Hiver '93

BÊTA PUBLIQUE

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Tout à leurs caresses, ils s'étendirent sur le divan et se pelotonnèrent l'un contre l'autre. La main droite de Jean glissa du sein de Cécile vers son ventre plat, lui arrachant de nouveaux gémissements de plaisir qu'il étouffa de ses lèvres. Il hésita au bord du fuseau mais, s'aidant du coude pour ne pas lâcher la verge du garçon, elle l'encouragea à continuer sa progression. Il passa sous le tissu élastique du pantalon et atteignit le bord du slip. Ce simple contact faillit le faire jouir dans son caleçon et il se raidit ; concentrant toute sa volonté pour maîtriser la montée de son plaisir.

Sous le slip, il ne rencontra aucun poil pubien et marqua un temps d'arrêt pour savourer la peau glabre. Cécile libéra sa bouche et lui demanda

« J'espère que tu ne me trouves pas trop dévergondée? »

Jean ne répondit pas mais sa main descendit encore, se guidant à l'élévation de température centrée sur l'entrejambe de sa compagne. Celle-ci blottit sa tête dans le creux de l'épaule du garçon en lui murmurant à l'oreille

« Vas-y, plus bas, ...j'ai envie! »

Malgré son peu d'expérience avec la gent féminine, Jean n'était plus un puceau et ses doigts trouvèrent immédiatement le clitoris érigé. Il le caressa passionnément tandis que Cécile se cabrait pour accentuer la pression sur son bouton de plaisir.

« AAAHHH ... JEAN! OUIIII, LA .. LA ...! »

Fébrilement, elle fit sortir la verge du garçon hors du caleçon et la serra convulsivement tandis qu'il s'acharnait sur son clitoris en ébullition.

« AAARGH! OUIII! JEAN ... JE ... VIENS! »

Incapable de résister plus longtemps à l'incendie qui lui ravageait le bas-ventre, le garçon jouit en même temps que la jeune fille, inondant sa main et son ventre d'une éjaculation aussi abondante que violente.

« OOOH ...C'ILE! MOI... AUSSI ..! »

Ils restèrent prostrés un moment avant que Cécile ne reprenne la parole

« Merci mon bel amant, c'est tellement meilleur quand ce ne sont pas mes doigts ... »

« A qui le dis-tu! Tu m'as vidé les ... parties pour une semaine au moins »

« J'espère bien que non ; tu ne crois quand même pas que je vais me contenter d'un petit geyser par semaine? J'ai bien l'intention de te vider les couilles mieux que cela! » lui asséna t'elle avec le grand sourire si typique des filles après un orgasme particulièrement satisfaisant.

« Melle Lantine! Quel vocabulaire! Vous me choquez! » répondit Jean hilare.

« Ce n'est pas l'impression que j'ai! » répondit-elle sur le même ton en agitant la verge du garçon encore bien raide malgré son éjaculation dont il retrouva une trace sur la joue de sa compagne. Un peu gêné, il voulut l'essuyer mais elle l'arrêta et avec une totale absence de pudeur, récupéra le sperme et le goûta.

« Hmmm , pas mal. Ca ne vaut pas le cidre mais ce n'est pas désagréable! »

Il n'en fallait pas plus pour que la verge de Jean redevienne aussi dure qu'auparavant. Excité en diable, il reprit l'exploration de l'entrejambe de son amante. Sa main découvrit côté dos, l'humidité du tissu du slip de la jeune fille et, côté paume, l'affolante chaleur de sa vulve béante. Il fit glisser ses doigts le long des grandes lèvres trempées avant de risquer le majeur dans la fente. A sa grande surprise, il fut rapidement arrêté par une membrane inconnue.

« Eh oui mon beau ; elle est toujours là! Aucun mâle ne m'a encore assez ému pour que je lui offre ma dernière virginité! Tout le reste et je l'ai fait mais là, j'attends toujours de trouver le 'Mr Right' »

Impressionné malgré lui, Jean se retira de la vulve pour revenir au clitoris dardé tandis qu'elle continuait son excitant monologue.

« Oui mon beau! Aaah caresse-moi bien! Fais-moi jouir et après ... oooh ... oui, c'est bon comme ça ... et après, je vais te sucer ... ta grosse bite ... te faire exploser ... aaahh.. dans ma bouche ... te vider tes .. grosses couilles! Oooh Jean, mon Jean, je t'ai .. ; je te désire! AAAAHHH! JEAAANNN! »

Cette fois, elle fut secouée de convulsions qui n'en finissaient pas tant Jean s'acharnait sur le centre de son plaisir. Epuisée, elle lui saisit la main en geignant « Stop.. Jean.. par pitié mon a..mant! Je n'en peux plus! »

Jean se contenta dès lors d'effleurer la surface de sa peau ; louvoyant sur le Mont de Vénus avant de revenir sur le pourtour de sa vulve détrempée. Il aurait donné cher pour la voir entièrement nue mais elle semblait déterminée à garder son pantalon ; même grand ouvert. Elle s'était pelotonnée contre lui, la tête à nouveau dans le creux de son épaule pour savourer les reliquats de la vague orgasmique qui l'avait terrassée. Il lui caressa les cheveux et elle ronronna littéralement de contentement. La main de la jeune fille descendit lentement, très lentement le long des pectoraux du garçon, explora ses abdominaux, joua un moment avec la verge plus que jamais glorieusement raide avant de palper les bourses.

« Mmmh » Le murmure était appréciateur « j'ai affaire à un homme de ressources ... »

« Et encore » avoua t'il « Tu as raté le premier épisode.. Je me suis ... donné du plaisir tout seul dans les toilettes de la bibliothèque »

« Ca te prend souvent?» demanda t'elle ironique

« Uniquement quand je passe des heures à contempler une ravissante brune en train d'onduler entre les rayonnages »

Elle rit de bon cœur « Si je comprends bien, je dois réparer mes torts? »

Et sans lui laisser le temps de répondre, elle se courba et prit la verge du garçon dans sa bouche. Jean poussa un grognement à moitié étranglé de plaisir et de surprise. C'était la première fois qu'une fille lui taillait une pipe et il gémit sous le choc de cette sensation inédite.

« Oooh Cécile! C'est.. c'est ... sensass! Waaow!»

Elle ne répondit pas, trop occupée à masturber le bas de la verge glorieusement bandée tout en suçant le gland et la partie supérieure du manche viril. Son autre main vint soupeser les bourses contractées par le désir, déterminée à les vider, à les assécher et à obliger sa victime adorée à demander grâce.

Bien que concentrée sur sa tâche, elle ne pouvait s'empêcher de jubiler : elle avait enfin réussi à rompre l'isolement de son beau ténébreux et à nouer un lien avec lui. Elle sourit intérieurement en réalisant que, pour l'instant, le lien était une grande bite bien dure. Malgré son élan sentimental pour le garçon, elle gardait en elle assez de réserve de froid raisonnement que pour vouloir s'en tenir aux conditions qu'elle avait fixée ... tout en priant ardemment pour qu'il les remplisse...

Elle sentit bientôt la verge se contracter et Jean gémit « Cécile! Attention, je vais ... » Il tenta de se soustraire à la délicieuse succion mais elle s'accrocha à son membre comme si sa vie en dépendait. Lorsque la verge entra en éruption, elle accueillit dans sa bouche le liquide douceâtre avant de l'avaler. Lorsque les giclées diminuèrent, sa langue entra en action pour recueillir les dernières gouttes de sperme du garçon qui reposait les yeux clos , enfin assouvi.

Ils s'embrassèrent avec ferveur mais sans l'urgence qui les avait aiguillonné jusqu'ici . Elle posa son visage sur le torse de son amant en murmurant d'une voix presqu'inaudible « J'espère tellement que ce sera toi ... »

Le week-end lui parut interminable. Jean avait proposé de revenir le samedi mais elle était coincée par une visite familiale d'autant plus insupportable qu'elle devait jouer les maîtresses de maison; sa mère ne supportant pas sa belle-famille ayant décidé de se rendre à une réception mondaine à Nice.

Jamais l'université ne lui avait parue plus lumineuse qu'en ce triste lundi matin grisâtre de février. Elle attendit avec impatience l'arrivée de Jean et faillit lui sauter au cou lorsqu'il apparut enfin dans son éternelle vieille veste qui le rendait encore plus désirable. Elle se retint néanmoins et se contenta de déposer un chaste baiser sur sa joue avant d'aller s'assoir avec lui dans l'auditoire. (« Ne te précipite pas Cécile! Ce n'est peut-être pas 'Lui' . Ca ne sert à rien de rêver trop fort et de rendre la rupture plus pénible! »)

Elle découvrit bien vite que Jean était un monstre de concentration. Totalement oublieux de son environnement pour suivre les cours avec une attention jamais démentie. Même aux entre-cours, il restait penché sur ses notes. Mais à la pause de midi comme lors de celle qu'ils firent avant d'aller à la bibliothèque, il reporta toute cette farouche attention sur elle. Elle était le centre de son univers et rien non plus ne parvenait à le détourner d'elle, passant des questions aux compliments ou à de discrets touchers de mains qui les faisaient tous deux frissonner.

Après la bibliothèque où ils travaillèrent pour la première fois sur deux tables voisines, ils tuèrent un peu le temps en mangeant dans un autre petit restaurant que Cécile appréciait avant de pouvoir se réfugier dans le 'salon des bonnes' où ils se donnèrent du plaisir avec une avidité presqu'insoutenable. Lorsque Jean dut la quitter, ils éprouvèrent une impression de déchirement qui leur mit à tous deux des sanglots dans la voix alors qu'ils se quittaient sur le pas de la porte.

Ils s'installèrent rapidement dans une espèce de routine qui, en fait, était en permanence troublée par des explosions de passion dans des endroits où le risque de se faire prendre s'accroissait presque chaque jour. Le jeudi soir, alors qu'il venait de la faire jouir debout, les seins à l'air entre deux rayonnages, Jean remarqua « Ce serait plus simple que le vieux dragon nous laisse les clefs pour que je puisse te caresser sur la table »

Accrochée à son cou, Cécile lui répondit un peu penaude « Ne fantasme pas trop ; à partir de demain ou samedi au plus tard, je serai 'out' pour une semaine.... mais je pourrai toujours te sucer » ajouta t'elle précipitamment, comme si elle craignait de voir Jean s'éloigner d'elle faute d'assouvissement sexuel.

« Pas question! L'attente rend la délivrance d'autant meilleure »

« Tu n'es pas obligé! J'aime t'avoir dans ma bouche! »

« Et j'adore quand tu me suces! Je me suis toujours demandé si c'était un don ou de l'entraînement? »

« Un peu des deux .. je suis douée ET il fallait bien que je sauve ma virginité principale face à tous les mâles en rut qui voulaient me la voler » le taquina t'elle

« Humm, rien que de t'imaginer avec des 'mâles en rut', j'ai de nouveau envie ... »

« Que dirais-tu d'essayer le cagibi derrière le vestiaire »

« je dirais 'Viite' »

Cécile fut un peu surprise par le comportement de Jean. Au lieu de la laisser lui prodiguer sa fellation à sa façon, il saisit sa tête et fit littéralement l'amour à sa bouche, la traitant comme elle s'imaginait qu'un sexe masculin pénétrait un vagin. Il jouit plus rapidement que d'habitude et plus violemment aussi car ses genoux fléchirent et il dut s'appuyer sur ses épaules pour ne pas tomber.

« Ca alors, tu étais déchaîné tout d'un coup! » dit-elle en se relevant

« Excuse-moi, c'est l'idée que d'autres hommes ont joui dans ta bouche. J'ai eu comme un flash . Il fallait que je la prenne ... en force, pour marquer mon territoire. .. » Il lui prit le menton « car tu es à moi Cécile Lantine ; tu ne le sais peut-être pas encore mais tu es définitivement et irrévocablement A MOI! » . Il l'embrassa ensuite avec une passion dévorante qui la fit gémir de bonheur.

Ils profitèrent du repos forcé pour se découvrir un peu plus . Cécile parla un peu de son ennuyeuse vie familiale entre un père obnubilé par l'entreprise héritée de sa prestigieuse famille, une mère aigrie par le désintérêt de son mari et une sœur aînée uniquement préoccupée par son apparence et ses relations dans la Jet Set. Elle s'amusa par contre beaucoup plus à raconter ses frasques sexuelles d'adolescente, n'épargnant aucun détail à un Jean rendu à moitié amok par le récit des turpitudes de sa belle. Ce fut un miracle qu'il tint sa promesse de ne réclamer aucune faveur sexuelle, surtout lorsqu'elle lui raconta son unique expérience de la sodomie « comme un fer rouge entre mes reins et pourtant elle était plus petite que la tienne »! Il était devenu blême, la sueur perlait sur son front et il tremblait de tous ses membres. « Cécile », grinça t'il « Ne me refais plus jamais ça! La seule idée de devoir te partager avec un autre homme me rend fou! Il l'embrassa en l'étreignant comme un gorille furieux et lui faisant sentir contre son ventre un sexe dur comme une barre de fer. Elle tenta de le caresser pour le soulager mais il la repoussa sans aménité

« NON, je t'ai fait une promesse et je ne la trahirai pas! Je ne te trahirai jamais Cécile! »

Elle l'enlaça et le garda contre elle le temps qu'il se calme et que la tension retombe un peu entre eux...Pour y arriver, elle lui avoua un petit secret qu'elle avait jalousement gardé jusqu'ici

« Cécile n'est pas mon premier prénom ; c'est Valérie mais je ne l'ai jamais aimé. Je me suis toujours débrouillée pour employer « Cécile » depuis que j'ai 5 ans et même mes parents ont oublié 'Valérie' »

« 'Valérie' ... 'Val' ... j'aime bien moi! »

« C'est un prénom masculin vaguement féminisé. Je t'interdis de l'utiliser! »

Jean par contre la fit presque pleurer avec le récit de ses souvenirs de la DASS, de sa préadolescence rebelle aux familles d'accueil et de son auto-reprise en main au moment où il s'était retrouvé seul à 18 ans.

« Le seul souvenir que j'ai de ma mère, hormis son nom, est cette bague de fiançailles en toc » lui montra t'il un soir dans sa chambre de Roubaix « sinon je n'ai même pas une photo d'elle et de ses parents. Et comme elle était fille-mère comme on disait à l'époque je n'ai pas non plus de trace d'une famille paternelle! »

Bouleversée, Cécile l'avait pris dans ses bras et s'était collée contre lui ; évitant par-dessus tout de prononcer de quelconques paroles pouvant passer pour de la pitié mais lui faisant passer le message 'JE SUIS LA!' .

Le vendredi 13 février arriva enfin. Craint par les superstitieux , il était attendu avec fébrilité par les deux amoureux. Jean avait amené son sac à dos avec lui au cours et revint avec Cécile à la maison Lantine où les attendait une des voitures du père de sa dulcinée. Dans le bus , elle se blottit contre lui et murmura « J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle »

« Traditionnellement on commence par la mauvaise non? »

« La mauvaise, c'est que nous devrons attendre jusqu'à demain pour que tu fasses de moi une femme ... du moins si tu en as toujours envie ... »

« Cécile! » Il commença à la chatouiller « Tu veux que je te torture autant que tu aimes me torturer? »

« Non, non, je me rends! Hi hi hi ...! Attends, regarde la bonne nouvelle! »

Elle lui tendit une clef bizarre qu'il regarda sans comprendre

« Tu ne vois pas? C'est la clef d'une Porsche! Et tu pourras la conduire jusqu'à La Panne! »

Euh , c'est gentil ... je me sens flatté mais euh ...je n'ai pas le permis ... En fait, apprendre à conduire fait partie de mes premiers objectifs professionnels ... dès que j'en aurai les moyens ..»

« Jean, je suis idiote! J'aurais dû y penser! »

Il l'embrassa « Non, tu n'es pas idiote, un peu 'Lantine', c'est tout »

Ils quittèrent la demeure familiale sans même saluer la famille « ils ne s'apercevront probablement pas de mon absence » avait commenté Cécile. J'ai prévenu Madame Wyngaert, notre cuisinière ; c'est la seule qui se soucie vraiment de moi. »

Elle conduisit sportivement mais en respectant toutes les limitations de vitesse jusqu'à la côte belge et gara la voiture devant un hôtel d'apparence rustique. Leur chambre par contre était aux limites du grand luxe et Jean, habitué à des lieux plus spartiates, eut besoin d'un temps d'adaptation avant d'oser toucher le mobilier et les objets à disposition. Cécile, qui avait réquisitionné la salle de bain, en surgit et le cœur du jeune homme s'arrêta. Elle ne portait qu'un large slip noir mais sinon était entièrement nue. Il se rendit compte que c'était la première fois qu'il voyait ses jambes magnifiquement galbées qui rivalisaient de sensualité avec ses seins en bataille. Elle se lova contre lui et commença à le déshabiller. Quand il fut nu contre elle ; affichant une érection à rendre un bouc jaloux, elle lui souffla « au programme, diminution de la pression, repas en amoureux puis balade romantique sur la digue et enfin dodo. J'ai besoin d'un homme en forme demain! »

Elle se laissa glisser à genoux et prit son membre en bouche, s'accrochant à deux mains à ses fesses musclées. Jean réalisa alors que pour la première fois, elle avait utilisé le mot 'amour' dans « ballade en amoureux ». Cette révélation décupla son désir mais la coquine avait décidé de faire durer le plaisir en ne se servant que de sa bouche. Elle se contenta de le sucer pendant dix bonnes minutes jusqu'à le faire trembler de désir.

« Cécile, pitié! Je n'en peux plus! »

Elle l'abandonna un instant « Tu demandes 'grâce' mon amour? »

« Oui, oui je demande grâce. Fais-moi jouir s'il te plaît! »

Elle le reprit en bouche mais cette fois commença à le masturber d'une main et à caresser ses couilles de l'autre. A ce régime , il ne tint pas plus d'une minute et éjacula dans sa bouche une quantité phénoménale de foutre.

« CIIILLE! AAAAHHHH! EN... CORE! AAAHHHH! CE .. CI .. LE ...! JE T'AIME»

Elle dut interrompre sa succion pour pouvoir déglutir avant de le renfourner pour parachever son œuvre, caressant les bourses resserrées pour l'inciter à lui abandonner ses dernières gouttes de sperme. Quand elle le relâcha enfin, il se laissa tomber à genoux lui aussi et l'embrassa sans se soucier de savoir s'il n'avalait pas son propre sperme au passage. Elle posa sa tête sur son épaule, posa sa main sur sa poitrine et lui dit :

« C'était particulièrement abondant aujourd'hui! »

« Les stocks étaient au plus haut après une semaine sans ... enfin tu sais quoi! »

« Tu aurais dû ; je ne veux pas que tu te prives à cause de moi »

« Mais moi oui ; mon plaisir ne peut plus venir que de toi ou avec toi ; plus jamais tout seul et encore moins avec une autre!»

Il ne voyait pas son visage illuminé d'un grand sourire mais l'entendit murmurer

« J'espère tellement que tu seras l'homme de ma vie »

Il ne dit rien mais la serra contre lui avec assez de force pour lui broyer les seins contre son torse et lui couper le souffle.

« Si tu veux bien me laisser respirer, j'aimerais passer à la seconde étape de mon programme. »

Comme d'habitude, Cécile avait bien choisi le restaurant, spécialiste du moules-frites et l'emmena ensuite, main dans la main, dans les dunes éclairées par le clair de lune avant de rentrer à l'hôtel. Elle repassa par la salle de bains tandis que Jean se déshabillait et ouvrait le lit. Comme en début de soirée, elle revint nue mais cette fois sans son slip et se coucha sur le lit, entrebâillant ses magnifiques jambes pour lui révéler son sexe fraîchement lavé.

« J'ai une bonne nouvelle cette fois mon amour... »

Jean la regarda, fasciné par l'entrejambe parfaitement épilé qui s'offrait à sa vue pour la première fois lui aussi.

« Ca en fait des premières aujourd'hui! J'ai enfin vu tes jambes, ton minou et tu m'a dit que tu m'aimais! »

« Je n'ai pas dit que je t'aimais ... »

« SI! » r »pondit-il triomphalement « tu as parlé de repas en amoureux et tu m'as demandé Tu demandes 'grâce' mon amour? »

« Un moment d'égarement » puis émue par son regard blessé, elle ajouta « Ceci dit , je voudrais bien que tu ajoutes encore une première ... tu veux bien me lécher? »

La verge de Jean répondit pour lui et il la rejoignit sur le lit. Elle écarta complètement les cuisses et il se pencha vers sa vulve grand ouverte.

« Tu devras un peu me guider, c'est aussi une première pour moi ... »

Comme à son habitude, il se concentra totalement sur sa tâche, apprenant quasi immédiatement les zones les plus érogènes voire orgasmogènes ; ses mains ne restaient pas inactives à la conquête de ses seins ou caressant ses cuisses. En un temps record, Cécile se cabra et plaqua le visage de son amant sur sa vulve béante en geignant « Bois-moi ... JEAN ... oooh , bois-moi ... c'est ... tell'ment ... BOOON! »