Jeanne la bénévole

Informations sur Récit
Une mère de famille catholique fait du porte à porte.
3.7k mots
4.34
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6

Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 08/16/2016
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*

Jeanne MARTIN lissa sa jupe. En ce dimanche d'été, le soleil était brulant. Elle aurait préféré ne pas être en extérieur avec ce temps-là.

Mais il était de son devoir de bonne catholique de faire du porte à porte après la messe pour aider les gens. Aujourd'hui, trois portes lui avaient claquée au visage après qu'elle se soit présentée. Elle était nerveuse et découragée. Léa, sa seule amie à la paroisse lui avait recommandé de faire des gâteaux :

- Les gens sont plus aimables et plus réceptifs si vous leur offrez des gâteaux.

Mais, à la deuxième maison, le locataire lui avait arraché la boite de gâteaux avant même qu'elle ouvre la bouche.

Elle hésitait à aller frapper à une quatrième maison. Elle n'était pas douée pour le porte à porte. Elle aurait aimé que Léa soit là pour l'aider.

Alors qu'elle approchait de la maison voisine, Jeanne n'était pas à l'aise avec ses talons, sa jupe noire et son chemisier blanc. En partant de la maison ce matin, elle s'était habillée de façon stricte. Mais la chaleur torride l'avait obligée à retirer sa veste et à ouvrir quelques boutons de son chemisier, révélant plus de peau qu'elle n'aurait voulu. Naïve, elle ne se rendait pas compte que ses gros seins pales enfermés dans un petit-soutien-gorge étaient visibles et luisants de sueur. Sa jupe était un peu trop courte et elle collait ses jambes. Elle était à peine suffisante pour couvrir le haut de ses bas et les lignes de sa culotte étaient marquées sur ses fesses. Ses talons galbaient ses jambes. Avec ses lunettes et ses longs cheveux bruns tenus en chignon, elle était l'incarnation d'une femme d'affaire sexy.

- Je ferais mieux d'abandonner. Se dit-elle

Mais elle monta les marches de la maison. Des chiffres rouillés indiquaient « 45 » mais il y avait une marque qui montrait qu'il manquait un « 6 ».

- Je ne suis peut-être pas dans le bon quartier.

La paroisse avait divisé la ville pour ses bénévoles. Jeanne avait choisi un des quartiers dans les plus vieux où ses collègues ne voulaient pas aller. Elle était désolée que personne ne se soit inscrit pour l'accompagner, mais elle ne pouvait les blâmer. Le quartier était vieux et la population difficile d'approche.

D'ailleurs, ce quartier était évité par les autres bénévoles depuis qu'Agathe, une jeune fille de 18 ans, en été revenue enceinte. Ses parents affirmaient qu'elle avait été violée. Et bien qu'Agathe n'ait jamais raconté ce qui lui était arrivée, elle avait nié avoir été violée.

Personne n'était revenu dans le quartier depuis, Jeanne était la première depuis un an.

Elle frissonna en essayant d'imaginer ce qu'Agathe avait pu subir, surtout qu'elle avait le même âge que sa fille Amandine.

Quand elles étaient ensemble en public, les hommes de tous âges les observaient. Elle avait laissé sa fille à la maison ce matin alors qu'elle allait à la messe.

Elle aurait voulu que son mari soit plus pratiquant. Elle se sentirait plus confiante s'il était à ses côtés Mais, dès le début de leur relation, il lui avait fait comprendre que la religion ne l'intéressait pas. Elle aurait quand même bien aimé qu'il joue les gardes du corps....

Jeanne ajusta ses lunettes avant de frapper sur la porte. Elle attendit une minute mais personne ne vint.

- Je devrais abandonner. Murmura-t-elle

Avec ses yeux bleus, elle examina la maison. La peinture blanche s'effritait et les fenêtres étaient couvertes de draps. La peinture verte de la porte était défraichie. Le jardin était délaissé et les escaliers menant à la porte étaient abimés. Il était étonnant qu'elle ne se soit pas tordue la cheville en montant.

Elle frappa de nouveau, plus fort. Le soleil tapait dans son dos. Son front devenait collant et ses cheveux gras. Son mascara ne coulait pas encore mais elle s'inquiéta que bientôt il le fasse. Jeanne n'était pas beaucoup maquillée, juste assez pour être belle, un peu de blush rose sur les joues et un rouge à lèvres rouge.

Sa sueur n'abimerait pas son maquillage. Mais elle ne l'arrangerait pas.

Enfin elle entendit du mouvement de l'autre côté de la porte.

- Juste un instant. Dit un homme.

Les bruits continuèrent derrière la porte puis elle s'ouvrit en grinçant.

Un jeune homme s'avança rapidement déséquilibrant Jeanne alors que la porte se refermait. Il attrapa la femme pour lui éviter de tomber.

- Désolé Madame, mais ils stockent tellement de choses derrière la porte qu'elle est presque impossible à ouvrir. Que puis-je pour vous?

Jeanne se dégagea et se redressa. Elle remit ses lunettes en place et regarda le jeune homme de bas en haut. Il était torse nu et très beau. Sa poitrine et ses abdominaux semblaient sculptés. Il était seulement habillé d'un caleçon. Ses bras et ses jambes sortaient de la salle de musculation. Il portait une barbe d'un jour et des cheveux indisciplinés. Elle était sans voix.

- Oh vous êtes témoin de Jéhovah. Soupira-t-il en voyant les brochures sous le bras de la femme.

Jeanne corrigea :

- Non pas du tout, je suis juste bénévole à la paroisse catholique. Je suis ici pour aider.

Le jeune homme la regardait fixement. Ses yeux étaient intimidants. Jeanne détourna son regard et demanda :

- Pourrai-je vous parler un moment?

Le garçon se gratta la barbe naissante et dit :

- Pourquoi pas! je vais réveiller mes colocataires. Pierre aime bien les gens pieux. Voulez-vous entrer?

Il poussa la porte puis entra. Jeanne le suivit. Un empilage de cartons se trouvait derrière la porte qui se referma automatiquement. Il dit :

- Je m'appelle Thierry

- Oh je ne me suis même pas présentée, mon prénom est Jeanne.

Ils se serrèrent la main en échangeant des sourires. Elle le suivit jusqu'à une pièce faiblement éclairée qui semblait être la salle de séjour.

- Asseyez-vous, je vais chercher les autres.

Il la laissa prendre place sur un des trois canapés défraichis placés sur chaque côté avec un grand écran plat en face. Elle s'assit et attendit sur le moins déchiré en face de la porte et de la télé.

Elle entendit la voix du jeune homme à l'étage.

- Levez-vous, nous avons de la visite

Puis....

- Non, je m'en fous que vous mettiez un pantalon. Levez-vous juste.

Jeanne triait ses brochures. Les hommes descendirent l'escalier avec grand bruit. Thierry fut le premier à entrer, un grand sourire sur son visage. Il s'assit à côté d'elle. Il était suivi par un homme aussi musclé que lui, un autre complétement nu et aussi baraqué et un troisième enveloppé dans une couverture qui se jeta sur le canapé le plus proche. Les deux autres s'assirent sur le canapé restant.

Jeanne ne put s'empêcher de remarquer la bite de l'homme nu. Elle était beaucoup plus grande et grosse que celle de son mari.

Le jeune homme saisit son membre en rigolant et en la regardant. Elle détourna les yeux en rougissant. Les autres jeunes rirent avec lui.

Le garçon assis à côté d'elle dit :

- Tenez-vous les gars, c'est notre invitée! Elle est là pour nous parler de sa paroisse. Madame, le grand c'est Bruno, celui qui est nu c'est Pierre, l'autre c'est Jacques.

- Bonjour les garçons. Je suis Jeanne de la paroisse Notre-Dame de l'autre côté de la ville.

Thierry dit

- Oh nous connaissons une fille qui va à cette église.

Jeanne répondit avec enthousiasme.

- Vraiment? quel est son nom? je la connais surement.

- Oui, vous savez certainement qui est cette fille.

Thierry échangea un clin d'œil avec ses copains.

Jeanne les regarda échanger des sourires avant qu'ils ne s'intéressent de nouveau à elle. Elle aurait aimé comprendre le clin d'œil et avoir des réponses à ses questions. Mais avant qu'elle ne parle, Jacques dit :

- Mais je me souviens de vous, Madame MARTIN. Vous êtes la mère d'Amandine. J'étais à l'école avec elle. Vous vous souvenez de moi?

Jeanne regarda le garçon. Elle se souvenait de lui. Il était assis à côté d'elle pendant son année de première. Il aimait embêter sa fille. Amandine se plaignait mais Jeanne lui disait qu'il avait surement le béguin pour elle.

Elle hocha la tête

- Comment vont vos parents Jacques?

Il haussa les épaules.

- Je ne leur parle pas beaucoup mais je suppose qu'ils vont bien. Comment va Amandine?

- Elle vient de terminer sa 1ère année de fac. Mais vous, que faites-vous?

Jacques secoua la tête.

- J'ai toujours été nul donc voilà pourquoi je vis avec ces clochards.

Jeanne ne savait pas comment réagir alors elle ne dit rien. Du coin de l'œil, elle pouvait encore voir la bite molle de Pierre. Thierry avait étiré ses bras, celui de droite reposant juste au-dessus de son dos, sur le dossier du canapé.

Pierre demanda :

- Thierry! As-tu offert un verre à Madame Martin?

Son copain répondit :

- Où sont mes bonnes manières? Je vais aller chercher de l'eau, vous devez avoir soif après cette journée au soleil.

Pierre cligna de l'œil à son ami :

- Une femme d'église a toujours soif Thierry.

Jeanne ne compris pas le double sens de cette phrase mais elle vit les sourires sur les visages des garçons. Elle remercia Thierry quand il lui donna l'eau.

Depuis son canapé, Bruno demanda :

- Donc vous vouliez nous parler?

- Oui, j'ai des brochures à vous donner.

Jeanne tendit son verre à Thierry et se leva. En distribuant les brochures elle demanda :

- Est-ce que vous pensez venir à l'église un jour?

Les garçons répondirent en riant. Jeanne trébucha quand elle voulut revenir s'asseoir, ses documents s'éparpillant. Thierry voulut l'att****r alors qu'elle tombait la tête première sur ses genoux. Sa main saisit sa cuisse mais l'eau du verre éclaboussa son chemisier.

- Pardon

Thierry rigola.

- Il n'y a pas de mal.

Les yeux de Jeanne tombèrent sur l'entrejambe de Thierry. Un renflement était perceptible sous le caleçon. Le garçon vit son regard et l'aida à se redresser. Son soutien-gorge rose était maintenant bien visible sous son chemisier humide. Rougissante, elle s'assit à côté de Thierry. Elle espéra qu'il n'était pas trop évident que ses mamelons avaient durcis.

Mais Bruno l'avait remarqué.

- Vous pouvez enlever tout ça si vous êtes mal à l'aise.

Jeanne répondit :

- Je vais bien. Je disais donc.....

Pierre la coupa :

- Pour être honnête, je ne comprends pas l'église. Pourquoi y allez-vous Madame MARTIN?

- Euhhhh.....

- Est-ce pour vous habiller pour vos amis et vous sentir bien?

- Non, je m'habille comme ça la plupart du temps et je n'ai pas beaucoup d'amis à l'église.

Thierry dit à son copain :

- Détends-toi Pierre. Désolé, j'étais ironique lorsque j'ai dit que Pierre aimait les gens pieux.

Pierre se leva.

- Non non, j'aime bien les gens pieux. Surtout les salopes.

Il prit place sur l'accoudoir du canapé juste à côté de Jeanne, écartant les jambes et tenant son membre à quelques centimètres du visage de la femme. Bruno et Jacques roulèrent des yeux alors que ceux de Jeanne s'agrandirent.

Elle se leva en disant :

- Je crois que je devrais y aller.

Elle commença à se déplacer vers la sortie mais Bruno fut rapide. Il bondit de dessous sa couverture et la tira vers le bas sur son canapé. Accidentellement, la main de jeanne caressa la bite du garçon alors qu'elle tombait sur le divan.

- Les garçons.....

Elle essaya de reprendre son souffle. Elle vit Thierry et Jacques se lever de leur canapé. Le caleçon de Thierry était déjà sur le sol, sa bite en érection. Pierre et Bruno étaient assis de chaque côté d'elle, tenant ses bras. Thierry et jacques étaient en face d'elle, de grands sourires éclairant leurs visages.

- Ne vous inquiétez pas Madame MARTIN, nous savons comment bien traiter nos invités.

Thierry s'était mis à genoux devant elle. Il troussa la jupe, exposant ainsi la petite culotte de soie noire.

Jeanne cria :

- Que fais-tu?

Thierry lui sourit. Il mit son index sur le petit monticule sous la culotte. Il sentit que la chatte était déjà humide.

Jeanne essaya d'échapper à l'emprise des deux autres garçons et de fermer ses jambes. Mais ils la tenaient bien, jambes ouvertes.

Bruno commenta :

- Vous avez de beaux seins.

Son doigt fit sauter un bouton. Paniquée, la femme regarda les boutons sauter un par un. Elle voulait l'arrêter mais elle était paralysée.

- Vous ne devriez pas me faire ça les garçons. Je suis mariée. J'ai un mari.....

Pierre chuchota dans son oreille.

- Je suis sûr que ça ne dérangera pas Monsieur MARTIN de vous prêter.

Jeanne ferma les yeux. Thierry frottait ses doigts sur la culotte de soie. Il serait déjà à l'intérieur de sa chatte si le petit bout de tissu ne faisait barrage. Bruno et Pierre avait baissé le soutien-gorge et avait saisi un sein chacun. Ils les massaient. Elle ne savait pas où était Jacques mais elle se doutait qu'il préparait quelque chose.

Thierry la taquina :

- Vous êtes toute mouillée Madame MARTIN. Vous appréciez n'est-ce pas?

- S'il vous plait, arrêtez...

Jeanne gémit. Son corps la trahissait.

- J'ai un mari et une fille.

Les doigts de Thierry étaient merveilleux et pourtant ils n'avaient pas pénétré son intimité. Les deux autres garçons étaient occupés à malaxer ses seins. Ils ne tenaient plus ses bras.

Pierre pris sa main et la conduisit à sa queue. Il enroula ses doigts autour de son membre dressé. Puis il l'aida à la caresser. Elle ouvrit les yeux pour voir avec horreur comment elle le masturbait. Pierre desserra son étreinte sur sa main et sourit quand elle ne lâcha pas le membre.

Il rit.

- Je pense qu'elle aime ça les gars!

Jeanne ne fit pas attention au commentaire. Bruno avait conduit son autre main à son sexe. Les deux bites étaient beaucoup plus grandes que celle de son mari. Elles étaient déjà raides dans ses mains mais elles n'arrêtaient pas de grossir. Son cœur battait dans sa poitrine.

- Enlève sa culotte Thierry! Dit Jacques

Elle croisa le regard du jeune homme entre ses jambes. Elle réalisa qu'il attendait un signal d'elle. Il voulait savoir si elle était d'accord. Lentement, Jeanne hocha la tête négativement. Mais en fin de compte, Thierry ne sembla pas s'en soucier. Il tira la culotte vers le bas, révélant sa chatte humide. Elle avait une petite tâche sombre de poils pubiens qui commençaient à repousser sur le haut de sa chatte.

Jacques lui demanda :

- Depuis combien de temps n'avez-vous pas joui Madame MARTIN?

Elle n'entendit même pas la question. Thierry plongea sa langue profondément dans sa chatte. Elle Haleta et serra les deux bites. Puis, honteuse, elle eut un orgasme. Cela faisait deux ans qu'elle n'avait plus eu de rapport sexuelle et plus de quinze ans que son mari ne l'avait léché.

Pierre rigola :

- Je pense qu'elle aime ça Thierry.

Jeanna continuait à branler les deux bites alors que Thierry mangeait son sexe. Chaque fois que la langue touchait son clitoris, elle frissonnait de plaisir. Ce garçon n'était pas un amateur. Il agita sa langue et caressa son clitoris avec son pouce. Ses genoux se mirent à trembler. Son deuxième orgasme arriva. Elle cria :

- Continue s'il te plait!

- Souriez Madame MARTIN!

Il y eut un flash lumineux. Elle leva les yeux et vit Jacques avec son téléphone. Elle ne pourrait jamais nier ce qui se passait.

Jacques demanda :

- Est-ce que Monsieur Martin et Amandine savent que vous êtes ici?

Jeanne secoua la tête. Ils savaient qu'elle allait faire du porte à porte pour la paroisse. Elle se sentit coupable. Elle disait à son mari qu'elle faisait cela pour que les gens deviennent plus prudes. Elle était en train de trahir son mari comme son corps la trahissait elle.

Pierre lui pinça son mamelon. Elle haleta :

- Non, arrêtez.....

Il ne l'écouta pas et pris le téton dans sa bouche. Bruno fit de même de son côté. Les deux garçons suçaient ses seins tandis que Thierry léchait sa chatte. Elle était trempée, son fluide combiné avec la salive noyait son entrejambe.

Jacques tapota sur le dos de son ami :

- Je pense que ça suffit, il est temps pour elle de nous faire plaisir.

Thierry acquiesça. Les garçons la sortirent du canapé pour la mettre sur ses genoux. Pierre arracha le chemisier et le soutien-gorge. Les gros seins de Jeanne se balancèrent. Les jeunes regardèrent avidement cette chair tendre et pâle. Il ne restait à la femme que sa jupe troussée et ses talons, sa culotte ayant disparue depuis longtemps.

Bien que connaissant la réponse, Jeanne demanda :

- Qu'est-ce que vous faites les garçons? Que voulez-vous de moi maintenant?

- Ohhhh Madame MARTIN! dit Jacques en plaisantant.

Il caressa son membre à quelques centimètres de son visage. Elle regarda cette bite qui était la plus grosse qu'elle n'ait jamais eue. Elle savait qu'il allait grossir encore. Un peu de liquide pré éjaculatoire suintait sur le gland.

Pierre ajouta :

- Nous savons ce que vous voulez.....

Les quatre garçons étaient debout avec quatre bites pour elle toute seule. Elle avait faim sexuellement même si elle ne voulait pas l'admettre. Jamais elle n'avait eu de pensée comme ça.

Jacques saisit le dos de sa tête afin de mener sa bouche vers sa queue charnue. Il l'engouffra vers le bas jusqu'à ce que ses couilles tapent le menton de la femme.

- Yeh les gars! Nous avons touché le jackpot!

Jeanne toussa, mais jacques l'obligea à reprendre son sexe. Après quelques instants, elle avalait sa bite avec facilité. Avec ses mains libres, elle attrapa deux autres membres. Elle ne savait même pas à qui ils appartenaient. Avec ses pouces, elle enduit ces tiges avec leur propre liquide pré éjaculatoire. Puis elle les branla.

- Ouais super! une voix retentit.

Instinctivement, elle changea de sexe pour en fourrer un nouveau dans sa bouche. Et elle continuait à en branler deux autres. Elle changeait avant qu'un garçon n'éjacule. Même si elle n'était pas une experte, Jeanne possédait un talent inné pour les fellations. Ce n'est pas ce que l'on pouvait croire d'une bigote comme elle. Pourtant, lorsque qu'elle avait eu des rapports avec son mari, il avait su apprécier la bouche de sa femme. Avec sa langue, elle sentait toutes les différences de peaux des sexes des garçons. Le liquide pré éjaculatoire commençait à tapisser sa gorge. Sa chatte était en feu.

- Cette femme est géniale!

Elle entendait les garçons se taper dans les mains.

- Ce sont toujours les plus cul-bénit qui sont les meilleures salopes!

- Je vous parie que cette salope va encore jouir!

- Eh les gars! elle est tout pour nous aujourd'hui. Elle ne voudra pas partir ce soir.

- Et demain, elle ne sera plus capable de marcher.

Elle entendait ces mots. Et bien qu'ils soient dégradants, elle adorait. Elle suça avec encore plus d'entrain.

- Je vais te remplir, ma pouliche à gros seins!

Pas encore. Jeanne ne voulait pas que quelqu'un éjacule déjà. Elle changea rapidement de bite.

Une voix cria :

- Viens là! Je vais baiser ta petite gorge se salope jusqu'à ce que je jouisse.

Une main prit sa tête et la remit sur la bite précédente. La voix mystérieuse poussa son membre jusqu'au fond de sa gorge, l'étouffant. Elle ne résista pas et l'étreinte se desserra. Elle suça en rythme le sexe.

La voix dit :

- Aaaaaaaahhhhhh je viens!

Effectivement, le sperme remplit sa bouche. Elle avala ce qu'elle put mais elle toussa sur le reste. La bite continuait à gicler, éclaboussant ses lunettes, y laissant de longs fils gluants. Elle ferma les yeux alors que ses cheveux et ses seins recevaient leur part de foutre. Elle finit d'avaler le sperme dans sa bouche et retourna nettoyer le sexe du garçon.

Une voix demanda :

- Comment était-ce?

Elle leva les yeux. C'était jacques qui avait éjaculé le premier. Jeanne sourit et dit :

- Délicieux

Les garçons rigolèrent alors que la femme engloutit un autre sexe.

- Que suis-je en train de faire? dit une petite voix dans sa tête

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