Hypnose Mécanique 10

BÊTA PUBLIQUE

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Je suis au paradis, je suis un héros national, le pauvre génie accusé à tort, Aurélie viens de prendre ma place, elle est maintenant la personne la plus détesté du pays. Je ne vous cache pas que je vous ai un peu manipulé. Quand Aurélie est entrée en furie, dans mon bureau la première fois, je l'ai prise sous mon emprise. Elle m'a expliquée son plan, je l'ai trouvé sympa. Je lui ai dis de le suivre. Mais elle m'avait donné le noms de ses élèves, je suis allé les voir. Je les aient mis sous mon emprise, je leur ai ordonné d'aller plus loin dans le viol que ce que va leurs demander Aurélie. J'ai ordonné à Joey de mettre en marche l'enregistrement. Bien sur, il ne pouvait pas le faire en cachette. Une simple suggestion à Aurélie et aux autres à fait qu'ils ne l'ont pas vu mettre en route l'ordinateur et lancer l'enregistrement. Bien entendu, les suggestions sur la violence du viol de la pauvresse viennent aussi de moi.

Le fait de coucher avec moi le lundi, viens bien du plan d'Aurélie. Je n'ai rien rajouter. J'ai juste implanté un autre ordre. Les réponses qu'elle devrait donner aux experts psychiatre après le procès. Le résultat ne s'est pas fait attendre. Aurélie à été déclaré inapte psychologiquement à toute formes de condamnation pénale. Elle montre, par contre un risque extrêmement élevé de réitéré ses actes monstrueux, de plus son désordre mental la rendent extrêmement dangereuse pour la société. Avec de gros risque d'extrême violence, voir de crime de masse. Les trois experts ne seraient pas étonnés qu'elle passe aux meurtres de masses si elle n'est pas soignée. La sentence est sans appel, Aurélie est condamné à l'internement jusque à guérison complète.

Guérison qui n'arrivera jamais, je suis en train de m'en assurer. Je suis en face du directeur de l'établissement psychiatrique où va être interner Aurélie. Tout les psy de l'hôpital y sont aussi. Tous sont sous mon contrôle, je leur donne mes ordres. Ensuite je passerais aux malades de l'établissement, eux aussi recevront mes ordres. L'établissement psychiatrique de haute sécurité, est truffé de caméras, elles fonctionnent en wi-fi, le directeur peut tout voir de chez lui. J'ai pris ses codes, moi aussi je pourrais maintenant tout voir en temps réel. Maintenant c'est à mon tour de me venger. D'abord je vais m'occuper d'Aurélie, ensuite ce sera le tour de la jolie fliquette.

Aurélie est en dessous de tout. Depuis dix jours, elle subit un interrogatoire des experts psy. Leur verdict est sans appel, internement jusque à guérison complète en raison d'un risque de dangerosité extrême. Son plan c'est retourné contre elle. Les experts n'ont rien voulut entendre, pour eux elle est malade. Certes le viol de la part de ses cinq élèves part d'elle, mais cela a dégénéré, elle ne voulait pas autant de violences, ni un viol aussi long. Mais les psy ne veulent rien entendre, pour eux elle a tout manigancée. Ce qui est vrai, mais en étant saine de corps et d'esprit. Aurélie est persuadée qu'elle ne restera pas longtemps, ceux qui la soigneront se rendront bien compte qu'elle n'est pas folle. Elle est persuadée qu'elle retrouvera rapidement sa liberté afin de remettre en marche un nouveau plan contre moi.

Aurélie est finalement internée. Menottée, encadrée par trois gendarmes, la jeune femme est convoyée à l'établissement privé sous contrat d'état, l'hôpital psychiatrique Saint-Benoît. C'est une véritable usine de trois mille patients interné, dont presque mille rien que dans l'aile de haute-sécurité destiné aux malades dangereux. Comme dans les films d'épouvante, l'hôpital gigantesque se trouve dans une forêt, loin de toutes habitation. Un endroit isolé et lugubre. Les gendarmes la remette à quatre infirmiers. De nouveau, Aurélie est menottée, mais en plus, cette fois on lui entrave les chevilles.

Moi j'assiste à toute la scène chez Aurélie dont je squatte la maison, je ne vais pas souvent chez Romina, trop de clients. Avec l'aide de mon invention, la justice m'a octroyée la totalité des biens de la belle prof en dédommagement de ce qu'elle m'a fait subir. La jeune femme n'a vraiment plus rien, sa maison héritée de ses parents, ainsi que tout ce qu'elle contient est à moi. Ses comptes en banques ont été fermé, la somme de quarante mille balles qui s'y trouvé m'a été versé aussi. En attendant je regarde l'écran géant de son salon, on la voit arrivée et être remise aux gardiens de l'hôpital psy. Siobanne nue, est agenouillée entre mes jambes, en train de me prodiguer une pipe merveilleuse. A coté de moi, sur le canapé se trouve un sac de mes pilules magique, je vais pouvoir baiser à volonté un long moment.

Aurélie, toujours encadré par les trois hommes est amenée dans une pièce sombre. Un des gardes prends dans une armoire, une paire de drap, une couverture, des culottes, deux paires de sandalettes en plastique, ainsi que plusieurs blouses de malade. Elles sont verte. Un des gardes lui désentrave les chevilles, il lui enlève les menottes.

-- Passe-ça.

Il lui met une des blouses dans la main.

-- Pas devant vous!

-- Tu vas pas commencer à nous emmerder. On est aussi infirmier, donc il n'y a pas de problèmes. De toutes façon il n'y a aucune employée de sexe féminin dans cette section.

Aurélie sait qu'elle n'a pas le choix, si elle se met le personnel à dos dés le premier jour, cela pourrait retarder sa libération.

-- Si vous êtes infirmier, alors c'est d'accord.

La jeune femme se retrouve rapidement en string et soutiff.

-- Le soutien-gorge aussi, tu n'en porteras pas ici.

-- D'accord.

La jeune femme se retrouve seins nus, sa magnifique poitrine à la vue des gardiens. L'un d'entre eux lui donne un truc en tissu noir.

-- Tu dois porter des culottes réglementaire, enlève ton string et passe la culotte que je viens de te donner.

Aurélie est humiliée de se retrouver nue devant ces trois hommes, la jeune femme leurs obéit quand même. La culotte qu'il lui donne est assez sexy pour une tenue de malade internée. C'est une petite culotte assez moulante. Aurélie la passe en pleurant. La blouse verte est elle aussi courte, elle lui arrive à peine aux cuisses.

Moi, j'ai déjà jouit deux fois dans la bouche de Siobanne, elle commence à bien avoir mal aux mâchoires, mais elle ne râle pas. Elle continue consciencieusement sa fellation. J'ai enfin pus voir Aurélie nue. Elle est vraiment bien foutue, avec ses seins lourds, son superbe cul bien bombé, les poil drus, couleur sable de son bas-ventre. Après avoir jouis une troisième fois dans la bouche de Siobanne, j'éteins la télé. Il n'arrivera rien à Aurélie ce soir. Siobanne me regarde.

-- On va faire l'amour?

-- Non, pas ce soir, j'ai envie de dormir, je me suis suffisamment vidée dans ta gorge.

-- J'aurais bien aimée jouir moi aussi, mais c'est toi qui décide.

-- Ben tu ne jouiras pas ce soir. Allez, on va se coucher.

L'un des trois gardiens explique à Aurélie le règlement.

-- Vous avez une paire de drap, un taie d'oreiller et une couverture. On les change une fois par semaine, le vendredi. En plus de ceux que vous portez, vous avez six culottes et six blouses. Tout les matins le réveil a lieu à sept heures. A sept heures quinze le blanchisseur passe. Vous lui remettez la blouse et la culotte que vous avez porté la veille, il vous en redonne des propre, c'est comme ça tout les jours. Sept heure trente c'est le petit déjeuner. Ensuite à huit heures c'est les activités. Je n'ai pas votre programme. Le responsable de votre thérapie vous le donnera. Vous avez droit à une douche tout les deux jours. Comme l'aile est mixte et que vous êtes la seule femme vous la prendrez seule, sous la surveillance de d'infirmiers. Pas des infirmiers-gardiens comme nous, de simple infirmiers. Compris?

-- Oui.

-- Bien, demain matin, après le petit déjeuner on vous amènera voir le directeur, il s'entretiendra avec vous. Après vous rencontrerez le responsable de votre thérapie. Il est vingt heures, on va vous conduire à votre chambre. Si vous ne faites pas d'histoire, vous ne serez pas entravé, sinon suivant ce que vous faites, c'est menottes aux poignets et entraves aux chevilles, voir la camisole. Compris?

-- Je ne ferais pas d'histoires.

-- J'espère. Prenez votre paquetage.

Aurélie est conduite dans une chambre.

-- Pour ce soir, vous avez une chambre seule, le directeur décidera ensuite si vous y restez ou si il vous place ailleurs.

-- Bien.

Les gardiens repartent après avoir fermé la lourde porte à clés. Aurélie regarde la chambre, elle est petite. Il y a un lit, un WC, un lavabo, un bureau et une chaise. Ainsi qu'une armoire en métal. Tout est vissé au sol. Aurélie range ses tenues dans l'armoire, fait son lit et se couche. Elle s'endort immédiatement, épuisée par sa journée.

Je me réveille à neuf heures, je bande dur. Siobanne dort encore profondément. Je me couche sur elle, je la sodomise à sec. J'y vais fort. Elle se réveille en criant car je lui défonce le cul. Je n'ai cure de ses pleures, je continue à la prendre, jusque à la jouissance. Elle bien sur ne jouit pas du tout, mais cela je m'en fiche, seul mon plaisir compte. Elle est juste un moyen. Une fois que j'ai finis, elle me suce pour me nettoyer la bite. Je décide de la laisser aller au bout. Quoi de mieux que deux éjaculations en se réveillant?

Aurélie est réveillée à sept heures, elle a bien dormi. Après le petit déjeuner , elle est conduite dans le bureau du directeur par les trois gardiens de la veille. Exceptionnellement elle est menottée, les mains dans le dos. Les malades jugés dangereux, sont toujours entravé pour voir le directeur. Les trois gardiens rentrent avec elle pour son entretien. Un se met derrière elle, à l'intérieur du bureau. Le second est sur sa gauche, le dernier sur sa droite. Le directeur est un petit homme d'une soixantaine d'année. Il se met devant Aurélie.

-- Mademoiselle Dumont, je suis enchanté, cela me fait plaisir d'avoir une célébrité comme vous au sein de mon établissement.

-- Moi, je ne peux pas dire que je sois enchantée d'y être.

-- Je comprends tout à fait votre point de vue. Je vais vous faire un topo de ce que j'attends de vous et de votre comportement. Êtes-vous d'accord?

-- Bien sur.

-- Bien, mais je ne vais pas vous faire un long discours, il y a beaucoup mieux que cela. Une démonstration fera très bien l'affaire, qu'en pensez-vous?

-- Je suis d'accord, mais pourrais-je m'asseoir, je suis enceinte, je fatigue vite.

Aurélie tente de faire jouer la compassion. Une femme enceinte y arrive pas mal en général.

-- Je n'ai pas encore lu votre dossier, je n'ai pas fais attention que vous étiez enceinte. C'est parfait pour ma démonstration.

-- Parfait?

Le directeur fait un signe aux gardiens. L'instant d'après Aurélie se retrouve courbée sur le bureau du directeur, elle pousse un petit cri de douleur quand son visage tape le bois. Elle se demande ce qu'il se passe. Puis tout va très vite.

-- Vous faîtes quoi? Vous faîtes quoi?

-- On va te punir par où tu as pêchée!

Le directeur lui remonte sa blouse sur les reins, il lui descend sa culotte sous les fesses. L'instant d'après il la pénètre violemment, faisant hurler de douleur Aurélie.

Moi j'éjacule dans la bouche de Siobanne au moment où Aurélie est pénétrée. J'aimerais en voir un peu plus, mais je suis pressé. De toutes façon le spectacle est enregistré. Je me rhabille, comprenant que c'est finis, Siobanne, nue, se relève.

-- J'y vais, ne m'attends pas, je ne rentrerais pas ce soir.

-- D'accord.

Je lui fais un bécot rapide et je quitte notre nouvelle maison en sifflant.

Aurélie deviens folle, elle doit faire un cauchemar, ça ne peut pas lui arriver. Le directeur de l'établissement psychiatrique le plus important de la région ne peut pas la violer. Pas, en plus, devant trois gardiens, qui au lieu d'intervenir, aide à l'immobiliser. L'homme n'a pas un sexe énorme, mais il lui fait quand même très mal, sans parler des dégâts psychologique. Heureusement pour elle, l'homme est célibataire et n'a pas fais l'amour depuis trois mois. Quand il commence à la prendre plus rapidement, elle comprend qu'il va jouir en elle.

-- Pitié, pas dedans! Pas dedans!

-- Ta gueule, tu ne vas pas tomber enceinte deux fois!

Il la bourre de coups de reins encore quelques secondes, avant de se répandre en elle en criant. Il se retire, Aurélie sent le sperme de l'homme couler le long de ses cuisses, il essuie son gland contre les fesses de la malheureuse.

-- Allez, au suivant.

Le gardien chef prend sa place, Aurélie le sent derrière elle. L'instant d'après elle est violemment sodomisée par un pieu plus gros que celui qui a violé son vagin. Ses hurlement n'ont plus rien d'humains.

Je prends prends ma voiture, je démarre. Je souris, j'ai l'ancienne voiture de Lin, l'ancienne maison d'Aurélie, les anciens bien de Siobanne et de sa famille. Il ne fait pas bon me connaître, rapidement vos possessions deviennent mienne. J'ai mis le GPS, je me rends dans un quartier cossus de la ville. J'ai de la chance, je trouve une place vite fait. Juste en bas de l'immeuble qu'habite la personne que je vais visiter. J'ai de la chance, un homme entre au moment où j'arrive. De toutes façon je serais entrer quand même, j'ai les passes magnétique des facteurs pour entrer dans tout les immeubles de la ville.

Le gardien chef lui inonde les intestins, il se retire. Il prend la place d'un des deux gardes qui la tient plaqué sur le bureau. Celui qui se trouve à sa gauche. Il la viole lui aussi, prenant le même chemin qu son chef, lui massacrant l'anus.

J'ai pris l'ascenseur. Je monte au huitième, l'immeuble est vraiment classe. Il y a quatre portes par palier. Je regarde les noms, je trouve celui que je recherche. Je sonne. Une minute plus tard, la porte s'ouvre. La personne reste stupéfaite en me voyant. Elle ne peut dire un mot.

-- Bonjour lieutenant Qumicha.

-- Jonas? Que...

Elle n'a pas le temps de finir ma phrase, j'appuie sur mon invention, elle se raidit, ses yeux deviennent fixe.

-- Qui je suis?

-- Le maître.

-- Et toi?

-- L'esclave.

-- Parfait, fais moi rentrer.

La jeune femme se pousse, je rentre, elle referme la porte, je vais dans le salon, elle me suit. Je m'assois dans le canapé, elle se met droite devant moi, attendant mes ordres. J'ai lu sur literotica une histoire qui m'a bien plu. Je décide de m'en inspirer pour elle.

Aurélie est complètement détruite, elle hurle sans discontinuer. Après que le gardien est jouit dans ses reins, le dernier, l'a violée lui aussi. Il la force par devant. Il ne tarde pas à jouir en elle. Quand il se retire, Aurélie pense que c'est finis, hélas pour elle, il n'en est rien. Le directeur la reprend. Mais contrairement à la première fois, c'est son cul qu'il viole maintenant.

Le lieutenant Aziza Qumicha est complètement en mon pouvoir. Je décide de lui poser quelques questions avant de passer aux choses sérieuses.

-- Tu as quel âge?

-- Vingt-trois ans.

-- Cela fais longtemps que tu es dans la police?

-- C'est ma première année, j'ai finis l'école il y a six mois, depuis je suis stagiaire auprès de Commandant Dubois.

-- D'accord, tu as eus beaucoup d'hommes dans ta vie?

-- Une histoire sérieuse qui a duré trois ans, avec celui qui m'a dépucelée. Ensuite une dizaine d'aventures, la plupart sans lendemain, la plus longue qui a durée trois mois.

-- OK, fellation, sodomie?

-- Oui pour les fellations, pas pour la sodomie.

-- Tu avales?

-- Rarement, seulement sur demande de mon amant. J'aime pas vraiment ça, mais ça ne me dérange pas.

-- Bien, tu aime le sexe?

-- J'adore.

-- Plus maintenant, tu détestes.

-- D'accord.

Je réfléchis comment je vais tourner les ordres suivants.

Aurélie est couchée sur le sol, en chien de fusil. Elle est complètement nue, ils lui ont arrachés sa blouse et sa culotte. Chacun l'a violée de nouveau, la prenant par l'autre orifice que la première fois. Pour finir, elle a dut les sucer l'un à la suite de l'autre. Elle a dut avaler leurs sperme deux fois, un autre lui à jouit sur le visage, le dernier sur les cheveux et dans l'oreille. Ils se rhabillent tous. Le gardien chef la fait se remettre debout en la soulevant par les cheveux. Le directeur se met devant elle.

-- On se reverra très vite pour une nouvelle séance ma belle.

Aurélie n'a pas la force de répondre. Le directeur regarde le gardien chef.

-- Bon, elle reste nue, pour la suite vous savez quoi faire.

-- Oui monsieur.

Les trois gardiens la sortent du bureau, Aurélie se demande vers quel nouvel enfer sexuel elle se dirige. Une seule chose est certaine, cela sera douloureux pour elle.

Siobanne viens d'avoir son troisième orgasme en se caressant le clito. La jeune femme se trouve devant la télé, elle vient, avec délectation d'assister aux viols d'Aurélie. Elle ne sait pas comment Jonas, l'amour de sa vie, a fait pour se venger d'elle, mais c'est déjà très réussit. Elle a hâte de voir la suite. Siobanne n'a qu'un seul bémol, c'est encore trop doux pour cette putain, qui a voulut envoyer son dieu en prison. En inventant une histoire horrible, qu'elle a montée de toutes pièces. Son viol est une juste chose, elle vit ce qu'elle à accusée Jonas de lui avoir fait. Siobanne sait qu'elle va encore jouir plein de fois en matant la suite. Il lui tarde. Comme il lui tarde que Jonas revienne pour qu'il la prenne.

Le groupe c'est arrêté deux fois en chemin. La première fois en croisant un homme de ménage, qui a voulus enculé Aurélie. Ils l'ont laissé faire avec plaisir. L'homme l'a enculé sauvagement, debout, contre le mur, jouissant deux fois entre ses fesses. La seconde fois, c'est deux infirmiers qu'ils ont croisés. Eux, ils ont violé Aurélie en levrette, lui défaisant les menottes pour l'occasion. Cette fois c'est sa chatte qui à mangé. Ils ont eux aussi, jouit deux fois en elle. Les orifices d'Aurélie ruisselle de sperme le reste du chemin. Ils s'immobilisent devant une grande porte.

-- Ma belle, c'est l'heure de la récréation.

Le gardien chef vient de lui susurrer ces mots à l'oreille. Quand il ouvre la porte, Aurélie hurle et s'évanouit.

Tout en continuant de réfléchir à la tournure de mes mots, je pose une question à Aziza.

-- Tu as des dessous?

-- Juste un string, j'ai de petits seins, alors je ne met pas de soutien-gorge.

-- Parfait, déshabille-toi, mais garde ton string pour l'instant.

-- Bien maître.

Aziza se déshabille mécaniquement. Elle est mince, elle a de petits seins. En forme de cônes, terminer par d'épais et long tétons. Quand elle se retrouve en string, je le lui fais enlever, il est vraiment mini et ne couvre pas grand chose, cela ne me servira à rien, je voulais jouir en elle alors qu'elle avait sa culotte, mais avec son string, cela aurais quand même coulé. Alors autant qu'elle soit nue. La jeune femme est petite et mince, j'adore, elle a l'air étroite. Son sexe est totalement épilé. Je la fais tourner, son cul est un appel au viol sodomite. Un petit cul, vraiment pas large, mais hyper-bombé. Une chute de reins démentiel, le magnifiant réellement. Un cul comme je les adorent. Je la fais remettre de face, je pense savoir ce que je vais lui dire, afin de l'emmener dans les profondeurs de l'humiliation et de l'horreur sexuel.

Siobanne a eut deux nouveaux orgasme en matant les viols d'Aurélie. Le troisième à surgit quand la jeune femme s'est évanouit. Siobanne sourit de toutes ses dents. En voyant ce qui à fait s'évanouir la prof, elle a compris que Jonas n'a pas été trop gentil, il a juste fais commencer gentiment la punition de l'ancienne prof. Siobanne est certaine d'une chose, elle va battre et de loin son record d'orgasme masturbatoire. Elle en est déjà à six, et le meilleur reste à venir.

Radiu et mon père, quand à eux sont en train de prendre Léa, ma très chère sœur en double pénétration. Eux aussi mate un film en la violant. Film que ma sœurette est obligée de voir, avec dégoût. Le film de son gang-bang canin. Un moment d'atroces souffrances et d'humiliation totale.

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans
excellent

Vivement la suite des histoires de cette famille

miam

ReiviloReiviloil y a plus de 6 ans
Tellement bon !!

Un série excitante au plus haut point !

En attendant la suite avec une grande impatience !

CocuforeverCocuforeveril y a plus de 6 ans
Super bandant!

Oui vivement la suite, j'ai hâte de me replonger dans cette histoire. Moi aussi , j'aimerais être sous ton emprise.

objuseobjuseil y a presque 7 ans

J'adore, merci pour la suite, j'aimerais bien être sous ton emprise être ton objet sexuel ....

AnonymousAnonymeil y a presque 7 ans
Bravo

Excellentissime, vivement la suite...

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