J'ai Offert Ma Femme à Un Inconnu 02

Voilà maintenant trois semaines que ma tendre et charmante épouse a succombée au piège que j'avais échafaudé.

Depuis, Michel est venu un soir pour souper, et après nous avons profités des charmes de Joëlle qui apprécie la belle queue notre ami.

Elle a tout subi, un par un,en double, buccal, vaginal et anale, il a passé toute la nuit avec nous et le matin nous étions dans le même lit, tous à poils, Joëlle au milieu.

On est vendredi, en sortant du bureau, je suis allé à la vidéothèque, louer une cassette porno, sachant que ma chérie apprécie de regarder du BDSM,je lui ai fait plaisir.

Après avoir soupés,nus sur la terrasse, en cette fin de juillet il fait particulièrement chaud, nous nous installons sur le canapé.

Elle se cale le dos avec les cousins, je m'allonge sur ses jambes la tête sur l'accoudoir, ce qui me permet de jouer avec ses seins et elle avec mon sexe..

Je lance la vidéo.

Une demi-heure se passe, on est bien excités,sur l'écran une belle brune les bras attachés derrière le dos, une corde la saucissonnant,lui faisant ressortir les seins, se fait prendre en sandwich pendue a une poutre.

La sonnette de la porte d'entrée retentit.

On se regarde un peu agacés.

Je coupe la vidéo.

Je prend mon peignoir, donne le sien à ma femme et me rend à la porte.

Quelle n'est pas ma surprise, Anne la sœur de ma femme et en larmes sur le pas de la porte.

Elle a un an de moins que Joëlle, la même silhouette, sensiblement la même taille, seulement elle a hérité des cheveux châtains Claire des yeux noisettes de son père.

Je la prends par les épaules, et la dirige vers Joëlle qui c'est levée.

Anne entre deux sanglots nous explique qu'elle s'est disputée avec Marc,son mari.

Il est encore parti avec ces copains, pour trois jours, je ne sais où, voir un match de football.

Joëlle, fait asseoir Anne à côté d'elle, moi,je sort trois verres, une bouteille de whisky sachant que c'est ce que boit Anne

Je lui tends un verre, lui disant que ça va là remonter, elle le vide d'un trait.

je le lui remplit à nouveau.

Tout en buvant elle nous dit qu'elle en a marre, tout les quinze jours c'est pareil elle passe le week-end seul,et nous demande si on peut l'héberger, de manière à ce que lundi il trouve l'appartement vide.

Joëlle lui dit qu'elle est la bien venue, moi je suis déçu, car on avait programmé, après bien des hésitations de la part de ma femme, d'aller dans un club sauna.

Anne vient de finir son verre, me le donne afin de le lui remplir

Je jette un regard a ma femme qui me fait signe va y.

Anne réalise que l'on est en peignoir, et s'excuse de nous déranger.

Joëlle lui réponds, ce n'est pas grave, on regardait une cassette et que l'on pourra la regardera plus tard.

Joëlle un peu gênée lui explique que ce n'est pas un film classique.

Anne lui réponds, si c'est un porno, alors allez y, a part le foot, nous on ne regarde jamais rien.

Je remets la lecture, et regarde la réaction de ma belle belle-sœur, celle ci fini son verre,et me dit remet moi ça, j'en besoin.

Joëlle sourit et me fait signe qu'elle va être pompette.

Sur l'écran, la brune maintenant attachée sur une table, se fait baiser la bouche sauvagement, et enculer,les jambes sur les épaules de l'autre partenaire.

Une bosse se forme sous ma robe de chambre, Anne regarde sa sœur qui se caresse discrètement les seins.

Anne porte une jupe en cuir tres sage,à peine au-dessus du genou, avec une grande fermeture éclair devant,et un chemisier bleu en tissu satiné, qui ne laisse pas place à l'imagination.

Joëlle pose sa main sur le genou de sa petite sœur, celle-ci pose la sienne dessus.

Comme Anne est entre nous, je me sens exclue, regarde du coin de l'œil et remarque que les mains sont juste à la limite de la jupe.

Je me racle la gorge, et ma femme comprend, et me fait oui de la tête.

Je pose donc ma main sur l'autre cuisse d'Anne,pas de réaction.

Je remonte doucement, passe sous la couture de la jupe.

Anne me regarde, puis regarde sa sœur.

《Je crois que j'ai trop bu, j'ai chaud 》.

Alors, pendant que ma main est arrivée entre les cuisses, la où la peau est très douce, Joëlle déboutonne lentement le chemisier découvrant un soutien-gorge blanc en coton retenant de jolis seins bien en chair.

Anne soupire,

《Pas devant ton mari!!!》

《Tu sais ma chérie, il m'a vu baiser avec un autre homme, alors si, il doit coucher avec une autre femme, autant que ce soit toi.》

La vidéo passe toujours sur l'écran, mais personne ne regarde vraiment.

De mon autre main,j'ouvre lentement la fermeture de la jupe, toujours aucune réaction, je l'ouvre entièrement découvrant une culotte du même coton et de la même couleur.

Joëlle, tout en embrassant sa sœur sur la bouche lui dégrade son soutien-gorge, de mon côté je fais glisser mes doigts dans l'élastique de la culotte, la baisse sur son ventre, elle soulève son bassin me permettant d'enlever le dernier rempart a sa nudité.

Elle est magnifique, nue,des seins plus lourds que ceux de Joëlle, avec de larges auréoles brunes et des mamelons très gros en érection,

un ventre légèrement bombé,une fine toison blonde en fouillis laissant apparaitre de grosses lèvres luisantes de désir,et une peau très blanche, pas trace de bronzage même ancien.

Je me mets à genoux entre les deux femmes et commence à caresser leurs chattes en même temps, je plaque mes mains sur leurs vulves,a plat,et glisse doucement de bas en haut et de haut en bas, puis j'insère un doigt, puis deux, les ressorts pour goutter leurs effluves.

Je remets mes doigts dans la chatte de ma femme et ma bouche part à l'assaut de

celle de sa sœur, ma langue la fouille, trouve son bouton, l'enroule,l'aspire.

J'ai maintenant trois doigts qui s'agitent dans le con de Joëlle, qui entrent et sortent avec frénésie.

Elles gémissent en coeur.

Je change de main,et inverse mes gestes, je lèche ma femme et branle sa frangine.

Les poitrines se gonflent, les souffles deviennent plus courts, de la sueur ruisselle entre leurs seins, coule sur les ventres.

J'alterne mes caresses ainsi quatre à cinq fois.

J'ai la tête entre les cuisses d'Anne,elle me bloque avec ses mains, m'écrase le visage contre sa chatte pousse un feulement étrange et m'inonde le visage, je la nettoie et avale tout ce qui m'est possible, puis entreprends de faire jouir Joëlle, ce qui est relativement facile tellement elle est heureuse pour sa sœur.

Anne a repris ses esprits, elle me caresse les épaules.

Ma femme ayant eu un orgasme, redescend lentement. Elle me montre sa sœur du doigt :

《Va, fait lui plaisir, son mari mérite d'être cocu》

Anne, s'est allongée sur l'autre accoudoir les jambes légèrement écartées.

Je me glisse entre ses cuisses et sans plus de préambule, introduis ma bite, qui est très dure, entre ses grandes lèvres qui m'aspirent littéralement.

Je la lime avec force, j'attrape ses seins les malaxe fermement.

Elle m'entoure de ses bras, me tire a elle, monte son bassin contre mon ventre, je me sens comme aspiré, je me crispe et déverse de longues giclées de sperme au font de son vagin, a même temps que son orgasme, elle crie très fort :《Joëlle, je viens! je viens!, vois comment il me baise! Allan!Allan c'est bon!》

Je reste planté en elle jusqu'à ce que ma bite ressorte d'elle même.

La cassette est finie, Joëlle la sort et éteint la tv.

Je me lève, tends les mains et aide Anne a se lever, elle me passe ses bras autour du cou et m'embrasse, un long baiser langoureux, nos langues se mélangent avec fougue.

J'attire ma femme, elle se joint à nous et nous embrasse bouche contre bouche a tour de rôle.

On monte se coucher, Anne dans la chambre a côté de la notre

Arrivé dans notre lit,Joëlle se jette sur moi :《Tu a pris ton pied!, mais moi, il ne faut pas m,oublier!!!》

Elle me couche sur le dos et viens s'empaler sur ma bite, je reprends de plus en plus de vigueur, Joëlle monte et descend de plus en plus vite, sa tête remue de gauche à droite, son visage se déforme, elle est belle.

Elle s'effondre sur ma poitrine en râlant, je ĺ'inonde de mon foutre.

On s'endort, mon sexe dans le sien.

Au matin, en se réveillant, comme souvent on débute la journée par un câlin crapuleux,puis alors que l'on récupère, je demande a Joëlle pourquoi elle m'a pratiquement mis sa sœur dans les bras.

Elle m'explique que depuis plusieurs mois, Anne lui avait avoué que son époux ne l'a touché pratiquement plus, de plus il ne lui faisait l'amour que quand il rentrait des matchs à demi ivre. De ce fait, c'était très rapide et elle n'avait aucun plaisir, même si elle n'était pas trop portée sur le sexe.

Pourtant, quand elles étaient adolescentes, elle m'a avouée que toutes les deux se livraient à des jeux plutôt incestueux, et que hier au soir elle avait bien aimée retrouver cette complicité.

On se lève, je vais a la salle de bain, et Joëlle va réveiller sa sœur.

Je prend une douche,me rase,et me penche à la porte de la chambre d'Anne.

Ma femme est assise au bord du lit et tient Anne par les épaules.

Celui-ci pleure, je m'approche, malgré l'atmosphère qui règne, je ne peux m'empêcher de profiter du tableau qu'elles m'offrent.

Joëlle est comme à l'accoutumé nue, et hier soir, elle a hommie de donner une chemise de nuit à sa sœur, elle est donc assise en pleurs les seins qui ballottent a chaque soubresauts.

Je m'approche, et demande ce qui se passe.

Joëlle m'explique, que Anne a des remords, qu'elle dit qu'elle avait trop bu, qu'elle n'avait jamais trompé son mari.

Je lui dit que je comprends, mais je demande à Anne si elle a eu du plaisir, et que pour ma part je la trouve très belle et très sexy, j'ajoute que sa sœur avait également bien aimé cette soirée, mais que si elle le voulait, elle pouvait rentrer chez elle et que l'on ne parlerait plus jamais de cette soirée.

Anne s'est un peu calmée, elle regarde sa sœur puis se tourne vers moi :

《Tu sais Allan,malgré tout j'ai eu beaucoup de plaisir, et cela fait longtemps que je ne pensais pas pouvoir jouir comme ça, mais je n'ai pas pour habitude de tromper Marc,et je

n'ai pas envie de rentrer chez moi, je voudrai que lundi, il trouve la maison vide 》

《Alors reste avec nous, on va bien s'occuper de toi 》lui dit Joëlle.

Je passe le dos de ma main en effleurant son mamelon, qui réagit aussitôt en se redressant, et elle est parcourue par un léger frisson.

《Tu vois,lui dit-je, je suis sur que tu as pleins de choses à découvrir. Je descends vous préparez un bon déjeuner, pendant que vous allez vous doucher. 》

Je ne prend pas de peignoir, et nu je vais la cuisine. j'enfile un tablier et me mets au travail.

Comme il fait déjà chaud, je dresse la table sur la terrasse, descends la cantonniere pour avoir de l'ombre.

Il se passe un bon moment et je m'impatiente un peu. Je vais au pied de l'escalier et les appelle

Joëlle me répond on arrive.

En effet, les voilà qui passent la porte-fenêtre, Joëlle est nue, Anne est drapée dans une sortie de bain.

《Et bien vous en avez mis du temps!!!》

《Montre lui Anne,il comprendra la raison, et comme je le connais il va apprécier. 》

Anne me regarde, elle rougit légèrement, défait la ceinture de son vêtement, timidement ouvre les deux pans et les écarte.

Elle apparaît entièrement nue,elle est sublime, légèrement plus forte que sa sœur, un peu plus petite, environ 2 où 3 centimetres, mais surtout, sa chatte est bien visible, démunie de tout poil, les grandes lèvres bien saillantes, luisantes, sous un ventre légèrement proéminent.

Je suis sous le charme.

《Tu es très belle, maintenant tu es vraiment nue,et j'espère que tu vas poser ton peignoir et déjeuner avec nous comme nous. 》

《A voir la réaction de ta bite, tu la trouve très très belle 》

Elles éclatent de rire, Anne retire son vêtement, et nous prenons le déjeuner.

La matinée se passe, les femmes font un peu de ménage, moi le dîner.

On prend un apperitif,cocktail sans alcool, a cause de la chaleur, puis on passe à table.

La conversation est surtout sur le mari d'Anne qui la délaisse sexuellement et ne pense que de sortir avec ses copains. Joëlle se confie et lui explique que pour nous, nous piquementions notre sexualité, et que je lui ai permis de se donner en ma présence a un autre homme, et lui raconter notre première soirée.

Je vois les seins de sa sœur qui sont bandés, avec les mamelons qui pointent.

Je demande à Joëlle :《Lui a tu parlé de ce que nous avions prévu pour ce soir?》

《Non, mais je pense que nous allons annuler, on ne peut pas la laisser seule. 》

《Pourquoi, qu'avez-vous prévu?》

《On devait aller en boîte 》

《Ho! pas de soucis, je file chez moi chercher des affaires et on sort tout les trois 》

《Tu n'as pas bien compris, Joëlle a dit en boîte, c'est plutôt un club, avec saunas, un peu libertin. 》

Alors Joëlle lui dit que ce devait être la première fois que nous y allions, c'est elle qui avait eu cette idée, pour voir comment cela se passait, et en riant, voir si il n'y aurait pas un ou deux beaux mecs pour s'occuper d'elle, de plus, dit elle, tu n'es pas obligée, si tu dis non, c'est non. 》

Anne, ne dit rien. Joelle se lève et débarrasse la table, je la suis, et dans la cuisine je la prends par la taille, l'embrasse et lui demande

《Pourquoi ne lui demande tu pas si elle ne veut pas venir, juste pour voir,?》

《Je sais pas, elle est un peu prude, elle a déjà dépassé pas mal de ses tabous. 》

Je retourne sur la terrasse, Anne c'est allongée psur un Transat et le plus naturellement, elle bronzé nue.

Je me mets a coté, et comme ce sont nos transats, ils se touchent.

Je pose ma main sur son ventre, elle met la sienne dessus, puis doucement elle monte vers ses seins.

Je me laisse aller, et lui empoigne le sein. Son mamelon est dur,je le fait tourner entre mes doigts. Elle respire un peu plus vite.

Je me tourne sur le côté de manière a pouvoir avec mon autre main, lui toucher le sexe.

Sans plus de préliminaires, j'enfonce deux doigts dans sa chatte. Elle pousse un petit cri strident.

Ma femme l'entend et vient voir ce qui ce passe.

Découvrant le spectacle, elle s'adresse a Anne

《Je pense que tu devrais venir avec nous ce soir, tu me semble vite progresser!》

《Je n'ose pas, mais cela me fait bien envie, et ton homme sait y faire pour me donner envie 》

Je retire mes mains, me relève, prends ma femme dans mes bras et l'embrasse, un long baiser.

《Tu es vache, me dit elle, tu la chauffe et tu la laisse en plan,les cuisses ouvertes. 》

Nous allons dans le salon, laissant Anne les cuisses ouvertes avec son désir.

Pour finir la journée je remets

la cassette de la veille.

A peine 2mn de passés,qu 'Anne est debout devant nous, drapée de sa nudité, désirable.

《J'en ai assez, j'ai envie de sexe, que l'on s'occupe de moi, j'ai perdu trop de temps, se soir je vais avec vous, mais ne me laissez pas seule, Allan,pourra tu rester avec moi.?》

Je la prends par la main et la fait asseoir a coté de moi.

《Je suis heureux de ta décision, mais tu devras te mettre nue en public, et même sentir des mains baladeuses, mais tu ne sera pas obligée de tout accepter, si tu dis Non, tout devrait bien se passer,je suis certain que tu vas ressentir des choses que tu n'imagines pas. 》

《Je sais, pendant que vous regardez votre film, je vais aller chercher des affaires pour me faire belle. 》

《Inutile, lui dit Joëlle, je ne pense pas que tu ai des choses très sexy, je vais te prêter des habits, cela nous rappellera notre adolescence. 》

L'après-midi se passe, dans une atmosphère lourde, par la chaleur, l'ambiance du film, est le désir de baiser. Mais a part des caresses, seul,ou ensemble, on attend avec impatience le soir.

Vingt heures, on se met à table, le souper est frugale, on plaisante, mais l'atmosphère est tendue.

On monte se doucher, et s'habiller.

J'enfile un pantalon beige, sans slip,une chemisette blanche a col Mao,ce qui me dispense de cravate, et une paire de mocassins.

Cela fait bientôt trois-quarts d'heure que je suis devant la télé.

Enfin, j'entends des pas dans l'escalier, et je dois dire que ce que je vois réveil mon sexe.

Les deux soeurettes, la blonde et ma femme la rousse sont main dans la main vraiment très sexy.

Ma femme a mis sa petite robe noire, qu'elle portait pour notre première soirée avec Michel, très courte, le haut, deux bandes de tissu qui cachent a peine les seins, s'attachant derrière la nuque et laisse le dos nu jusqu'à la taille.

Anne a optée pour un kilt super mini qui dévoile ses cuisses musclées bien qu'elle soit un peu plus petite, 2 ou 3 centimetres, que sa sœur. Pour le haut, elle a enfilée un tee-shirt très serré, laissant une partie de son ventre et son nombril a la vue, ses seins, un peu plus gros que ceux de Joëlle sont légèrement écrasés laissant pointer les mamelons.

Elles portent aux pieds des escarpins d'environ 8cm de talons, faisant ressortir le galbe de leurs jambes.

Elle ont opté pour un maquillage léger.

Nous partons en voiture,.Le trajet dure une vingtaine de minutes. Je me gare sur le parking, une grande enseigne rose et bleu indique la nature de l'établissement.

Je prend mes deux femmes par le bras et me dirige vers l'entrée, un vigile mastodonte nous souhaite une bonne soirée.

Après être passé au vestiaire deposer les châles de ces dames, nous nous dirigerons vers le bar.On prend place sur de grands tabourets, le devant du bar est couvert de miroirs, de plus il est éclairé en haut et en bas par une guirlande lumineuse ce qui permet de bien voir l'entre jambes des personnes assises.

Anne s'en aperçoit, ressert les jambes et me dit :《J'ai l'air d'une pute》

Je lui dit,qu'ici, personne ne juge, lui demande de se tourner et lui montre la piste de danse, où évoluent des couples plus ou moins dénués, d'ailleurs beaucoup de femmes sont déjà nues.

Un homme la cinquantaine, regarde les cuisses de Joëlle, et l'invite à danser.

Elle me sourit, prends sa main et le suit, il la prend par la taille, et elle se pend à son cou, comme il la dépasse d'une tête, elle est collée à lui.

Je regarde sa main descendre sur ses fesses, il la caresse en remontant la jupe dévoilant son petit cul,puis il glisse sa main entre entre-eux deux, je devine qu'il a atteins sa chatte, car elle a une drôle de manière de danser.

Anne me demande si je ne suis pas jaloux, au contraire, je lui réponds que je suis fière et qu'elle me fait bander.

Je la prends par les épaules et la pousse vers la piste.

Je sens ses seins contre moi, son ventre et chaud, et mon sexe droit.Je lui prend la bouche, elle me rend mon baiser.

je glisse une main sous son tee-shirt, malaxe le sein, joue avec le mamelon.

Elle me fait signe de la tête, je regarde dans la direction et vois ma femme les lèvres collées sur celles de son partenaire les seins à l'air la robe boudinée à la taille,

On se rapproche d'eux, je dis à Joëlle que nous allons aller, Anne et moi, dans la partie sauna. Elle se détache de son partenaire et nous dit qu'elle vient avec nous.

Ce dernier,lui propose de l'accompagner,mais elle le remercie, baisse le bas de sa robe,lui roule un patin, et la poitrine nue, me prend par le coup et en rigolant vient avec nous.

Après être passé dans une pièce où il y a des casiers, s'être mis à poils, nous nous promenons dans la peine-hombre, les filles drapée dans de grandes serviettes, nouées sur la poitrine,mais s'arrêtant au raz des fesses, et pour moi, la serviette est si réduite, qu'elle repose sur mes hanches, et couvre tout

juste ma bite.

On arrive dans une grande pièce, au milieu se tient une belle piscine, des douches sur la droite et sur la gauche trois jacuzzis, les deux premiers sont a huit places et l'autre, visiblement fabriqué sur place en carrelage est comme une piscine mais avec des banquettes également carrelée tout le tour