Hypnose Mécanique 05

BÊTA PUBLIQUE

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- Pitié...

- Chut.

Un autre cri sort de sa gorge, quand mon doigt rentre en elle.

- Putain, tu es serrée de la chatte. Ça fait longtemps que tu n'as pas pris une bite?

- Quatre ans.

- Merde, comment un canon comme toi, peut elle rester célibataire?

- Je n'ai connu que mon mari. Je ne me remets pas de mon divorce. Personne ne m'a touchée depuis lui.

Je rigole.

- Quel gâchis. Tu n'a eus aucun homme, des femmes peut-être?

- Oui, quelques fois. Mais avant, pas depuis mon divorce.

- Coquine. Tu trompais ton mec avec des filles, c'est du joli!

- Non, c'était mon mari qui voulait, il aimait bien que l'on fasse l'amour à trois.

J- e vois, toi tu ne pouvais pas fourrer ailleurs, mais lui si.

- Non, c'est pas ça. Il ne touchait pas la fille.

- Explique.

Romina est rouge de honte de parler de sa sexualité devant sa fille.

- J'avais une relation lesbienne avec la fille. Quand on avait jouit toutes les deux, il me prenait en levrette, tandis que je léchais de nouveau le fille. Jusque à ce que l'on ai tous, un orgasme commun. Mais il ne baisais que moi.

- Vous l'avez fait souvent?

- Une trentaine de fois durant notre mariage.

- Tu aimais ça?

- Pas trop. Les relations féminines, c'est pas trop mon truc.

- Pourquoi tu le faisais alors?

- Je l'aimais, je le faisais pour lui faire plaisir.

- OK, tu l'aimes encore?

- Moi, oui, lui non, c'est pour ça qu'il a divorcé.

- Tu es une belle salope quand même. Se taper des meufs, faire des plans à trois, avec ses enfants pas loin.

Elle ne me répond pas. Je sors mon doigt de sa chatte. Lui caresse le ventre, de nouveau les fesses. Cette fois, c'est dans son cul que mon doigt rentre. Nouveau crie de ma proie.

- C'est bien serré par là aussi. Ton ex t'enculait?

- Des fois, pas souvent.

- Combien de fois?

- Je ne sais pas, une fois par mois, des fois deux.

- Je vais prendre plaisir à te baiser.

- Pas ça, s'il vous plaît.

- D'accord, c'est ta fille que je vais baiser en premier alors.

- Non, pas elle. Moi. Baiser moi, s'il vous plaît.

- Tu me demande de te baiser? Tu as envie de mon chibre?

- Oui, je veux votre bite.

- Bien, dans quel trou?

- Celui que vous voulez.

- Les deux?

- Si vous voulez, mais pitié, pas ma fille, c'est encore une enfant.

- Elle est majeur. Mais d'accord, je vais te faire plaisir, va te mettre en position sur le canapé. Je vais te baiser en levrette.

Romina va pour bouger, je la retiens par la main. Elle me regarde, autant terrorisée qu'interrogative.

- Tu prends la pilule?

- Non.

- Parfait tout ça!

Romina ne me répond pas. Elle fait quelques pas, monte sur le canapé, attends. Je m'approche de Maja. Colle ma bouche contre son oreille.

- Tu vas bien regarder petite pute. Si tu tente quoique ce soit, je tue ta mère, compris?

- Oui.

La jeune fille m'a répondu dans un souffle, j'entends à peine sa réponse. Je recule de quelques pas.

- Regardez moi.

Les deux femelles me regardent me dévêtir. Même si je sais que c'est sous mes ordres mentaux, je jubile, quand je vois leurs yeux s'agrandirent d'horreur en voyant mon engin.

- Jamais une telle chose ne pourra rentrer! S'écrie Romina. Vous allez me tuer, me déchirer.

- On verra bien, a moins que tu préfère que j'essaie d'abord avec ta pute de fille?

- Non, avec moi. Essayez avec moi.

- Je n'ai jamais put résister aux demandes d'une belle femme.

Je me suis mis à genoux derrière elle. La femme à gémit de peur quand mes mains se sont posée sur ses hanches, que mon gland à cogné contre l'entrée de son ventre. Je suis entré d'un seul coup ans le vagin sec. Romina à hurlée comme une folle. Avec l'impression qu'une batte de base-ball énorme venait de la pénétrer. La femelle crut dur comme fer, qu'elle saignait abondamment. Il n'en était rien, mon sexe était de taille normal. La blonde était crispée, ce qui fait que sa chatte était encore plus étroite que la normale. Je l'ai savourée longuement, la violant méchamment, la faisant hurlée, suppliée. Un geyser de foutre est sorti de mes couilles, pour inonder la matrice de la femme. Je me suis retirer d'un seul coup, en regardant Maja.

- On viens, peut-être, de te faire une petite sœur!

J'ai rigolé de ma blague, avant de remonter mon gland, dans la raie des fesse de Romina.

Quand elle a sentit mon pieu contre le seul orifice que les hommes et les femmes ont en commun, Romina à serrée ses fesses. La chose qu'il ne faut pas faire avant une sodomie. Pour son anus ce fut plus dur. La chienne le contractai beaucoup trop. J'ai vraiment dut forcer pour rentrer. Sous les hurlements atroces de Romina, le regard emplit d'horreur de Maja, je m'enfonce dans ma victime. Son rectum est vraiment étroit, j'adore ça. Je met du temps à la pénétrer complètement. Une fois mon ventre contre ses fesses fermes. La pétasse croit avoir connu le pire, elle se trompe lourdement. Romina me comprend quand je commence à la marteler. La douleur est insupportable. Je la défonce comme un mort de faim. Dans un grand bruit de claque mouillée, à chaque fois que mon ventre frappe le cul de ma proie. Du fait qu'elle se contracte comme une folle, son conduit est si serré, que je ne tarde pas à me vider en elle. Je me retire d'un seul coup, lui arrachant un ultime hurlement quand mon gland passe une dernière fois son anus. Pour en finir avec ma belle, je me fais sucer par elle. Aussi bien pour me nettoyer, que pour profiter de sa somptueuse bouche. J'éjacule dans sa bouche, lui ordonnant de tout avaler.

Une fois fini, je me lève.

- Bougez pas les salopes, je reviens. Je vais juste pisser.

Au passage, je prends une pilule magique dans la poche de mon pantalon posé sur le sol. Si mon sexe est mou quand je monte uriner, je bande de nouveau dur en redescendant. Maja est toujours debout. Sa mère, est roulée en boule sur le canapé, sanglotant doucement. Je m'approche d'elle, la saisit par les cheveux, la fait tomber à terre. Romina gémit de douleur en s'écrasant au sol comme une crêpe. Je rigole, vu la hauteur, elle ne doit pas avoir eut grand mal. Je m'approche de Maja, lui tourne autour. Elle sursaute, en poussant un petit cri quand je lui touche le cul. Comme sa mère, la ficelle du string disparaît totalement entre ses fesses. Son cul est plus mince, mais bien rond et bombé. Sa chute de reins est plus accentué que celle de sa mère. Je continue de lui tourner autour, lui fait face. Je la regarde droit dans les yeux. Je l'embrasse, Maja ouvre la bouche quand ma langue touche ses lèvres. Je lui roule une pelle, sa bouche à un petit goût fruité que j'adore. Sachant ce qui peut lui arriver, si elle résiste, la jeune fille répond à ma galoche. Nos langues et nos salives se mélangent. Je cesse mon baiser, la renifle. Sa peau dégage une douce odeur de vanille. Je vois les tremblements de son corps, la chair de poule qui recouvre sa peau. Je retourne m'asseoir sur le canapé, pose mes pieds sur le corps de Romina.

- Maja, tu es encore plus bandante que ta mère.

La jeune fille ne dit rien.

- Enlève ton haut, que je voie tes seins, garde ton string.

Maladroitement, la jeunette s'exécute. Me dévoilant une paire de sein de toute beauté. Bien rond, de taille moyenne, avec de petites aréoles et de petits tétons d'un rose claire.

- Combien font tes seins?

- 85 C.

- Ils sont parfait.

Je décide de m'amuser un peu avec elle. Je la questionne tout en regardant son corps merveilleux.

- Tu es vierge?

- Non.

- Depuis longtemps? Avec qui tu as perdu ton pucelage.

- Un an et deux semaines, le jour de mon dix-septième anniversaire, avec mon copain, cela faisait trois ans que l'on était ensemble.

- Tu sors encore avec?

- Non, on a rompu.

- Il y a longtemps?

- Six mois.

- Pourquoi?

- Il trouvait que l'on ne faisais pas assez l'amour. Il m'a quitté pour une fille plus délurée, la cochonne de la classe.

- Vous le faisiez souvent?

- Pas trop, seulement trois fois.

- Pourquoi pas plus?

- J'aime pas trop le sexe.

- C'est la seule raison de votre séparation?

- Il ne m'aimait plus.

- Et toi?

- Je l'aime encore.

- OK, tu l'as sucé?

- J'ai essayé, pas longtemps, ça me dégoûte.

- Tu te touche en pensant à lui?

- Non.

- Tu te masturbe au moins?

Maja rougit, je sais qu'elle ne peut pas me mentir.

- Non, je me suis jamais touchée là. A part les fois où j'ai fait l'amour avec mon copain, rien n'a touché cet endroit. Même pas mes doigts.

- Il t'a léché le minou?

- Non, je ne voulais pas. C'est pervers.

- Je comprends. Il t'a sodomisée?

- Non!

Maja avait crié sa réponse.

- Pourquoi?

- Je ne suis pas ce genre de fille! Puis ce n'est pas un orifice pour le sexe.

- Pourtant, des tas de filles prennent une bite dans le cul.

- Pas moi, c'est trop sale. Puis j'ai la phobie de la douleur, là ça fait mal. Très mal. Aucun pénis ne rentrera en moi par ce côté.

- Même pas le mien?

Maja hésite, réfléchis avant de répondre, surtout ne pas me mettre en colère.

- Je... Vous... Avec vous, je n'aurez pas le choix.

- Bien, très bonne réponse ça. Tu prends la pilule?

- Non. Pourquoi?

Je rigole, me lève. Quand ma main caresse sa joue, la jeune fille sursaute, lâchant un petit gémissement de peur. Ma main descend sur son cou, lui traverse lentement le dos. Maja à une peau vraiment douce. Ma main continue, lui flatte la croupe, s'insinue dans son string. Quand deux de mes doigts se pose sur son anus, elle crie. J'entends un bruit que j'identifie aussitôt. Je me recule, Maja s'urine dessus. Ça inonde son string, le rendant transparent, coule entre ses cuisses, le long de ses jambes. Maintenant on voit à travers son dessous, elle est complètement épilée, j'aime bien, autant que les chattes poilues. Je vais m'asseoir mort de rire.

- Ben toi, tu es une vraie cochonne.

- Pardon. J'ai eus trop peur, je n'ai pas pus me retenir. Excusez-moi.

Maja est en larmes, au bord de la crise de nerfs, terrifiée et humiliée par ce qu'elle vient de faire.

- Excuse acceptée.

Du pied, je secoue le corps de Romina, qui lève vers moi, un visage ravagé par les larmes.

- Vas nettoyer.

- D'accord.

- Tu nettoieras avec ta langue.

- Noooooon!

Maja à criée, tandis que Romina me regarde interloquée.

- Toi, la cochonne qui se pisse dessus, tu fermes ta gueule. Sinon je t'encule avec ma main, je t'enfonce mon bras jusque au coude.

Horrifiée par ma phrase, la jeune fille ferme sa bouche.

- Ma petit Romina chérie, tu vas aller nettoyer, a quatre pattes, les saloperies de ta fille. D'abord, tu léchera le sol. Ensuite tu enlèvera le string de ta pute. Tu la nettoiera elle aussi, toujours avec ta langue. D'abord tu commenceras par le pied droit de ta putain, tu remontera jusque à son entre-cuisse, sans toucher à son sexe de chienne. Ensuite tu passera à son entrecuisse coté gauche, toujours sans toucher au vagin. Tu descendra jusque au pieds. Une fois fini, là, tu lui nettoiera son vagin de pute. Là, je veux que tu fasse comme avec les connasses que tu baisais avec ton mari. Je veux une vraie relation lesbienne.

Choquée, la femme me regarde sans réagir.

- Dépêche-toi, sinon, en plus d'enculer ta fille avec mon bras, je t'enculerais aussi avec l'autre bras.

Romina sort de sa torpeur, marchant à quatre pattes, elle se dirige vers son enfant.

Avec une grimace de dégoût, la femelle sort sa langue, elle entreprend de laper l'urine de Maja, qui souille le sol. J'ai une vue plongeante sur son vagin et son anus, ils suintent de sperme, mon sperme. Je suis fier de moi, d'avoir put baiser un tel canon. Une vrai bourgeoise, pas habituée du tout, a ce qu'on la traite comme ça. Une fois le sol propre, la jeune femme enlève le string de sa gamine. Le sexe de la jeune fille de dix-huit ans, est parfaitement rasé, pas un seul poil. Romina entreprend de lécher le pied droit de Maja. Elle m'obéit au doigt et à l'œil. Exécutant mes ordres dans le bon ordre. D'abord elle lui nettoie la jambe droite, avec la langue, en montant. Puis elle passe à la jambe gauche, la léchant en descendant. Une fois fini, il n'y a plus une trace d'urine sur le corps de Maja, hormis sur son sexe. Romina relève la tête, regarde sa fille dans les yeux.

- Pardon Maja.

Je vois la femme sortir sa langue, puis plonger son visage entre les cuisses de sa fille. Sa langue se mettant à caresse le vagin de la jeune fille.

Maja gémit, quand sa mère se met à lécher son vagin. Un gémissement que je devine de plaisir. Romina est douée. Elle lèche le vagin, puis le clito de Maja. Une fois le sexe bien mouillée, elle lui enfonce lentement deux doigts. Maja gémit, feule. A un moment, elle crie, un orgasme vient de la traverser. Sa mère hésite, recule la tête.

- Continue, ta pute aime ça, je te dirais quand c'est fini.

Romina replonge sa tête entre les cuisses de sa gosse. Elle lèche, elle doigte. A tour de rôle, elle titille de sa langue, puis de ses doigts, le clitoris de Maja, sortit de son capuchon. C'est la première relation lesbienne de la fille, mais a entendre ses feulements, ses gémissements, ses petits cris, je sais que malgré la situation, elle y prend un vrai plaisir. Après ça, la relation entre la mère et la fille ne sera plus jamais la même. Maja se malaxe maintenant les seins, joue avec ses tétons. Sa mère accélère ses coups de langue. Maja gémit de plus en plus fort. Elle lâche ses seins, plaque la tête de sa mère contre son bas-ventre. Cette fois un profond orgasme la foudroie, Maja hurle son plaisir.

Maja se couche sur le sol. Mais comme je n'ai rien dis, Romina continue. Elle sait que si elle arrête sans mon autorisation, ma vengeance sera terrible. La mère remonte sur le corps de sa fille, lui lèche un peu les seins, les caresses. Elle continue de monter, roule une pelle à Maja. Cette dernière à les cuisses écartées, je vois la jambe de Romina, se frotter au sexe trempée de cyprine de sa fille. Cette dernière respire rapidement, gémit de nouveau. Tout en continuant à l'embrasser, jouant avec les tétons de son amante d'une main, Romina descend l'autre. Elle se mêle a sa cuisse, caresse le sexe de Maja, joue avec le clito. Je vois le corps de Maja s'arquer, tandis qu'un cri de jouissance raisonne dans la bouche de Romina. La mère vient de donner une troisième orgasme, à son enfant, tout juste majeure.

Il est temps pour moi de rentrer dans la danse. Je pousse brutalement Romina, Maja ouvre les yeux, déçu que les caresses de sa mère cesse. Elle ouvre des yeux remplit d'horreur quand je me couche sur elle. Elle hurle quand je la pénètre. Son vagin est trempée, bien ouvert, il m'accueille facilement. Elle est étroite, encore plus que ça mère. La jeune fille me subit en criant, pleurant. Je suis au paradis, elle est magnifique, en plus c'est un bon coup. J'ai bien fait de choisir ces deux putes pour m'amuser quelques jours. Je n'ai pas pus me retenir longtemps, j'ai rapidement jouit en elle. Je suis resté dans son ventre, lui léchant les joues. Je lui ai murmuré dans l'oreille :

- Après t'avoir fait un petit frère, j'ai peut-être fait de ta mère, une grand-mère.

J'ai rigolé de ma propre blague. Je suis ressorti du corps de Maja, pour immédiatement, la retourner sur le ventre. J'ai encore eus plus de mal à enculer Maja que sa mère. La fille était tellement contracter que jamais je n'ai pénétrer un orifice aussi étroit. Ses hurlements sont tellement strident, que j'ai peu que l'on nous entendent, malgré l'isolement de la maison. Je continue néanmoins mon viol, son rectum est trop merveilleux pour que je m'arrête. J'ai tellement jouis dans son fondement, que sans me retirer je suis reparti pour un second round. Puis un troisième. Quand je me retire enfin, Maja à le cul en sang. Je viens de véritablement le lui casser.

Les sachant sans risques, je me suis gavé de mes pilules pendant cinq jours. Dormant très peu, violant sans arrêts mes deux victimes. J'ai profiter des tas de fois de tout leurs orifices, de leurs hurlements. Le sixième jour, j'ai décidé de changer un peu les règles. Mes deux chiennes, complètement détruite, aussi bien mentalement que physiquement, se consolent dans les bras l'une de l'autre. J'ai alors appuyé sur le bouton de ma montre. Les deux femelles se sont levée ensemble. Le corps raide, les yeux vides comme à chaque fois que mon invention prend le contrôle d'un cerveau. (Comme d'habitude, les réponses des filles se feront en chœur.)

- Mesdames, j'ai vraiment apprécié vos deux corps. Je vais d'ailleurs continuer. Mais l'histoire va changer.

- D'accord.

Vous vous rappellerez bien tout vos viols, ce que vous avez ressenti, cela ne changera pas. Seulement, vous avez adorez vos ébats lesbiens, vous avez toutes deux envies de commencer une relation lesbienne incestueuse.

- D'accord.

Bon, l'auteur de vos viols va changer. Vous vous rappellerez d'un géant black. Il vous a torturer, violer atrocement, pris en otages. Maintenant, vous avez tellement morfler, que vous ne supporterez plus qu'aucun homme ne pose les mains sur vous. A partir de maintenant, vous ne concevez le sexe qu'entre vous.

- Bien.

- Aucun homme sauf moi ne vous feras envie. Je vous aient entendues hurler en passant devant chez vous. Je suis venu vous sauver. Je l'ai mis en fuite. Je vous ai conseillez de porter plainte, mais vous avez tellement honte, que vous avez refuser.

- D'accord.

- Vous êtes complètement détruite. Dépressive au plus haut point, mais pas suicidaire, vous avez trop peur de la mort.

- OK.

- Le seul moment où vous êtes relativement bien, c'est quand vous faites l'amour entre vous, malgré la honte et le dégoût que vous procure cette relation incestueuse contre laquelle vous ne pouvez lutter.

- D'accord.

- Par contre, ma présence vous apporte du réconfort, vous calme. Vous allez monter prendre une douche, ensemble, mais sans baiser. La discussion va porter sur moi, votre sauveur. L'amour indescriptible que mon sauvetage vous fait porter sur moi. Je suis dorénavant la personne la plus importante pour vous, plus rien ne compte. En descendant, vous me proposeraient de faire ménage à trois. Je vais refuser. Malgré l'horreur que vous procurera mes paroles, vous me proposerez, pour que j'accepte, de devenir mes esclaves, mes chiennes, mes trous à bites, totalement offertes au moindre claquement de mes doigts. Ce ne seront pas des paroles en l'air, vous penserez tout ce que vous me direz.

- D'accord.

- Vous jouirez quand vous ferez l'amour entre vous. Mais quand c'est moi qui vous baisent, que ce soit dans le cul ou dans la bouche, vous aurez un orgasme de démentiel, un orgasme qui vous fera sembler être au paradis. Vous en voulez à Siobanne pour être amoureuse de moi, pour risquer de me voler à vous. Vous la haïssez, elle vous dégouttent. Vous avez tout compris?

- Oui.

- Parfait. Oubliez cette discussion, montez prendre votre douche. Vous reviendrez à vous, une fois au premier.

Les deux filles partirent main dans la main. Quinze minutes plus tard, elle redescendaient en peignoir. Tout ce passa selon mes ordres.

Siobanne atterrit à l'aéroport de sa ville à trois heures du matin. Elle avez passé dix jours chez son père. Elle avait apprécié sa compagnie, mais Jonas lui avait tant manqué. Malgré les photos de lui, qu'elle avait regardée tout les soirs, le manque de l'homme qu'elle aime avait été atroce. Chaque soir, elle pleurait une heure ou deux, tellement elle souffrait. La jeune femme avait faillit appeler Jonas, pour qu'il vienne la chercher, mais il était trop tard, le pauvre devrait se reposer. Elle irait le voir demain, elle tiendrait bien une nuit de plus, même si c'était vraiment très dur pour elle. Siobanne n'avait même pas pensée à le demander à sa mère. Heureusement, l'aéroport de sa ville était un gros truc international. Elle trouva un taxi sans mal. Il la ramena chez elle. Sa maison était plongé dans le noir. C'est normal, il était maintenant, pratiquement quatre heures du mat. Le taxi sortit les valises de la jeune femme de son coffre, les lui portant jusque devant la porte de chez elle. La jeune femme lui laissa un pourboire de cent euros. A la grande satisfaction du chauffeur. Siobanne ouvrit la porte d'entrée, alluma la lumière, fit passer ses deux grosses valises de l'autre coté de la porte, elle les monteraient dans sa chambre le lendemain. Avec l'aide de sa mère, si elle n'avait pas de chance, avec l'aide de Jonas, si la chance lui souriait. Elle allait monter les escaliers, quand elle entendit des bruits bizarre provenant du salon. L'ex-miss univers hésita, mais la curiosité fut plus forte. Surtout que bizarrement la porte de la pièce était fermée. D'aussi loin qu'elle ne se rappelle, elle ne l'avait jamais vu fermée. Siobanne ouvrit la porte en silence. Dans la pénombre, il lui sembla voir bouger sur le canapé.