Jeanne la bénévole (Suite et fin)

Informations sur Récit
Jeanne MARTIN bénévole d'une paroisse fait du porte à porte.
3.8k mots
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Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 08/16/2016
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Avertissement : Cette histoire contient des situations de contraintes et de gang-bang. Si vous n'aimez pas, ne perdez pas votre temps à lire. Merci :)

Petit Résumé : Jeanne MARTIN bénévole d'une paroisse fait du porte à porte après la messe afin de venir en aide aux gens. Dans une maison elle tombe sur quatre jeunes hommes qui vont s'amuser avec elle. L'histoire reprend avec notre héroïne à genoux au milieu du salon, recouverte du sperme des garçons.

Jacques applaudit :

- Dites quelque chose à la caméra Madame MARTIN!

La voix sombre dans sa tête résonna :

- Allez Salope! Tu es leur sac à sperme maintenant. Tu ne peux pas avoir de regrets. Donne-toi en spectacle.

Alors elle dit :

- Mon Dieu, Je n'ai jamais vu autant de sperme. Vous les jeunes, vous savez comment faire avec une femme. Et en plus il est délicieux.

Elle cligna de l'œil devant la caméra, enleva le sperme de ses joues pour le mettre dans sa bouche. Pierre tapa la main de Thierry. Elle savait que leurs bites auraient besoin de récupérer avant de pouvoir servir à nouveau.

- Voulez- vous que je joue avec ma chatte les garçons?

Des cris d'approbation éclatèrent dans la pièce. Jeanne se mit sur me dos et enleva sa jupe. Toutefois, elle garda ses talons hauts. Ayant parfois espionné son mari sur internet, elle savait qu'une fille nue avec talons excitait les hommes. Elle pensa qu'elle n'avait jamais fait cela avec son mari.

Thierry poussa Pierre :

- Vas chercher ton vibromasseur!

Jeanne sourit :

- Oh les garçons, vous avez un jouet pour moi? Je suis contente car je ne peux pas attendre que vous bandiez à nouveau.

Pierre revint avec l'objet et en lui tendant il dit :

- Il suffit de le poser où vous voulez.

Elle alluma l'interrupteur, sentant immédiatement la puissance de l'objet. Le bourdonnement fut intimidant au début. Mais le fait que les garçons attendent, impatients, elle fut excitée à l'idée de l'essayer.

Jeanne frotta le vibromasseur contre sa cuisse intérieure. Un picotement envahit ses jambes. Elle leva les yeux vers la caméra. Son corps brûlant la culpabilisait. Son mari était sûrement encore à la maison, regardant le match alors qu'elle se donnait à des jeunes de l'âge de sa fille. Jeanne ne pouvait imaginer que sa fille Amandine, qui devait être sexuellement active maintenant, puisse avoir le même comportement. La pensée de son enfant entouré de queues excitées la terrifiait.

Le vibro atteint finalement les lèvres de la chatte. Elle frissonna violemment à ce contact. Son dos voûté et ses hanches jetées en avant, Jeanne ferma les yeux et laissa échapper un profond gémissement de satisfaction.

L'un des garçons dit :

- oh merde! Regardez cette mère de famille excitée!

- je vous ai dit que ces salopes de catholiques sont les plus chaudes!

Jeanne reconnut la voix de Pierre.

- Vous vous rappelez de la fille qui est venue il y a quelques mois. Elle s'appelait Agathe. Elle venait nous faire son discours pour la paroisse, tout comme cette salope là.

Jeanne savait qu'ils parlaient d'Agathe TOURNIER, c'était son nom complet. Une belle jeune femme intelligente comme sa fille.

- Nous l'avons baisée tant que nous pouvions. Et vous vous rappelez qu'elle est revenue le mois dernier, enceinte.

- Oui, Oui, nous l'avons complètement défoncée à nouveau.

Jeanne les écoutait. Elle ne pouvait croire que c'était ces garçons qui avaient couchés avec Agathe. Cette fille avait un avenir prometteur. C'était une jolie petite blonde qui n'avait eu que des bonnes notes depuis le cours élémentaire. Jeanne imaginait son visage strié du sperme des garçons comme le sien l'était. Elle imaginait des fils de sperme entrelacés dans les nattes blondes, sa chatte serrée sur leur bite jusqu'à ce qu'elle déborde de foutre. D'ailleurs elle était sûrement vierge avant.

Et puis elle était revenue, engrossée par un des garçons. Et elle reviendrait encore. C'était une vraie salope avec des désirs inassouvis tout comme Jeanne allongée sur le plancher. Voilà pourquoi elle n'avait rien dit à personne. Elle ne pouvait supporter d'avouer à ses parents quelle salope elle était.

- Mais cette pute là est différente. Regardez comme elle joue avec son sexe. Elle n'est pas timide comme Agathe. Rappelez-vous qu'il a fallu presque une heure d'amusement avant que la fille ne cède. Cela a pris cinq minutes pour cette salope de mère de famille.

- HA HA Thierry! Il s'agit là d'une femme âgée. Bien sûr elle se conduit comme une salope. Mais je crois qu'elle n'a jamais eu auparavant ce genre d'attention sexuelle. Elle rêvait probablement de quatre jeunes bites la fourrant mais elle ne connaissait pas. Dites-moi Madame MARTIN, à quel point voulez-vous nos queues en ce moment?

Le vibromasseur était toujours pressé contre la chatte de Jeanne. Elle en tremblait tout en écoutant leur conversation. Elle les voulait en elle. Elle ne pouvait plus attendre et elle ne voulait pas que sucer des bites. Elle supplia :

- S'il vous plaît! Prenez-moi en...... sandwich? Est-ce bien le terme?

Elle voulait sentir leur sperme chaud à l'intérieur d'elle. Elle était encore fertile mais ce n'était pas un sujet de préoccupation à l'instant. Si elle tombait enceinte, elle réglerait ce problème plus tard. Elle prenait le risque. Elle demanda aux garçons :

- Je veux vous sentir éjaculer en moi les garçons! Pas de préservatifs.

Si Agathe pouvait le faire alors elle aussi. Cette petite pute n'avait probablement pas su les assouvir convenablement. Jeanne ne pouvait s'empêcher de ressentir de la jalousie. Pour quelle raison était-elle jalouse? Elle n'était pas la première à passer dans leurs mains. Son esprit divaguait. Avec un vibromasseur sur sa chatte humide, le visage recouvert de sperme, elle était plus excitée qu'elle ne l'avait jamais été.

- Ne vous inquiétez pas Madame MARTIN, nous allons bien nous occuper de vous. Nous vous montrerons des choses que vous ne connaissez sûrement pas

- Elle veut que nous la baisions comme la petite Agathe, les gars! Nous avons une nouvelle salope! Qu'en dit votre mari Madame MARTIN?

Entendant la question mais faisant semblant de l'ignorer elle murmura :

- Qui ça?

- Votre mari assis dans votre maison qui n'est pas au courant que vous êtes une sale traînée, allongée dans un salon miteux en train de vous masturber devant quatre jeunes.

Jeanne poussa plus fort le vibromasseur contre son sexe, essayant d'ignorer les commentaires. Ses genoux tremblèrent et elle cria, les yeux révulsés, bouche ouverte.

Les garçons regardaient son orgasme. Elle se cambrait, ses jambes étranglant le vibro sur sa chatte.

- Dites Madame MARTIN? La prochaine fois que vous viendrez, pourrez-vous amener votre fille Amandine? Je vous laisserai utiliser ce jouet sur elle.

Ils se moquaient mais elle ne s'en souciait pas. Leurs commentaires ne la touchaient pas. Elle était une salope, leur salope. Cette pensée la fit frissonner alors qu'elle se remettait de son orgasme.

- Êtes-vous prêts les garçons? Baisez-moi s'il vous plaît.

Elle jeta le vibro vers eux. Pierre l'attrapa avec facilité, son membre en érection dans son autre main. Il sourit :

- Je veux être le premier dans cette chatte.

- Viens là salope! Commanda Bruno

Il se dirigea vers elle, l'attrapa par les cheveux violemment. Jeanne cria mais fut rapidement étouffée par la queue qu'il enfourna dans sa bouche. Puis il commença à se branler dedans. Elle leva ses yeux le regardant. Il ne souriait pas.

Elle sentit que l'on caressait son cul puis des doigts s'enfoncèrent dans son antre humide. Elle releva son fessier pour faciliter l'inconnu derrière elle. Un claque tomba sur ses fesses. Elle grogna mais garda son cul en l'air.

- Laisse la place Bruno!

La bite quitta sa bouche. Elle essaya de la ratt****r mais sans succès. Des mains puissantes saisirent ses hanches, d'autres ses bras. Elle fut soulevée et remise debout, penchée en avant. Jeanne enroula ses bras autour de la taille de l'homme devant elle. Puis elle avala le membre pendant devant ses yeux.

Enfin elle sentait une première queue frotter sa motte. Elle la taquinait, caressant de haut en bas sans la pénétrer. Elle cracha la bite de sa bouche et murmura :

- S'il vous plait...

Elle passa sa langue sur toute la longueur de la bite qu'elle venait de délaisser afin ne pas décevoir son propriétaire.

- Pourquoi est-tu si long Pierre? Demanda un de ses camarades.

- Je veux l'entendre supplier.

Il continua à frotter son membre contre elle, excitant sa chatte.

Jeanne cria :

- S'il vous plaît, baisez-moi! Enfoncez votre queue dans ma chatte, j'en ai besoin!

- Voilà exactement ce que je voulais entendre.

La verge de Pierre força son chemin dans le vagin de Jeanne. La bouche de la femme s'ouvrit, happant l'air. Sa chatte était beaucoup plus serrée qu'elle ne le pensait. Ou alors Pierre avait le plus gros sexe qu'elle n'ait jamais eu. Ses couilles tapèrent ses fesses avant qu'il ne recule puis pousse à nouveau. Les seins nus rebondirent violemment. Une main saisit sa tête et une bite força sa bouche. C'était la première fois que Jeanne avait deux pénis en elle à la fois. Elle adorait.

Les garçons criaient de joie pendant que deux des leurs la baisait. Des mains claquaient son cul nu. Le bassin de Jeanne accompagnait Pierre en rythme. Les coups devenaient plus rapides. Son vagin était brûlant d'excitation.

- Madame Martin, Votre chatte est fantastique! Cria Pierre.

A chaque poussée du jeune homme, elle pouvait le sentir la pénétrer de plus en plus à l'intérieur d'elle. Ses gémissements auraient été bruyants s'il n'y avait cette bite dans sa bouche. En rythme, les garçons la tiraient chacun de leur côté. Les doigts de Pierre étaient enfoncés dans ses fesses. Bruno la tenait par les cheveux. A chaque fois que Pierre poussait, lui tirait, sa queue touchant le fond de la gorge et ses couilles battant le menton.

Soudain, les doigts de Pierre serrèrent ses hanches. Elle sentit son sperme chaud se répandre en elle. Leurs fluides se mélangèrent et commencèrent à suinter hors d'elle.

Les deux garçons commutèrent. Pierre poussa sa verge toujours dressée dans la bouche de Jeanne pour se la faire nettoyer. Bruno se plaça derrière et la pénétra. Son sexe était moins gros que celui de son ami mais il prit un rythme régulier et rapide qui compensa.

- Zut Pierre! tu l'as distendue.

- Elle était aussi serrée que la petite Agathe. Je l'ai préparé pour vous les gars.

- Mon œil que tu l'as préparé. Tu sais très bien que nous les aimons tout aussi serré que toi.

Lorsque Pierre considéra que son membre fut assez propre, il repoussa la tête de la femme. Avide, Jacques pris sa place. Jeanne était heureuse de retrouver ce sexe dans sa bouche. De la sueur roulait sur son front, ainsi que sur son corps et du jus coulait de sa chatte le long de sa jambe.

Un pouce appuya sur son anus. Elle se tortilla pour essayer de l'arrêter mais finalement il pénétra son petit trou. Elle cria :

- AAHHHHHH

- Une bite dans son cul! réclama Jacques.

Elle n'avait jamais été sodomisée et ne le voulait pas. Cependant, dans son état présent, elle n'osa pas dire non aux garçons. Elle savait qu'ils n'auraient pas écouté de toute façon. Son mari avait voulu et elle avait toujours dit non. Mais son mari ne l'avait jamais utilisé comme ces jeunes. Le pouce est resté dans le cul jusqu'à ce que Bruno éjacule à l'intérieur d'elle. Ses genoux se dérobèrent lorsque le doigt sauta de son anus. Son corps trembla alors qu'elle eut son quatrième orgasme de la journée. Elle cracha la bite de jacques et s'effondra sur le sol, épuisée. Le sperme s'échappait de sa chatte.

Jeanne pouvait voir les garçons marcher autour d'elle. Ses yeux rencontrèrent ceux de Bruno au-dessus d'elle. De son membre tombaient des gouttes sur ses lunettes. Le garçon s'accroupit sur son visage et enfourna sa verge dans sa bouche, ses couilles reposant sur son menton. Elle était complétement bâillonnée mais elle aimait le goût du mélange de sperme et du jus de sa chatte. Un autre garçon avait repris le vibromasseur pour jouer avec son sexe. Elle ferma les yeux. Puis, sans qu'elle puisse réagir, la bite dans sa gorge gonfla et explosa, des jets de sperme chaud inondant sa gorge. Bruno grogna et jura tandis qu'il déchargea puis il soupira, détendu. Son engin était strié de rouge à lèvres et de filets de sperme blanc lorsqu'il le sortit.

Jeanne cracha un peu de sperme et sourit aux jeunes.

- Dis donc Bruno! Je ne comprendrais jamais comment tu as pu éjaculer deux fois en une minute dans cette chienne. Demanda Thierry.

- Je ne sais pas non plus. Mais ne vous inquiétez pas Madame Martin, vous aurez une autre ration.

Le vibromasseur bougeait de sa chatte à son cul. Si ça avait été un gode, elle l'aurait enfoncé en elle. Son jus mélangé au sperme descendait sur son trou du cul.

Jacques commanda :

- Mettons là sur le canapé les gars!

Ils la tirèrent vers le haut. Elle titubait comme une ivrogne, essayant de se tenir debout. Mais ses genoux étaient trop faibles pour la soutenir sur ses talons. Ils la jetèrent sur le canapé où elle se reposa le temps que quelqu'un s'intéresse à elle.

Jacques s'assis et la tira sur ses genoux. Il étendit ses jambes, elle pouvait enfin voir tout ce qui sortait de sa chatte. Le sperme couvrait ses cuisses et goutait sur les jambes sous elle. La queue de Jacques était rigide. Il prit du liquide pour lubrifier le cul de la femme. Elle couina lorsque le doigt entra. Il coulissa avec facilité même si Jeanne continuait à se plaindre.

- Du calme Madame MARTIN. Lorsque ma bite va vous pénétrer, alors vous aurez raison de crier. Elle est beaucoup plus grosse que mon doigt.

Il écarta les fesses de la mère de famille tout en la soulevant légèrement. Elle se laissa faire, trop fatiguée pour rés****r à quoi que ce soit d'autre. Il avait raison. Elle cria quand elle s'assit sur son membre. Elle eut l'impression d'être coupée en deux. Les larmes lui montèrent aux yeux alors que jacques ne montrait aucun relâchement. Il stoppa une fois pour lubrifier sa queue avec du sperme puis continua à la faire descendre.

- Non! s'il te plaît! Je ne peux pas Jacques! Elle est trop grosse pour moi!

Sa queue ne semblait pas finir. Mais elle rentra complétement. Jeanne fit de son mieux pour la serrer mais elle sentait que son cul était complétement dilaté. Voilà pourquoi elle ne voulait pas que son mari la prenne par là. Jacques reprit :

- Je suis flatté de savoir ce que vous pensez de mon attribut Madame MARTIN. Attendez que la douleur disparaisse et vous vous sentirez au septième ciel. Thierry, donne-lui quelque chose pour soulager la douleur.

Thierry sourit. Il laissa sa queue courir le long de sa chatte :

- Dites-moi Madame MARTIN, n'avez-vous envie de tout ça?

Jeanne acquiesça, alors que ses larmes continuaient à couler. Son cul était rempli et c'était désagréable. Mais elle oublia vite alors que Thierry l'enfila. Elle le regarda plonger sa bite tout au fond d'elle et la retirer couverte de filaments blancs collants. Ses mains tripotaient ses gros seins. Pierre avait retrouvé sa rigidité. Il se leva pour une autre fellation. Jeanne secoua la tête, elle avait la mâchoire endolorie. Mais Pierre ne voulut pas comprendre le message. Ses lèvres engloutirent la queue une fois de plus.

Dans son esprit, la voix sombre revint :

- Il y a trois bites en toi maintenant sale pute. Je parie que tu aimerais avoir un quatrième trou pour que Bruno puisse vous rejoindre. Il va devoir se contenter de tes mains....

Jeanne attrapa le membre de Bruno ainsi que ses couilles.

Finalement, Jacques avait assez assoupli son cul. Elle rebondit violemment sur sa queue, se seins se balançant de haut en bas alors que les autres garçons faisaient de leur mieux pour garder leurs engins dans les autres orifices. Son cul était engourdi. Elle ne contrôlait plus le bas de son corps. Puis elle prit conscience de l'éjaculation de Thierry dans sa chatte.

Ensuite, les trois jeunes alternèrent. Thierry remplit sa bouche, Bruno sa chatte et elle prit Pierre dans ses mains.

Jacques pilonnait son cul violemment. Bruno faisait la même chose à sa chatte. Jacques utilisa ses mains pour écarter plus largement les cuisses afin que Bruno puisse encore plus la pénétrer. Bientôt, ses trois trous furent remplis de sperme chaud. Thierry a déchargé dans sa bouche, Bruno dans sa chatte avant de finir sur sa poitrine. Et Jacques remplit son cul avant de la jeter. Elle atterrit sur le sol. Le liquide séminal suintait de son trou encore ouvert.

Pierre ne perdit pas de temps, il sauta sur elle et l'encula instantanément. Immédiatement il la bourra. Elle fit de son mieux pour tenir ses fesses ouvertes, écartant ses fesses pâles, l'acceptant au plus profond d'elle. Les autres garçons sortirent de la pièce pour aller se nettoyer.

Pierre avait certainement la plus grosse queue des quatre. Il semblait remplir tout l'espace de son derrière. Ses yeux fermés, elle mordit son pouce pour s'empêcher de couiner. Malgré son cul engourdi, elle pouvait sentir le sexe à l'intérieur d'elle.

Pierre la pilonner avec facilité maintenant. Son cul était encore serré mais le sperme de Jacques aidait le membre à coulisser. Le garçon savourait cet instant où sa jeune bite perforait le trou interdit de cette mère de famille.

- Je vais jouir Madame MARTIN! Je vais remplir ton cul de salope. Tu ne savais pas ce que tu étais vraiment vieille bigote. En fin de compte tu n'es qu'une autre de ces ménagères salopes accrocs au sexe.

Entendant ses railleries, elle se mit à pleurer. Mais il avait raison. C'était trop bien pour arrêter. Elle ne dirait pas à son mari qu'elle avait été violée et elle reviendrait. Et si elle n'obtenait pas satisfaction ici, elle irait ailleurs. Dans cette partie de la ville, elle trouvera facilement. Elle comprit pourquoi Agathe n'avait rien dit. Elle pourrait même sympathiser avec elle pour revenir.

Pierre poussa une dernière fois sa bite au fond du cul de Jeanne et dit :

- C'est pour toi Salope!

En même temps, son sexe gonfla et remplit le cul avec une décharge de liquide chaud, la troisième qu'il recevait de lui. Le jeune sortit son membre et finit d'éjaculer sur son dos. Au même moment, un autre orgasme la terrassa. Elle frissonna sous le poids de Pierre, ses hanches cognant le sol avec enthousiasme.

- Oh mon Dieu Pierre! cria-t-elle en extase.

Le garçon la laissa là, vautrée dans la fange. Sa tête reposait sur le sol et elle pouvait voir les brochures qu'elle avait apportés éparpillées tout autour d'elle. Elle leva son visage, une feuille collée sur sa joue. Le sperme avait séché dans ses cheveux mais elle était encore humide partout ailleurs.

Elle releva son corps endolori et réussit à garder l'équilibre sur ses talons. Elle ne vu ni ses vêtements ni les garçons. Elle erra jusqu'à la salle de bain. Elle vit une nouvelle femme dans le miroir. Son beau chignon était complétement défait et parsemé de longs brins blancs. Son rouge à lèvre barbouillait son visage. Des filaments blancs pendaient de ses lunettes sur ses joues. Des larmes séchées complétaient le tout. Elle rit : « je suis mignonne après tout ».

Ses seins aussi étaient couverts de sperme mais le pire c'était sa chatte. Elle dégoulinait, formant une flaque sur le sol. Son cul aussi, laissait le liquide couler le long de sa cuisse. Elle s'assit sur les toilettes pour uriner et nettoyer son sexe.

Jacques passa devant la et prit une photo d'elle.

- Comment c'était Madame MARTIN? Avez-vous passé un bon moment?

Elle hocha la tête.

- Les garçons, vous savez y faire avec les filles. Je ne sais même plus combien de fois j'ai joui.

- Votre mari ne peut pas vous satisfaire comme ça n'est-ce pas?

Elle pensa : « devrais-je laisser mon mari me faire cela, baiser mes trois trous? Il ne pourrait pas de toute façon. Et je n'ai plus envie qu'il m'approche »

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