Idriss 07 - Albert

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Camille est invitée chez Idriss mais il n'est pas seul.
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Aux lectrices et lecteurs éventuels :

Note 1 : Ceci est le septième épisode de la série Idriss, pour une meilleure compréhension du contexte et donc une meilleure immersion, il est vivement conseillé de lire les premiers épisodes respectivement intitulés « La rencontre » ; « À trois » ; « Sexe à volonté » ; « Exigeant mais charmant » ; « Bisexualité » et « Le mariage »

Note 2 : Camille est la narratrice

***

Cette fois ma rencontre avec Idriss ne se fait ni à l'improviste ni à la maison. Ludo m'a transmis un message de sa part et il m'invite chez lui ! C'est quand même un pas supplémentaire dans cette relation particulière. Non que j'attende une demande en mariage ou quoique ce soit de romantique, mais là je vais dans son intimité et en plus sans Ludo. Non seulement je serai à sa merci mais de mon côté je peux prendre les libertés que je veux et raconter autre chose à Ludo. Même si, dans les faits, jusqu'à maintenant la présence de Ludo ne m'a empêché de rien et je lui ai toujours tout raconté ou montré selon le cas ! Je vois bien que parfois ça le froisse un peu mais je pense que globalement ça l'excite plus qu'autre chose et de mon côté, le rendre un peu jaloux me plait. Est-ce un plaisir sadique? Sans doute un peu mais si tout le monde y trouve son compte ...

J'essaye de me faire sexy : robe d'été légère, qui ne me moule pas trop mais qui arrive au-dessus du genou, culotte noire sexy genre thong dentelle et pas de soutif. Je déteste ça car mes seins sont trop lourds et plus assez fermes mais il semblerait que les hommes auxquels je plais aime les voir libres ! Évidemment je chausse des escarpins confortables mais avec de sacrés talons pour allonger et affiner mes jambes. Et puis j'y vais.

Arrivée à l'adresse indiquée par Idriss, je suis un peu étonné de découvrir qu'il vit dans un pavillon à l'écart du centre-ville. Je l'aurais plutôt imaginé dans un petit appart' très moderne et proche de lieux pour faire la fête. Comme quoi ... Enfin bref, toute excitée je sonne à la porte d'entrée. On vient m'ouvrir et je découvre un énorme type noir. Il doit bien mesurer près de deux mètres de haut, il a un coup et un torse de taureau, un ventre proéminent mais qui semble tout dur et des bras gros comme les cuisses d'Idriss. Une bête !

- Euh, bonjour, dis-je embarrassée, excusez-moi j'ai dû me tromper ... je cherche Idriss.

- Ah salut. Non tu ne t'es pas trompée c'est bien là, il est avec les autres dans le salon, me répond-il avec une voix caverneuse.

Je ne suis même pas sûre de l'avoir entendue mais plus ressenti vibrer dans ma cage thoracique. Impressionnant.

- Suis-moi, reprend-il, je te montre le chemin. Moi c'est Bassim et toi?

- Cam ... Camille, bredouille-je.

Et je suis ce gars directement sorti d'un cliché rappeur/dealer américain. Il passe devant moi dans le couloir, et il frotte les deux murs opposés avec ses épaules ! Impressionnant mais pas facile à vivre tous les jours. Je frémi brièvement à l'idée que ce soit un piège et qu'Idriss ne soit pas du tout là, que le type ait juste sauté sur l'occasion pour me kidnapper sans effort mais je suis vite rassurée en débouchant de ledit salon et en voyant qu'Idriss s'y trouve bel et bien. Rassurée mais déçue car, comme l'a dit Bassim, il n'est pas seul ! Dans la pièce il y a en tout cinq gars, affalés dans d'immenses fauteuils. Bêtement le premier truc qui me vient à l'esprit c'est que ces fauteuils ont l'air super profonds et confortables. Je souris à Idriss qui me regarde entrer et mon sang se glace en réalisant ce que je vais devoir faire devant les quatre autres mecs. Je fais encore un pas vers lui, au ralenti, un peu pétrifiée et je le vois hausser un sourcil de surprise, voire de déception. Lentement je me baisse, je mets un genou à terre, puis l'autre et j'ouvre la bouche en fixant Idriss. Les autres gars me regardent goguenards. Idriss ne bouge pas. Il dit « Les gars, je vous présente Camille ». Tout le monde me regarde et me salue avec un sourire au coin des lèvres. Bassim est assez proche de moi et me domine de toute sa hauteur, il y a un jeune type un peu maigrichon mais beau comme un dieu aux cheveux noirs et yeux légèrement bridés qui se lèche les lèvres et deux autres gars plus âgés, l'un chauve et bedonnant et l'autre la cinquantaine grisonnante propre sur lui. Tout ce beau monde admire ma soumission. Idriss se lève enfin et s'approche de moi. Je suis sûr qu'il fait tout ça pour me punir d'avoir hésité. Je me demande s'il ne va pas m'enfoncer sa bite au fond de la gorge devant tous ses copains, ou pire me livrer en pâture à ces inconnus. Il se place face à moi, m'obligeant à lever la tête pour le voir, il approche une de ses mains de son pantalon mais finalement insère deux doigts dans ma bouche. Je les enserre et il initie des va-et-vient avec ses doigts dans ma bouche puis s'arrête en attendant que je suce ses doigts, ce que je m'empresse de faire sous les rires gras de ses amis. Puis il retourne ses doigts et me fais signe de me lever en me tirant vers le haut par la bouche. Une fois debout, il retire ses doigts de ma bouche, me prend par la taille et me dit : « Bonjour Camille, ça me fait plaisir de te voir »

Nous retournons tous nous affaler dans les fauteuils. Le mien est plutôt un canapé et je me retrouve entre Idriss et Bassim. Pour rajouter à mon embarras, ceux-ci sont trop bas finalement, et mes talons trop hauts ! Il faut que je veille à bien serrer mes cuisses : au moindre écart les gars d'en face auront une vue parfaite sur mon entrejambe ! D'ailleurs ils semblent l'avoir bien compris car, tout en ayant l'air de rien, ils jettent des coups d'œil fréquents dans cette direction dans l'attente du faux pas. Idriss fait de vraie présentation, je suis « une amie » et les autres sont soit des « potes » soit des « relations d'affaires ». Ça ne m'en dit pas beaucoup plus mais ils ont l'air sympas. On boit des bières (ce n'est pas vraiment ce que je préfère mais j'ai pas envie de faire ma chieuse, je suis déjà assez mal à l'aise comme ça). L'épisode précédent semble être oublié et tout le monde discute un peu comme si je n'étais pas là. Je me lève pour aller chercher un verre d'eau et à mon retour ma place est à moitié prise par Bassim qui s'est étalé. Plutôt que de m'y frotter, je m'approche d'Idriss de l'autre côté et je me penche vers lui en prenant appui sur l'accoudoir, je lui dis :

- Je pensais qu'on serait seuls ...

- Pourquoi? répond-il avec un air malicieux, tu avais envie de quelque chose en particulier?

- J'aime bien tes copains mais je ne les trouve moins excitant que tes mains sur mon corps.

Il glisse alors subrepticement sa main sous ma robe et commence à me frotter la vulve à travers ma culotte.

- C'est ça que tu veux? demande-t-il

- Mmm, ouiiii, c'est bon début.

- Embrasse-moi.

Je l'embrasse à pleine bouche et j'écarte un peu les jambes pour le laisser me caresser. Sa main échauffe mon entrejambe, il frotte mes lèvres, il presse l'entrée du vagin avec son majeur, remonte vers mon clitoris. Il poursuit ce massage sensuel, sexuel pendant que nos langues et nos salives se mêlent, un vrai délice. J'en oublie un peu l'entourage qui, de toute façon, ne nous prête aucune attention à ce moment-là. Puis Idriss arrête son mouvement mais laisse ses doigts pressés sur mon clitoris. Je m'écarte de son visage pour le regarder d'un haussement de sourcil interrogateur.

- T'en veux encore? dit-il

- Oui bien sûr !

- Bah vas-y, frotte-toi !

Sourire coquin aux lèvres, je le regarde d'un air de défi tandis que je commence à bouger les hanches discrètement de façon à me faire du bien. Au bout d'un ou deux mouvements la chaleur commence à monter mais Idriss me dit : « Non, debout ! » d'un ton sans appel. Décontenancée, je me redresse un peu chancelante et, sentant la pression d'Idriss sur ma chatte, commence à onduler le plus discrètement possible du bassin. Mais mon mouvement initial a attiré l'œil des autres gars qui repèrent bien vite que la main d'Idriss est sous ma robe. Je suis rouge pivoine, je n'ose plus bouger alors que de toute façon le mal est fait, je suis prise la main dans le sac (même si en l'occurrence c'est celle d'Idriss !). Idriss insiste fermement avec sa main et je recommence à bouger le bassin. Les gars ont l'air ravis du spectacle, tout le monde a la banane (à cet instant je ne parle que de leurs sourires) sauf moi mais, en même temps, cette chaleur et cette humidité dans mon bas ventre rendent la situation moins détestable. Et d'ailleurs, volontairement ou pas, j'accélère légèrement, je me laisse prendre au jeu, je frotte ma chatte fortement sur les doigts d'Idriss, je sens mon vagin commencer à perler, je m'entends respirer de plus en plus fort. Les regards des gars, d'abord moqueurs et gênants, deviennent captivés et presque encourageant. Et puis je fini par les oublier toute à mon plaisir. Mes mouvements sont de plus en plus souples, j'ondule à l'écoute de mes sensations, je glisse sur ses doigts, je gémis. Je sens que les doigts d'Idriss ne sont plus si immobiles, il commence à participer. Mais non ! En fait il les enlève pour baisser ma culotte et les repositionner. Mmm c'est encore meilleur comme ça mais je dois passer pour une sacrée salope car j'ai la culotte baissée en travers des genoux, et je me frotte comme une chienne en chaleur sur Idriss. Et, enfin, il s'active. Il me glisse deux doigts dans la chatte, que c'est bon d'être enfin un peu pénétrée après toute cette excitation. En revanche c'est plus difficile pour moi de me frotter sur sa paume, je suis presque obligée de m'asseoir sur sa main pour que le frottement soit bon. Je me déhanche comme une possédée et il se démène dans ma chatte dégoulinante. J'explose d'un coup, mes muscles des cuisses, déjà bien sollicités, et du vagin se contractent violemment, m'arrachant un hurlement de jouissance. J'en tremble jusque dans ma cage thoracique et ma mâchoire. Pendant ces quelques secondes de pure extase, Idriss ne cesse de pilonner ma chatte serrée. Quand je redescends un peu, je vois les mecs bouches ouvertes, se remettre du spectacle. Les braguettes semblent avoir pris de l'ampleur et les pantalons être devenus un peu trop serrés. D'ailleurs le chauve est carrément en train de se masturber. Je vois son pénis circoncis aller et venir dans sa main. Ça me dégoute un peu même s'il y a cette pointe de fierté déplacée du pouvoir que j'ai (et sans doute qu'ont toutes mes semblables !) d'exciter un homme. Je détourne le regard vers Idriss qui semble très fier de lui. Je le vois alors déboutonner son pantalon et en extraire sa longue verge. J'adore cette queue mais je suis surprise de le voir la déballer comme ça sans vergogne devant tout le monde et surtout de l'entendre dire à haute voix :

- Allez, à toi de me faire plaisir maintenant.

Ses deux doigts toujours plantés dans ma chatte, il m'attire devant lui. Je me déplace gauchement, son poignet entre mes cuisses et la culotte tombée sur mes chevilles et, une fois face à lui, je m'agenouille, encore. Au moment au je lui attrape le sexe, ça semble être le signal pour Bassim qui fouille son survêtement pour en extraire un pénis mou mais large comme je n'ai jamais vu (bon en même temps je ne suis pas une experte mais là je suis impressionnée - ce qui ne veut pas dire que ça me plait, pas d'avis tant que je n'ai pas essayé !) et il commence à se branler en me regardant sans aucune gêne. J'ai un peu peur que tout le monde pense que c'est « open bar ». Mais je suce. Il me tue ce mec, je ne sais rien lui refuser. Dire que j'ai été prude avec l'homme que j'aime pendant vingt ans et que je suce Idriss dès qu'il sort sa bite, sans protester, sans m'interroger. J'ai un peu honte mais qu'est-ce que c'est bon ! J'avale son sexe, il est encore tendre et un peu mou. Je le suce, l'aspire, le repousse. Je joue avec. Je le sens grossir dans ma bouche, m'emplir. Je l'attrape d'une main et lèche langoureusement son gland à nu, comme une glace tout en le regardant droit dans les yeux. Je le branle doucement puis le reprends plus vigoureusement dans ma bouche. Je serre bien mes lèvres et fais aller-venir son prépuce sur son gland par mes mouvements. Puis j'accélère, je me donne à fond en restant bien concentrée. J'ai ses couilles dans une main, son manche dans l'autre et je m'active. J'ai la bouche en feu, les bruits de succions et de mouillé doivent raisonner dans toutes la pièce. Je le sens se contracter, se raidir. Je serre ses couilles et il me bloque d'un coup ! Une main plaquée sur la tête, il me presse contre le haut de son abdomen, la queue enfoncée dans ma bouche. J'ai peur qu'il ne souhaite la plonger au fond de ma gorge alors que normalement je ne suis pas censée être punie ... je crois. Mais il ne bouge pas, je sens son sexe palpiter, tressauter dans ma bouche mais je ne peux rien en faire car il m'immobilise complètement. Son ventre semble se gonfler, longuement, une puis deux fois. Il m'attrape par les cheveux et m'arrache à son sexe que je regarde en le lâchant : il est trempé et gonflé comme prêt à exploser. Je me relève en m'imaginant que c'est terminé, à ma gauche je vois que Bassim a apprécié le spectacle. Sa queue est énorme, je n'en reviens pas que ça puisse exister. C'est presqu'une canette slim (sans doute un peu moins large mais à peine et bien plus long). Un monstre, je n'arrive pas à en détacher mon regard. Pendant ce temps, Idriss enlève carrément son pantalon et se met debout devant moi, sexe dressé. Il m'embrasse fougueusement (ah? ce n'est peut-être pas terminé alors ... mon vagin se remet à frissonner). Il me prend par les hanches et me retourne, dos à lui. Pendant qu'il m'embrasse dans le cou je m'aperçois que tous les autres gars ont aussi enlevé leur pantalon et sont au garde-à-vous. La peur s'empare de moi quant à la suite des événements et au même instant, pour y faire écho, Idriss attrape le bas de ma robe et me la fait passer par-dessus la tête. Je suis à poil, seins ballants, en talons devant quatre mecs qui se branlent en me regardant. De plus, à part mon expression de stupeur, je ne dois pas avoir l'air farouche car j'ai la chatte qui luit de mouille et Idriss me pelote les nichons sans ménagement. Puis il me pousse doucement en avant, vers ses amis. Mais ceux-ci s'écartent et Idriss m'entraine vers la table de la salle à manger. Je le laisse faire mais avance au ralenti, comme si j'allais à l'abattoir. Mes sentiments sont partagés : Je reste hyper excitée de tout ce qui vient de se passer malgré la honte que j'éprouve, j'ai la chatte en feu d'anticipation et je crève d'envie qu'Idriss me prenne mais l'idée qu'il m'offre aux autres gars présents ne m'excite pas du tout, je n'en ai pas envie, c'est sans doute ma limite et je me sens capable de le lui dire mais je ne le connais pas assez pour savoir s'il m'écouterait ou pas, et cette partie-là m'inquiète particulièrement. Alors j'avance, j'ai peur mais je décide de lui faire confiance pour l'instant. Jusqu'à maintenant, quelles que soient les situations particulières dans lesquelles je me suis retrouvée avec lui, tout s'est toujours finalement bien passé (et même très bien me rappelle la sensation chaude et humide entre mes cuisses).

« Mets-toi à quatre pattes sur la table. » m'ordonne-t-il. Je m'exécute aussitôt et me rend compte que les autres gars se sont mis autour de la table pour me regarder. Le chauve est en face à côté du vieux-beau. L'énorme Bassim est à ma droite et l'apollon asiatique à ma gauche. Tout le monde est à poil et je me dis que tout le monde n'est pas gâté par la nature de la même façon. Et puis soudain je rougis de honte à cette pensée en comprenant le spectacle que je leur offre : je suis à quatre pattes sur la table, mes seins pendent lamentablement mais mon ventre aussi. Autant le chauve bedonnant ne peut sans doute pas attendre beaucoup mieux de la vie, autant le canon de gauche ne va sans doute pas bander longtemps devant le spectacle désolant de mon corps non entretenu vieillissant. Idriss écarte un peu plus mes jambes pour que mon bassin soit plus bas, m'enfonce deux doigts dans la chatte puis me lubrifie l'anus avec la mouille qu'il récupère. Il y plonge aussi un doigt, fait quelques allers-retours dedans. Je hoquète de surprise et vois les poignets des gars accélérer pendant ma mini-sodomie. Puis le moment tant attendu, je sens mes chairs s'écarter, la pénétration lente et infinie, la butée sur le fond de mon vagin, la plénitude du moment, le retrait tout aussi long, l'aspiration du vide qu'il créé, et le martelage commence. Je pose ma tête sur la table et m'abandonne complètement, jusqu'ici ... tout va bien. Je dois être à moins de cinquante centimètres du double chauve (oui sa bite circoncise me fait penser à un crâne chauve !!) et tant qu'il ne me touche pas, je m'en fous. Idriss ne se ménage pas, il donne des coups de bassin très rapides et profond, il tape le fond de ma chatte à chaque fois et j'adore ça. Il me tient par les hanches pour ne pas m'envoyer valdinguer sur le vieux tellement ses coups sont puissants. J'en perds le contrôle. Ma tête va et vient sur le bois de la table, ma respiration est saccadée, je ne sens que le plaisir monter dans mon ventre, mon cœur bat la chamade. J'ai la tête tournée vers Bassim, le regard hypnotisé par cette bite de la taille d'un petit chat qu'il astique en rythme avec les coups que je prends. Je sens qu'Idriss me tire par les cheveux, il veut que je me redresse, je suis obligée de m'aider de mes bras qui ont du mal à me porter mais une fois à quatre pattes, il m'attrape sous les aisselles et me tire encore plus de sorte que je me retrouve à genoux, jambes écartées, Idriss me baise à la verticale en me maintenant les bras dans le dos. Je suis complètement exposée à la vue des autres. Je suis secouée par les assauts de la queue d'Idriss, mes seins mous sautent dans tous les sens, ma chatte dégouline sur la table et même ma bouche dégouline sur mon menton. Je ne suis plus qu'un corps gonflé de plaisir. D'une main Idriss me tapote doucement le haut de la vulve pour exciter mon clito, la boule de chaleur dans mon vagin est parcourue d'éclairs de jouissance provoqués par ces petites claques. La honte d'être ainsi exposée à la vue de tous, hors de contrôle, semble dresser mes pointes de seins de façon délicieusement douloureuse. Les gars qui me regardent ont la bouche ouverte, le corps luisant et la main hyper active. Les glands semblent commencer à briller d'une lueur moite et poisseuse. J'explose complètement je hurle, je me cambre, j'essaye de coincer Idriss mais malgré mes gesticulations furieuses et incontrôlées, celui-ci poursuit son œuvre sans ralentir, son pieu s'enfonce dans mes chairs contractées, sa main se fait plus forte et plus rapide sur mon clitoris, je jouis sans pouvoir m'arrêter, je n'arrive même plus à respirer, il me lâche les bras, je tombe vers la table e me rattrape de justesse. Mais rien de l'arrête, sa bite ne fait qu'entrer en moi sans relâche, sa main me pétrit le clito de plus en plus violemment, à la limite de la douleur. De son autre main libre, il me presse un sein comme s'il voulait me traire, il pince fort mon téton durcit en arrivant au bout et continue ce traitement jusqu'à ce que mon corps se détende et que je m'effondre sur la table. Je suis exténuée, je ruisselle de sueur, de mouille et de bave. J'ai la chatte en feu mais Idriss continue à me baiser, plus lentement, plus en accord avec mon état post-orgasme. Que c'est bon, c'est doux, apaisant, chaud. Il me laisse quelques instants de répit tout en massant la chatte avec sa queue tendrement puis me demande de me mettre dans l'autre sens. Je me redresse péniblement, je découvre que le chauve me regarde avec une perversité accrue, bite toujours érigée et luisante. Je comprends qu'en me retournant je vais carrément lui offrir ma chatte. Cette idée me répugne mais pour le moment je n'ai pas la force de résister à Idriss. Je me retourne résignée. Je fais alors face à Idriss, qui me lève la tête par les cheveux et, sans rien dire, met sa bite dans ma bouche et me la baise. Ça me demande un bel effort de le serrer tellement je suis au bout de ma vie à ce moment-là mais j'ai confiance en lui, malgré sa longueur il maitrise parfaitement et je sais qu'il n'ira pas trop loin sans le faire exprès. Néanmoins il n'en est pas si loin à un moment vu qu'il se penche en avant pour me claquer la croupe en me disant « Cambre-toi plus, lève tes fesses » et il reprend son martellement dans ma bouche. Je suis essoufflée et soulagée quand il s'arrête enfin, laissant son pénis dans ma bouche sans plus me la martyriser. Il me dit qu'on va s'installer un peu plus confortablement et me fait descendre de la table. Je manque de tomber car j'ai les jambes flageolantes et j'avais oublié que j'avais encore mes escarpins aux pieds ! Il m'attire vers le couloir, le peu de dignité qui me reste s'inquiète de l'image que je renvoie, chancelante perchée sur mes talons, jambes un peu écartées pour ménager le feu de mes entrailles ravagées par Idriss. Au bout du couloir Idriss s'arrête près d'une porte, me fait faire volte-face pour que je constate que sa clique de potes nous suit à la trace toujours pas rassasiés du spectacle. Il ouvre et nous fait entrer dans une chambre au milieu de laquelle trône un petit lit, enfin un lit normal mais pour une personne. « Allonge-toi sur le dos » me dit-il. Trop heureuse, je me jette sur le lit, exténuée. Il vient se mettre à genoux derrière moi, pose ma tête sur ses jambes et sa bite sur ma tête. Sa cour entre et se réparti face à nous. Il me demande d'écarter les jambes puis m'attrape sous les genoux, me les soulève pour me mettre en position ... gynécologique. Ma chatte béante, turgescente et moite est complètement exposée aux regards lubriques de ses quatre compères. Je vois mon beau chinois (sans doute pas plus chinois que moi mais bon) s'en astiquer le manche de plus belle. Quelle humiliation, je suis son jouet, son trophée, qu'il exhibe à ses potes ! Il me demande alors de tenir moi-même mes genoux dans cette position. Soudain, à mon grand désespoir, le petit bedonnant grimpe sur le lit, à genoux et avance avec sa bite à la main entre mes cuisses offertes. Tous les autres se poussent de derrière lui pour mieux voir la suite. À ce moment-là, Idriss écarte ses genoux, ma tête retombe sur le lit, il s'avance un peu et pose ses couilles sur ma bouche en me disant « lèche-moi ». Mon champ de vision s'est considérablement réduit ! Je ne vois que son cul et je lui lape les couilles qui ballotte sous mes coups de langue. J'ai l'impression qu'il se branle pendant que je le lèche. Puis il saisit ses couilles pour m'enfourner l'un des boules dans la bouche. Je la suçote, et commence à lui prodiguer des caresses buccales plus appuyées. Il tend sa main pour me caresser le clito et me doigter un peu, c'est bon mais ça ne dure pas. Sa main s'enlève et je crois entendre un grognement avant de sentir un liquide chaud sur mon ventre au niveau du nombril, puis du pubis. Je crois bien que le vieux m'a giclé dessus. Avant d'avoir pu exprimer ma répugnance, Idriss semble s'asseoir littéralement sur moi, ses couilles sont comprimées contre mon visage et j'ai le nez dans son cul. Ce n'est pas ma meilleure expérience ! Mais il gigote comme pour se masser les couilles lui-même contre moi et je sens son anus se contracter. Et puis ça semble être les grandes eaux ! Je me fais arroser, j'imagine de sperme, de partout : le ventre, les seins, le cou. Sur moi, je sens les contractions du sphincter et du périnée d'Idriss, j'essaye de lui lécher un peu les couilles mais j'ai du mal. Puis il se détend, au bout d'une minute il se redresse et je vois désormais la bite d'Idriss commencer à pendre au-dessus de moi. Il me regarde, et se descend un peu de façon à ce que je puisse la prendre dans ma bouche, je le tète comme si c'était un sein nourricier, j'extrait les quelques gouttes de semence qui restent et lui rafraichi le gland avec ma langue. Une fois qu'il est satisfait, il descend du lit, m'indique avec un sourire tendre une petite salle de bain jouxtant la chambre et sort. Je suis seule. Je me lève pour aller me laver et je sens tout le sperme qu'on a déversé sur moi, glisser lentement le long de mon corps. En entrant dans la douche, je suis répugnée et pourtant je prends un plaisir pervers à m'étaler le sperme partout à pleine main. Ce jus d'homme, entre mes seins que je frotte l'un contre l'autre pour les sentir d'abord glissants et gluants puis collants, je m'en barbouille même le visage. C'est comme si je voulais pousser ma dégradation plus loin, je me roule dans ma fange. Puis je me lave, à fond, je frotte, je mets des tonnes de savons, de shampoing. Tout pour en enlever la moindre trace, ainsi que l'odeur. Une fois séchée je me rends compte que je n'ai pas ma robe, je prends mes chaussures à la main et me rend dans le salon en espérant n'y rencontrer personne mais, bien sûr, monsieur chauve est là !

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