Harcèlement 02

BÊTA PUBLIQUE

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La salle de bain nettoyée, mes jouets rangés, je pars en cuisine, sort deux flûtes pour le champagne. Il y a en effet de la glace dans le congélateur. Il y a aussi une bombe de chantilly dans le frigo. Je suis excité comme un fou, ma queue essaie de se tendre depuis que j'ai eu mon épouse au téléphone. Elle m'a tellement manqué, Je suis si content de son retour.

Je n'ai pas à attendre longtemps, j'entends sa voiture se garer dans l'allée. J'ouvre la porte d'entrée pour aller à sa rencontre mais je m'arrête net. Elle n'est pas toute seule. A côté d'elle dans la voiture, il y une femme. Elle porte de grandes lunettes de soleil. Je ne sais pas qui elle est. La nudité ne me dérange pas mais je ne suis pas nu. Je porte une cage de chasteté. Par réflexe j'ai croisé mes mains devant mon sexe. Je n'arrive plus à bouger. Mon épouse sort la première.

_ Ne reste pas planté là. Viens!

_ Euh oui j'arrive.

D'un pas rapide je me dirige vers mon épouse les mains toujours devant moi. Je ne sais pas quelle attitude adopter. Je m'approche d'elle. Est-ce que je peux l'embrasser? Va t'elle accepter?

_ Ne reste pas planté là, Viens m'embrasser.

_ Oui, bien sûr. Bonjour mon amour

_ Bonjour mon chéri. Prend mes affaires elles sont dans le coffre.

_ Oui mon amour

_ Et prend aussi les affaires de Patricia.

_ Euh oui bien sur.

Elle porte sa petite robe verte qui met si bien son corps en valeur. Un peu serrée sur le haut du corps, évasée en bas. Elle lui arrive à mi-cuisse. Le col est échancré, une chaîne en argent pend à son cou. J'ai vu clairement la clé de ma petite cage quand on s'est embrassés. Mon sexe a frémi d'excitation. Le coffre ouvert, je prends le sac de mon épouse et une valise. La femme est sortie de la voiture pendant que j'attrapai les affaires. la valise est très lourde. Je ne sais pas qui est cette femme. Je n'ai pas pu voir son visage. Je les vois toutes les deux de dos, rentrer dans la maison. Je suis quelques pas derrière elles.

_ Pose tout ça dans l'entrée, tu prépareras la chambre d'amis. Patricia passe quelques jours ici.

_ Bien .

_ D'ailleurs tu la connais.

_ Euh, non je ne crois pas.

_ Si si tu l'a déjà rencontré.

La femme enlève ses lunettes de soleil, me regarde de la tête aux pieds, elle me tend la main. Mais pas pour que je lui serre. Elle veut que je lui baise la main. Ça y est je me rappelle c'est Mme S, l'assistante du procureur.

_ Bonjour Madame S.

_ Bonjour Charles. Alors, j'attends.

_ Oui. Pardon

Je dépose un baiser sur sa main. Elle ne m'a pas quitté des yeux. Elle semble satisfaite. Son regard me transperce.

_ Comment vas-tu? La dernière fois tu étais très très contrarié si je me rappelle bien.

_ Euh... Ça va mieux merci. Et vous?

_ Très très bien, ta charmante épouse m'a invité quelques jours.

_ On a tout le temps pour en parler. On a soif. On s'installe dans le jardin, porte-nous la bouteille de champagne et prépare nous deux coupes de glaces. Tu connais mes goûts. Fait la même pour Patricia.

_ Oui mon Amour tout de suite.

Mais qu'est ce qu'il se passe. J'hallucine. Je suis nu. Je porte une cage de chasteté et elles se comportent comme si tout était normal.

Mais comment elles se connaissent? Pourquoi est-elle là. Qu'est ce qu'elle fait chez nous?

Ce qui est sûr c'est quelle connait mes phantasmes et maintenant elle me vois nu. Elle ne semble pas du tout étonnée. Qu'est ce que mon Épouse lui a raconté?

J'ai mille questions qui me préoccupe quand je leur apporte leur glace et le champagne. Elles discutent de plats, d'un menu, de saveurs,... Je ne sais pas trop. Quand je pose le plateau sur la table mon épouse m'interpelle.

_ Enfin! Tu en as mis du temps.

_ Désolé! je ...

_ Tu vas devoir être plus rapide quand je te demande quelque chose.

_ Euh oui excuse moi.

_ Sert nous le champagne.

_ Oui, bien sûr, tout de suite.

Sur le plateau, je n'ai emmené que deux verres. Je les sert, puis me retourne et commence à marcher vers la maison pour prendre un verre pour moi.

_ Où vas tu?

_ Chercher un autre verre.

_ Non! Reste là.

Le ton avec lequel mon épouse me parle me fait frémir. Je reste debout sur place face à elles. Elles trinquent, boivent deux ou trois gorgées puis commencent à manger leur coupe glacée avant de reprendre leur discussion sur le menu d'un restaurant.

Je me sens comme un con, totalement ignoré. Elle sont assises à table, elles discutent, je suis debout silencieux.

_ Tu ne vois pas que j'ai le verre vide . Qu'est ce que tu attends? Sert aussi Patricia.

_ Euh oui bien sur.

_ Je ne devrais pas te faire des remarques pareilles. Il faut tout te dire?

_ Euh pardon.

_ Arrête de toujours commencer tes phrases par " Euhhh". Attrape moi mon sac. Tiens voilà les clefs de la maison. Tu prépares la chambre d'amis, tu sors les affaires de mon sac, tu as des machines de linge sale à faire. Mais ne mets pas mes dessous à la machine. Lave-les à la main. En plus, la chambre est en désordre. Range la et nettoie. Tu changeras les draps de la chambre aussi. Allez! Vas y!

_ Bien. J'y vais.

_ Où vas-tu? Reviens! débarrasse!

_ Bien sûr, pardon.

_ Ramasse la petite cuillère! Elle est sous la table!

Mais qu'est ce qui se passe? Jamais elle ne m'avait donné d'ordres comme ça et encore moins devant quelqu'un. Qu'est ce que je dois faire? Obéir sans rien dire?

J'ai si longtemps fantasmé de servir mon épouse, d'obéir à tout ce qu'elle veut.

Ma tête, ma raison me dit non, mais mon corps parle pour moi. Enfin, c'est mon sexe qui me dit que cela me plaît. Depuis qu'elle m'a donné l'ordre de rester devant elles, de ne pas aller chercher un autre verre je bande.

Mon sexe a totalement envahi sa petite prison. Je ne sais pas si mon Épouse ou Patricia l'ont remarqué. Mon sexe ne peut pas mentir. Il coule même d'excitation.

Je n'ai pas le choix, je dois me mettre à quatre pattes pour ramasser la petite cuillère. Elle est tombée entre les deux fauteuils, assez loin sous la table. Elles l'a jeté, c'est sûr. En plus, c'est certain, elles vont voir mon trou du cul en gros plan.

En me baissant, j'ai la tête à la hauteur de chaise. Mon épouse a relevé une jambe, je ne peux m'empêcher de tourner la tête, de regarder. Elle n'a pas de culotte!!! Je vois son buisson noir, ses lèvres sont luisantes. Elle a même écarté les jambes. Je crois rêver.

_ Alors! Ça y est! Tu l'a trouvé?

_ Oui, je l'ai.

_ Alors! Dépêche toi! Tu as des choses à faire!

_ Oui mon Amour.

J'ai dû reculer, de dessous la table en marche arrière. Je suis à quatre pattes. Quand je me relève, je suis sûr que je suis tout rouge. Elle l'a fait exprès c'est évident. Je n'ose plus les regarder. C'est la tête baissée, le plateau dans les mains que je rentre dans la maison.

Mon excitation est telle que mon sexe coule beaucoup. Un filet pend jusqu'à mi cuisses. Plusieurs fois j'ai récupéré sur mes doigts, les gouttes de mon excitation. J'ai tout léché.

Je suis très troublé de recevoir des ordres de mon épouse. C'est encore plus excitant de le faire devant une autre femme. La réalité dépasse mes rêves.

Le trousseau de clefs me permet d'ouvrir toutes les pièces fermées. En effet il y a beaucoup de bazar un peu partout. Elle a tout jeté en vrac avant son départ. Tout le linge de maison a remettre en place, serviettes, torchons, plaids,... Changer les draps, vider son sac, mettre en route une machine de tout le linge sale, laver ses dessous intimes à la main. Je ne peux m'empêcher de les renifler. Elle a beaucoup mouillée. Je sens, je vois les traces de son excitation. Je n'ose pas les renifler plus. Peur de me faire attraper, sûrement. Je les plonge dans une bassine, les frotte, les laisse tremper. J'ai du travail. Je dois ranger, nettoyer, passer l'aspirateur,...

Mon érection s'est un peu calmée. J'ai maintenant accès à tous mes habits. Pourtant, je reste nu. Je veux vivre cette situation de mâle soumis à fond. C'est inespéré. Un rêve qui devient réalité. Je ne sais pas ce que mon Épouse a prévu. Je me sens juste heureux de la retrouver. Bien sûr c'est très frustrant de ne pas pouvoir la prendre dans mes bras, lui faire des câlins.

Toutes ses pensées me font bander. Je suis ouvertement humilié. Mon épouse me considère comme un serviteur. Pas une seule fois, elle m'a demandé comment je vais, comment je supporte la cage de chasteté. Ce que je peux ressentir, comment j'accepte ma punition...

La baie vitrée de la chambre donne sur le jardin, pendant que je range je peux les voir. C'est comme ça que j'ai vu mon épouse, lever la bouteille de champagne retournée. Sans un autre signe j'ai compris. J'ai presque couru pour leur apporter la seconde bouteille.

_ Tu comprends vite, c'est bien. Je suis fière de toi.

_ Merci mon amour.

_ Tu as bientôt fini?

_ Oui, presque.

_ Tant mieux, on commence à avoir faim. Le livreur ne doit pas tarder. Couvre toi pour le recevoir! Tu peux mettre le tablier rouge.

_ Bien mon amour.

Elles ont repris leur discussion, pendant que je remplis leurs flûtes de champagne, comme si je n'étais pas là. Elles parlent de mecs. D'un certain Marc, sur-dimensionné. D'un Franck une vraie bête de sexe. Je me sens émasculé, humilié avec ma petite cage. Je repars vite dans la maison. Une autre machine est lancée, les dessous intimes sont propres, tout le linge est étendu. Les chambres sont nickels.

Je suis dans le salon, je n'ose pas sortir dans le jardin. Je suis surpris quand la sonnette retentit. J'enfile vite le tablier qui ne couvre que le devant, je récupère la commande au portail. Je suis très vigilant de rester toujours de face. C'est un repas japonais. Je déballe tout, il y a deux grands menus et un seul rouleau de printemps. C'est à ce moment que mon Épouse me rejoint dans la cuisine.

_ Miam miam, on va se régaler, j'ai très faim.

Puis, sans prévenir, elle me donne une grande claque sur les fesses.

_ Qui t'a dit que tu devais être habillé?

_ Pardon mon amour.

_ Il y a des fessées qui se perdent.

_ Tu as raison Patricia. Alors tu l'enlève ce tablier?

_ Oui bien sûr, je suis désolé, je n'ai pas....

_ Et tu me réponds en plus, tu aggrave ta punition.

_ Pardon, je ne...

_ Tait toi! Mets tes mains à plat sur la chaise! Penche toi! Recules tes jambes! Ecarte les un peu plus! C'est mieux! Ne bouge plus!

Sans m'avertir, elle balance une deuxième claque qui atterri au même endroit sur ma fesse gauche, puis une autre sur l'autre fesse et encore une autre. Elle me donne au moins une vingtaine de claques rapides sur le cul.

_ Ail! Ail! Ail! Ail!

_ Tait toi, je ne veux pas t'entendre. Prends ta punition comme un homme. Et relève la tête!

Patricia est en face de moi. Le plan de travail nous sépare. Elle ne dit rien. Elle me regarde. Mon humiliation est encore plus grande. Je vois juste son petit sourire. Les larmes me montent aux yeux. C'est la première fois que mon Épouse me donne une vraie fessée. La situation est démente.

Les claques s'enchaînent. Mon épouse à changé de côté, elle me frappe les fesses avec l'autre main. Mon cul me pique, ça me brûle mais curieusement, peu à peu la douleur se transforme. Il se passe quelque chose de nouveau en moi. Je ne suis plus crispé. Tout mon corps s'est détendu. Ma queue qui était flasque au début commence à durcir. Je ressens comme des décharges électriques qui remontent de mes fesses à tout mon corps. Mon sexe est comprimé à l'extrême. Mes couilles sont étirées.

La douleur s'est transformée en plaisir. Je pourrais presque jouir. Les claques ralentissent. Elles sont plus espacées mais beaucoup plus fortes.

_ Bon, j'arrête mes mains commencent à me faire mal. Tu as raison Patricia, il a la peau dure.

_ Ne t'inquiètes pas Karla, ton mari apprécie beaucoup plus que tu peux l'imaginer. Heureusement, j'ai emmené tout ce qu'il faut.

_ Il me tarde d'essayer.

Je ne comprends pas ce qui m'arrive. Je sens mon cul brûlant, pourtant je suis triste que mon Épouse arrête. Je suis dans un état d'euphorie, de grande plénitude, mais en même temps, je me sens frustré que cela s'arrête. Patricia interrompt mes pensées.

_ Alors Charles, que dois tu dire à Karla?

_ Euh...Merci?

_ Je ne pense pas que ça soit la bonne façon de remercier ta femme.

Alors, sans réfléchir, je me redresse, je fais quelques pas vers mon Épouse qui s'est reculée. Son visage est un peu rouge, ses yeux sont brillant. Elle semble étonnée et heureuse en même temps. Nos yeux sont connectés. Sans la quitter du regard, je m'agenouille.

_ Merci mon amour pour la fessée que tu viens de me donner. Tu vas trouver ça bizarre mais je te remercie pour l'immense plaisir que tu m'a fait ressentir. Je t'aime.

C'est la pure vérité. Les émotions qui me traversent ne sont qu'amour et reconnaissance.

Elle est très surprise de ma réaction. Je ne sais pas ce qu'elle pense de moi à cet instant, mais sa réaction balais toutes mes inquiétudes.

Elle se rapproche de moi, colle son sexe sur mon visage. À travers le fin tissu de sa robe je sens l'humidité de sa chatte. Je reconnaîtrais entre mille l'odeur de son excitation. Son parfum me submerge. Elle est toute mouillée. Elle se frotte sur mon visage.

Elle recule, relève sa robe, m'attrape la tête à deux mains pour la pousser encore plus fort entre ses jambes écartées. Elle s'appuie sur moi. J'ai basculé en arrière. Mes mains sont posées à plat, dernière moi, mes bras sont tendus. Mes fesses touchent le carrelage froid de la cuisine. Je porte tout son poids sur mon visage. Elle a laissé retomber sa robe qui recouvre entièrement la tête. Elle bouge, elle se frotte, elle se branle sur mon visage. J'ai la langue tendue. Je lèche, sa divine chatte. C'est elle qui dirige le cuni, tantôt sur son clitoris, parfois entre ses lèvres gonflées, jusqu'à son petit trou du cul. Elle alterne l'endroit où elle veut que je la lèche. Elle s'arrête sur son clitoris que j'aspire goulûment. Puis soudain, elle pousse un grand cri de plaisir, tout son corps tremble. Ma bouche est grande ouverte. J'inhale, je respire, j'avale les effluves de sa jouissance. Elle jouit dans ma bouche. Je ne bouge plus.

J'ai gardé la langue tendue au fond de sa chatte. C'est un vrai moment de grâce, d'extase pour elle et pour moi aussi. Elle se recule, ses mains sont appuyées sur le plan de travail. Elle est parcourue de petits soubresauts, ses yeux sont fermés. Elle respire fort.

_ Oh putain! Oh putain! Oh putain! Que c'est bon! Ça fait tellement du bien.

_ Merci mon Amour. Tu es magnifique.

_ T'as de la chance. Tu sais au moins te servir de ta langue.

_ Merci.

_ Bon! Ce n'est pas tout. Là, maintenant, J'ai envie d'une douche. Va installer la table, on revient! Je vais montrer à Patricia où elle va s'installer.

_ Bien mon amour.

Fantasmer, imaginer des scénarios n'est pas du tout la même chose que les vivres. Mon cul me fait mal, mon cou me tire un peu, ma mâchoire est crispée. En passant devant le miroir de l'entrée j'ai pu voir qu'il est tout rouge. Mon épouse n'y est pas allée de main morte. Je comprends qu'elle a du se faire un peu mal aux mains.

Une bonne demi-heure plus tard Patricia et mon épouse sont de retour.

Elles se sont douchées. Elles s'installent à table. Elles se sont changées. Une autre robe légère pour mon épouse, une jupe et un petit haut pour Patricia. La clef de ma cage pend fièrement entre les seins de mon épouse. J'ai mis deux couverts à table. J'ai ouvert une bouteille de vin blanc. Le préféré de mon épouse. Elles sont assises à table. Je reste debout devant elles. C'est Patricia qui prend la parole la première.

_ Tu vois Karla, je te l'avais dit. Ton mari est déjà très avancé. Il a compris où est sa place. Je ne vais pas avoir grand de choses à lui apprendre.

_ Tu crois?

_ Oui, je dois reconnaître que je suis impressionnée par ton mari.

_ A ce point?

_ Oui, vraiment! Il est surprenant. Charles!

_ Oui Madame Patricia.

_ Qui t'a appris tout ça?

_ Personne Madame Patricia.

_ Pourquoi tu fais tout ça alors?

_ Madame Patricia, j'aime Karla. J'ai fait une énorme erreur, je veux me rattraper.

_ Et tu crois que ça va suffire?

_ Je ne sais pas, mais je l'espère.

_ Tu espère quoi?

_ J'ai beaucoup réfléchi ce weekend seul. Je n'aurai jamais pensé que Karla me fasse subir ça. Je mérite ce qui m'arrive. Maintenant, je vais être le parfait mari pour mon épouse. Mais,...

_ Mais quoi Charles?

_ Madame Patricia, avant de continuer je dois vous dire quelque chose. Je ne sais pas pourquoi vous êtes ici. Je dois reconnaître que j'ai honte d'être nu devant vous mais en même temps je suis très troublé.

Vous m'avez vu dans une situation très désagréable il y a quelques semaines. Je dois vous remercier. Vous m'avez défendu devant le délégué du procureur.

_ Tu était si désespéré, mon petit Charles, j'ai eu pitié de toi. Tu ne méritais pas une si grande sanction financière mais tu méritais une punition.

_ Oui je sais. Merci quand même Madame Patricia. Ce weekend est une bonne leçon pour moi.

_ Ce n'est que le début Charles. Mais explique moi tout d'abord, comment en es-tu arrivé là?

_ Euh... Pardon. Il y a des années j'ai parlé de mes désirs de soumission à Karla. Elle a joué au début, avec moi, mais très vite elle m'a fait comprendre qu'elle n'aimait pas me dominer.

_ C'est pour ça que tu a été voir ailleurs.

_ Oui Madame Patricia. Je suis désolé mon amour, excuse moi encore.

_ Je suis toujours en colère mon chéri. Je vais avoir besoin de temps pour pouvoir te pardonner. Je ne sais pas si je vais y arriver. Mais continue tes explications.

_ Charles! Karla à raison, tu vas devoir mériter son pardon car ton attitude l'a beaucoup blessé. Pour le moment, tu es sur la bonne voie. Je veux tout entendre. Je connais déjà une grande partie de tes phantasmes. J'ai lu toutes tes histoires, même celles que tu n'as pas publiées.

_ D'accord! D'accord! Merci, merci, je vais faire tout mon possible pour réparer mes bêtises.

Mon Amour, j'accepte tout ce que tu veux, tout ce que tu décides. Je t'aime mon amour.

_ Très bien. Va nous chercher à manger, on a très faim. On va t'écouter en mangeant.

Je leur emmène leurs entrées. Je reste devant elles, silencieux puis je me lance quand Patricia me demande de m'expliquer.

Je parle alors de tout, je leurs livre mes pensées sans retenue. Karla connait déjà tout. Patricia a dit avoir lu toutes mes histoires même celles que je n'avais pas publié. Donc elle a eu accès à mon téléphone et mon ordinateur. Parler à Patricia me trouble beaucoup plus que je pensais. J'ai ces désirs d'obéissance, de soumission à une autorité Féminine depuis mon adolescence.

J'ai beaucoup lu. J'ai déjà imaginé mille scénarios, j'ai écrit de nombreuses histoires. La rencontre avec Karla fût un coup de foudre. J'ai enfouis mes désirs pendant des années. Quand j'ai abordé le sujet avec mon épouse, elle a pris ça comme un jeu. Elle s'en est très vite lassée.

J'ai continué seul mais j'ai toujours été attentif aux désirs de mon épouse. Sa satisfaction, son plaisir ont toujours été au coeur de mes préoccupations. Karla veut un mâle fort, viril, entreprenant. C'est ce que je suis devenu dans notre intimité. La nature m'a doté d'un sexe beaucoup plus gros que la moyenne. Sans vouloir me vanter je sais m'en servir. J'ai compris assez tôt que dans nos rapports sexuels la pénétration n'est pas une fin en soit.

Mon éjaculation n'est pas obligatoire alors que la jouissance de mon épouse est essentielle, pour moi.

Sans en parler ouvertement j'ai développé mon côté soumis en obéissant, en devenant le mâle Alpha que désire Karla. Mes histoires m'ont aidées à sublimer mes désirs.

J'ai fait une très grande erreur avec mon ancienne collègue. Je lui ai avoué mes penchants de soumission croyant qu'elle appréciait. Mais je me suis trompé....