'est autre chose que ce qu'elle a connu. Chaque contact du gros gland au fond de son vagin la fait crier. Elle voudrait lui dire de se calmer, d'arrêter, mais seuls cris et gémissements sortent de sa bouche, car, si sa raison lui dit de faire ainsi, sa libido lui commande le contraire.

L'homme met fin à son coït infernal en se plaquant contre elle, le sexe planté jusqu'au fond, le gland collé sur l'ouverture du col de l'utérus. Laura sent alors des giclées de sperme juste à cet endroit. Elles lui inondent complètement le vagin, mais Laura a l'impression que certaines jaillissent directement à l'intérieur du col. Elle se félicite d'être sous contraception, mais elle pense alors que, avec la pilule, le risque de fécondation est encore de 1 %. Laura pourrait avoir la malchance d'être dans ce cas, et c'est en y pensant qu'elle sent sa jouissance rejoindre celle de son partenaire.

Dans sa cachette, Hervé, qui filmait avec son smartphone par l'entrebâillement de la porte, a éjaculé sans même se toucher.

Le partenaire de Laura, après un tel effort, est près de s'endormir. Laura, ne sachant pas comment son mari va réagir devant son comportement qui est peut-être allé bien trop loin, veut maintenant retrouver son époux. Elle secoue alors Marc, en disant :

« Mon mari devrait rentrer de son voyage au petit matin. Il vaudrait mieux que tu partes maintenant. »

Tout en se rhabillant, l'homme échange son obéissance contre la promesse qu'ils se reverront. Laura, qui aurait préféré une aventure d'un seul soir, se sent obligée d'accepter et ils échangent leurs numéros de téléphone.

Dès le départ de Marc, Hervé sort de sa cachette et rejoint sa femme sur le lit. Laura le déshabille fiévreusement. Elle pense que lui faire l'amour maintenant est un moyen de se faire pardonner. Alors qu'elle est rassasiée de plaisir physique, Laura a envie d'un acte d'amour, de tendresse. Elle prend dans sa main le petit sexe de son mari comme s'il s'agissait d'un oiseau blessé. Laura, qui pensait le sentir prendre vigueur entre ses doigts, s'étonne de sa mollesse, ce qui donne lieu à leur discussion :

- Laura : « Oh ! Cela ne t'a pas excité ! J'ai encore plus honte de ce que je viens de faire... »

- Hervé : « Au contraire, ma chérie ! Tu étais tellement excitante que ... je n'ai pas pu me retenir. »