Hypnose Mécanique

BÊTA PUBLIQUE

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Léa allait de plus en plus vite sur ma bite. Je me retenais le plus longtemps possible d'éjaculer. Je voyais ses seins tressautais dans tout les sens. Le spectacle était agréable. Je les lui caressais, parfois je pinçais méchamment un de ses tétons. Arrachant un petit cri de douleur à ma sœur, petit cri perdu au milieu de ses gémissement de plaisir. Cette fois je n'en peut plus. Je vais devoir lâcher la purée.

- Je vais jouir.

- Vas-y! Oui, vas-y.

Ma sœur accéléra encore le rythme, haletant de plus en plus vite. Je sentis la jouissance m'envahir. Partant de mes doigts de pieds, électrisant mes reins, traversant mon cerveau, avant d'éclater dans ma verge. J'ai crié en éjaculant dans le ventre de ma frangine. Lui envoyant son premier sperme. Aussitôt elle aussi à jouit. Ma sœur à véritablement hurler de plaisir. Son corps c'est arqué, tandis que son vagin palpitait à une vitesse folle sur mon pieu. Notre orgasme commun à bien duré trente secondes. J'étais au paradis. Elle aussi. Léa s'est écroulée sur moi. On est restés imbriqué l'un dans l'autre. Reprenant notre souffle, redescendant sur terre. Je sentais le corps de ma sœur tremblait contre le mien. Tandis que son vagin se contractait de moins en moins autour de ma bite, devenue à demi molle. Léa m'a dit, dans un murmure, presque un souffle : « C'était merveilleux. ». On est resté ainsi de longues minutes, dans le silence le plus complet. Jamais je n'aurais crut qu'une partie de jambes en l'air pouvait être aussi divine.

Au bout d'un gros quart d'heure, je lui ai dit de s'allonger contre moi. Immédiatement, elle m'a obéit. Un peu de sperme a coulé de sa chatte, atterrissant sur mon ventre. J'ai regardé mon pénis. Il était taché par mon sperme, le sang du pucelage de ma sœur, ainsi que par sa cyprine.

- Nettoie moi.

- D'accord.

Ma sœur à commencé à se lever.

- Tu vas où?

- Chercher un gant pour te laver.

- Non, tu me nettoies avec ta bouche.

- Pardon, je n'avais pas compris.

Léa c'est agenouillée. D'un coup de langue elle a lapée la traînée de sperme sur mon ventre. Puis elle a gobée mon engin. Elle le ressort de sa bouche de temps en temps pour voir si c'était bien propre. Quand elle fut satisfaite, elle m'a regardée en souriant.

- Je vais au bout?

- Non, pas pour l'instant.

Sa réaction fut bizarre. J'ai put lire sur son visage qu'elle était à la fois soulagée et déçu.

Ma frangine s'est couchée contre moi.

- Embrasse-moi.

- Avec la langue?

- Oui.

Elle c'est redressée, à posé ses lèvres sur les miennes. J'ai sentit sa langue entrer dans ma bouche. Ma sœur à une super haleine, un petit goût de menthe acidulée. C'était mon premier patin. J'ai apprécié. Je l'ai repoussée, j'ai pris sa main, l'ai mise sur mon pénis, toujours à demi mou.

- Embrasse moi encore, branle moi en même temps.

Avec douceur, ma sœurette s'est exécutée. Rapidement, grâce à mon invention, j'ai rebandé. De nouveau je l'ai repoussée.

- Mets-toi à quatre patte, j'ai envie de toi.

- Tu vas me baiser de nouveau?

Encore cette expression de joie et de honte.

- Pas vraiment.

- Je ne comprend pas.

- Je vais bien mettre ma bite en toi, mais pas dans ta chatte.

- Où alors?

- Dans ton cul.

- Pas ça. Je suis contre la sodomie. C'est sale, c'est repoussant. Puis ça fais mal.

- Tu ne veux pas?

Mon invention aurait-elle finalement des limites? Malgré mon ordre de m'obéir, une désobéissance serait donc possible?

- Non, je ne veux pas.

Mais elle s'est quand même mise à quatre pattes, croupe relevée.

- Je croyais que tu ne voulais pas.

- C'est ça, je ne veux pas. Mais je n'arrive pas à te refuser quoique ce soit. Je ne sais pas pourquoi, mais si tu veux mon cul, tu l'auras.

J'étais stupide, ne pas vouloir, ne veut pas dire ne pas obéir. Léa a repris son discours.

- Mais si tu peux ne pas me prendre par là, ça m'arrangerais...

Léa à finis sa phrase dans un sanglot. Elle a repris en pleurant, mais sans changer de position, restant à quatre pattes, offerte.

- Je t'en supplie, baise moi simplement.

Je pouvais lire la peur, mais aussi la résignation dans son regard suppliant. Sans un mot, je me suis levé, je suis allé pisser. J'aurais pus uriner dans la bouche de ma sœur, mais je réserve cette idée pour plus tard. Ou pas. Une fois soulagé, je suis retourné dans la chambre, je suis remonté sur le lit. Me plaçant derrière Léa. Cette cruche a sursauté quand mon pieu c'est introduit entre ses fesses, butant contre son anus.

- Pitié!

- Ta gueule. Tes suppliques ne changeront rien.

- Mets au moins du lubrifiant.

- Non, je veux t'enculer à sec.

Ma sœur n'a pas répondu. Se contentant de pleurer plus fort. J'ai mis mes mains sur ses hanches. J'ai commencé à forcé. La conne contracte son anus. La peur qu'elle éprouve est terrible, mais à son grand désarroi, elle ne peut lutter contre les désirs et les ordres de son frère. Mon sexe ripe plusieurs fois. Rien à faire, ça ne veut pas rentrer. Au bout de dix minutes d'essai infructueux, rythmé par les pleures de ma salope, son trou du cul résiste toujours. Je me redresse, redescends du lit.

- Tu abandonnes?

Je la regarde, mais ma sœur n'a toujours pas bougée, attendant sûrement mes ordres.

- Non, je vais regarder sur internet.

- D'accord.

J'entends de la déception dans sa voix. Ce qui me donne encore plus envie de l'enculer. Mon ordinateur est allumé, je n'ai qu'a mettre l'écran en marche. Je tape comme recherche « pratiquer une première sodomie à sec. ». Après quelques sites sans intérêts, je trouve enfin celui que je veux. Je lis les instruction, je retourne sur le lit, le sourire aux lèvres. Léa n'a pas bouger, mais elle ne pleure plus. Dés que mon pieu se met de nouveau contre l'entrée resserrée de ses reins, les sanglots reprennent. J'enserre mon pénis de ma main, de façon que seul le gland ne sorte. La tenant par les hanches, de mon autre main, je me mets à donner des coups de reins de plus en plus fort. Dilatant petit à petit son anus. Quand après plus de dix minutes, d'une violente bagarre, son sphincter cède, avalant mon gland, Léa pousse un véritable hurlement de douleur. Tout son corps se tétanise. Mais ça y est, le bout de mon pieu est en elle. Je suis vraiment serré, cela en est presque douloureux. Je suis resté immobile quelques secondes, mais je ne veux pas qu'elle s'habitue à mon braquemart dans son cul. Je la saisie aux hanches. Je sais que je ne dois pas faire ce que je m'apprête a faire, que je peux lui fissurer l'anus, mais sur le moment je m'en moque. J'ai envie de lui faire mal, je veux l'entendre hurler. Quand je passe à l'acte la réaction de ma sœurette dépasse toutes mes espérances.

Je reprends, j'ai donc saisi les hanches de ma sœur, alors que mon gland est en elle. Léa contracte tellement son conduit que ma bite n'a pas été aspirée quand mon gland est entré. Je la tire violemment vers moi, tandis que je me propulse en avant du coup de reins le plus violent que je peux. Malgré l'étroitesse de son conduit anal, je rentre entre ses fesses de toutes ma longueur. Mon ventre cogne son postérieur dans un grand bruit de claque mouillée. Le hurlement de ma sœur est inimaginable. Long, guttural, venant du plus profond de son corps, de son âme. Pire que celui d'une bête blessée à mort. Je suis vraiment serré, je dirais même parfaitement serré. Léa a cabrée en hurlant, son dos venant heurter mon torse. Puis elle est retombée à quatre pattes, toujours hurlante. La malheureuse tremble de tout son corps, si fort que j'ai l'impression qu'elle me branle la bite. Je me suis mis alors à la travailler à grands coups de reins. La sodomisant comme un fou, lui arrachant des cris tous plus effroyables et affreux les uns que les autres. Je ne pensais pas que l'on pouvait hurler aussi longtemps, aussi fort. Chacun de ses cris, alors que je croyais cela impossible, monte d'un octave, d'une décibel, d'un volume à chacun de mes coups de reins. Je lui massacre le rectum, lui détruit l'anus. La vision de ma bite, rougit par son sang de pucelle, me rends ivre de lubricité. Heureusement pour elle, l'étroitesse du fourreau, la beauté pour moi de ses hurlements, font que j'éjacule vite au fond de ses entrailles. Mon sperme la brûle comme de l'acide, car cette fois, son hurlement doit s'entendre à l'autre bout de la ville. Heureusement que l'on vie dans une petite maison isolée, loin de tout vis-à-vis. Léa s'écroule à plat ventre, je m'écroule sur elle. La douleur doit encore être terrible pour elle, car ma sœur n'arrête pas de geindre. La pute tremble tellement, que par intermittence, son corps fait des soubresauts. Je lui arrache un ultime hurlement quand je me retire, que mon gland passe une dernière fois l'entrée de ses reins.

Je regard dans son trou du cul béant, il n'y a pas de traces de blessures. Je m'allonge sur le dos. Je regarde ma bite molle, elle a des traces de sang, de sperme, et d'autres plus suspectes. Il va falloir qu'elle me nettoie. Je la regarde. Léa me tourne le dos, elle est en position fœtale. Je vois du sperme rosé par le sang coulé entre ses fesses, sur ses cuisses. Je pose une main sur son épaule, elle sursaute, lâche un petit geignement.

- Pitié... Pas encore...

Cette conne sanglote toujours, je suis content de moi, je me suis enfin vengé de toutes ces année où cette pute m'a tourmentée.

- Tu vas me nettoyer avec ta bouche.

- S'il te plaît, j'ai mal. Tu m'as fais mal!

- Si tu refuses, je t'encule de nouveau. Tu sais que tu m'obéiras.

Léa hésite, mais elle sait que j'ai raison. Ma sœurette ne comprends pas pourquoi, mais elle ne peut résister à aucun de mes désirs.

- Alors?

En gémissant de douleur, Léa se met à quatre pattes. La douleur provenant de son anus, doit être forte, car cette chienne ne cesse de grimacer. Ses yeux sont rougis par les larmes. Ma sœur regarde ma queue, d'un air profondément triste et dégoûtée.

- Mais c'est dégueulasse! Il y a de la merde!

- C'est ta merde, alors nettoie.

Ma sœur ouvre la bouche, gobe mon sexe. J'entends aux bruits de sa gorge qu'elle se retient de vomir. Moi, je bande de nouveau.

- Va au bout.

Elle obéit, cette pute a un orgasme quand j'éjacule dans sa bouche. Comme d'habitude maintenant, elle avale ma semence avec délectation et dégoût. Je suis heureux, mon invention est vraiment fantastique.

Une fois sa fellation fini, ma sœur se recouche en chien de fusil, pleurant encore. J'ai pitié d'elle. J'appuie de nouveau sur le bouton de mon boîtier. Léa se lève, se met debout, droite, les yeux vide. Je ne sais pas pourquoi les gens dont je prends le contrôle se mettent dans cette position, un des mystère de mon invention.

- Que pense tu de ma sodomie?

- Même si je t'ai laissé faire, c'était un viol.

- Tu as eus mal?

- Plus que tout, un enfer.

- Bien tu n'oublieras pas la terrible douleur, par contre quand j'ai jouis, dans ta mémoire, tu auras eut un terrible orgasme.

- D'accord.

- Je ne changerais pas la douleur que tu ressent quand je t'encule. Ni ta honte ou ton humiliation. Par contre, chaque fois que j'éjaculerais, tu auras un orgasme. Plus fort que dans le vagin ou la bouche.

- D'accord.

- Parfait, pour le reste tu ne changes rien.

- Bien.

- Malgré ton dégoût, ta honte de te faire baiser par moi, tu adore toujours quand je te baise. C'est de plus en plus fort pour toi. Il faut que je te prenne, peu importe par où, c'est maintenant un besoin vitale.

- D'accord.

Par contre, quand je te dirais que je n'en peux plus, tu obéiras, mais tu seras frustrée, terriblement en manque de moi. Tu es prête à toutes les bassesses pour que je continue à te prendre. Peu importe l'humiliation ou la douleur que tu dois endurer.

- Bien.

- Parfait, oublie cette conversation, reviens à toi.

Ma sœur est revenu à elle. Léa se recouche contre moi. Cette fois elle ne pleure plus. Je la teste.

- C'était bien de te faire enculer?

- J'ai eus vraiment mal, c'était terrible. Mais tu m'as vraiment faites jouir.

- Parfait.

- On recommence?

- Je ne sais pas.

- Je t'en supplie, prends moi.

- De quelle façon?

- Peu importe, tant que j'ai ta queue.

Léa s'est mise à caresser mon engin. J'ai immédiatement rebandé. Quand je fus dur, ma sœurette s'est levée en rigolant.

- Où tu vas?

- Dans ma chambre.

Pourquoi dans sa chambre? L'espace de quelques secondes, je me demande si mon appareil bug au bout de plusieurs heures de domination hypnotique.

- Tu ne veux de ma queue?

Si, mais dans mon lit. Quand les parents seront là, je veux pouvoir sentir ton odeur. Savoir que ton sperme à coulé de ma chatte ou de mon cul sur mon lit.

Je prends mon jeans avec ma boite de pilules magique. Je sens que ce week-end va être sexuellement long. Pour mon plus grand plaisir.

J'ai pris ma sœur pendant des heures. Jouissant sans problème dans son vagin, son anus ou sa bouche. Je pense que très peu de femmes ont connu des orgasmes aussi énormes que ceux de ma sœurette. On s'est endormis vers quatre heures du matin, repus de sexe, complètement vidés. Heureusement que j'avais fabriqué plus d'un millier de mes pilules. Tout le week-end c'est passé à baiser. Le dimanche vers midi, le téléphone portable de ma sœurette à sonné. Elle l'a mit sur haut-parleur. C'était Siobanne.

- Allô Léa, c'est Siobanne.

- Comment vas-tu?

- Pas top, mais c'est surtout à toi qu'il faut demander ça.

- Moi? Mais pourquoi?

- Tu n'es pas au courant pour Jordan?

- Non, on s'est séparés vendredi après-midi. Mais ne t'inquiète pas je le vie bien.

- Je ne savais pas. Mais ce n'est pas ça.

- C'est quoi alors?

Je me suis levé, nu, en silence. J'ai pris une feuille de papier dans l'imprimante sur le bureau de ma sœur. Ainsi qu'un stylo. J'ai commencer à écrire, tout en écoutant la conversation, en souriant.

- Ben vendredi soir, il a sauvagement battue et violée sa mère. C'est des voisins qui l'ont entendue crier vers quatre heures du matin. La pauvre est dans un sale état...

- Merde, le salaud, j'ai bien fait de le quitter.

- Oui, mais toi, tu couche déjà avec. Tu es consentante, il ne t'aurais pas violée.

- Non, il a jamais put.

- Merde, il devait avoir des fantasmes de viols. Le genre de trucs qui rend impuissant quand il s'agit de faire l'amour normalement.

J'ai fait lire à ma sœur, ce que j'avais marqué sur la feuille. Léa m'a sourit en me faisant un clin d'œil.

- Merde, c'est vraiment affreux.

- Comment tu prends la nouvelle?

- Très mal. Mais ça va.

- Je peux venir pour que l'on parle, je suis en psycho n'oublie pas.

- Je n'oublie pas. C'est très gentil, ça me ferais du bien en effet. Mais aujourd'hui je préfère rester un peu seule, faire le point sur tout ça.

- C'est normal, c'est le choc. Je peux passer demain, à l'heure que tu veux.

J'ai noté dix-sept heures sur ma feuille.

- Vers dix-sept heures c'est possible?

- Oui, c'est parfait.

- D'accord, merci beaucoup. A demain. Bisous.

- Bisous.

Quand elle a raccrochée, ma sœur m'a regardée un peu inquiète. Je l'ai interrogée.

- Il y a quoi?

- Ben si tu me dis de faire venir Siobanne, c'est qu'elle te plaît. J'ai peur que tu ne veuille plus de moi. Cette salope est beaucoup plus jolie!

C'est vrai que si ma sœur était dans les trois plus belle fille de la région, Siobanne était sans conteste possible, la plus jolie fille du pays, voir du monde. A vingt-trois ans, elle avait été élue miss nationale, puis miss monde et enfin miss univers. Son père était d'origine Apache, sa mère Suédoise. Ils s'étaient rencontré aux USA, pour venir s'installer dans mon pays, quelques mois avant la naissance de Siobanne. Cette dernière avait pris le meilleur des deux origines. Une splendeur brune, à la peau mat, au visage et au corps parfait. Je savais que certains gay étaient devenu hétéro à cause d'elle. Mais jamais personne ne l'avait vue avec un homme. J'allais être le premier. J'ai regardée ma sœur en souriant.

- Même si je sort avec elle, je te baiserais toujours, tu es trop bonne.

- Juré?

- Juré! D'ailleurs mets toi sur le ventre que je t'encule?

- Tu ne veux pas me prendre par devant, j'aime pas par derrière, ça fait mal.

- Je veux ton cul!

Ma sœur s'est retournée sur le ventre, en murmurant :

- D'accord, mais ne soit pas trop violent.

J'ai souris, je me suis couché sur elle, la pénétrant d'un seul coup. Je me suis mis à la défoncer le plus durement possible, lui arrachant d'atroce hurlement de douleur. Avant de lui déclencher un orgasme si puissant, qu'elle en manqua s'évanouir.

Avec ma sœur on a baisé tout le week-end. Le dimanche soir, on était dans le salon, quand la porte d'entrée s'ouvrit. C'était mon père et sa femme. Si Léa la considérait comme une seconde maman, pour moi, cette connasse n'était que la femelle de mon père. Quand ils sont rentrés dans le salon, ils se sont immobilisé ahuri. Ma belle-mère est restée la bouche grande ouverte. Mon paternel à crié :

- Léa! Jonas! Vous faites quoi?

J'étais assis dans le canapé, le pantalon et le caleçon baissé sur les chevilles. Léa, complètement nue, agenouillée sur le sol, me prodiguait une magnifique fellation. J'ai fais mon plus beau sourire. J'ai appuyé sur mon boîtier magique. Aussitôt mon père et sa pute se sont mit droit, les bras le long du corps, le regard vide.

- Attendez, j'attends que cette chienne finisse et je suis à vous!

Tout en disant ça, j'ai gobé une de mes pilules, j'avais une idée très précise de la suite des événements. J'en salivais d'avance.

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Anonymous
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6 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 9 mois

Très bonne série que je recommande.

Aqua..

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

I love This 🤤

karlamakarlamail y a plus de 7 ans
Hyponose mécanique

Super bonne histoire. Réel fantasme de prendre le contrôle de personnes comme cela.

Vite la suite

Bravo à l'auteur

CocuforeverCocuforeveril y a plus de 7 ans
Les pilules, les pilules,les pilules !!!!!

Excellente fiction, bon scénario; j'aime aussi la pointe d'humour noir. Vivement la suite. Ça c'est du véritable fantasme: prendre le contrôle sexuel de personnes.

AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans
Super

Merci et Bravo! Vivement la suite.

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