Grace Sombre Dans La Débauche Ch. 01

BÊTA PUBLIQUE

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Il commença à coulisser difficilement au cœur de mon intimité, la douleur diminuait peu à peu. Il m'empoigna aux hanches, il pouvait ainsi s'enfouir plus profondément dans mon utérus asservi, la douleur avait disparu.

Il amplifia le rythme de son pistonnage, sa monstruosité coulissait main-tenant aisément dans ma chagatte élargie, il allait et veniat en moi comme un piston en vitesse de croisière.

Je me sentais si peine de lui, il allait si profondément dans mon intimité que je pensais que personne ne pourrait plus jamais me faire ressentir de telles émotions.

J'étais choquée d'y prendre du plaisir... beaucoup de plaisir. Je poussais des petits cris comme toutes les femmes succombant à un orgasme massif.

C'était le plus intense orgasme auquel j'ai jamais succombé, Tyrell re-gardait attentivement mon visage, il me dit qu'il voyait que j'avais joui et que j'en m'en étais réjouis, il s'exclama :

- Tu as aimé n'est ce pas ma petite pute? .....

- Non..... Rétorquais-je d'une voix ténue, peu convaincante.

Il reprit sa chevauchée et nouvel orgasme aussi puissant me submer-gea, Tyrell s'approcha la caméra toujours en main et me murmura à l'oreille :

- Tu aimes que cette queue noire te pistonne la chatoune n'est ce pas salope? .....

Je trouvais la force de répondre encore une fois :

- Non.....

Cette fois Robert lâcha les chevaux, je jouis si fort que mon corps tres-sautait alors que mes yeux se vidaient. Tyrell s'approcha encore plus près et intervint :

- Dis-nous que cette grosse bite est la plus grosse qui t'aie jamais pénétrée! .....

Je le regardais, et molle comme une chiffe, vidée de toute énergie je concédais :

- Plus grosse... Mentule... Oh oui... La plus grosse......

Il éclata de rire et me dit d'y ajouter bite.

Je répétais alors :

- Oui... La plus... La plus grosse..... La plus grosse bite que j'ai ja-mais accueillie dans ma foufoune! ....

Puis tout devint sombre.

En revenant à moi, je constatais qu'ils avaient inversé leurs rôles, Tyrell me chevauchait alors que Robert tenait la caméra.

J'étais toujours allongée sur le dos et Tyrell coulissait aisément en moi.

Il me vint soudain à l'esprit que jamais je n'avais appartenu à un autre homme que mon mari jusqu'ici, et voilà que je me faisais baiser successivement pour la seconde fois en une journée par deux noirs bien montés.

Un xieme orgasme me terrassa, je me mordais les lèvres pour rester calme.

Tyrell m'inonda de son sperme, sperme qui s'ajouta à celui que Robert venait de m'injecter dans les profondeurs de mon utérus saturé.

Je me souvins alors que je ne prenais pas la pilule alors que ces eux gaillards venaient d'éjaculer dans mon intimité.

- Qu'est ce qui me prenait? ..... Me demandais-je avec inquiétude.

- Que penseraient mes collègues de travail s'ils me voyaient agir ainsi? .....

- Qu'en penseraient les autorités religieuses? ...

- Oh mon Dieu et qu'en penserait ma famille? ....

Tyrell coupa mes pensées en plongeant son épaisse bite dans ma bou-che me disant de la nettoyer en bonne petite ménagère soucieuse de terminer son travail, je dus aussi lui lécher les couilles et le trou du cul.

Il me dit d'aller prendre une douche et de venir les rejoindre chez eux pour prendre à nouveau du plaisir.

Lorsqu'ils me quittèrent, je m'assis dans la baignoire et pleurais toutes les larmes de mon corps.

Jamais je ne m'étais sentie aussi faible, aussi désarmée, et en même temps j'avais pris beaucoup de plaisir à ces viols répétés, cela avait été la meilleure expérience sexuelle de toute ma vie.

J'étais confuse, je ne savais pas quoi faire.

Une fois que je me fus habillée, j'empoignais le téléphone pour appeler ma sœur.

Elle était la seule à qui je puisse confier en partie mes tracas, la seule qui m'écouterait sans me juger! ....

Coulybaca

4 février 2008.

Texte traduit de l'anglais

avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Warner 34 (Dark Wanderer).

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