Histoire Africaine 03

Informations sur Récit
La sortie scabreuse.
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1
Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/13/2023
Créé 11/30/2022
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En ce vendredi soir, Paul propose à Anne, pour les distraire, de passer la soirée dans un bar d'européens. Il est un peu moins de vingt deux heures lorsqu'il pousse la porte pour découvrir le café des amis.

Le petit hall d'entrée, fermé de portes à deux vantaux aux vitres opaques, protège, du vent, la salle est tout en longueur. Toute la partie gauche est occupée par le comptoir. Le long du mur opposé, face au bar, quelques chaises autour de tables basses attendent d'éventuels clients. Au bout de cette première pièce, on peut apercevoir le début d'une autre salle qui s'avère plus grande que la première. Le bar est décoré avec goût. Ils s'appuient au zinc pour commander.

Derrière le comptoir, se tient une jeune femme, entre vingt cinq et trente ans. Elle a de longs cheveux bruns coiffés en chignon. Elle est vêtue d'un débardeur scintillant à fines bretelles avec un profond décolleté qui cache une poitrine, apparemment, libre de tout soutien. Une courte jupe couvre la partie supérieure de ses cuisses.

Elle les prie de la suivre dans la pièce du fond, qui est séparé du bar par un double rideau entrouvert. Le centre de cette pièce fait office de piste de danse, de chaque côté, il y a des tables et des boxes.

Elle les invite à prendre place dans le box qui est le plus éloigné du comptoir, c'est le seul dont l'ouverture est face au bar. Les boxes sont des réduits séparés par des cloisons légères hautes d'environ un mètre vingt recouvertes de tissus pourpres.

Dans chaque box, il y a une banquette en U, plus ou moins grande, recouverte de simili cuir rouge. Particulièrement profonde, la partie centrale de la banquette ressemble à un divan. Un petit guéridon en bois exotique, un plafonnier et quelques coussins complètent l'ensemble.

- C'est le plus confortable, installez vous. Ce soir, il n'y aura pas beaucoup de monde, car nous fermons de bonne heure. Que voulez vous boire? Proclame la serveuse.

La barmaid, professionnelle, revient quelques instants plus tard pour déposer sur le guéridon un cendrier, un bougeoir odorant qui éclaire son visage méditerranéen. Quand elle se baisse, Anne peut voir pendant quelques instants ses seins qui ballottent sous le top très échancré.

Une musique, petit à petit, se fait entendre. Aux lumières vives des spots succède un éclairage très tamisé diffusé par quelques appliques. Le tour de la salle est maintenant dans une relative pénombre, seul le centre de la pièce est subtilement éclairé par quelques projecteurs. Puis la musique augmente de volume pour distiller quelques tubes des années soixante.

La barmaid revient avec les consommations, ce qui permet aussi à Paul, d'entrevoir sa poitrine libre sous le léger vêtement.

Anne réclame une paille, la serveuse, quelque instants plus tard, en rapporte plusieurs qu'elle dépose sur la table basse

En plus de la serveuse, il y a un homme d'environ quarante ans perché sur un haut tabouret, au comptoir, tout proche de l'arrière salle. Dans le fond de la pièce où ils sont, un autre homme, plus âgé, occupe seul une table.

Attirée par une chanson endiablée, Anne gage le centre de la piste pour danser en solo. Très sensuelle, elle se tortille, elle se déhanche sous les décibels

Au bout de dix minutes de danse sur des rythmes effrénés, elle revient pour vider son verre de Gin. Ensuite, elle entraîne Paul pour danser quelques slows.

Anne, ce soir là, a un très léger tailleur, de couleur jaune pâle, fermé par trois boutons de nacre. Elle porte la veste à même la peau sur un soutien gorge blanc qui a du mal à contenir sa belle poitrine. Elle a mis un string sous une jupe courte, largement fendue sur le devant.

Paul porte, comme souvent, une tenue très classique : pantalon de toile avec chemise ouverte sur une légère veste.

Enlacés, ils dansent, bercés par la musique.

Animé par une idée bien précise, il demande à Anne de déboutonner sa veste. Elle le fait discrètement, de bonne grâce, car elle a très chaud. Il en profite aussitôt pour passer une main dessous, pour empaumer un sein à travers le fin sous-vêtement. De temps en temps, avec beaucoup de discrétions pour ne pas éveiller l'attention des autres personnes, son autre main descend vers les reins d'Anne et parfois beaucoup plus bas encore, pour caresser ses fesses rebondies.

Paul a remarqué que l'homme assis sur le tabouret, est tourné vers eux, il ne cesse de les observer évoluer sous le halo de lumière.

Au bout d'un quart d'heure, à s'être échauffé les sens et les corps, ils retournent s'asseoir.

Anne repart rapidement sur la piste pour s'éclater sur des musiques, à nouveau, trépidantes. Seule, elle se trémousse sur des airs remuants, laissant entrevoir, de temps en temps, la blancheur du soutien gorge aux bonnets pigeonnants.

Paul en profite pour quitter sa place, il se dirige vers le bar aux fins de recommander à boire. La barmaid discute tranquillement avec le client toujours perché sur le tabouret, il ne quitte pas des yeux Anne. Paul interrompt leur conversation pour recommander à boire.

A ce moment, l'homme pivote pour lui faire face et l'interpelle :

- Bonjour, je m'appelle Tony, vous formez un très beau couple, j'aime les gens qui dansent comme vous, permettez-moi de vous offrir un verre à vous ainsi qu'à la personne qui vous accompagne. Lui dit-il en me tendant la main.

Sans réfléchir, Paul lui signifie son accord, alors il descend de son siège pour le suivre jusqu'à leur table. Avant de repartir, en compagnie de l'inconnu, il indique à la serveuse qu'ils veulent deux Gins toniques.

L'homme avise la serveuse :

-Sofia, trois et des doubles!

Tony a quarante deux ans, il travaille dans le bar. Plutôt corpulent, des épaules larges, mais pas mal physiquement, il est vêtu d'un polo beige d'une marque célèbre, d'un jean de bonne facture. Il est sympathique, sa conversation est plaisante.

La serveuse arrive avec trois verres, quelques serviettes en papier, elle dépose le tout sur le guéridon en gratifiant Paul d'un super sourire lorsqu'elle voit à nouveau son regard plonger dans son décolleté.

Tony l'interpelle :

- Sofia, tu n'as pas fini d'exhiber tes seins sous le nez des clients, tu bois quelque chose avec nous? Qu'il demande sur le ton de la plaisanterie,

- Je dois rester au bar, répond la jeune femme en haussant les épaules.

- Tu peux fermer maintenant. Ordonne Tony.

Elle repart vers le bar avec les verres vides, permettant à Paul d'observer son superbe fessier, pour verrouiller la porte d'entrée et éteindre la lumière du hall.

Tony sort d'une de ses poches une toute petite boite, en extrait une gélule bicolore qu'il ouvre pour en verser le contenu dans un des verres qui se trouve devant lui. Il prend une paille disponible sur la table pour mélanger l'ensemble, il laissa la paille dans le verre.

Anne, lorsqu'elle les rejoint, est à peine surprise de voir Paul en compagnie d'une personne étrangère.

Tony serre longuement et avec beaucoup de douceur la main d'Anne, ils font les présentations. Anne a vingt-sept ans, moi trente deux, nous allons nous marier.

Elle vient s'asseoir entre eux deux, elle reprend son souffle quelques minutes tout en bavardant avec eux.

Tony prend les deux verres qui se trouvent devant lui, il présente celui qui a une paille à la femme. Anne, qui a eu très chaud en dansant, porte aussitôt la paille à ses lèvres, elle aspire quelques gorgées du breuvage.

Tony, après avoir vidé son verre, invite Anne à danser.

- Buvez d'un seul trait, c'est meilleur! Dit-il en enlevant d'autorité la paille du verre qu'Anne a à la main.

Elle s'exécute, elle vide le reste de son verre en un éclair.

La recommandation de Tony surprend Paul, il réalise à ce moment qu'il a dû substituer les deux verres, donnant à Anne celui dans lequel il a mélangé, avec la paille, l'alcool et le contenu de la capsule.

En se levant, la veste d'Anne, toujours déboutonnée, s'ouvre généreusement. Tony a amplement le temps de voir le soutien gorge en dentelle blanche. Les bonnets pigeonnants soulèvent ses beaux seins en les écartant, laissant les parties supérieures découvertes.

- Anne, si tous vos dessous sont comme ça, Paul doit être comblé? Dit Tony pour la féliciter.

Sans pouvoir le vérifier, Paul devine que le joli visage d'Anne doit s'empourprer sous la remarque de Tony. Il entraîne Anne sur la piste. Pendant une dizaine de minutes, les slows se succèdent et le couple bouge à peine.

Anne aime se trémousser sur ces danses lascives. Elle ondule des hanches sous l'impulsion de la musique, à chaque mouvement de son corps sculptural se dégage une sensualité torride.

Le ventre d'Anne s'écrase en ondulant sur celui de son cavalier.

En dansant, Tony parle à l'oreille d'Anne, celle-ci semble apprécier le galant cavalier qui la maintient étroitement serrée contre lui, une main installée sous la veste, à la hauteur des reins, alors que son autre main caresse le cou gracile.

L'ingéniosité qu'il déploie pour la séduire puis pour l'exciter pendant les danses est presque obscène. Anne semble commencer à vibrer dans ses bras

Sofia réapparaît, une coupe de champagne à la main, elle prend place à côté de Paul. Ils échangent quelques banalités tout en regardant le couple danser.

Au bout d'un moment, il l'invite à danser.

Paul tombe la veste avant de gagner la piste, il retrouve Anne et Tony engagés dans un corps à corps impudique.

Sofia, en toute indécence, se colle à Paul, lui caresse, d'une main délicate, la nuque.

A cause ou grâce au mélange alcoolisé qu'elle a ingurgité, Anne parait de plus en plus troublée, dans les bras de Tony. Elle le laisse agir à sa guise.

La main de Tony abandonne le cou pour lui caresser le haut des seins après avoir écarté les pans de la veste déboutonnée.

La rigueur implacable avec laquelle il met en œuvre un cycle de massages, transforme le visage d'Anne qui a les yeux mi-clos et la bouche ouverte.

La cuisse de Tony a pris position entre celles d'Anne pour lui masser l'entre jambes.

Paul peut sentir les pointes des seins de Sofia s'écraser et frotter contre son torse. De plus, son ventre subtilement ondule contre le mien.

Pendant la série de slows, le souffle tiède de sa bouche caresse sa joue.

Il sent, à travers ses vêtements, la motte rebondie de son bas-ventre, provoqué sa queue qui enfle sous sa ceinture.

Dès lors, Sofia ne peut plus ignorer l'intérêt que lui inspire sa désirable personne. Paul ne peut plus cacher son envie, trahi par une superbe érection.

Aussi Sofia, serre encore plus fort son ventre contre son sexe, elle lui dit :

- C'est moi qui te mets dans cet état? J'ai très envie de te connaître.

- Je veux bien le croire. Lui répond Paul en passant une main sous sa jupe pour lui caresser les fesses. Surpris, il ne rencontre aucun obstacle alors que sa main remonte vers ses reins.

Tony s'écarte imperceptiblement, il passe sa deuxième main sous la veste d'Anne, palpe le sein qui s'offre sous ses doigts, il dégage des bonnets les deux globes laiteux en les effleurant à peine.

Puis il remonte les deux mains, ensemble, vers les épaules, saisit la veste par le revers du col, il la fait glisser le long du corps jusqu'à ce qu'elle rejoigne le sol.

Tony, impatient, n'en reste pas là, il dégrafe, illico presto, le soutien gorge qui finit par retrouver la veste, délivrant les seins opulents qui palpitent.

Satisfait, il saisit avec douceur, le visage d'Anne, sa bouche prend longuement ses lèvres frémissantes, les baise vingt fois, cent fois, il glisse sa langue dans la bouche où une autre langue l'attend.

Sous l'emprise du savant baiser, elle plaque son corps contre celui de Tony.

Pour les mains habiles de Tony, dégrafer la courte jupe est un jeu d'enfant. Aussi, l'attache ne résiste pas longtemps, la jupe tombe en corolle au pieds d'Anne. Tony la saisit alors sous les aisselles, la soulève de terre l'espace d'un instant, pour écarter discrètement du pied le vêtement.

Il passe un bras autour des épaules d'Anne pour la maintenir, sa main libre, experte, atteint un sein palpitant pour agacer la pointe magistralement dressée.

L'adresse de Tony sur le sein d'Anne lui fait naître de longs frissons qui la tétanisent. Il presse doucement la pointe par de légères torsions.

Elle en éprouve une ivresse incomparable. Elle se sent sans volonté dans les bras de cet homme expert et séducteur. Elle savoure l'excitation qui naît, grandit, elle diffuse partout en elle.

A chaque nouvelle étape, la main de Tony est plus ferme et plus précise. Bientôt la paume qui électrise, les tétons sont remplacés par un pouce et un index qui semblent vouloir rouler et allonger ses tétons. Désormais, les seins d'Anne ont atteint une telle sensibilité que chaque malaxage attise le feu qui couve dans son sexe.

Insensiblement, elle écarte les jambes, sa moule bave, humidifiant le léger slip.

Un gigantesque frisson traverse son corps, Paul l'entend gémir.

Il est quand même un peu surpris de constater qu'Anne s'est laissé dépouiller de ses vêtements sans opposer aucune résistance, elle s'abandonne, à présent sans restriction, aux caresses habiles et aux regards investigateurs

Pour la remercier où pour l'exciter plus encore, Tony lui prend à nouveau la bouche pour un échange muet et nourri de sensualité.

Puis sa main s'aventure sur son ventre, rampe vers le pubis, Anne, encore une fois, ne tente pas de l'arrêter, la progression se poursuit. Ils tracent avec ses doigts des cercles sur la peau d'Anne qui l'électrisent.

Ayant contourné le dernier obstacle vestimentaire, les doigts de Tony atteignent le bouton si émouvant que toute femme a à l'orée de la fente de son sexe.

Le pistil clitoridien darde désespérément, un son guttural sort de la gorge d'Anne lorsque les doigts le titillent.

Elle a alors un long et profond tressaillement. Une secousse incontrôlable la pousse à se serrer plus étroitement encore contre Tony.

Les doigts de Tony s'activent et les chairs d'Anne s'ouvrent, libérant leur liqueur.

Doigté par Tony, elle se tord sans retenue, gémit, elle rive à la bouche de Tony ses deux lèvres brûlantes.

Voulant profiter de ce spectacle hautement excitant, Sofia ainsi que Paul dansent tout près d'eux tout en se caressant presque avec sagesse.

Le débardeur maintenant roulé autour de sa taille, Sofia reçoit l'hommage des mains de Paul sur les pointes dressées de ses seins. Une main de Sofia s'est infiltrée dans son pantalon, après en avoir descendu la fermeture éclair, elle masse délicatement le phallus dressé.

Cependant, ils ne sont pas les seuls à souhaiter jouir du spectacle qui se déroule devant eux. L'homme plus âgé, qui est assis au fond de la salle, depuis un bon moment, s'est approché, il a sorti sa queue, il se branle sans retenue.

Il contourne sans un mot le couple enlacé sur la piste tout en continuant à secouer son nœud. Il est à présent si près, derrière Anne, qu'il peut la toucher de la main.

Elle ne s'est pas rendu compte de sa présence, envoûtée par les caresses que lui procurait Tony. Cependant, lui n'ignore pas la proximité de cet homme qui a les cheveux grisonnants, fleurent la cinquantaine, il porte des vêtements très chics.

Tout en agitant avec violence son sexe, il pose une main sur les fesses d'Anne, il la caresse quelques instants. Elle, électrisée par ce geste inattendu, réagit en tendant sa croupe vers la main impertinente.

A ce moment, Tony, avec beaucoup de diplomaties, fait faire demi-tour à Anne, tout en l'enlaçant étroitement. Il dépose de petits baisers sur le cou et au creux des épaules. Cette fois, les doigts de Tony, écartés au maximum, frottent les mamelons, ses ongles la griffent pour finir leur course sur le cou. Sous l'agression, les muscles aréolaires se contractent inexorablement, faisant saillir les mamelons.

Anne fait face à l'inconnu qui a laissé sa main sur son corps, il lui présente sa bite congestionnée. Ce dernier n'est pas très long, hors, il étonne par son diamètre inhabituel.

Sur la demande de Tony, elle, comme un somnambule, pose une main sur le sexe bandé qui se présente fièrement devant elle. A peine a-t-elle saisi et comprimé le gland entre ses doigts que l'homme explose en de lourdes salves qui se perdent sur le ventre d'Anne, dont l'excitation est à son comble.

En recevant les jets chauds, elle frise l'hystérie pendant quelques secondes, ses humeurs féminines s'épanchent sur le slip et le long de ses cuisses.

Après cet intermède, Tony entraîne Anne vers le box, les deux autres les suivent. Paul demande à Sofia d'apporter une bouteille de champagne, cinq flûtes et de baisser la musique.

L'homme qui a éjaculé sur le ventre d'Anne les a rejoints, il se prénomme Jean. Après s'être réajusté, il prend place entre Paul et Anne. Toujours aussi dévêtue, elle semble reprendre ses esprits. Elle utilise une serviette en papier pour effacer les traces gluantes que son voisin a laissées sur son corps.

Paul demande à Tony ce qu'il y a mis dans le verre. Il comprend aussitôt l'allusion, il répond que ces petites gélules sont concoctées par un de ses amis, pharmacien, que ces capsules contiennent un concentré vasodilatateur.

Sofia, après avoir abandonné son top, revient avec la boisson pétillante, elle les sert avant de s'accroupir devant Paul.

Elle s'approche, elle sort, avec de lents mouvements précis, son sexe tendu. Elle commence à le faire aller et venir dans sa main fine. Prenant tout son temps, elle le masse, le caresse, elle le fait durcir et s'allonger. Paul pose une main sur sa tête, mais sans appuyer, il se contente de lui effleurer les cheveux, mettant à mal son chignon.

Les trois partenaires les observent, les mains des deux hommes excités par le spectacle reprennent possession du corps d'Anne.

Les attouchements appliqués sur les points faibles d'Anne la rendent docile, elle est remarquablement réceptive.

Un engourdissement bienfaisant inonde sa poitrine et ses nymphes s'érigent pour mieux palpiter.

Un doigt et un pouce de Tony viennent se placer sur l'extrémité d'un de ses tétons durcis, la chaleur est immédiatement transmise aux canaux sensibles de sa zone érogène.

Un autre pouce, un autre doigt, ceux de Jean, sur son autre sein, elle frissonne.

Les doigts se font très aériens dans leur présence, ils décrivent de petits cercles qui entraînent ses tiges dans une légère rotation. Elle soupire, sa poitrine s'émerveille.

Spontanément, Jean s'est fait tout aussi adroit que Tony et ensemble, ils massent, pressent et écrasent gentiment les pointes sensibles.

Tony et Jean ont entamé un concerto à quatre mains sur la poitrine d'Anne.

Les doigts démoniaques s'évertuent dans leurs rotations. Les tétines caoutchouteuses ploient, roulent sur les aréoles, de gigantesques frissons traversent le corps suspendu aux caresses.

Brusquement, Tony aspire entre ses lèvres la totalité d'un mamelon, le plaisir est fulgurant. Le corps d'Anne se contorsionne indépendamment de sa volonté, le paroxysme de sa folie est atteint lorsque Jean gobe également son autre sein.

Sofia se penche, elle prend la bite de Paul dans sa bouche. Elle lui fait une longue pipe, le suce bien à fond, lui léchant les couilles, elle aspire le gland. Il se sert d'une de ses mains pour lui malaxer ses seins fermes aux bouts bien durs.

Elle fait rentrer sa grosse queue presque entièrement dans sa bouche, il se demande comment elle peut y arriver, compte tenu de la longueur de l'engin.

Il est trop excité pour avoir envie d'attendre qu'elle jouisse de ses caresses. Paul devine l'imminence de sa jouissance, il ne peut se retenir plus longtemps, il déverse son foutre épais dans sa bouche, sur son visage, sur son cou en laissant échapper un long râle.

Sofia s'éponge le visage avec une serviette en papier, vide sa coupe de champagne, toujours à genoux, elle s'installe entre les cuisses d'Anne qui ronronne sous les attouchements de ses deux voisins.

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