Hiver '93

BÊTA PUBLIQUE

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Lorsqu'il fut certain qu'elle avait fini de jouir, il se recoucha à ses côtés et la prit dans ses bras. Malgré une érection de bon aloi, il lui dit

« Demain? »

« Voguant toujours sur la vague post-orgasmique, elle lui répondit 'Demain'! »

Ils s'endormirent en cuillère, Jean logeant son érection entre les fesses de la femme qu'il aimait.

Ils se réveillèrent à l'aube, sous l'effet d'un magnifique soleil hivernal. C'était la première fois qu'ils se réveillaient côte à côte et Cécile en fut toute retournée. Se réveiller avec la présence rassurante de Jean à ses côtés était tellement plus qu'une simple péripétie ; c'était comme l'annonce d'une bonne journée, d'un avenir sans problème, où les nuages ne servent qu'à donner un peu d'ombre sous un soleil trop brûlant.

Elle fit sa toilette en se disant (« Cela n'ira peut-être pas plus loin s' il ne réussit pas l'épreuve finale mais de toute façon, c'est lui qui fera de moi une vraie femme! »). Il lui succéda rapidement dans la salle de bains puis ils petit déjeunèrent à leur aise. Ils étaient plutôt silencieux jusqu'à ce que Jean propose « et si on profitait un peu de ce beau soleil pour une courte ballade pendant que la femme de ménage prépare la chambre? »

Cécile fut un peu déçue mais n'en laissa rien paraître. Ils partirent donc vers les dunes, le visage rougi et les cheveux fouettés par une brise marine un peu piquante. Après 300 ou 400 mètres, Jean s'arrêta soudain. Pas un promeneur en vue. Il la prit par les épaules et la tourna face à la plage et à la mer.

« Cécile, tu es la femme de ma vie. Je t'aime tellement que cela fait mal chaque fois que je pense à toi. Je sais que tu m'aimes aussi et je ne comprends pas pourquoi tu ne veux pas me le dire.. mais maintenant, tu vas devoir prendre une décision pour nous deux »

Il mit un genou à terre et lui prit la main. Le cœur de la jeune fille s'arrêta.

« Valérie Cécile Lantine, veux-tu faire de moi un l'homme le plus heureux du monde en m'épousant ou en devenant mon compagne de la manière qu'il te plaira et qui fera de nous un couple jusqu'à la fin de nos jours? »

Il lui tendait une petite boite emballée dans du papier cadeau bon marché. Cécile avait le cœur qui bondissait dans tous les sens dans sa poitrine

« Et si je dis non? »

Malgré la morsure du vent, le visage de Jean devint gris

« Alors je reprends mon sac et je rentre à Lille et je ne t'ennuierai plus avec mes sentiments stupides »

« Alors qu'une vierge t'ouvre ses cuisses? »

« Cécile, ce n'est pas ta virginité que je veux mais tout ce qu'il y a autour et jusqu'à mon dernier souffle! »

« Oooh Jean! tes sentiments ne sont pas stupides ; tu es le meilleur des hommes que j'ai jamais rencontré! Oui, je veux devenir ta compagne! OUI OUI!!! Je veux être avec toi, à toi, Jean! O Mon Jean ; je t'aime tellement! »

Elle tomba à genoux et l'embrassa avec une passion cent fois plus brûlante que la bise. Le garçon avait du mal à en croire ses oreilles. Après l'avoir fait languir et tourner en bourrique pendant des semaines, elle lui avouait son amour et acceptait de l'épouser en moins de cinq secondes.

Lorsqu'elle libéra sa bouche, il balbutia « Mais pourquoi .. comment ...? »

« Parce que je devais être certaine de toi.. Je suis amoureuse de toi plus tu ne peux l'imaginer. J'étais prête à coucher avec toi-même si tu ne m'avais considéré que comme une passade ou une bouillotte tout juste bonne à réchauffer ton lit mais pour t'avouer que je t'aimais, il me fallait plus ; il fallait que je sois certaine que tu t'engages, que tu sacrifies une partie de toi ... pour moi. »

« Tu aurais dû déballer le paquet en premier alors »

Les mains tremblante, elle arracha l'emballage et ouvrit une petite boîte en carton. Au centre, elle découvrit une ridicule petite bague en toc.

« Pour être certain que tu seras mon Futur, je te donne mon Passé, Cécile »

« Jean! « Et elle éclata en sanglots. « C'est pas des choses à dire à une fille! Tu ne sais pas que nous sommes atrocement sentimentales? Je vais pleurer chaque fois que je vais la porter. »

« Tu ne dois pas la porter, simplement la conserver ; tu peux la ranger là où tu as déjà mis mon cœur! »

Ils ne se rappelèrent jamais vraiment comment ils étaient rentrés à l'hôtel. Cécile parla toute sa vie de lévitation alors que Jean penchait plutôt pour la téléportation. Leur premier souvenir suivant l'épisode de la bague fut de se retrouver nus, enlacés sur le grand lit.

« Prends-moi Jean, fait de moi ta femme » le supplia Cécile

« Non, pas question mon aimée! Je vais lécher ton bouton d'amour et te rendre folle de désir puis TOI tu me prendras! Je veux que tu m'offres la virginité de ton ventre! »

Il mit immédiatement son plan à exécution et avant peu, la belle Cécile lui griffait le cuir chevelu en geignant

« Ooh Jean ...arrête, je n'en peux plus ; ... tu vas, tu vas ... NON n'arrête PAS! Aah salaud .. je vais te violer! »

Il se coucha sur le dos et elle lui sauta dessus avec la férocité d'une panthère affamée. Elle s'aida de sa main pour positionner la verge ultra dure à l'entrée de son vagin et lui dit

« Regarde bien monsieur mon futur mari, voici le moment dont tu te souviendras mieux que de n'importe que contrat de mariage! »

Elle commença à s'empaler sur lui jusqu'à ce que le gland bute sur son hymen. Et, sans marquer de pause, rabattit ses hanches sur son pubis.

« AAAAHHH! oooh! ça brûle,... tu es si gros ... si bon! »

« Cécile je ... AAARGH! » ... AAAHHHH! »

« Oui mon Jean, oui mon mari, donne-toi, vide-toi en moi! , viens encore! »

« Cé...cile ... ugh ... ça n'arrête ... pas ... »

Ses mains abandonnèrent ses hanches pour s'emparer de sa poitrine qu'il broya convulsivement tandis qu'un nouveau spasme l'envoyait au plus profond de l'étroit vagin tout neuf

« Ooh Cécile! »

Elle se pencha pour l'embrasser sans qu'il ne lâche ses seins

« Je me sens toute chose avec ce gros machin dans mon ventre ... Tu aimes ma chatte? »

« Je l'adore! Elle est faite pour moi! »

« Tu ne préfères pas mes seins? Je sens bien que tes grandes mains ont envie de les pétrir comme des miches. Oui Jean, fais-moi les seins, ça t'excite, hein, mon gros loup? »

« Oui ma biche, tes seins m'excitent beaucoup et ils me donnent envie de te faire l'amour encore et encore! »

« Huum, oui, ta bite est de nouveau bien dure ... aaah ... doucement ... oui, comme ça ... oooh, tu vas si loin ...ooh mon chéri... si j'avais su ... pas attendu ... j'aime te prendre ... Jean ... MON Jean ... tu es à moi ... Je suis .. aaah à toi ... ooh, c'est trop bon ... Fais-moi les seins... plus fort ... oui ... arrache-moi les tétons ... ooh Jean ... J'ai mal ... continue ... plaisir ... oooh Je ... Jean.. JEAN! AAAAAHHH! »

Il cessa enfin de martyriser ses seins et la recueillit dans ses bras tandis qu'elle s'écroulait anéantie sur lui . Il la laissa reprendre ses esprits avant de lui dire

« Tu es si belle quand tu jouis ma Cécile, je ne me lasserai jamais de te donner du plaisir! »

« Il faudra pourtant que tu patientes un peu ... on a un peu exagéré pour une première fois et ma vulve est un peu trop sensible pour le moment. Et j'ai bêtement oublié ma crème intime avec le lubrifiant ... »

Jean la sentait qui se retirait doucement tiqua « Le lubrifiant?»

« Sors d'abord .. ; voilà, merci mon chéri. Oui, du lubrifiant .. je m'étais dit que si c'était trop douloureux côté pile, je t'offrirais le côté face ... J'ai cru comprendre qu'il t'intéressait ... »

La verge du garçon tressauta et il gronda « surtout depuis que tu m'as avoué que je devrais le reconquérir »

Elle saisit sa verge et lui dit « Pour aujourd'hui, tu devras te contenter de ma bouche, mon homme, mais j'aimerais que tu la laves d'abord ; je ne suis pas trop pressée de goûter mon sang de vierge hi hi »

« J'ai une meilleure idée » dit-il en la faisant basculer sous lui. Il s'installa à califourchon sur son ventre et installa sa verge luisante entre ses seins qu'il enserra dans ses grandes mains « Humpf, c'est bon ... aah ... c'est vrai que ...humpf.. j'adore tes belles mamelles ... je vais baiser .. humpf... tes seins ... oooh ... Cécile... humpf ... caresse tes mamelons... »

« Haa Jean .. occupe-toi de mes mamelons, je vais baiser uuh ta bite avec mes grosses mamelles »

Ils changèrent de rôle et Jean s'aperçut bien vite que la nouvelle situation lui convenait encore mieux ; Cécile avait le don de transformer sa somptueuse poitrine en tunnel d'amour tandis qu'il pouvait sensuellement torturer mamelons et tétons qui avaient pris une couleur rouge sombre qui l'excitaient au plus haut point.

« Cecile, aaah! ... Tu es trop forte ... humpf ... pour un faible mâ aah le , ...humpf .. je dois .. je vais humpf aah .. WOOOAAA!! »

Il pinça les tétons presqu'à sang lorsque la première giclée de sperme jaillit et éclaboussa la gorge de la femme qu'il aimait. Cécile se servit de ses seins comme d'une pompe aspirante et parvint à lui arracher encore trois ou quatre spasmes particulièrement violents avant qu'il ne capitule et ne s'écroule à côté d'elle. A son tour elle le laissa récupérer, le temps d'éponger son cou et sa poitrine puis lui demanda, mutine, « Tu as aimé? »

« Uuuuuh » gémit-il « ça c'est le genre de choses à ne faire qu'une fois par an ... mais j'y pense , nous sommes le 14 février! C'est la ... Non! Pour nous ce sera différent! Je vais devoir donner un coup de canif dans notre contrat »

« Jean, tu m'avais promis un week-end par mois! »

« Ne t'en fais pas, je rajoute un nouveau jour « Cécile et Jean » à notre calendrier. A partir d'aujourd'hui, nous aurons notre propre fête le 14 février mais en échange, je pourrai t'appeler Valérie ou Val toute la journée! »

« Tu sais bien que je n'aime pas ... mais pourquoi? »

« Parce que ce sera notre fête des Seins, Val Lantine! »

Epilogue

Ils furent heureux et eurent de beaux jumeaux ... mais cette histoire-là a déjà commencé

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