Hypnose Mécanique 12

BÊTA PUBLIQUE

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- Tu m'as vraiment fais mal ce soir.

- Ta gueule.

- Pourquoi tu me traite comme ça?

- Tu oublie ton engagement, tu accepte tout ce que je veux. Alors maintenant ferme ta gueule.

- Pardon mon amour.

Je m'endors aussitôt. Le matin, au réveil, je me précipite pour aller voir le blog de Anna. Pour la première fois depuis que je la baise, je n'ai pas pris Siobanne avant de me lever. Je suis resté étonné, Anna est dithyrambique sur moi. Elle ponctue sa longue tirade d'une question : Serait-il le bon? Je ne sais pas pourquoi, cela me fait immédiatement bander. Je devrais plutôt dire que je sais pourquoi cela me fait bander, mais qu'il est trop tôt pour que vous le sachiez. Je retourne dans la chambre, Siobanne dors encore. Je remonte dans le lit, je me couche sur elle et je lui massacre l'anus avec ma bite.

Aziza à grave dérouillée, baisée, utilisée comme pissotière ou lécheuse d'anus plein de merde. Sa déchéance est totale. Elle est rentrée tard, au petit matin, avec Mario, qui l'a achevée, en l'enculant dans son propre lit. C'est lui qui la réveille en la sodomisant une nouvelle fois, une fois fini, ils vont de nouveau au bar. Il est quatre heures du matin quand ils y arrivent. Le bar est plein. De nouveau Aziza devient un WC dans les WC, en plus d'en être le vide-couilles. Sa vie restera comme cela jusque au lundi, et son retour au boulot.

Siobanne est en pleure dans le lit, d'est vrai que j'y suis allé vraiment fort. Mais je m'en fou, j'en avais besoin. Son trou du cul est encore largement ouvert, il dégouline de sperme et de sang. Je le lui ai fissuré, il faudra qu'elle aille voir un docteur. Mon téléphone sonne à dix heures. C'est Vladimir. Je décroche.

- Jonas, c'est impressionnant. Vous avez trouvé et mis Anna dans votre poche rapidement.

- Merci, alors, on fais affaire?

- Bien sur. On peux se voir?

- Dans trente minutes chez Radiu.

- OK, a de suite.

Je me suis retourné vers Siobanne.

- Met ta robe rouge de pute, on part dans dix minutes.

Quand je suis arrivé dans le bar, Vladimir a jeté un regard étonnée sur Siobanne.

- C'est ma copine, tu peux parler devant elle. Hein sale putain que tu m'appartiens?

- Corps et âme.

Il a sourit.

- Bien, donc notre premier arrivage arrive dans deux semaines. Des brésiliennes. Vingt femelles.

- OK, cela marche pour moi.

- Je ne sais pas si c'est possible, mais on aimerais aussi avoir, au minimum une dizaine d'escort-girl top classe.

- D'accord. Mais vous ne les avez pas?

- Difficile d'enlever ce genre de femmes.

- Je comprends. Si certaines sont connu du public, ça vous va?

- Oui, mais pas toutes. Les clients pour qui elles seront destinée n'aiment pas trop la pub. Par contre pour les partouzes ou les soirées à thème, avec nos top clients, oui, plus elles sont connues, mieux ce sera.

- Je comprends. Des filles exclusive à votre organisation ou qui ont leurs vies et qui font l'escort de temps en temps?

- Seulement de temps en temps ce serais le top. Enfin pour commencer. Trente mille par fille qui rejoint notre catalogue, plus dix pour cent pour vous à chaque rendez-vous, ça vous va?

- Bien sur. C'est un joli deal.

- Super. Dans combien de temps?

- Dans un mois pour les dix premières. Ensuite si ils vous en faut plus, c'est une nouvelle par semaine.

Ce n'est pas que je ne peux pas, mais je préfère ne pas attirer l'attention des flics ou des journalistes. Je pourrais les mètrent sous mon emprise, mais si il y en a trop, je risquerais de merder.

- Parfait.

On s'est serré la main pour sceller notre accord.

- En gage d'amitié, Siobanne viens avec vous pour une semaine, mais à votre usage exclusif, ça vous va?

- Putain que ça me va, ta meuf est un vrai canon, elle a amplement méritée son titre de miss univers!

Siobanne au bord des larmes me regarde dans les yeux.

- S'il te plaît Jonas...

- Ta gueule toi, je te l'ais dis. Tu n'es qu'un trou à bites pour moi. Tu vas aller avec Vladimir et tu feras tout ce qu'il te dis. C'est un ordre, tu vas le faire oui ou non?

Les larmes de Siobanne, qui pleure maintenant, ne me touche pas.

- Oui, je ferais tout ce que tu veux.

- J'ai une limite avec elle?

- Aucune, sauf que je ne veux aucune cicatrice permanente sur son visage, ni aucune blessure grave, pour le reste c'est totale liberté. Un œil au beurre noir juste avant le sexe n'a jamais tué personne... Mais attention, pas d'hommes en plus de toi. Comme cela tu verras les qualités de mon dressage.

- Merci mon ami.

Je lui tends un sachet de mes pilules.

- Tiens, c'est comme le viagra, mais c'est cent fois plus puissants. Il n'y a aucun risque, ce n'est que des produits naturels, tu peux en prendre autant que tu veux. Avec ça tu peux baiser et éjaculer à volonté.

Vladimir prends le sachet, il ne répond pas, se contentant de regarder Siobanne d'un sourire pervers.

En sortant je prends mon portable, Paolo m'a laissé un message hier soir, je le rappelle. Tout est enfin prêt pour les films. Pour la partouze de Martha et Lin, pour le viol de Léa. On se donne rendez-vous le lendemain matin. Chez lui. Une fois qu'il a raccroché, j'appelle mes trois putes. Je leur demande de me rejoindre chez moi. Il est grand temps que je m'occupe de nouveau d'elles. Depuis qu'elle s'est faites prendre par les deux chiens, je n'ai fait que croisé Léa. C'est mon père qui me donne régulièrement de ses nouvelles. Elle ne s'en remet pas. Tant mieux, ce n'était que l'apéritif. Je prends ma voiture et me rends chez moi. Lin est déjà là, elle m'attend devant ma porte. Je n'ai pas le temps de me garé, que Martha et Léa ont montées les marches et m'attendent elles aussi. Je souris, les trois sont habillées comme des putains, c'est vrai qu'elles viennent du travail. On voit bien le ventre rond de femmes enceinte de quatre mois de Léa et Martha, c'est top, cela rajoutera à la puissance du film. J'ouvre la porte et les faits rentrer. J'appuie sur mon invention, leurs yeux deviennent vitreux, elles se raidissent.

- Qui suis-je?

- Le maître.

- Et vous?

- L'esclave.

A chaque fois elles répondent en chœur. Je ne sais pas pourquoi, mais j'adore cette partie de la prise de contrôle.

- Bien, Lin et Martha, demain matin, vous allez tourner un film zoophile. Quand vous serez devant les chiens, vous mouillerez avec l'envie folle de sucer, de vous faire enculer et baiser par eux. Pendant tout le film, vous aurez orgasmes sur orgasmes à chaque accouplement. Vous ne prendrez en pleine gueule ce qu'il vient de se passer, qu'après être rentrée chez vous. Vous le vivrez comme si vous vous étiez fait prendre par des chiens quand vous étiez libre, avant ma prise de contrôle. Compris?

- Oui.

Les deux chiennasses m'ont répondu en même temps.

- Quand à toi Léa, cela va être un véritable viol. Tu seras le temps du film, redevenu la fille que tu étais avant que je te contrôle. Tu réagiras normalement, sans aucune barrière au fait de te faire violer par des chiens. Tu ne te rappelleras pas de Paolo, ni de ce que tu as vécu avec lui et ses chiens, à partir de demain matin. Une fois le film fini, tu reviendras sous mon emprise. Mais tu ressentiras ce que tu aurais ressenti après un viol canin. La seule chose qui t'es interdite c'est le suicide. D'aucune manière que ce soit. Tu ne pourras pas, non plus, pousser quelqu'un à te tuer, ni prendre aucun risque vitale. Mais tu resteras obligée d'obéir à chacun de mes ordres. Compris?

- Oui.

- Parfait, revenez-à vous, oubliez cette conversation.

Les trois filles redeviennent normales. Aucune d'elles ne sait ce qui l'attend le lendemain.

- Bon, les salopes, mettez-vous toutes à poils, on va passer la journée à baiser, j'ai un stock de pilule, vous allez prendre cher.

Aziza à le cœur qui bat la chamade. Après ce qu'elle ressent comme des viols, voilà qu'elle a trois jours pour séduire son chef. La jeune fille n'en a aucune envie, mais elle sait que si elle ne le fait pas, ce seras encore pire, vraiment pire que tout ce qu'elle a vécu jusque ici. Alors quand elle voit le commandant Eric Dubois, elle sait qu'elle n'a pas le choix. Pour sa première journée au commissariat en tant que salope, Aziza n'y est pas allé trop fort. Un petit short, moulant parfaitement son superbe cul, un top, pas décolleté du tout, mais laissant son ventre nu. Le commandant Dubois la regarde quand elle rentre.

- Nouveau style vestimentaire?

- Oui, j'en ai marre d'être en jeans et tee-shirt.

- J'aime beaucoup.

- Vraiment?

- Vraiment, tu es bien foutu, donc tu peux tout te permettre.

Aziza ne veux pas y aller franco. Alors elle change de sujet.

- Un truc spécial?

- Non, tout est calme.

- Bien. Un truc de prévu aujourd'hui?

- Non, rien de spécial. On va pouvoir faire notre paperasse en retard.

- OK, c'est toi le chef.

Le soir je me suis endormi tôt. Il n'y a plus que Martha et Léa avec moi. J'ai renvoyé Lin chez mon père. En effet, Paolo m'a appelé, il m'a dit qu'une seule actrice par film se serait beaucoup mieux. Il n'a pas tort, j'ai accepté. Il me tarde d'être le lendemain, ça va être fort.

Vers treize heures, juste après mangé, une affaire est tombée. Rien de folichon, un cambriolage avec violences. Ils se rendent sur les lieux. Une femme de chambre dans la soixantaine est tombé sur les deux cambrioleurs de ses patrons. Ils l'ont frappé, avant de s'enfuir, sans leurs butins. Rien de grave, un coup de poing et un coup de pied. Ils ne se sont pas acharné. En vingt minutes tout est fait. Ils repartent. Alors que Dubois se dirige vers la voiture, Aziza l'interpelle.

- Attends, j'ai un truc à prendre chez moi, c'est à deux pas.

- OK, vas-y.

- Tu pourrais venir avec moi, j'ai envie d'un café.

- Pas bête, moi aussi j'en boirais bien un. En route.

Dans les escaliers de son immeuble, Aziza marche devant. Dubois admire son cul superbe. Il la trouve vraiment bandante habillée comme cela. La jeune femme qui a fait exprès de partir sans son téléphone, le récupère sur la table de son salon. Elle va faire le café, tandis que Dubois s'assoit sur le canapé.

Le matin, je n'ai touché ni ma sœur, ni ma belle-maman, je voulais les préserver pour leurs amants. Aucune des deux ne sait ce qui l'attend. Bien entendu, Paolo est au courant, je lui ais dis que j'avais fais hypnotiser ma sœur pour qu'elle oublie sa rencontre avec lui pendant quelques heures. L'idée l'a emballé. Pour mes deux putes, je leurs ais raconté que j'allai les présenté à un réalisateur important de film X traditionnel. Martha tournera la première. Léa attendra pendant ce temps dans une autre pièce.

Aziza revient cinq minutes plus tard avec deux tasses de café. Ils le boivent en discutant de tout et de rien. La jeune femme se lève ensuite, pour aller aux toilettes. Quand elle revient, Dubois n'en crois pas ses yeux, la jeune femme est complètement nue. Il a un vue parfaite sur ses splendide petits seins, sa chatte parfaitement épilée. Il se lève d'un bond en la voyant dans sa complète nudité. Il est tellement stupéfait, qu'il ne dit pas un mot, se contentant d'ouvrir grand les yeux d'ahurissement. En dix secondes Aziza est presque contre lui, il peut sentir son odeur délicate.

- Tu fais quoi Aziza?

- Chut!

Pour le faire taire, la jeune femme l'embrasse. Si il ne répond pas à son baiser, il ne la repousse pas non plus. Elle se met à lui masser le chibre par dessus son pantalon, elle sent qu'il commence à bander dur. Elle lui détache la ceinture du pantalon, fais descendre la braguette, en extrait le membre. Elle se laisse tomber à genoux, elle ouvre la bouche et avale le sexe du policier. L'heure de vérité est pour maintenant, soit il la repousse, soit il se laisse sucer. Et alors ce sera gagner.

Siobanne n'en peut plus. Vladimir l'a prise par tout les trous pendant toute la nuit. Un véritable viol consenti. Enfin plus laissé faire que consenti. Les marques de morsure sur ses seins, les bleus sur son corps, montrent la violence des rapports sexuel. Elle n'a fait que pleurée et criée, tandis qu'il lui défonçait le vagin ou l'anus. Avec l'aide des pilules de Jonas, il s'est servit de son corps pendant huit heures d'affilé.

Dubois se laisse faire, il n'a jamais vu Aziza comme une amante, mais il faut dire qu'en plus d'être diablement belle, la fille est une suceuse magnifique. Mais rapidement elle le sort de sa bouche. La jeune femme repousse Dubois sur le canapé, l'homme tombe assis. Elle s'assoit alors sur lui, enfonçant le chibre de l'homme dans son vagin. Dubois gémit en la pénétrant, pas de doute, en plus d'être serrée, la fille est douée. Très douée. Rapidement il jouit en elle. La jeune femme se relève et va se doucher. Elle est sauver. Puis sans un mot, les deux amants retourne au boulot. Dubois prétexte un rendez-vous extérieur pour éviter de rester avec Aziza après ce qu'il c'est passé entre eux. La jeune femme allume son ordinateur. Elle va dans la base de donnée française, puis sur Europol et Interpol. Il y a des dizaines d'affaires de viols. Dire que ce n'est qu'une minorité, la très grande majorité des victimes de viols ne portant pas plainte. Aziza décroche alors son téléphone.

Je suis encore chez moi, quand mon téléphone sonne.

- Allô.

- Jonas, c'est Aziza.

- Oui?

- J'ai couché avec Dubois. Là, je suis en train de regarder les dossiers de viols récents, il y en a énormément. Cela va être dur de tous les imprimer sans réveiller l'attention.

- Il faudrait quoi pour que ce soit discret?

- Que je sois muter au service qui s'occupe exclusivement des affaires de viols. Cela devrait être possible, car il recherche une policière pour intégrer l'équipe.

- D'accord pour moi. Il doit y avoir un gros problème pour que tu m'appelle?

- Oui, ce seras beaucoup de boulot pour imprimer tout ça. Avec ce que tu m'imposes, cela va être très court en temps.

Je ne lui réponds pas de suite, je réfléchis un moment.

- Tu es là, Jonas?

- Il y a une autre fliquette très bandante dans ton commissariat?

- Oui, Jessica, on l'appelle Jess. Brune, vingt et un an, c'est une première année. Elle a la peau mat, elle est d'origine espagnole, c'est un vrai canon. Tout les flics du postes bandent pour elle.

- Elle à quelqu'un?

- Non, c'est une fan de Anna Diesel. Tout canon qu'elle est, elle n'arrive pas à trouver un mec acceptant cela. Surtout avec une meuf aussi bandante qu'elle.

- OK, démerde toi pour être avec elle, chez toi, après-demain soir.

- Pourquoi?

- Si elle me fait encore plus bander que toi, je te libère de mes ordres, elle prendra ta place.

Cette voix c'est Aziza qui reste quelques secondes sans voix. Elle reprend vite ses esprits.

- Elle y sera, je te le jure.

- Bien, si tu ne veux pas que je te les ordonnent de nouveau, il faudra que dans un mois, j'ai tout les dossiers de viols récents. Ainsi que ceux qui se produiront au jour le jour.

- Elle y sera, et tu auras les premiers dossiers demain.

- Bien. Tu vas aussi me rendre un dernier petit service.

Après m'avoir écouter, Aziza raccroche, jamais elle n'aurais pensé que cela se passerait aussi bien pour elle. La jeune fliquette se lève pour aller voir Jessica, le plus dur sera de la convaincre. Mais même si elle dois la braquer, la jeune policière sait une chose, demain, Jess seras la pour la visite de Jonas.

On a rendez-vous près du port, dans un vieil entrepôt abandonné, racheté une bouchée de pain et transformé par Paolo en studio de cinéma porno. On y trouve trente plateaux différent, pour tourner des films avec des décors clés en main. Des actrices, volontaire ou non, sont aussi à disposition de la production. On peut y tourner un film X pour une bouchée de pains. Ce qui fait que le studio tourne à plein régime, avec des productions du monde entier. Mais ce n'est pas dans l'entrepôt qu'auras lieu le tournage des films de Martha et Léa. Léa est conduite dans un bureau, elle y attendra mon retour. Elle surfera sur internet, où matera un film pendant le tournage de Martha. Je fais le tour du hangar avec Paolo et Martha. Rapidement on arrive devant un grand grillage en plein air, c'est là que ma belle-maman tournera son premier film qui fera d'elle une star mondiale.

Aurélie subit depuis qu'elle est là le même traitement de sauvage. Le matin, viol par les malades d'un aile de l'hôpital psychiatrique. Cela dure jusque au soir. Douche, puis viol dans la douche par les gardiens qui l'ont faite laver et manger. De retour dans sa chambre, viol par le personnel partant et celui de nuit. Puis quatre heures de sommeil et rebelote. Mais ce matin, après le petit déjeuner, on ne l'emmène pas se faire prendre par les malades. On la coiffe, on la maquille légèrement pour qu'elle est bonne mine. Pour la première fois depuis son arrivée, on la laisse mettre une blouse. C'est la première fois où elle ne restera pas nue. Puis on l'emmène dans une salle vide. On la fait s'asseoir sur une chaise qui se trouve devant une table, puis on la menotte à la table. Elle attend ainsi pendant dix minutes. Enfin la porte s'ouvre. Aurélie ouvre la bouche de stupéfaction en voyant la personne qui entre.

C'est la policière qui à menée l'enquête avec Dubois. Elle ne se souvient que de son prénom. Aziza. Aurélie est folle de joie, peut-être qu'elle a enfin une porte de sortie. Aziza s'assoit, regarde l'ancienne prof.

- Bonjour Aurélie, je suis venu voir comment vous allez.

- Mal, très mal.

- Pourquoi?

- On me viole depuis que je suis là.

- Qui ça? Jonas ou vos élèves?

- Non, c'est vrai, je vous jure que c'est vrai.

- Vous me prenez pour une conne?

- Non, je peux le prouver!

- Comment?

- Enlevez ma blouse, regardez mon corps.

- Je ne vais pas le faire.

- Vous ne me croyez pas?

- Non, mais je suis flic, je vais demander les enregistrements de votre chambre. Je reviens.

Aurélie ne peut cacher son sourire, quand Aziza sort de la pièce. C'est dieu qui l'envoie, cette policière va l'aider. Elle va bien voir sur les images ce qu'elle subit. La fliquette revient vingt minutes plus tard, une tablette dans les mains.

- Alors, vous avez vu?

- Oui, j'ai vu cela.

Aziza appuie sur sa tablette. Une vidéo démarre, celle d'Aurélie dormant dans sa chambre, seule.

- Mais, c'est la vidéo de mon premier jour ici.

- Non, la date est affichée.

- Non, regardez mon corps.

Aziza se lève, remonte la blouse de Aurélie. En effet son corps, son entrecuisses son couvertes de bleues. Aurélie écarte les cuisses, son vagin montre les traces de centaines de viols. Aziza la regarde dans les yeux.

- En effet, là on ne peut le nier, vous avez bien été violée.

- Vous voyez, vous allez faire quelque chose?

- Oui, je vais sortir, et laissez les garde s'occuper de vous.

- Quoi?

- Vous m'avez entendu. Vous ne sortirez jamais vivante d'ici. Vous mourrez de mort naturelle. Mais en attendant ce sera que des bites pour vous, des milliers, voir des millions de bites.

- Quoi? C'est une blague?

Aziza se lève, met la main sur le bouton de la porte.

- Non, ne partez pas, vous ne pouvez pas.

- Si je le peux. Une dernière chose, vous avez le bonjour de Jonas. Au revoir Aurélie. Ou plutôt adieu, et bonne bourre.

Aziza sort, trois gardes rentrent. Aurélie à toujours la blouse relevée. Ils la penchent sur la table, et quand le premier gardien la sodomise, Aurélie hurle. Elle hurlera longtemps ce jour là, ainsi que tout les jours suivant.

Martha voit Paolo ouvrir une porte dans le grillage. Il y a au milieu une espèce de grange. Ils entrent dedans. A l'intérieur des dizaines de cages. Dans chacune un chien. Paolo me sourit. Il me parle loin de Martha, pour qu'elle n'entende rien.

- J'ai pus trouver une centaine de chiens.

- Cela ne fais pas beaucoup?

- Tous ne seront pas pour cette fois-ci. J'ai prévu une dizaine de films avec elles. Le premier sera une partouze avec trente chiens.

- Pas mal pour un début.