Je T'aime Ma Soeur Ch. 04

Informations sur Récit
Visite chez maman,sexe&souvenirs autour d'elle.
5.9k mots
4.66
15.2k
3

Partie 4 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 10/21/2019
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MisterBeet
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Nous sommes restés enlacés un long moment après cette 2ème « première fois » pour nous! Oui, il y avait bien eu cette nuit de mes 19 ans... mais bien qu'elle soit restée gravée dans mon esprit, j'ai l'impression de ne l'avoir jamais vraiment vécue! La mémoire du corps est primordiale quand il s'agit d'enregistrer des émotions à un instant T... le grain d'une peau caressée, des lèvres embrassées, la texture d'un mamelon que l'on roule entre ses doigts... tout cela représente bien trop d'informations pour être emmagasiné puis stocké dans un cerveau humain, aussi puissant soit-il! La mémoire du corps par contre... hélas! La mienne en est trop floue, trop embrouillée, écrasée comme un ridicule fichier de 19 ko dans la mémoire saturée d'un serveur de données! Une jouissance perdue, noyée sous des degrés d'alcool...

Et puis viennent d'autres moments qui s'ajoutent à la pile...
Les grains d'autres joies, les peines comme un mur...
Et puis il y a le temps, il y a ce qui se compte et ce qui se mesure...
Les jours, les mois, les années...
Entre les doigts des Parques, toute une vie qui défile...
Tout ce qui se conjugue, au Présent, au Passé...
Et tout ce qui s'efface...
Les souvenirs estompés de plaisirs démodés ...
Qui suis-je? L'existence...
Cette petite trace...

Jusqu'à aujourd'hui!

Il a suffi d'une question pour qu'explosent des années de mensonge! Deux vies gâchées à refouler au placard noir des instincts les plus vils, ce qui n'était au fond qu'un appétit insatiable pour la véritable jouissance, l'éjaculation sublime d'un amour fantastique pour tout ce qui nous fait du bien et seulement du bien!

Il y avait du vice dans cette relation, entre ma sœur et moi... et pour la 1ère fois, nous pouvions en jouir librement et donc totalement, sans avoir à nous soucier de notre ADN, de la bonne morale ou la loi, du jugement perpétuel des générations formatées... il y avait du plaisir à employer certains mots, à les dire pour l'autre en sachant que vous parviendrait en retour, l'écho le même amour de l'interdit...

Vulgaires!

Elle mouillait comme une folle à oser laisser vivre son moi le plus vulgaire!

J'éjaculais comme un fou...

« - Marie, j'adore ta bouche...

- J'adore ta queue dans ma bouche... embrasse-moi...

- Mmmmm... putain, c'est du délire, non?

- Quoi donc?

- Ben je suis toujours en train de te tripoter les nichons! Je peux même pas faire un truc aussi tendre que de te donner un baiser sans virer vicelard!

- Ça prouve que tu me désires!

- Ouais! Comme un fou, Marie! A en crever... raide dingue de toi!

- Et de mes gros seins aussi un peu, non? (Ajoute-t-elle en souriant)

- Un peu beaucoup, oui! LOL

- (Avec le même sourire) Et de ma grosse chatte? Tu ne l'aimes pas ma grosse chatte?

- Hahahaha! J'adore entendre mes mots dans ta bouche... dingue de te grosse chatte aussi, c'est clair! Je crois que je pourrais passer la journée à te baiser, ma sœur chérie!

- Ça m'excite quand tu me parles comme ça... quand tu me dis des trucs cochons... »

Nous saisissons chaque minute qui s'offre à nous pour échanger caresses et baisers... et si cela ne suffit pas (et ça ne suffit jamais!) nous volons celles qui se refusent! C'est comme une force irrésistible en nous... depuis que nous avons franchi le pas, rien n'a pus de saveur pour nous dans les amours classiques... ma sœur a l'impression de coucher avec un étranger quand elle se met au lit avec son mari, il lui est devenu totalement indifférent! Quant à moi, je trouve le corps des autres femmes d'une fadeur incroyable... je ne bande même plus quand je mate une vidéo de mes porno stars préférées! Mais je me branlerai pendant des heures en matant une photo nue de Marie-Thérèse... nous sommes les 2 moitiés d'un même être séparé dans une vie antérieure, et depuis que nous sommes réunis, nous n'arrivons plus à nous détacher l'un de l'autre... nous devons conclure la moindre caresse par un rapport sexuel... et peu importe l'endroit! Nous devons coucher ensemble! Même si cela doit nous faire courir des risques inconsidérés!

Marie-Thérèse et moi venons régulièrement voir notre mère ... nous nous asseyons systématiquement l'un à côté de l'autre, moi en bout de table et ma sœur à ma droite, notre mère ayant depuis des années sa place attitrée à l'autre bout, du côté gauche... c'est là qu'elle s'asseyait à chaque repas du temps de notre père... dès qu'elle a le dos tourné, nos bouches se déchaînent et déclenchent les hostilités! Furieux pelotage de nibards et massage frénétique de ma queue à titre d'apéritif! Ma petite mère a bien failli nous surprendre plus d'une fois, mais cela ne nous arrête pas, au contraire!

« - Tu n'aimerais pas te faire sucer par la maman, p'tit frère?

- (Je passe en mode hibou direct! Les yeux ronds comme 2 billes, tellement sa demande est extraordinaire!) Euh... Wow, Mar-hhi-i-ih-hi-e! Koff! Koff! Koff! (Je manque de m'étouffer) Faut pas me poser ce genre de questions! T'es folle!

- Hahahaha! Pourquoi? Ça te fait trop d'effet? Hahahaha!

- Carrément, oui! Mais j'avoue! Je confesse mes pêchés, Sœur Sucette!

- Hahahahaha! Sœur Sucette!

- Hé! Tu te moques de mes turpitudes! Mais j'ai pêché, ma sœur! J'ai eu ma période Œdipe et j'ai fantasmé sur ma propre mère! Mea culpa, mea maxima culpa! (Et m'empoignant le paquet sous la table) Sainte Marie des Fellations, sucez pour nous!

- Hahahahahaha! Idiot bête!

- J'ai développé ce complexe après ton départ de la maison, en fait, l'année du Bac...

- Décidément, que de souvenirs cette année là! Raconte!

- Putain si j'avais pu être conscient le jour où tu m'as dépucelé...

- Moi je l'étais et je n'oublierai jamais!

- Ouais.... l'année du Bac! L'année où papa a commencé les travaux d'extension de la maison, tu sais, et on a tous eu notre propre chambre après... et dans la mienne, y'avait cette vieille fenêtre que les maçons n'avaient pas déposée! Tu te souviens? À la limite ancienne des murs... entre la chambre des parents et la mienne en fait!

- Oui, ça y est! Je me souviens! Je n'ai jamais compris pourquoi elle était restée en place d'ailleurs!

- Idem! Du coup j'avais une vue directe sur leur lit! La maman avait tapé une crise à cause de ça!

- Ah bon?

- Attend! Tu vas vite comprendre! Donc la mère tape sa crise et le père pose une planche de contreplaqué pour la condamner! Mais le soir même j'avais déjà percé un trou dedans! Plusieurs en fait! Jusqu'à ce que je trouve le bon angle...

- Le bon angle?? Pour quoi faire?

- Pour mater pardi! Tous les soirs j'étais collé à ce petit trou que je camouflais avec du coton peint en marron le reste de la journée...

- Hahahaha! Ta fibre artistique, sans doute!

- LOL! Et quand la maman allait se coucher, je l'espionnais à travers le contreplaqué!

- Mais... tu te touchais?

- Bien sûr! j'avais un de ces gourdins, Marie... dès que je retirais le bouchon en coton, je chopais la trique! Elle se déshabillait pour passer sa robe de nuit, et moi je matais!

- Naan?!?

- Oh si!! Et elle avait poussé une gueulante en voyant que la fenêtre était toujours en place parce qu'elle devait pressentir que j'abuserais de la vue! En fait elle était tombée sur mes bandes dessinées 1 mois avant environ... elle voulait faire le ménage dans ma chambre, soi-disant! Comme par hasard, son ménage s'était cantonné à mon lit et à ma table de nuit! J'avais une bonne partie de mes dessins et de mes bouquins de cul sous le matelas et dans ce meuble... elle m'avait saoulé à cause des taches de sperme sur mes draps... j'étais dégoûté!

- Naaaan? C'était allé jusque là?

- Grave, je te dis! Tu sais avec son accent italien, elle n'arrêtait pas ...

« - Et tou tè mastourbes ? Ma dio ! (Mais mon Dieu) Tou n'as pas honte ? Et lè dessin aussi en plouss?! Tou dessine ta sœurrr Maria Teresa et tou té mastourbes ?! Vizioso ! (Vicieux en italien) Et moi djé lave lè drraps ! Djé fais la boniche et mon fils le cochon y se mastourbe le zizou sour lè dessin della tua sorella (de ta sœur)! Sporcaccione ! (Saleté)»

- ... cool, non?

- Hahahaha! C'est tout à fait la maman! Hahahahaha! C'est vrai que le français et elle c'était toute une histoire au début! Rhoooo... ben mon cochon!!

- Ah non! Tu ne vas pas t'y mettre, toi aussi?

- Hahahaha! Oh, pardon p'tit frère! (Elle me smack la bouche) N'empêche, je n'aurais jamais pensé à ça!

- A quoi, Marie? A son cinéma ou au trou?

- Le coup du trou, oui! Bon, j'avais compris que tu aimais la chose! Mais de là à percer une planche pour l'espionner tous les soirs? Alors là, tu m'épates! Mais tu l'as fait longtemps?

- Non, parce que le père a fini par monter un mur en plots...

- Exacte! J'imagine la tête que tu faisais ce jour là!

- Tu m'étonnes! Mais j'en avais bien profité alors ça va... Wow... j'avais presque oublié tout ça, Marie!

- Mmmmm... si j'avais été là, je t'aurais sucé pendant que tu te rinçais l'œil, p'tit frère! Et là elle aurait eu à inspecter ta moquette aussi! Hahahaha! Tu devais sacrément bien bander... Mmmmm... comme j'aurais voulu te rejoindre dans ta chambre le soir...

- J'avais une trique de taureau, Marie! Et son cinéma? Pffff... rien que du baratin! Si on ouvre les vannes, je peux te dire qu'elle deviendra aussi vicieuse que nous!

- Tu crois?

- Évidemment! C'est comme une chienne qui vient te renifler le cul, tu sais! T'aurais vu comme elle empoignait les draps pour me montrer les tâches! Pffff... tu parles! C'est tout juste si elle n'avait pas la bouche collée dessus! Son porno à elle, sa façon de mouiller en pensant à la queue de son fils... son complexe de mère incestueuse qui s'ignore...

« Djé sai kè tou tè mastourbes mon fiss ! Djé vois kan tou pran ton grro zizou dans la main pour djouirr avec les dames à poual ! Djé soui djalouse et dj'aimerè bien kè tou te touches le zizou per me ! (Pour moi) Djè voudrè sanntir ton grro zizou dans ma figue tou sè... djé mouille kan djé pense à toua mon fiss... »

- Hahahahaha! Tu me fais rire! Mais je veux bien te croire parce que tu as toujours eu le don pour analyser les gens... bah! Oublie tout ça, p'tit frère! Reviens à ce moment où tu pouvais la regarder se déshabiller... tu es derrière cette vieille fenêtre, et moi j'ai 30 ans de moins! J'ai les seins et les fesses bien fermes, et je suis à genoux devant toi... et je baisse ton pyjama, je prends ta verge dans ma main et je m'approche... tu me vois? Je suis en train de sucer ta bonne grosse queue bien dure...

- Mariiiiiie!! Tu m'exciiiites! Oui, je te vois... maman aussi... elle se met à poil juste à côté...

- Attend! (Elle approche sa chaise de la mienne et ouvre devant nous le magazine télé pour nous donner une contenance au cas où notre mère surgirait à l'improviste) Je vais te caresser, p'tit frère! (Je déboutonne mon jean pour l'aider, elle me roule une pelle et je sens sa main glisser sous mon slip)

- Moi je vais te doigter, ma grande sœur d'amour! »

Et nous voilà en train de nous caresser mutuellement sous la table du salon pendant que notre mère était à la cuisine, en pleine conversation téléphonique avec notre cousine d'Italie! Cela voulait dire de longues minutes à rester seuls, ma sœur et moi! La cousine et notre mère se parlaient au minimum ½ heures à chaque coup de fil!

« - Tu sais, elle avait une sacrée belle paire de seins, la maman! Et une de ces chattes... super poilue et tout... elle enlevait tout et dormait complètement à poil sous sa chemise de nuit!

- C'est vrai qu'elle a toujours été une belle femme!

- Je confirme! Quand tu es partie, j'étais si malheureux, Marie... la maman a pris ta place... mais quelques mois seulement! Ça m'a vite passé... mais maintenant que j'y repense, je la revois à l'époque, quand elle mettait ses talons aiguilles et ses jupes années 50... la vache! Elle avait la petite quarantaine... un canon! Ou quand elle portait sa blouse bleue, tu te rappelles? Avec juste un soutif en dessous... je peux te dire que je chopais la gaule directe!

- Comme maintenant?

- Oui... (J'embrasse ma sœur et je pelote ses gros seins) je m'arrangeais pour reluquer sa poitrine chaque fois qu'elle se penchait, et après je fonçais dans ma chambre pour me toucher le zizou!

- Hihihihi! Et qui de nous 2 te faisait le plus bander, p'tit frère? Maman ou moi?

- Oh... les 2, Marie! Les 2...

- (Massant amoureusement ma queue sous la table) Mmmm... je constate que le souvenir est bien tenace, mon salaud!

- Très présent, oui... et toi? Tu mouilles pas mal... tu n'aimerais pas un plan avec elle, Marie? Faire jouir celle qui t'a donnée la vie...

- Si... »

Quand maman n'est pas au téléphone, il faut improviser! Ma soeur s'absente un instant pour aller aux toilettes? Je l'y rejoins 10 secondes après! La porte verrouillée, elle s'empresse de déballer ma verge et moi de relever sa jupe ou de déboutonner son chemisier pour lui bouffer les seins! Ensuite je la prends, je lui fais un cuni, elle me suce, c'est selon... de toute façon, nous multiplions les visites au petit coin pour parvenir à un rapport complet! Cela commence souvent avec ma soeur qui me suce jusqu'à ce que j'éjacule dans sa bouche, après quoi nous revenons sagement nous asseoir! Nous attendons un peu en discutant de tout et de rien avec notre mère...et comme souvent, je ne peux détacher mon regard des tétons de Marie-Thérèse qui pointent vraiment beaucoup malgré l'épaisseur de son soutif et de son haut! Elle n'a pas à craindre d'être vue par notre mère qui souffre de DMLA... des tétons qui pointent, même beaucoup, ce n'est pas le genre de détail qu'elle pourrait remarquer à moins d'avoir le nez collé dessus! À notre 2ème passage aux WC, je lui lèche la chatte! Elle jouit rapidement tant l'exiguïté de la pièce (qui nous oblige à des positions acrobatiques) et la proximité de notre mère nous excitent! A la 3ème visite, je la prends en levrette sur la cuvette et me régale de voir son gros cul pointer vers moi tandis qu'elle doit garder la tête de profil, plaquée contre le mur faute de place!

« - Maman, tu n'aurais pas un thé, s'il te plait?

- Bien sûr, ma fille! Je vais te préparer ça et j'arrive! »

Voilà un bon moyen d'occuper notre mère quelques minutes! Maman se lève et Marie-Thérèse relève aussitôt sa jupe pour se caresser sous la table...

« - Tu veux voir ton sperme dans la chatte de ta grande sœur, p'tit frère? »

Je me penche et reluque son con d'où s'écoule un long filet du sperme que j'ai éjaculé en elle quelques minutes plus tôt... je suis du regard le trajet de ma semence entre ses cuisses et son majeur avec lequel elle fouille sa vulve crémeuse en gémissant le plus doucement possible...

« - Putain, frangine! Tu m'exciiiites!

- De quoi? (demande maman qui sort une seconde de la cuisine)

- Oh euh rien, maman... c'est la Marie qui dit des âneries! Elle dit qu'elle a la peau des yeux qui plisse!

- (Ma sœur éclate de rire) Hahahahahaha! Exactement! Ça plisse! Hahahahaha!

- Mais non! Tu as une peau d'une petite jeune, ma fille! (Rassure maman avant de repartir) »

Marie-Thérèse n'a même pas pris la peine de s'arrêter et a tranquillement continué de se doigter en présence de notre mère!

« - Parle-moi de la maman pendant que je me touche... raconte-moi quand tu l'espionnais...

- Ça t'excite? Sérieux?

- Je suis comme toi, n'oublie pas...

- Mon âme sœur... (Je me penche vers elle pour l'embrasser) Elle avait des seins magnifiques, Marie, bien lourds... moins gros que les tiens mais franchement, tu tiens d'elle! Je revois chacun de ses gestes... elle allumait la lampe de chevet sur sa table de nuit, déboutonnait son chemisier... elle le retirait et je pouvais voir ses seins qui débordaient de son soutif bien trop petit pour contenir une telle paire! (Ma sœur se dandine sur sa chaise... il faut que je gagne du temps pour que l'on puisse aller jusqu'au bout, moi avec mon histoire, et elle avec son plaisir) Maman?

- Oui, mon chéri?

- Moi je veux bien boire un chocolat! Tu peux m'en préparer un?

- Un chocolat? D'accord! Un thé pour ma fille et un chocolat pour mon fils! J'arrive!

- Merci ma petite maman chérie! (À voix basse, je reprends le récit pour Marie-Thérèse) elle posait soigneusement son chemisier sur la chaise au coin de sa chambre et revenait vers son lit en dégrafant son soutien-gorge... elle rentrait les épaules et doucement, elle saisissait chaque bretelle qu'elle faisait glisser le long de son bras... enfin, je pouvais les voir! Les délicieux nichons de maman, avec leur large aréole rose... Floffroffwoff! Ses 2 gros melons gigotaient un peu avant de s'immobiliser....

- Je mouille comme une folle... continue...

- Et moi j'ai trop envie de te fourrer ma queue dans la bouche, Mariiiiiie!!!

- On boit un coup et on se sauve après?

- Oui...

- On ira dans un coin avant de rentrer et je te sucerai bien à fond, p'tit frère! Promis! Parle-moi de ses seins...

- Elle avait des tétons plus gros que les tiens, mais ils n'étaient jamais au repos! Toujours le mamelon dressé! Un truc de fou! Normalement à l'âge qu'elle avait, ça voulait dire qu'elle était excitée, non?

- Sans doute... peut-être le fait de se déshabiller... Papa était là?

- Non, jamais! Je ne sais pas si c'est un accord qu'ils avaient mais il n'allait se coucher qu'après que la mère ait fini son striptease! Les rares fois où il était là avant elle, je voyais que dalle! Elle faisait ça dans le noir...

- Incroyable! Qu'est-ce qu'elle était pudique, ce n'est pas possible! C'était son mari quand même...

- Je sais...

- Oh oh! J'entends qu'elle sort les tasses!

- Oui, je reprends! Elle avait la peau si blanche... même d'où je me tenais je pouvais deviner le bleu des veines qui couraient sous la peau fine de ses nichons! J'aurais adoré la peloter sa belle paire de nibards... vivement que tu me suces, Marie! Je vais exploser dans mon jean,là! Bref! Chaque soir je pouvais jouir de son corps en me branlant presque sous son nez!

- Tu devais être vraiment excité...

- Ho la la... ça me rendait dingue, Marie! Au moindre geste elle avait les lolos qui se mettaient à gigoter! Alors je me branlais de plus en plus vite! Elle allait poser le soutif puis revenait près de la tête de lit... et ses grosses loches qui remuaient encore et encore... (Ma sœur se mord les lèvres) lourdement... (Elle se doigte de plus en plus vite, l'orgasme est proche) ses mains passaient dans son dos... elle baissait la fermeture éclair en haut de sa jupe qu'elle retirait dans la foulée... elle me tournait le dos un instant, le temps de s'asseoir pour retirer ses collants... puis elle se relevait, face à moi elle enlevait sa culotte, et là je restais bouche bée! T'aurais vu sa touffe, Marie! Bien noire! Et si fournie! Jamais épilée! (Le visage de ma sœur se crispe) Une vraie forêt vierge! Et son cul... franchement, tu tiens d'elle, Marie! Les mêmes courbes, les cuisses, les seins, les hanches... (Elle se détend... je comprends qu'elle a eu son orgasme) tout pareil! Je n'ai jamais pu voir sa chatte de près mais maintenant que je connais la tienne, je suis sûr qu'elle a la même! Oh, Marie! Tu viens de jouir?

- Hhhouiii... je t'aime, p'tit frère...

- Je bande comme un fou! Je t'aime, ma sœur... j'ai trop envie de toi!!! »

Putain! Je la prendrais directement sur sa chaise si je pouvais! Mariiiie! Si seulement j'étais le mec qui partage ta vie.... mon beauf ne se rend pas compte de la bombe qu'il a dans son lit! Quel curé ce con! Le seul mec qui va en Thaïlande et ne se paye pas une pute! Ça existe...

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