Jean-Jean

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l'amour à la ferme.
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Jean-Jean bourriquait la mère Suzanne.

Comme tous les jours à cinq heures du soir, dans l'étable, appuyée contre la rambarde qui la séparait des vaches, la mère Suzanne offrait sa croupe à Jean-Jean qui la bourriquait avec une ardeur toujours aussi impressionnante même après trente ans de bourriquage en règle.

Car ça faisait trente ans que tous les soirs vers cinq heures, Jean-Jean se pointait à l'étable après avoir été quérir les bêtes au champ, et que Suzanne l'attendait la, la chatte quelque peu moite à l'idée de ce quelle allait subir. Subir n'étant d'ailleurs pas le mot approprié, tant elle venait la de son plein gré se faire bourriquer par Jean-Jean.

Et Jean-Jean ne se privait pas de bourriquer la mère Suzanne tous les soirs sur le coup de cinq heures, juste avant de se mettre à la traite des vaches, manière qu'il avait lui de se vider le pi dans le vagin accueillant de la mère Suzanne.

Ils s'étaient donc connus trente ans plus tôt, le Jean-Jean gamin de l'assistance avait été placé à seize ans dans la ferme de Suzanne et de son mari le père Olive. A l'époque ils étaient dans leur trentaine et la belle jeunesse déjà un peu flétrie. Le père Olive avait fait deux gosses à Suzanne et il estimait avoir accompli son devoir, deux garçons solides qui allaient sur leurs neuf et onze ans. C'est que le travail ne manque pas sur une ferme et qu'on a pas le temps penser à la gaudriole. Et donc le père Olive négligeait la Suzanne qui n'en disait mot, car on ne parlait pas de ces choses la, mais qui ne s'en frottait pas moins l'entre cuisses à tout bout de champ, histoire de faire baisser la température dans sa culotte. Aussi quand on leur amena Jean-Jean tout droit sorti de la DASS, elle accepta avec enthousiasme tout en lorgnant le nouveau venu comme on lorgne une bête à la foire. Le père Olive lui, avait vu les bras du gamin qui allaient bien lui servir pour les travaux les plus fastidieux et les plus pénibles. Comme Jean-Jean n'avait pas inventé le fil à couper le beurre et que son QI frôlait les pâquerettes, il accepta avec enthousiasme le boulot qui lui ouvrait finalement les portes de la prison qu'il connaissait depuis son enfance un brin malheureuse et sans amour. La mère Suzanne eut tôt fait de prendre la mesure de son manque de tendresse, à seize ans Jean-Jean était gauche, un brin demeuré certes, mais gauche en plus, foncièrement timide, tordant son béret entre ses mains quand il se pointait devant elle pour réclamer du travail. Cette attitude plaisait bien à Suzanne qui le prit sous son aile, l'accompagnant dans son quotidien, lui apprenant les rudiments des travaux de la ferme. Le père Olive constatait chaque jour les progrès de son employé, il en savourait aussi le soulagement que cela lui procurait dans son travail, il avait presque le temps de flâner, pour un peu il aurait viré faignant.

Mais la mère Suzanne voyait d'autres perspectives avec son Jean-Jean, une fois elle l'avait surpris en train de faire sa toilette et ma fois, ce qu'elle avait découvert l'avait laissée rêveuse. Le Jean-Jean pour demeuré qu'il était n'en avait pas moins une grosse bite, laissant loin derrière le père Olive qui pourtant lui avait fait ses deux gosses. Elle n'eut de cesse de le revoir dans le plus simple appareil au milieu de sa bassine où il se lavait tous les deux jours. Un jour elle entra et elle se planta devant lui en fixant droit l'objet de sa convoitise, Jean-Jean en resta le gant de toilette levé et la bouche ouverte, portant sur sa patronne un regard vide. En souriant elle vint à lui et lui dit « Attends, bouge pas, j'vais t'aider à finir. » Et Jean-Jean n'eut pas le temps de réagir que déjà elle lui empoignait le goupillon de la joie et l'agitait dans un mouvement plein d'allégresses Jean-Jean qui ne soupçonnait pas ce qu'on put faire d'autre avec un sexe en resta les bras ballants mais sa bite se dressa rapidement pour atteindre une taille qui ravit la mère Suzanne. Elle le branla tant et si bien que dans la minute qui suivit il lui cracha sur la jupe une belle giclée de foutre blanc qui coula lentement de son ventre et jusqu'à ses pieds.

Elle rit, il rit à son tour sans comprendre un peu inquiet que sa bite ait craché ce liquide visqueux qui imprégnait la jupe de sa patronne. Mais en voyant son air ravi, il se détendit et regarda alternativement sa bite et sa patronne. Elle le rassura, lui demandant le secret bien entendu, qu'il n'aille pas raconter au père Olive qu'elle l'avait branlé dans son bain, il aurait fait un scandale.

Elle se promit de recommencer l'expérience et bien vite cela devint une habitude, elle guettait le palefrenier quand il allait prendre le bain et elle le suivait. Lui ne comprenait pas bien au début, certes il trouvait ça plaisant c'est sur, il aimait se faire jouir mais bon, bref, il fallait tout lui apprendre. Et Suzanne se mit au boulot, avec entrain tant la bite à Jean-Jean l'inspirait. C'est vrai qu'il avait une véritable queue d'âne le bougre, il bandait fort et dur, et elle en rêvait la nuit.

Un jour Jean-Jean qui était au champ à garder les vaches fut le témoin d'une saillit d'une vache par un taureau. Il regarda avec intérêt le taureau qui bandait et qui finit par monter la vache et lui fourrer son engin dans le vagin. Jean-Jean, bouche bée regardait faire les bêtes et peu à peu un sourire illumina son visage fermé. Revenant le soir à l'étable il raconta à Suzanne qu'il avait vu le taureau monter sur la blanchette. Suzanne, saisissant la balle au bond lui dit tout de la procréation avec force détail et en insistant bien que c'était la même chose pour les hommes et les femmes.

Jean-Jean se gratta la tête en signe d'intense effort de compréhension.

« Bin oui quoi, lui dit Suzanne, toi aussi tu peux mettre ton morceau dans le ventre d'une femme! »

Et d'ajouter aussitôt :

« Tu veux qu'on essaie? »

Jean-Jean était de plus en plus perplexe, ne sachant plus quoi faire.

« Allons vient la, dit elle, en s'appuyant à la barrière qui la séparait des bêtes et en troussant sa jupe sur ses reins, viens la par derrière ».

Jean-Jean s'approchant timidement regarda le cul blanc de Suzanne et la touffe de poils qui débordait entre ses cuisses.

« Approche donc mon garçon et défait moi c'tte pantalon! »

Jean-Jean s'exécuta et le pantalon sur les chevilles, il s'approcha de Suzanne suffisamment pour qu'elle puisse le saisir entre ses cuisses et l'attirer à elle. Elle guida son gland contre sa fente et lui ordonna de pousser un grand coup.

Elle faillit crier quand elle sentit cette bite hors norme lui écarter les chairs mais elle se retint pou ne pas effrayer Jean-Jean. Elle donna quelques coups de reins pour lui indiquer le mouvement et elle laissa faire.

Le Jean-Jean tout demeuré qu'il fut appris vite à bourriquer la Suzanne. Elle n'en conçut pas de plaisir la première fois tant elle se sortit meurtrie de l'aventure mais cette bite était quand même pleine de promesse pour l'avenir.

Ainsi, tous les jours que Dieu fit, sur le coup de cinq heures du soir, Jean-Jean Bourriquait la mère Suzanne dans l'étable, juste avant la traite des vaches.

Elle se fit au format de la bite à Jean-Jean rapidement, après tout elle avait deux gosses au paravent et elle était suffisamment ouverte de ce coté, fallait juste s'adapter et en fin de compte elle prit son plaisir quotidien.

Jean-Jean aussi y trouvait son compte! Il savait que le soir sur le coup de cinq heures, juste avant de traire les vaches dans l'étable, l'attendait la mère Suzanne appuyée à la barrière de séparation et qu'il n'y avait qu'à lui trousser la jupe et hop! Il la bourriquait.

Il ponctuait chaque coup de bite de yep! yep! yep! yep!auxquels répondaient les hon! hon! hon! hon! de la Suzanne sous l'œil bovin du cheptel qui finit par en prendre son parti.

C'est ainsi que le Jean-Jean fut père pour la première fois à dix huit ans.

A force de bourriquer la Suzanne tous les soirs sur le coup de cinq heures, juste avant la traite, il avait fini par l'engrosser.

En fait elle ne se rendit compte de son état qu'au troisième mois, trop tard pour quoi que ce soit.

Ce fut le père Olive qui fut surpris!

Il se gratta la tête un moment mais de guerre lasse, il haussa les épaules et se détourna de ce problème futile pour réfléchir à ce qu'il allait ensemencer dans le champ du bas.

La mère Suzanne mit au monde une petite fille quelques mois plus tard au grand plaisir du père Olive, qui jusque la n'avait que deux gars.

A peine fut elle relevée de couche que le manège repris, tous les soirs sur le coup de cinq heures dans l'étable, juste avant la traite, les yep yep et les hon hon se mêlaient au beuglements des vaches.

Le résultat ne se fit pas attendre et la mère Suzanne fut de nouveau enceinte, fort marrie de n'avoir pas eu la patience d'attendre son retour de couche. Mais la bite de Jean-Jean la faisait tellement rêver!

Et donc dix mois après la première fille elle mit au monde une seconde fille. Le père Olive se gratta de plus belle sa tête qui se déplumait. Il commençait à soupçonner des choses, fallait pas la lui faire quand même! Et qui pouvait être le père des filles hein? Sinon le Jean-Jean.

Bah, de toute façon ces choses la, les choses du « sesque » ne l'intéressait guère, et puisque la Suzanne avait trouvé de quoi se distraire tant mieux pour elle. Il allait lui dire de faire gaffe quand même, pas qu'elle ponde une gamine tous les ans.

Ainsi fit le père Olive, et tout retourna dans l'ordre dans la ferme derrière chez Michaux.

Les deux se retrouvaient tous les soirs sur le coup de cinq heures dans l'étable, juste avant la traite pour bourriquer, Suzanne fait toujours hon, hon, et Jean-Jean yep yep, les yeux dans le vague, la bouche ouverte et la bave aux coins des lèvres. Ils avaient ajouté une bassine d'eau et une poire en caoutchouc dans un coin et aussitôt que Jean-Jean se fut vidé en elle, Suzanne courrait à la bassine d'eau, en remplissait la poire et se lavait la chatte à grande eau.

Suzanne eut bien encore deux accidents et donna naissance à deux autres filles, le père Olive l'engueula, elle baissa les yeux et tout fut dit.

Aujourd'hui Suzanne navigue dans la soixantaine, plus besoin de prendre des précautions elle est ménopausée depuis déjà dix ans. Jean-Jean lui dans sa quarantaine est encore bien fringuant et a la bite bien raide pour bourriquer la Suzanne tous les soirs sur le coup de cinq heures dans l'étable, juste avant la traite.

Jipai
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Anonymous
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3 Commentaires
JipaiJipaiil y a plus d’un anAuteur

Qui es-tu Anonyme?

AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

très rigolo

AnonymousAnonymeil y a environ 12 ans
very very good

hi monsieur jipai

very very good story

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