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Un cambiolage qui tourne mal.
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En cette mi-juillet, la chaleur intense de la journée faisait place à une moiteur insupportable la nuit venue.

Dans le pavillon de banlieue des Mercier, la température dépasse allégrement les 30 degrés en cette soirée. Dans l'espoir de faire un peu d'air, les propriétaires, Jean Pierre et Stéphanie, 40 ans tous les deux, ont ouvert grand les fenêtres et les baies vitrées.

Lorsqu'ils partent se coucher, Stéphanie demande:

- "On ne ferme pas les fenêtres?"

- "J'ai fermé la baie vitrée, mais je laisse les fenêtres ouvertes coté jardin, personne ne peut le voir depuis la rue"

Rassurée, Stéphanie part vers sa chambre. La canicule avait rendu la chambre conjugale insupportable et elle avait décidé de dormir dans la chambre d'amis, bien plus fraîche. Jean Pierre, moins sensible à la chaleur, restait dans la chambre du couple. Il regarda son épouse passer dans le couloir: aprés 15 ans de mariage, à 40 ans, elle était dans la plénitude de sa féminité, cette brune au beau visage aux cheveux tombant sur les épaules, des seins lourds mais qui ne tombaient pas, un fessier appétissant qui n'avait pas été trop abimé par ses deux grossesses.

Ce soir, elle avait passé une nuisette noire trés légére, aux fines bretelles, quasi transparente au niveau de la poitrine et s'arrétant au ras des fesses.

Jean Pierre lui lanca:

- "Tu es belle à damner un saint, ma chérie. Je te ferai bien des miséres!"

- "Merci mon coeur, mais pas ce soir si ça ne te dérange pas. J'ai eu une journée épuisante et je tombe de sommeil! Demain soir si tu veux, je ne travaillerai pas le lendemain."

Un peu décu, Jean Pierre fit bonne figure. Il embrassa Stéphanie, lui souhaita bonne nuit et rentra dans sa chambre. Tous deux s'endormirent rapidement.

Trois heures plus tard....

Dans la nuit silencieuse du lotissement de la maison des Mercier, une fourgonnette glissait silencieusement dans les rues désertes. A l'intérieur, quatre maghrébins, Mehdi, Ahmed, Malik et Osmane, la vingtaine, détaillaient les maisons devant lesquelles ils passaient. Arrivés dans la rue des Mercier, ils s'arrétérent au niveau de leur maison.

- "C'est la baraque qu'on a repéré, on y va les mecs" dit Ahmed, le conducteur et meneur de la bande.

Les quatre malfrats sortirent du fourgon en silence, escaladérent le mur et firent le tour de la maison. Ils ne tardérent pas à repérer les fenêtres laissées ouvertes.

Bingo!

Agiles comme des chats, ils entrèrent dans la maison par la cuisine. Une fois à l'intérieur, ils visitérent la maison pour faire le tour de ce qui était "volable": un écran plat, deux smartphones, une tablette, un ordi portable... La pleine lune aidait leur recherche, et ils communiquaient par gestes ou chuchotements.

Jean Pierre avait toujours eu le sommeil léger. Un rien le réveillait. Il fut naturellement mis en éveil par les petits bruissements et les chuchotis des cambrioleurs. Il se leva et se mit à chercher l'origine des bruits.

Arrivé dans le salon il tomba nez à nez avec Osmane qui ouvrait les tiroirs de la bibliothéque.

Avant que Jean Pierre eut pu crier ou se précipiter sur le cambioleur, ses trois complices le ceinturérent, le projetérent à terre avant de l'immobiliser, lâchant quelques coups au passage.

- "Bouge plus connard ou on te bute!" aboya Ahmed

- "Ne nous faites pas de mal, prenez ce que vous voulez et allez vous en!" supplia Jean Pierre

- "Y a quelqu'un d'autre dans cette maison?" l'interrogea Ahmed

- "Juste ma femme. Mes enfants sont en colonie de vacances."

Sur ordre d'Ahmed, Malik et Osmane ligotérent Jean Pierre et le relevérent.

Mehdi avait continué la visite de la maison et avait poussé la porte de la chambre d'amis où il trouva Stéphanie, profondément endormie, étendue sur le lit sans drap sur elle. Elle apparaissait au yeux du voyou couchée sur le ventre, sa nuisette largement remontée laissait voir largement ses fesses, ses jambes semi écartées faisant apparaitre sa chatte dans une involontaire obcénité.

Mehdi tourna casaque et fit part de sa découverte à ses complices. Tous les quatre, accompagnés de Jean Pierre, se rendirent à la chambre où ils purent à leur tour admirer le spectacle.

- "Putain, le cul de salope!" siffla Osmane

- "C'est un bon boule à fourrer ça" renchérit Malik

- "Ne lui faites pas de mal, vous m'avez promis!" tenta Jean Pierre

Ahmed lui asséna un coup de poing dans le ventre, faisant s'affaisser Jean Pierre.

- "On t'a rien promis du tout, connard! Attachez le au fauteuil là!" ordonna-t-il à Malik et Osmane

Jean Pierre fut assis de force dans le fauteuil faisant face au lit de Stéphanie, ligoté aux accoudoirs et baillonné avec un chiffon qui trainait pour garantir son silence.

A son grand désespoir, il vit alors les quatre cambrioleurs s'approcher de Stéphanie et commencer à laisser trainer leurs mains sur ses jambes, ses bras ou ses fesses. Ces caresses finirent par tirer Stéphanie de sa torpeur. Croyant avoir affaire à Jean Pierre qui succombait à une pulsion nocturne, elle gémit d'une voix pateuse sans ouvrir les yeux:

- "Jean Pierre, je suis crevée, laisse moi dormir!"

- "On est pas ton pédé de mari, salope!" sussura Ahmed

Affolée, Stéphanie ouvrit les yeux, se redressa et allait crier, mais Ahmed avait prévu sa réaction et plaqua sa main sur sa bouche. Malik et Mehdi tenaient ses bras, tandis qu'Osmane maintenait ses jambes.

- "Pas d'idioties, poufiasse!" lui dit Ahmed "t'as pas intêret à gueuler sinon on vous défonce toi et ton mari!"

Stéphanie vit Jean Pierre ligoté et baillonné sur le fauteuil, elle vit dans ses yeux l'affollement et la peur.

Avant qu'elle ait pu analyser plus avant la situation, Stephanie eut ses poignets attachés aux montants du lit, et un chiffon baillonna sa bouche.

Ainsi contrainte, les quatre jeunes purent allumer la luniére pour admirer largement leur proie. Les bras écartés faisaient ressortir la belle poitrine de Stéphanie, à peine cachée par la nuisette transparente à ce niveau.

Ahmed sortit un couteau de sa poche et s'assit sur le lit prés du visage de Stéphanie.

- "Ecoute moi bien. Si t'es trés gentille avec nous, on repartira sans faire d'histoires. Si tu fais ta mauvaise tête, on vous saigne tous les deux comme des poulets!"

La situation était critique. Ils étaient tous les deux entre les mains de ces quatre malfrats, sans aucun moyen apparent de s'en sortir.

Ahmed passait la lame du couteau sur la peau de Stéphanie avec un plaisir non dissimulé. Les trois autres contemplaient la scéne, leurs sexes durcis par l'excitation.

Arrivée aux épaules de Stéphanie, la lame aiguisée du couteau n'eut aucun mal à trancher l'une puis l'autre des bretelles de sa nuisette, faisant tomber le tissu et dénuder sa poitrine. Les quatre jeunes ne purent retenir un sifflement d'admiration:

- "ça ce sont de belles loches! On doit être bien dedans!"

- "Alors, pouffiasse? Tu vas être gentille ou on doit se fâcher?" demanda Ahmed

Stéphanie supplia du regard Jean Pierre pour savoir quoi faire, mais celui ci semblait totalement désemparé.

Désespérée, Stéphanie hocha la tête pour signifier son acceptation. Ahmed dit dans un sourire carnassier:

- "Madame est raisonnable, c'est bien!"

Malik fut le plus rapide à ouvrir les hostilités en passant sa tête entre les jambes de Stéphanie pour aller lécher sa belle chatte. Le premier réflexe de Stéphanie fut de serrer les jambes mais Ahmed lui mit aussitôt la lame de son couteau sur la gorge.

- "Commence pas les conneries ou ça va mal aller!"

Vaincue, Stéphanie laissa Malik plonger sa tête entre ses cuisses et commencer un furieux cunnilingus. Malgré l'horreur de la situation, Stéphanie ne put s'empécher de penser que ce voyou savait y faire puisqu'elle fut vite envahie de vagues de plaisir qui la firent soupirer d'aise à son corps défendant.

- "Entendez moi cette pute, ça lui plaît!"

- "Tu parles, Malik c'est un lécheur de première, les nanas l'adorent pour ça!"

Excité par la situation, Ahmed baissa le baillon de Stéphanie et présenta son sexe à l'entrée de sa bouche.

- "Suce!" ordonna-t-il d'un ton sans réplique.

Dégoutée, Stéphanie ouvrit timidement la bouche mais suffisamment pour qu'Ahmed y fourre sans ménagement et profondément sa pine.

- "Mets y la langue, salope, fais ça bien!"

Vaincue et au bord des larmes, Stéphanie se mit à lécher le sexe à l'intérieur de sa bouche comme s'il s'agissait d'une langue, enserrant la colonne de chair entre ses lévres.

- "Aaaahhhh, oui comme ça c'est bien, je me doutais que t'étais une bonne pipeuse, toi!"

Malik stoppa son cunni, se redressa en sortant sa bite qu'il fourra sans difficultés dans la chatte trempée de Stéphanie, d'où il commença des va-et-vient amples et profonds.

Ces pénétrations finirent par faire pousser des petits gémissements à Stéphanie, ce qui ne manqua pas de faire réagir Osmane et Mehdi, qui admiraient le tableau en se tripotant.

- "Putain, cette pute me fait bander comme un âne, je vais lui exploser ses trous!"

Jean Pierre observait, impuissant et les yeux exorbités, sa femme chérie se faire sauvagement baiser par ces petites frappes. Mais il connaissait assez son épouse pour se rendre compte que celle ci commençait à prendre du plaisir: ses gémissements de plus en plus amples, ses joues rosies, son souffle court....

Malik limait la chatte de Stéphanie de plus en plus vite, et dans un long râle, finit par déverser sa semence au fin fond de son vagin. Ahmed tint un peu plus longtemps mais finit lui aussi par arroser le gosier de Stéphanie.

- "Avale, salope" intima il à Stéphanie qui, soumise, déglutit sans se poser de questions.

Voyant que leur proie avait cessé de résister, Ahmed la détacha et la laissa s'allonger sur le lit pour reprendre son souffle.

Mehdi et Osmane, trop excités, vinrent s'allonger sur le lit de chaque coté de Stéphanie et introduisirent leurs queues dans son vagin inondé de mouille et de sperme. Ils commencérent à la limer d'abord de façon désordonnée puis se synchronisérent pour plus de confort. Bientôt Stéphanie commença à haleter: elle prenait son pied presque contre son gré. Au bout d'une vingtaine de minutes de baise, Stéphanie poussa un cri bestial de jouissance suivie des deux beurs qui déchargérent leur semence à leur tour, l'un sur les fesses de Stéphanie, l'autre sur ses seins.

Malik voulait remettre le couvert mais Ahmed l'arrêta:

- "On va la laisser se reposer un peu, et aprés.....festival!"

les trois autres rigolèrent en choeur. Mehdi partit au réfrigérateur chercher des bières qu'ils dégustérent en reluquant Stéphanie, allongée sur le lit, épuisée et couverte de sperme, tenter de se remettre de leurs assauts.

Aprés avoir fini leurs bières, Ahmed dit à Stéphanie:

- "On en a pas fini avec toi, mais d'abord tu vas aller te laver, parce que là, tu ressembles à une pute aprés sa nuit au bois de Boulogne!"

Ahmed et Malik prirent Stéphanie à bout de bras et l'emmenérent à la salle de bains où ils la matérent en train de se savonner le corps pour tenter de se débarrasser des souillures que ces quatre salauds lui avaient infligée. Ahmed ne se privait pas de la guider dans sa toilette.

- "Nettoie bien ta chatte, parce qu'il y a eu du passage!"

Sa douche terminée, Les deux cambrioleurs ramenèrent sans ménagement Stéphanie à la chambre et la poussèrent sur le lit.

-" Et maintenant le final!" dit Ahmed sous le regard terrifié de sa proie.

Les quatre hommes se précipitérent sur Stéphanie: Osmane s'allongea sur le lit et fit s'empaler Stéphanie sur son chibre, pendant que Malik et Mehdi s'enfoncérent de concert dans sa bouche, l'empéchant quasiment de respirer.

Ahmed s'était gardé la part du lion: Il présenta son gland à l'entrée de l'anus de Stéphanie. Celle ci, qui n'avait jamais été sodomisée, essaya de se débattre, mais les quatre jeunes la tenaient fermement, et elle ne put que subir l'introduction du gland d'Ahmed en elle, ce qui lui arracha un cri de douleur étouffé par les deux bites qui coulissaient dans sa bouche.

Electrisés par ce gangbang improvisé, les quatres hommes assénaient de grands coups de bite à Stéphanie qui, vaincue et soumise, encaissait comme un pantin désarticulé.

Au bout d'un moment, Ahmed, sentant sa jouissance arriver, dit aux autres:

- " Grand final les mecs! Allez salope, mets toi à genoux!"

Comme un automate, Stéphanie se placa au milieu des malfrats qui inondérent bientôt son visage de foutre. Aprés le dernier jet, Stéphanie s'affala sur le lit, épuisée, et s'enfonça dans une sorte de léthargie.

Une fois rhabillés, Ahmed dit à Jean Pierre:

- "Toi, montre nous où tu caches ton fric, et y a intérêt à ce qu'il y en ait assez!"

Ils détachérent Jean Pierre et l'emmenérent au salon, laissant Stéphanie seule.

Au bout de quelques minutes, celle ci eut assez de force pour se lever et aller voir ce que ces salauds avaient fait de Jean Pierre. Elle n'avait pas entendu la conversation qui venait de se terminer:

Jean Pierre: "Voilà votre fric, comme convenu, 100€ chacun"

Ahmed: "Merci mec. Si tu veux remettre ça, on reviendra gratis, elle est trop bonne ta femme!"

Jean Pierre: "Elle vous a plu? Je vous avais dit qu'elle était bonne!"

Ahmed: "Géniale tu veux dire. Quand tu nous a contacté sur ce site pour nous expliquer ton fantasme de voir ta meuf violée devant toi par quatre arabes, j'ai cru à un gros mytho! Mais tu nous as bluffés!"

Jean Pierre: "Merci! Mais j'ai d'autres fantasmes qui me courent dans la tête. Je voudrais la faire baiser par des blacks"

Ahmed: "Là pas de souci, on en connaît! Tu nous tiens au courant. Elle se fera exploser! A plus mec!"

Les "cambrioleurs" partirent sans demander leur reste. A peine la porte refermée, Jean Pierre vit Stéphanie sortir de la chambre en titubant. Il se précipita pour la prendre dans ses bras.

-" Ils...Ils sont partis?"

-" Oui mon trésor, tu vas bien? Alors, ça t'a plu?"

-" Mon dieu, Jean Pierre, c'était génial! C'était donc ça la surprise! "

-" Oui mon amour. Tu m'avais dit que tu fantasmais de te faire prendre devant moi sans que je puisse réagir. J'ai mis tout ça en place pour toi."

-"Merci, mon coeur. Je t'aime!"

-"Moi aussi, je t'aime"

Stéphanie avait encore le visage poisseux du sperme de ses violeurs, ce qui eut pour effet de faire bander Jean Pierre. Sans attendre, il emmena son épouse sur le lit conjugal pour lui faire l'amour comme un fou. Apaisés, ils s'endormirent enlacés l'un contre l'autre.

Le lendemain, Jean Pierre se connecta au site sur lequel il avait rencontré Ahmed. Il lui adressa un message privé: "Je te recontacte comme prévu. Pour la prochaine fois, on monte en puissance, il me faut trois arabes et trois blacks. Vous nous coincerez dans une ruelle sordide à la sortie d'un ciné ou d'un resto, et vous baiserez ma femme sous mes yeux. Foutre dans tous les orifices. Humiliation totale."

Ahmed lui répondit quelques heures aprés: "Salut! Ça y est, j'ai rassemblé une équipe: trois arabes, trois blacks comme demandé. On est dispos samedi soir. Si t'es toujours partant, donne nous le lieu et l'heure, on s'occupe du reste."

Tendu comme un arc à la lecture du message, il interpella Stéphanie qui préparait le diner dans la cuisine:

-"Chérie, ça te dirait un resto-ciné samedi soir?"

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1 Commentaires
CocuforeverCocuforeveril y a plus de 8 ans

Oh oui la suite c'est trop bandant

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