Idriss 03 - Sexe à volonté

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Camille est super reconnaissante et Ludo en profite
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Aux lectrices et lecteurs éventuels :

Note 1 : Ceci est le troisième épisode de la série Idriss, pour une meilleure compréhension du contexte et donc une meilleure immersion, il est vivement conseillé de lire les premiers épisodes respectivement intitulés « La rencontre » et « À trois ».

***

Le lendemain, Camille et moi émergeons vers 11h du mat'. Ça faisait un sacré bail que nous n'avions pas fait une grasse matinée commune si longue. Cam' n'est pas vraiment belle à voir, elle est barbouillée de sperme séché et ça la tire dès qu'elle fait un mouvement du visage. Sans hésiter elle se précipite vers la douche. Lorsqu'elle en sort, elle est rayonnante. Elle me dit avoir passé une excellente nuit reposante après le meilleur anniversaire de sa vie. Nous allons prendre notre petit déjeuner au restaurant de l'hôtel puis sortons faire une balade en bord de mer. Nous ne reparlons pas vraiment de la veille mais je suis sûr que c'est dans nos esprits à tous les deux. Nous profitons essentiellement du fait d'être comblés tous les deux. Camille est très câline, elle me prend dans ses bras, m'embrasse fougueusement ou tendrement, me dit des mots doux. C'était son anniversaire et pourtant j'ai l'impression que je suis le centre de l'attention. Elle est toujours attentionnée envers moi mais rarement tactile alors que là je suis couvert de caresses. Ses mains me pelotent les fesses quand nous marchons côte à côte et me caressent le torse quand nous nous embrassons. Alors que nous sommes face à la mer, elle se colle à mon dos et me caresse le ventre, l'une de ses mains descend vers mon pantalon et, après m'avoir un peu frotté l'entrejambe pour me faire réagir, elle me saisit le pénis à travers l'étoffe et me branle pendant une minute. Puis nous reprenons notre chemin, comme si de rien n'était.

Nous retournons à la chambre pour ranger nos affaires et montons en voiture direction la maison. C'est pendant le trajet de retour que nous avons parlé des événements de la veille. Camille commence par me remercier de l'incroyable journée de la veille. À quel point la journée avait été romantique dans un premier temps et excitante après. Qu'elle n'en revenait pas de ce que je lui avais fait vivre avec Idriss.

- Ça t'a plu ce corps musclé? je lui demande

- Oh oui, je crois que c'est à cause de ça que je me suis laissé emporter au début, dit-elle

- Ah? Au début? Mais après alors?

- Je ne sais vraiment pas, pour la première fois de ma vie j'ai été excitée en avance. D'habitude tu sais que je peux jouir avec toi mais je ne l'anticipe pas et ne le désire pas. J'en suis satisfaite après coup mais c'est tout. Là, ce corps, cette jeunesse, peut-être même cet interdit (semi autorisé) ça m'a mise dans un état second, que je n'avais jamais ressenti.

- C'est lié à sa façon de baiser? À la taille de son sexe?

- Non, pas au début en tout cas. Je ne sais pas à quoi ça tient initialement, c'est inexplicable. Comme une attirance magnétique, animale envers ce jeune homme. Mais c'est vrai que j'ai apprécié la bite un peu plus longue, ou bien est-ce simplement de découvrir autre chose?

- En tout cas je suis content que mon cadeau t'ait plu, dis-je avec un grand sourire

- C'est plus que ça Ludo. Non seulement je trouve ça incroyable le sacrifice que tu as fait pour mon plaisir mais en plus j'ai l'impression que tu as débloqué quelque chose en moi au niveau sexuel.

- Tu éprouves du désir?

- Oui! dit-elle dans un souffle

- Pour moi?

- Aussi ...

- Aah, le bel Idriss occupe tes pensées. C'est un peu ma crainte, me faire éclipser.

- Non, ça ne risque rien Ludo. Je t'aime comme une folle et je ne ressens rien de tel pour lui. Mais je dois t'avouer qu'y penser m'excite en effet. Peut-être que cela va me donner des idées et des envies avec toi?

- Oui, peut-être, on verra bien.

Silence.

Silence pesant, je sens une hésitation. Quand Camille reprend la parole, elle semble avoir la gorge serrée d'appréhension :

- Tu crois qu'on pourra le revoir?

Ça y est! Le ver est dans le fruit. Le désir de cet autre homme la ronge. Pincement au cœur et afflux de sang dans ma verge sont simultanés. Cette sensation est incroyable : je décoince enfin Camille, la femme de ma vie est enfin excitée sexuellement mais ce n'est pas à mon profit. J'ai très envie de la satisfaire, de la voir heureuse, de la voir jouir mais je n'ai pas envie d'être le dindon de la farce, je veux aussi profiter du changement alors je lui réponds machiavéliquement :

- C'est possible mais ça va dépendre de toi.

- C'est-à-dire?

- Je veux que tu accèdes à TOUTES mes demandes sexuelles, à N'IMPORTE QUEL moment, pendant AUSSI LONGTEMPS que je le désirerai et le tout avec ENTHOUSIASME. Si je suis satisfait, je contacterai Idriss.

J'en reviens pas d'avoir été aussi directif, je bande vraiment fort à ce moment-là. Rien que la proposition m'excite, le fait d'avoir osé la formuler à haute voix, le fait de dire tout haut à Camille un fantasme que j'ai la concernant. Et sans doute aussi le mini espoir qu'elle accepte. Je suis tout aussi surpris de l'entendre me répondre, sans aucune hésitation :

- OK

- Sérieusement?

- Je suis à toi.

Je suis à deux doigts de gicler dans mon pantalon, des frissons me parcourent le corps et la queue, des centaines d'images toutes plus pornographiques les unes que les autres défilent dans mon esprit. Mais je suis quand même dubitatif, je me demande si elle a bien compris que ce voulais dire mon souhait. Je vais la mettre à l'épreuve tout de suite, même si c'est un peu risqué vu que je suis en train de conduire.

- Alors suce-moi maintenant.

Sans hésiter, Camille déboutonne mon pantalon. Je me soulève un peu afin qu'elle puisse le baisser légèrement, puis elle plonge sa main dans mon caleçon et en extirpe difficilement mon sexe engoncé. S'apercevant que des traces de spermes sont déjà apparentes elle me dit d'un air coquin :

- T'es sûr que tu as vraiment besoin de moi?

- Oh oui! Besoin ET envie, vas-y.

Je m'étonne moi-même de lui donner des ordres surtout sur un sujet comme ça. Mais elle ne se fait pas prier. Elle se contorsionne pour se mettre dans une position acceptable, lèche le bout de ma bite qui palpite et l'englouti en émettant de petits gémissements de plaisirs. C'est incroyablement bon et excitant. Elle me suce délicieusement bien. Les rares fois où elle m'avait déjà sucé j'avais évidemment apprécié mais elle me semblait gauche et je me sentais pressé. Mais là elle prend son temps, c'est doux et chaud. Elle alterne la succion à proprement parler et le léchage. Nous arrivons à un péage, je lui demande de se redresser de façon à pouvoir rétrograder. Elle me lâche et j'ai cette sensation de ma bite prête à exploser qui est dressée et je ressens l'air frais sur mon gland mouillé, l'anticipation de la pipe qui va reprendre. Je redémarre, accélère et, sans que je n'ai rien eu à dire, dès que j'ai passé la sixième et mis le régulateur, Camille se penche de nouveau pour me prendre dans sa bouche. Mais c'en est trop pour moi, son premier « mmm » de plaisir me fait éjaculer. Il n'y a pas des litres de sperme mais je suis pris de plusieurs longs spasmes d'orgasme. Une fois repus, Camille se redresse et crache le contenu de sa bouche dans un mouchoir, puis, docilement, retourne me vider la queue et je dois admettre que cette sensation est divine. Je suis vidé (au sens propre) mais le traitement de la langue de Camille sur mon sexe mou est incroyable. Elle m'aspire doucement et me lèche méticuleusement le gland, qu'elle recouvre ensuite de mon prépuce qu'elle suce à son tour. Enfin, elle remballe le tout, se redresse et dans un grand sourire se lèche les lèvres devant moi.

- J'ai bien rempli mon rôle? me demande-t-elle malicieusement

- À la perfection! lui répond-je du tac au tac.

Cet épisode de la voiture a changé notre vie. À ce stade du récit nous ne savons pas encore sur quelle pente cela va nous mener mais après, rien n'a plus jamais été pareil.

Jusqu'ici notre vie sexuelle était inexistante. Nous couchions ensemble en moyenne une fois par mois. Moi par envie/besoin, elle probablement par devoir. Cependant je suis accroc au sexe, je passe donc beaucoup de temps à me masturber et la plupart du temps devant des pornos. Camille n'en sait rien, ou fait comme si elle ne le savait pas. Tout ceci est désormais révolu, mais je ne le sais pas encore.

Nous arrivons à la maison, Cam' range les affaires pendant que je prépare notre dîner. Après cela, nous nous installons sur notre canapé pour regarder une série quelconque. Je me suis mis à l'aise en peignoir et pendant la série, je guide la main de Camille vers mon pénis pour qu'elle me branle. L'un de mes fantasmes est le « casual sex ». Je suis relax, en train de regarder la télé, faire mes petits commentaires et en même temps j'éprouve un plaisir sexuel pas forcément intense mais permanent. Elle me masturbe lentement, parfois avec trois doigts seulement, parfois avec toute sa main. Lorsqu'elle fatigue, elle me caresse les couilles, les malaxe délicatement. À la fin de l'épisode elle me dit :

- Il faut que j'aille me coucher chéri, le week-end est fini et je suis crevée.

- D'accord ma puce, lui répond-je, mais désormais tu dors nue.

- Ok, répond-elle

- Et je veux une pipe au réveil, j'ajoute.

- Demain matin? demande-t-elle

- Non, tous les matins!

- T'es gourmand! dit-elle en écarquillant les yeux.

- J'ai sacrément faim surtout et tu es mon seul plat!

Et elle part se coucher. Je reste seul pour méditer sur cette situation. Seul avec cette bite encore dure. J'aurais pensé que la baise de la veille et la pipe de cet après-midi aurait eu raison de cette érection, mais non! Je suis clairement resté un ado! Cette situation nouvelle me tourne en boucle dans la tête et je ne débande pas. Cette première nuit ne va pas être reposante. Si mon cerveau avait encore le contrôle, je foutrais la paix à Camille cette nuit pour plusieurs raisons : déjà elle a une journée de travail à assurer le lendemain et donc besoin de dormir et en plus j'ai déjà poussé le bouchon suffisamment loin et elle a été parfaite. Normalement le but est certes de me satisfaire mais ce n'est pas de l'emmerder à tout prix! Mais ce soir-là (comme bien souvent) je « pense » avec ma queue. Après m'être bien excité tout seul et avoir décidé que j'allais seulement me blottir contre son corps nu et chaud, je la rejoins dans notre lit. Quel plaisir ce corps moelleux et douillet. Je coince mon pénis en érection contre ses fesses et je lui pelote les seins, je lui malaxe le gras du ventre. Mes mains ne savent pas s'arrêter, je la caresse de toute part et puis je décide de la pénétrer. L'idée initiale est simplement de m'enfoncer dans son vagin et de m'endormir en elle. Et en plus elle est super accueillante. Son vagin est humide, ma queue se fait engloutir dans ce nid. J'y suis bien. Je vais sombrer dans un sommeil incroyable mais je sens son vagin se contracter. Non seulement c'est délicieux autour de ma queue mais en plus ça m'intrigue. Est-ce un appel de sa part ou un réflexe musculaire? Si je réfléchissais froidement je saurais que ça ne peut être que la deuxième hypothèse. Non seulement Camille n'est pas fan de sexe (sauf peut-être désormais avec Idriss) mais en plus elle a dû en avoir assez comme ça de toute façon ces dernières 24h. Mais c'est ma queue et mes fantasmes qui régissent entièrement ce moment. Mon cœur s'accélère dans l'attente de la contraction suivante. Et à chaque nouvelle contraction je me persuade qu'elle veut que je la baise. Je n'y tiens plus, je commence les coups de bassin. Elle ne semble pas réagir mais je suis trop excité pour me rendre compte que je suis tout seul. Je la pilonne, croyant percevoir du plaisir dans son souffle coupé par mes mouvements. Je pétri ses seins, pince ses tétons, et je glisse de plus en plus facilement dans son trou lubrifié. Enfin, je jouis, quelques spasmes qui ne crachent presque rien tant ces dernières heures m'ont vidé. Je me relâche et j'entends Camille me dire d'une voix endormie : « Ça y est? T'as fini? ». Je me recolle à elle, l'embrasse et lui dit : « Oui, dors, je t'aime ».

Je dors, mais peu. Je suis trop excité par la situation. À 6h30 Camille se lève et je reste au lit. Elle sort de la chambre, sans doute pour prendre son petit déjeuner. Je me demande si elle a oublié la consigne. J'entends ensuite la douche couler. J'aimerais me rendormir et me faire réveiller par une pipe mais non seulement je crois qu'elle a oublié mais en plus je suis beaucoup trop excité par cette idée. J'ai la bite super gonflée et ça m'irrite un peu car je l'ai beaucoup sollicitée! Maintenant j'entends le sèche-cheveux et puis une rai de lumière s'infiltre dans la chambre et je vois Camille, en robe de chambre, entrer. Elle s'assied près de moi sur le lit, sa main me caresse le torse, elle se penche pour m'embrasser. Elle me dit « Bonjour mon amour » tout en descendant sa main vers mon pénis qu'elle saisit. « Apparemment tu es déjà prêt! ». Et elle me prend dans sa bouche. Elle me suce délicieusement. Quel réveil! Au bout d'une dizaine de minutes, je l'attire vers moi, l'embrasse à pleine bouche et lui dit :

« Merci!

- C'était pas bien? Tu n'as pas joui! Tu ne veux pas que je te finisse?

- C'était merveilleux, j'ai la bite fatiguée et je préfère me réserver pour plus tard. Merci encore. »

Et je me rendors satisfait. J'ai du bol, j'ai une journée de congé de plus qu'elle et j'en profite! Toute la journée je ne pense qu'à son retour. Le soir, quand elle rentre enfin, je suis en train de préparer notre repas. Elle pose ses affaires et vient m'embrasser.

« T'as passé une bonne journée chérie? je lui demande

- Oui ça a été mais j'ai été crevée toute la journée. Je me demande pourquoi? Ajoute-t-elle d'un ton malicieux

- Tiens d'ailleurs, maintenant que tu es à la maison, je vais te demander d'aller enlever tes sous-vêtements. Je veux aussi que tu sois en jupe ou en robe mais sans collants. Tu peux mettre des bas si tu veux.

- Ok, j'y vais. T'es insatiable!

- Tant que je gagne, je joue! Et cette consigne est désormais valable tous les jours à la maison. »

Elle revient et je constate qu'elle s'est complètement changée. Elle a passé une simple robe d'été. Ses seins lourds se balancent librement sous la fine étoffe. J'ai envie de les pétrir mais pour l'instant je me retiens. Par plaisir de l'excitation.

« Tu es magnifique!

- Merci, répond-elle avec un grand sourire

- Montre-moi ta chatte »

Je vois sa bouche s'arrondir de surprise. Nous n'avons pas du tout l'habitude de nous parler comme ça. Mais elle lève sa robe et me montre sa chatte. Enfin, son pubis plus précisément car Camille est tellement poilue et peu entretenue à ce niveau-là que c'est une jungle peu esthétique. Mais ça ne va pas durer. « Cool, mais ce n'est pas parfait, lui dis-je. Le repas n'est pas encore tout à fait prêt, ça va te donner le temps d'aller te faire la chatte lisse. Pense à faire les fesses aussi. » Je vois qu'elle est un peu contrariée mais elle se rend dans la salle de bain sans râler.

À son retour, je ne dis rien, tout à mon plaisir et à mon excitation grandissante. À la fin du repas, Camille se lève, se dirige vers l'évier et j'en profite pour me coller à elle tant j'ai envie de sentir la douceur de sa vulve rasée. Je passe lentement ma main sur sa fesse droite que je caresse en remontant la robe, puis je la glisse lentement entre ses jambes et je suis excité par le toucher de ses lèvres si lisses. Je suis également surpris de constater que Camille est toute trempée. Je lui glisse à l'oreille « Ça t'excite aussi on dirait? » et elle me répond dans un chuchotement « Oh oui, pendant tout le repas! »

Je la caresse encore un peu et, n'y tenant plus, j'extrait ma bite de mon pantalon et la glisse entre ses jambes. J'ai bien dit "entre ses jambes" pas dans son vagin. L'humidité est telle que je glisse sans peine enserré entre ses deux cuisses, me frayant un chemin entre ses lèvres. Ce va-et-vient s'accélère et j'entends à ses gémissements que le frottement de ma queue contre son clitoris ne lui déplait pas. Je l'agrippe par les hanches pour raffermir mes mouvements et la pilonne. Je l'entends jouir. Ça décuple mon plaisir, je lui saisis un sein à travers la fine étoffe de sa robe et me rappelle qu'elle n'a pas de soutien-gorge. Je malaxe ce sein vigoureusement, lui pince fermement le téton à chaque fois qu'elle crie de plaisir. Je l'attrape alors par la gorge, la serre légèrement, l'embrasse voire même la dévore dans le cou pendant que mon bassin jette ses dernières forces dans la bataille. J'éjacule dans un râle un peu rauque et continue à l'embrasser goulûment. Je me sens apaisé, recule de quelques pas et m'assieds sur ma chaise, bite semi-molle à l'air. Camille est appuyée sur l'évier, sa robe est retombée et je ne vois plus ses fesses mais des gouttes perlent le long de ses jambes. Un mélange de nos deux orgasmes. Elle se retourne l'air satisfait, je la regarde avec un sourire appuyé et dirige mon regard vers mon pénis rétrécissant et poisseux. Avec une moue désabusée assortie d'un sourire en coin, elle s'agenouille devant moi et entreprend de me nettoyer avec sa bouche.

Et la semaine se passe comme ça. Elle est épuisante pour tous les deux car je souhaite en profiter à fond. J'exagère, je pousse le bouchon mais Camille reste impeccable. Soit elle y trouve son compte, soit elle tient vraiment à revoir Idriss. Mais elle ne l'a pas réclamé une seule fois. Je suis impressionné. Elle remplit sa part du contrat. J'imagine donc qu'il faut que je le fasse aussi...

Quelques jours plus tard, je contacte donc Idriss et lui demande de se présenter chez nous en toute discrétion. En milieu d'après-midi, alors que Camille, toujours aussi sexy nue sous sa robe, vaque à ses occupations, je fais entrer Idriss dans notre chambre à son insu.

Je m'installe devant un match de foot et lui demande de me rejoindre sur le canapé. Docilement, elle s'installe et, devinant la raison pour laquelle je la réquisitionne pendant une activité aussi inintéressante pour elle que le foot, elle me saisit la queue et commence à me branler. Je profite quelques instants du plaisir physique procuré par ses va-et-vient mais également du plaisir psychologique d'avoir une femme prête à satisfaire tous mes caprices sexuels. Et puis je me lance : « J'ai une surprise pour toi Camille ». Elle arrête son mouvement, surprise par mon propos et dans un sourire me réponds

« Ah bon? Quoi?

- Je ne t'ai pas demandé de t'arrêter, je lui reproche

- Oh pardon! dit-elle en reprenant sa branlette

- Je pense que ça va te plaire. Au moment où je te parle, Idriss t'attend, propre, dans notre chambre »

À ces mots je vois son visage se transformer et irradier d'un mélange d'incrédulité et d'excitation. Elle me lâche instantanément la queue, porte les deux mains à sa bouche pour masquer sa surprise et me dit :

« Maintenant?

- Oui, il y est depuis une vingtaine de minutes déjà!

- Oh! Mais pourquoi ne le l'as-tu pas dit plus tôt? que veut-il que je fasse?

- Il veut que tu le rejoignes mais que tu te sois lavée avant.

- Ok, j'y vais »

Et elle file dans la salle de bain sans un regard ni un regret pour mon pénis abandonné. Je reprends le visionnage de mon match. J'entends la porte de la salle de bain se fermer, l'eau couler, le sèche-cheveux, la porte de la salle de bain s'ouvrir et celle de notre chambre se refermer. Pendant le match de foot je l'entends crier, supplier, hurler puis ça se calme.

Evidemment, tout ce temps me torture et m'excite. L'entendre jouir et se laisser aller me rend fou de désir et de jalousie. Mais celle-ci est néanmoins fortement apaisée par les dix jours qui viennent de s'écouler et durant lesquels j'ai vraiment eu ma part.

Peu de temps avant la fin du match, la porte de la chambre s'ouvre, je vois Idriss passer dans le salon, en sueur, il me salue d'un signe de main et d'un clin d'œil et s'en va, comme convenu. Camille me rejoint dans le salon. Elle a l'air comblé, yeux et lèvres un peu humides, rouge aux joues. Elle est rhabillée mais je constate qu'elle n'a pas remis son soutif (et j'espère pas de culotte non plus). Je lui dis : « Tu me raconteras après le repas »

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