Histoire Africaine 05

BÊTA PUBLIQUE

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- Noirs, je suppose?

- Oui!

- L'un ou l'autre étaient-ils gros, entre les jambes?

- Très. Les deux.

- OK, je ne suis pas surprise.

La policière, bien que mariée, est autant attirée par les femmes que par les hommes, cette jolie ingénue abandonnée devant elle est très attirante. L'idée d'utiliser son kit de viol sur cette femme lui fait mouiller sa culotte.

Elle tend la main, elle palpe les seins l'un après l'autre : - Vos seins sont très rouges. Est-ce douloureux ici? Parfois, ils écrasent ou mordent trop fort.

- Non, ça va. Ils n'ont pas été sauvages avec mes seins.

Elle continue de l'examiner en promenant ses mains sur son corps :

- Écartez un peu plus les jambes.

La policière utilise deux doigts pour ouvrir la chatte d'Anne, elle regarde à l'intérieur : - C'est très rouge ici et vous avez beaucoup de sperme qui s'écoule.

- Oui, des deux hommes.

La policière lève ses yeux dans les yeux de la femme :

- Nous avons presque le même âge et vous êtes très franche. Est-ce que nous pouvons nous tutoyer, cela facilitera nos échanges?

- OK!

- Je dois te dire que tu as eu beaucoup de chance. Vous avez eu tous les deux beaucoup de chance. Laisse-moi te raconter.

- Il y a deux mois de ça, une automobiliste européenne s'est égarée dans une banlieue, je devrais dire un bidonville pas très loin d'ici. Dans un terrain vague, une bande de jeunes désœuvrés jouait au ballon. Elle est descendue de voiture pour demander son chemin. Ils l'ont encerclée pour la tripoter, ils commençaient à la dénuder lorsqu'un automobiliste s'est arrêté pour essayer de l'aider. Ils l'ont tué à coups de barres de fer, puis ils ont violé la femme. Ils l'ont entraînée vers une de leur planque et elle a été violée toute la nuit à maintes reprises. Ces types sans foi ni loi sont extrêmement dangereux. Maintenant, passons à l'examen.

- As-tu laissé couler beaucoup de sperme avant que j'arrive ici?

- Non! Mon mari a refusé que je me lave, alors je me suis allongée sur le lit.

- Oui. Il en reste beaucoup à l'intérieur, ça coule aussi dans la raie des fesses. Dis-moi, est-ce qu'ils t'ont prise par le cul?

- Non, je n'aurais pas pu gérer cela. Il était trop gros pour passer par là.

- Je vois. C'est probablement une bonne chose, si les deux hommes s'avéraient gros.

Elle tient la moule d'Anne ouverte avec deux doigts.

- Tes petites lèvres, à l'intérieur, elles sont si rouges, si gonflées, comme si elles avaient été maltraitées. Tu es en voyage de noces. Alors dis-moi. T'es plus vierge depuis longtemps? Et ton mari, est-il aussi gros que les deux hommes?

Rougissante, elle ne veut pas l'admettre au début, puis : - Mon mari est moins gros, mais bien pourvu quand même.

- Ouais. Je suis désolée que tu aies dû faire cet ajustement aussi tôt dans ton mariage. - As-tu pu les pratiquer confortablement, ces deux hommes noirs avec leur grand pénis?

- Pas au début. Le premier gars, c'était comme si je perdais ma virginité à nouveau. Le deuxième homme était plus facile à absorber, même s'il était plus épais. C'était plus aisé. Il est resté en moi, beaucoup, beaucoup plus longtemps. Tu vois?

Elle baisse les yeux, rougissante et honteuse, elle se refuse de lui faire la confidence.

La policière la maintient ouverte. - Est-ce que je semble vraiment si rouge?

- Ouais, pas mal. Ton corps a reçu un choc.

Anne acquiesce :

- C'est peut-être pour ça que je suis rouge, il a duré si longtemps et si fort. Ils étaient tous deux beaucoup plus virils que mon mari. Mais je me suis adaptée.

- Tu prends la pilule?

- Non. Pas encore.

La policière opine :

- C'est une bonne chose. Seuls ces deux types t'ont prise à cru, ils t'ont imprégnée de leur semence.

Ce qu'Anne ne dit pas, même à Paul : C'est qu'avant de venir en Afrique voir Paul, elle s'est fait poser un stérilet. Sa seule crainte, c'est que les deux jeunes, avec leur sexe énormes, n'aient pas déplacé son stérilet.

Anne l'interrompt :

- Je les sentais jouir en moi, me remplir de leur semence, ils étaient tellement plus forts, j'étais très consciente de toutes ces sensations.

- Comme ils t'ont baisée à cru, si tu tombes enceinte, tu sauras que c'est l'un d'eux et tu pourras décider dans le cas ou tu désires avorter ou pas.

La policière regarde Anne dans les yeux :

- Attends-toi à ce que ton mari ne veuille plus te toucher pendant un moment. C'est fréquent dans les cas de viol, surtout si le mari est blanc et le violeur noir. Quand ton mari réclamera avoir des relations sexuelles, dans l'éventualité où tes règles ne sont pas arrivées, utilise un préservatif avec lui jusqu'à ce que tu sois certaine.

- Je comprends. Pauvre homme, mon mari désire un enfant, il souhaite en être le père.

La policière écarte de nouveau les lèvres de la baiser pour regarder à l'intérieur : - Est-ce douloureux? À l'intérieur puisqu'ils s'avéraient si gros?

- Non. Je n'ai pas mal. Ils étaient tous les deux très forts, je me suis dilatée rapidement.

- Et la longueur? Est-ce que l'un d'eux est allé trop loin et peut-être blessée? Veux-tu que j'appelle une ambulance pour vérifier à l'hôpital?

- Non, pas d'ambulance, pas d'hôpital. Je vais bien. Ils étaient forts, certes, mais j'ai géré et je me suis dilatée.

Depuis le début de l'examen, elle n'a pas ôté ses doigts, elle la manipule sous prétexte d'examen, étirant ses lèvres encore rouges, elle palpe sa chatte ouverte : - Tu es OK ici. Mais ici? Et ici?

- Oui. Ils m'ont beaucoup dilatée, surtout le deuxième homme.

La policière continue à lui écarteler la moule en regardant à l'intérieur :

- C'est une bonne chose pour toi que le plus fort soit passé en deuxième position.

Elle plonge son regard dans les yeux d'Anne :

- Ça t'a plu?

Le regard d'Anne se trouble :

- Si je dis oui, est-ce que c'est mauvais? Je n'ai pas su empêcher mon corps de réagir.

La policière acquiesce, compréhensive :

- Je connais. C'est agréable d'être prise par une grosse bite. Le corps a besoin de ça.

Rougissante, Anne murmure :

- Je ne le dirai à personne d'autres qu'à toi. Je ne veux pas que ça se sache.

- Alors, tu as joui avec les deux? Si c'est le cas, tu dois te taire, car de tels témoignages peuvent être utilisés contre toi au tribunal. Si tu reconnais avoir eu du plaisir, les hommes diront que tu étais consentante.

Anne souffle, consciente des doigts de la policière dans son vagin :

- Je vais garder ça pour moi. Mais c'est seulement le deuxième qui m'a fait venir.

- T'inquiètes, je te comprends.

La policière veut établir des liens plus étroits, elle décide de révéler son secret à Anne.

- Veux-tu que je te parle de mon expérience personnelle?

- Oui s'il te plaît.

Les doigts de la policière se sont agités un peu plus dans le vagin d'Anne.

- Moi aussi, j'ai été violée une fois, enfin, violée, en quelque sorte. Par un homme noir. Très viril. Très bien équipé. À une réception, chez des amis communs. J'étais un peu saoule et il était vraiment envahissant. Mais une fois qu'il me l'a mise, il était réellement épais, je l'ai apprécié. Il m'a baisé debout, contre un mur. Même debout, il était suffisamment grand pour pénétrer jusqu'au fond de moi et je suis venue extrêmement fort avec lui. Réellement hyper fort.

Anne la regarde, les yeux écarquillés :

- Mais cette alliance? Étais-tu mariée quand ce noir t'a prise comme une fille?

- OH! Oui! J'étais et je suis toujours mariée. Je ne connaissais pas cet homme, lui, il connaissait bien mon mari, ils travaillaient ensemble. Pendant que cet homme noir me baisait, mon mari était juste de l'autre côté du mur, dans la pièce voisine, discutant avec ses copains.

Anne sourit, complice :

- Je connais ce sentiment. C'était très excitant pour toi, d'être baisée par un inconnu avec ton mari si proche. As-tu mieux joui qu'avec ton mari?

La policière acquiesce :

- Oui, c'est mon secret. J'ai joui presque immédiatement tellement c'était fort. Il était très fort et il étirait ma chatte comme jamais, elle avait été dilatée. Puis, nous nous sommes embrassés et le sexe est devenu encore plus formidable. Quand il a éjaculé en moi, je l'ai rejoint et nous avons joui ensemble. Un merveilleux moment.

- Mouais! Sensationnel.

- Sa queue était belle, très longue, peut-être trop longue, j'ai pu la prendre parce que nous étions debout. J'ai surtout apprécié son épaisseur, une queue comme ça? Dit-elle en secouant la tête.

- Je ne pourrais pas l'assumer de façon régulière, mais de temps en temps, pour varier les plaisirs.

- Tu n'as plus jamais baisé avec lui, après ça?

- Non. J'étais trop gênée a posteriori. Je me suis mal conduite. Pendant qu'il me baisait, je lui ai demandé de me baiser plus fort avec sa grosse queue. Parce que j'avais tellement besoin.

Elle regardait la jeune femme dans les yeux :

- J'essayais d'être gentille, exprimer ma gratitude, je me suis emportée et je suis allée un peu trop loin, alors que c'était vraiment ce que j'avais envie. J'aurais bien essayé de baiser encore avec lui. Mais, non, je ne peux pas. Quand il m'a baisée, je ne savais pas qui il était, mais lui savait qui j'étais. Plus tard, j'étais avec mon mari et cet homme, le noir, était là. Mon mari m'a présenté à lui et le type a dit : Oui, je l'ai vue avec toi plus tôt dans la soirée.

- Alors, j'ai compris qu'il savait qui j'étais, qu'il était en train de baiser la femme d'un de ses collaborateurs. Je me suis donc fait un devoir d'ignorer ce salaud après ça.

- Je peux comprendre ça. C'est embarrassant, surtout après que tu as avoué au noir que sa grosse queue était tout ce qu'il te fallait et qu'il te voit à côté de ton mari.

- Mon mari me tuerait s'il découvrait un jour comment je l'ai humilié.

La policière regarde la femme Anne :

- Et toi? Tu as joui avec le deuxième devant ton mari?

Elle rougit. Elle est embarrassée avec la vérité, alors elle a dit : - Ouais, c'était mieux, avec le deuxième homme. Je n'ai pas eu le temps de bien jouir avec le premier. Trop rapide.

La policière approuve :

- Maintenant, c'est notre secret. Tu n'as pas à t'inquiéter. Je comprends ce que tu ressens.

- Je me sens coupable parce que c'est évident que j'appréciais, car après avoir atteint l'orgasme avec le deuxième, il était sur le point de sortir et j'ai continué à jouer avec lui.

- Vraiment? T'es-tu masturbé contre lui? Dis m'en plus. La policière encourage la jeune femme en faisant jouer deux doigts dans sa chatte exposée.

- Il a semblé surpris, cependant il est resté en moi le temps que je finisse. J'ai mis mes jambes autour de lui et j'ai frotté ma chatte contre son pubis. Quand il a éjaculé en moi, j'étais très proche de finir, je n'ai donc pas été longue à venir. Mon mari savait ce que je faisais.

La policière hoche la tête avec compréhension :

- Au tribunal, si le violeur dit que tu jouais avec ta chatte pour jouir encore, ce pourrait être mauvais. N'avoue jamais cela fait en sorte que ton mari se taise.

Anne acquiesce :

- Tout le temps, mon mari était ligoté à côté de moi. Il gémissait et il bandait. Je pense qu'il savait ce que je faisais. Dis-moi, officier, as-tu jamais affronté la culpabilité?

- Tu peux m'appeler Patricia, quand on est seules. C'est compliqué, puisque cet homme noir me prenait debout contre le mur, je savais que c'était mal ce que je faisais. Mais depuis le début, je lui avais donné ma bouche et je lui avais murmuré des mots d'amour. C'était tellement bon, si doux et si fort. Même après qu'il eut fini, je l'embrassais encore à pleine bouche en le suppliant de me baiser encore.

Anne acquiesce à son tour :

- Quand il m'a fait jouir, je l'ai embrassé. Sur la bouche. Je ne connais même pas son nom, pourtant il m'a fait jouir si fort.

Patricia rigole :

- Je suppose que nous sommes deux salopes. Nous avons eu toutes les deux un amant noir et nous avons pris notre pied. Bien mieux qu'avec nos maris respectifs.

Puis, surprenante et grivoise, Patricia se penche sur Anne et l'embrasse à pleine bouche. Un tendre baiser. Un baiser langoureux avec un jeu de langue érotique. Un baiser plein de promesses, qui sait plus tard.

À la fin du baiser, elles tentent toutes deux de faire comme si l'acte n'avait pas eu lieu : - Patricia, ces hommes, pensez-vous avoir une chance de les coffrer?

- J'en doute. Dans cette période troublée, des bandes de jeunes hommes parcourent le pays en tous sens. Ici, c'est le far west. En plus, ils parlent tellement de différents dialectes qu'il est très difficile de demander des renseignements aux gens. En plus la police est majoritairement blanche, les délinquants majoritairement noirs, c'est compliqué de les faire parler. Mieux vaut oublier, plus vite, tu passeras à autre chose, mieux, tu te porteras.

La policière cesse de jouer avec la chatte d'Anne, elle plonge un doigt dans la flaque de sperme qui s'écoule hors d'elle, d'un geste rapide et doux, elle insère son doigt dans l'anus d'Anne.

Tout en lui massant l'anus, Patricia se penche pour l'embrasser.

- Merde Patricia, mon corps semble reprendre vie?

- C'est ce que je pensais. Tu es une habituée l'anal. Aussi salope que moi.

La policière travaille son anus étroit avec son doigt en allumant Anne.

- Waouh, Patricia. C'est vraiment bon, ton doigt. As-tu offert ton cul à ton mari, pour te faire pardonner?

- Ce n'était pas nécessaire, il n'a pas su que je baisais avec ce grand homme noir, hors de temps en temps, je lui accorde ce privilège, là, au moins, il est toujours assez grand.

- Quand tu seras propre, j'aimerais beaucoup te montrer ce que je peux faire avec toi.

Patricia utilise ses doigts pour pénétrer la chatte rougie en même temps que son anus à présent dilaté.

- OOOH! Putain Patricia, ça fait tellement du bien.

Elle regarde dans les yeux la policière qui lui sourit.

- Je ne sais pas combien de temps, nous resterons ici maintenant, mais tu as mon numéro et tu sais où je vis. S'il te plaît, je suis vraiment attirée par toi, jamais, je n'avais pensé qu'avec une femme, mais toi, tu me fais? OOH! OOH!

- Oui. Il faudra que je consacre un peu de temps à cette enquête.

La policière retire son doigt, après l'avoir essuyé, saisit son kit pour viol : - On se reverra bientôt pour les besoins de l'enquête, à présent, il faut recueillir les preuves. Les hommes nous attendent dehors.

La jeune femme va lui fournir beaucoup de preuves.

Plus tard, rhabillée, elle dépose son témoignage auprès des policiers, en leur expliquant tout ce qui lui était arrivé, en omettant juste un détail : La façon dont elle avait beaucoup apprécié, ainsi que son mari, en partie.

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Anonymous
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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Vos histoires sont toujours aussi prenantes et excitantes. A priori, Anne est totalement soumise à ses sens et son désir de jouissance. Où s’arrêtera-t-elle? A-t-elle encore des tabous ou des limites? Je suis impatient de lire la suite des aventures sexuelles de ce couple charmant…

GKCDGKCDil y a plus d’un anAuteur

Réponse a Anonyme

Les hommes font des peids et des mains avec des arguments qu'ils ne connaissent pas. Pour sodomiser la femme. Mais pour la plus part ils refuse ce qu'ils veulent infliger à la femme. De se côté là homme et femme sont identiques, alors il n'y a pas de raison de pas le subir, dans la plupart de mes textes.

AnicetteAnicetteil y a plus d’un an

Ah! Bon!. Se faire violer par un pénis plutôt épais que très long serait le chemin vers l'orgasme inoubliable??!! Chacune des histoires, si elles sont vraies, accréditeraient lachose...Ca donne envie! Vous excitez toujours plus ma curiosité,pour suivre ces histoires africaine. Un gros baiser, Merci.

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Bonne histoire, cependant on sent venir qu'il va être cocu, plus qu'a son tour, pour finir soumis lui même....comme dans la plupart de vos textes...mais c'est sûrement votre style.

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