Isabelle

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Une bourgeoise fait une mauvaise rencontre.
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Il fait très chaud en ce début du mois de juillet. Isabelle a décidé d'attendre la fin de l'après midi pour aller faire ses courses à l'hypermarché le plus proche de chez elle.

Elle est une femme au foyer épanouie, épouse d'un cadre d'une grande entreprise des télécoms, et mère de deux enfants.

En ce début de vacances, les enfants sont partis pour un mois chez leurs grands parents dans le sud. Son mari, Philippe, est très impliqué dans un projet stratégique pour sa boite, il part tôt et rentre tard, ce qui laisse à Isabelle beaucoup de temps pour elle.

Pour aller faire les courses, Isabelle s'habille simplement et légérement, pour supporter la chaleur : un débardeur, un short et des baskets.

Elle prend quand même soin de mettre un soutien gorge pour son 95E et une culotte très sage. A 35 ans, elle est encore une très belle femme, aidée en cela par des séances en salle de sport et une pratique la plus assidue possible du jogging.

En plus de ses seins, elle a conservé un fessier ferme comme à ses 20 ans : son mari la complimente assez souvent à ce sujet pour qu'elle en tire fierté!

10 minutes de trajet et la voilà rentrée dans la galerie marchande de l'Hypermarché de sa ville. Isabelle a une liste de courses assez longue-il faut dire que le frigo est presque vide- et elle voudrait en profiter pour flâner dans la galerie commerciale.

« Allez ma fille, au travail! » se dit elle « ces courses en vont pas se faire toutes seules! »

Dans la galerie, Isabelle n'a même pas prété attention au groupe de six beurs glandant sur deux bancs prés des portes coulissantes. Des petits glandeurs des cités voisines, 20 ans à peine. Mais ces jeunes sont à l'affut et l'arrivée d'Isabelle n'est pas passée inaperçue par eux :

- « Karim, téma la meuf! » dit l'un d'eux

- « Sa mèèère, comme elle est bonne! Regarde moi ce cul! » dit un autre.

- « et les nibs? Vous avez vu la paire qu'elle se trimbale? » reprit un troisième.

-- « Putain, j'y mettrais bien mon os à moelle » reprit le premier

Sans même se concerter les six jeunes se levèrent et se mirent à suivre discrètement Isabelle à travers l'Hypermarché, tant pour admirer sa plastique que pour voir si il n'y avait pas une ouverture....

Mais Isabelle était trop absorbée par sa liste de courses pour remarquer la manège de la petite bande.

Une demi heure plus tard, Isabelle passait aux caisses.

Les jeunes se rassemblèrent dans la galerie pour attendre leur proie.

« Qu'est ce qu'on fait? » demanda l'un d'eux à Karim, le meneur.

« Putain, cette salope m'a mis une trique d'enfer, il faut qu'on se la saute! » renchérit un autre.

« On pourrait la suivre jusque chez elle, on rentre, on l'attache et on la baise à mort! » proposa un autre

« Ah ouais? Et si son mari est là? Ou ses gosses? Ou si on nous voit entrer et qu'un voisin appelle les keufs? Tu veux vraiment aller en taule toi! » gronda Karim « Faut être plus malins que ça! »

Pendant que le petit groupe réfléchissait au mauvais sort qu'il réservait à Isabelle, celle ci avait fini de payer et flânait dans la galerie marchande en regardant les vitrines des magasins de vêtements ou de chaussures.

Les beurs la suivaient à distance, avec Karim ruminant son plan.

Quand Isabelle se mit en chemin vers la sortie du centre commercial, suivie des jeunes, Karim avait muri son plan :

- « Abdel, va chercher ton fourgon en vitesse, tu vas te mettre derrière sa voiture pour la bloquer. Tu fais semblant de téléphoner. Les autres, vous me suivez. On la laisse mettre ses affaires dans la voiture et ranger son caddie, on passe à l'action quand elle arrive à sa caisse. Action! »

Inconsciente du danger, Isabelle arriva à sa voiture, rangea ses courses dans le coffre puis se dirigea vers l'abri à caddie. En revenant, elle vit un fourgon arrété devant sa voiture, un type téléphonant à son bord. Elle se disposait à aller lui demander de bouger pour qu'elle puisse sortir quand elle vit surgir de nulle part des jeunes qui la ceinturèrent. Deux lui bloquèrent les poignets, deux autres lui attrapèrent les chevilles pour la soulever comme un fétu de paille tandis que Karim la bâillonna prestement avec un gros scotch pour l'empêcher de crier.

En une fraction de seconde, Isabelle se retrouva à l'arrière du fourgon dont la porte se referma derrière eux.

Dans le parking, personne n'avait rien vu. C'était comme si Isabelle s'était volatilisée...

A l'intérieur du fourgon, Karim prit les choses en main : le scotch servit à attacher les chevilles et les poignets d'Isabelle qui tentait désespérément de se débattre mais qui était de peu de poids contre six hommes. Lassé de la voir s'agiter, Karim lui administra quatre claques magistrales en pleine figure.

« Continue à nous faire chier et on te défonce la gueule » lui dit il d'un air méchant.

Isabelle se prostra et sa panique se manifesta alors par des larmes.

Karim déroulait son plan. Le téléphone d'Isabelle fut éteint et jeté dans une poubelle. Il prit les clés dans le sac à main d'Isabelle et les lança

à Hamed :

« Prends sa bagnole et suis nous! Pas la peine de laisser de traces. »

Puis le petit convoi s'ébranla hors du parking et parcourut sans se faire remarquer les quelques kilomètres qui séparaient le centre commercial de la cité du Val, leur fief. Les deux véhicules passèrent directement vers les parkings souterrains des immeubles, que plus personne n'utilisait depuis bien longtemps, trop dangereux....

Dans le fourgon, les quatre beurs qui assuraient la garde d'Isabelle avaient commencé à laisser traîner leurs mains sur son corps. Ses seins étaient pelotés, son cul taté comme celui d'une pouliche.

- « ça c'est de la bonne salope » rigola l'un.

- « comme on va lui exploser ses trous! » dit un autre.

Isabelle n'avait aucun mal à comprendre que ces salopards avaient l'intention de la violer. Résister n'était pas une option, à moins de vouloir être rouée de coups. Elle se dit qu'une occasion de s'échapper finirait bien par se présenter.

Le fourgon s'arrêta devant l'entrée des caves. Karim fit entrer la voiture d'Isabelle dans un garage dont il avait les clés.

Isabelle fut soulevée et emmenée en poids à travers les couloirs sordides jusqu'à une des caves : celle ci avait été aménagée par la bande pour leur servir de QG.

Un canapé, un frigo et surtout un mauvais lit en fer dont les quatre montants étaient équipés de menottes.

Karim fit mettre Isabelle sur ses jambes pour faire la visite :

-- « Bienvenue dans ton nouveau chez toi, salope! Le plumard c'est pour les chiennes comme toi. Les menottes, c'est des prises de guerre. Il en a vu passer des putes, la derniére c'est une fliquette municipale qu'on avait fait prisonnière aux dernières émeutes. On l'a baisée pendant dix jours! aujourd'hui elle fait la pute pour nous dans un bordel au Maroc! » expliqua il dans un rire mauvais.

En un instant, Isabelle fut couchée sur le lit, ses poignets et ses chevilles débarrassés du scotch pour faire place aux menottes. Sans attendre, elle fut délestée de tous ses habits, qui furent arrachés sans ménagement, sous les sifflets admiratifs des jeunes qui découvraient ses seins nus aux belles aréoles roses et délicates, et son pubis délicatement rasé.

- « Putain, on va se régaler! »

L'un des jeunes sortit son sexe de son pantalon de survetement et le présenta devant la bouche d'Isabelle :

- « Je vais t'enlever le scotch, si tu cries, je te cogne, si tu me mords la queue, je te découpe en morceaux. »

Sans aucune échappatoire, Isabelle se résigna dans un haut-le-cœur à gober le sexe du beur, qui commença des va et vient dans la bouche voluptueuse de la jeune femme.

« Aaaaahhh les mecs, c'est un bonheur, qu'est ce qu'on est bien dedans! » grogna t il.

Un autre n'avait pas perdu de temps et se placa entre les jambes écartés d'Isabelle. Il poussa son sexe contre le vagin et y pénétra sans douceur avant de la limer comme un malade.

Au bout de quelques minutes qui parurent indéterminables à Isabelle, celui qui la baisait finit par éjaculer abondamment dans son vagin avec un grognement sourd de satisfaction. Celui qui lui baisait la bouche ne tarda pas à cracher sa purée lui aussi, en maintenant la tête d'Isabelle pour l'obliger à tout avaler.

Immédiatement, deux autres prirent leur place et se mirent eux aussi à la besogner.

Une heure plus tard, les six beurs étaient passés dans le vagin ou dans la bouche de la jeune femme. Épuisée, Isabelle regardait hagarde ses violeurs la contempler en rigolant.

Karim prit la conduite des opérations : il détacha Isabelle, qui n'avait plus la force de résister, la fit mettre à quatre pattes et la prit en levrette en lui donnant de puissants et profonds coups de bite.

« Alors, pouffiasse, ça te plaît, hein? Tu commences à les aimer nos grosses queues? »

Isabelle ne répondait pas, répondant par le silence aux violences qui lui étaient faites. Hamed présenta son sexe devant son visage, attrapa ses cheveux et la força à engloutir son chibre jusqu'à la garde, manquant de l'étouffer.

- « Allez les mecs! » dit Karim « un de plus pour la prendre qu'on lui farcisse tous les trous à la fois! »

Un des mecs, nommé Mohammed ne se fit pas prier, glissa sous Isabelle et entra dans le vagin déjà lubrifié de la jeune femme et se mit à lécher ses seins offerts, tandis que Karim, d'une poussée bestiale, s'enfonça dans son anus.

Défoncée de tous les cotés, épuisée et résignée, Isabelle se laissait faire comme une poupée gonflable. Tour à tour les trois maghrébins remplirent de sperme les orifices d'Isabelle, qui n'eut pas de répit pour autant puisque les trois autres réclamaient leur part.

Toute la nuit, la bande profita du corps d'Isabelle dans les grandes largeurs : baisée, sodomisée, doublement et triplement pénétrée, elle n'était plus qu'une loque étendue sur le lit, refoulant le sperme.

Au petit matin, épuisés, la bande reprenait des forces. Karim contemplait Isabelle somnolant sur le lit, des traces de sperme séché sur tout le corps.

Bientôt, deux types se rapprochèrent d'Isabelle : l'un écarta ses cuisses et la pénétra, l'autre présenta sa bite devant sa bouche et l'enfourna sans même avoir à forcer. Karim constata qu'Isabelle avait complètement abdiqué devant les tourments que lui faisait subir la bande, elle se laissait faire sans broncher.

Tant mieux parce que les autres commençaient eux aussi à reprendre du poil de la bête.....

Quelques heures plus tard, le soleil était haut dans le ciel et dans la cave, la fête se terminait : Isabelle était étendue sur le matelas trempée de sueur et de sperme, ses orifices étaient rouges d'avoir été autant sollicités, sa mâchoire lui faisait mal d'avoir englouti toutes ces bites.

Karim s'approcha d'elle : « ça t'a plu, hein, grosse salope! A partir de maintenant tu es à nous! Je t'explique : on a filmé tout ce qui s'est passé du début à la fin! Si tu veux pas te retrouver sur tous les sites de cul d'internet, tu vas faire tout ce qu'on te dira à partir de maintenant! »

Isabelle semblait avoir abandonné tout libre arbitre, elle se contenta d'un timide « oui » en guise de réponse. Karim la fit rhabiller et raccompagner chez elle. Son mari ne s'était même pas rendu compte de son absence : il lui avait envoyé un texto pour l'avertir qu'il ne rentrait pas de la nuit car le projet au boulot était en phase terminale. Isabelle se doucha longuement avant d'aller se coucher en pensant à la nouvelle vie qui l'attendait.

Quelques mois plus tard.......

Au milieu de la nuit, deux grosses berlines étaient garées l'une en face de l'autre au beau milieu du parking désert d'un centre commercial. Karim était en grande discussion avec un autre maghrébine :

« On est d'accord en ce qui concerne le prix et la quantité, livraison dans une semaine. »

« On est d'accord. Comme d'habitude » répondit le maghrébin dans un sourire.

« C'est toujours un plaisir de traiter avec toi. Et comme d'habitude, tu as la petite prime de conclusion du marché » rigola Karim

Karim ouvrit la portière passager de sa voiture et fit sortir Isabelle. Elle était habillée d'un bustier noir qui comprimait de façon indécente ses seins, d'une micro jupe rouge au ras de la chatte, et de talons aiguilles. Associés à un maquillage très prononcé, elle était proprement accoutrée comme une pute.

Sans même que Karim dise quoi que ce soit, Isabelle marcha droit vers le maghrébin, se planta devant lui, tomba à genoux, dégrafa sa braguette, sortit le sexe a demi bandé et commença une pipe digne des meilleures professionnelles.

Le maghrébin râla de plaisir en plaçant une main derrière la tête d'Isabelle pour bien lui faire avaler son chibre.

« Aaahhh mon frère, elle est toujours aussi bonne ta pute! » dit il à Karim

« Je sais, c'est pour ça qu'elle est réservée à mes meilleurs fournisseurs et clients! »

Depuis qu'il l'avait « prise en main », Karim avait progressivement transformé Isabelle en une marchandise dont il usait et abusait à sa guise et suivant ses intérêts. Dressée dans la cave de la cité durant presque une semaine où elle fut baisée par quasiment tous les mâles de la cité, elle faisait maintenant tout ce que Karim lui disait : baisée par tous les ouvriers d'un chantier que Karim faisait payer à la passe, « récompense buccale» des guetteurs de la cité, elle avait même servi de complice au cambriolage d'un hangar plein de matériel hi-fi en allant se faire sauter par les deux vigiles pendant que la bande à Karim se servait dans l'entrepôt.

Celui dont elle s'occupait ce soir ne perdait pas de temps : il fit stopper sa pipe à Isabelle et la coucha sur le capot de sa voiture avant de la pénétrer sans autre forme de procès. Il retourna les bonnets de son bustier, faisant jaillir les beaux seins d'Isabelle pour les admirer ballotter au rythme de ses coups de queue. Les gémissements de plaisir d'Isabelle eurent tôt fait de faire parvenir l'homme à la jouissance. Il éjacula dans le vagin d'Isabelle dans un grognement.

Isabelle se rajusta et remonta dans la voiture de Karim. Les deux hommes se serrèrent la main et chaque voiture partit de son coté.

Isabelle pensait en être quitte pour ce soir mais elle remarqua que la voiture ne se dirigeait pas vers chez elle. Elle osa demander : « où allons nous? »

« Y a une petite fête à la cité pour les 18 ans de mon cousin. Tu seras mon cadeau pour lui, et si ses potes en veulent aussi, bah c'est pas tous les jours qu'on a 18 ans! » rigola Karim. « t'inquiète, ils doivent pas être plus de dix! »

La nuit promettait d'être longue....

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7 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 5 mois

Écœurant !

AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

Je suppose que si on fait l’apologie de la déchéance d’une maghrébine par des hommes blancs qui la traiteraient de sale pute maghrébine ou d’une femme noir en se faisant traitée de noiraude/bougnoulette videuse de burne de mâle blanc serait considéré comme du racisme. Est-ce que ce site serait d’accord pour ça?

AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans
Flicquette? c'est comestible? pas vraiment

Un peu minable, faire l'apologie de la déchéance d'une femme mariée (Blanche je suppose) violée par 6 pur-beurs caillera! Bien sûr, c'est la Femme qui est sale! Pas ces beaux mâles frustrés de vengeance et de misère sexuelle. La bravoure, le courage de ces 6 crapules n'est pas assez mis en valeur! ça montre bien le clivage actuel de ces deux classes sociales, la moyenne (blanche)et la basse (arabo-africaine) qui n'a eu que des parents sans valeurs à transmettre à leurs bâtards trisomiques. La flicquette, elle n'est pas un peu “douteuse“? Quand on déteste les keufs et les meufs, comment fait-on pour bander? avoir du désir? on se shoote au viagra au molly? Rèvez! car la réalité, c'est 100 coups de fouet, de baton, la décapitation, ou l'émasculation.

AnonymousAnonymeil y a environ 8 ans
tres bien

bien écrit, j'espère qu"il y aura une suite!!!

CocuforeverCocuforeveril y a environ 8 ans
Super

Je pense que c'est ma femme et je me branle. Moi aussi, la fliquette m'intéresse.

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