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Ou comme essayer de sauver son emploi.
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trouchard
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Voici un petit texte trouvé sur le site d'un bloggeur "chez andré 112" qui, depuis des années, publie certains récits anciens trouvés sur le net. Il m'a autorisé à reprendre certaines histoires. Je ne peux que vous conseiller de visiter son blog qui est une mine de photos, vidéos, et récits. L'humour de ce bloggeur pour légender ce qu'il propose est exceptionnel. Il est malheureusement interdit de mettre des liens internet dans une histoire mais une recherche sur le pseudo de ce bloggeur devrait vous permettre de le retrouver facilement.

******

Ce matin Ben F..., le DG, m'a convoqué en ma qualité de directeur d'une des deux filiales européennes de notre groupe pour m'informer de la décision des dirigeants de les fusionner.

Notre société est un grand groupe africain qui souhaite se restructurer notamment au niveau de notre continent. Si j'ai bien compris, il ne restera qu'une filiale en Europe, la française que je dirige ou l'allemande dirigée par Didier H... en conséquence qu'une place de directeur.

- Tu sais Michel combien je vous estime toi et Didier, mais malheureusement les actionnaires décident et il va bien falloir que l'on se sépare de l'un de vous deux... Deux représentants du comité de direction doivent rendre visite aux deux filiales le mois prochain afin de rendre leur analyse pour décider laquelle des deux filiales absorbera l'autre. Ils seront chez Didier dans quinze jours et chez toi à la fin du mois... Tu as donc quelques jours de plus que Didier pour te vendre profites en bien pour peaufiner ton dossier et que le meilleur gagne...

Je suis sorti assommé par la nouvelle... Dans mon bureau, je repensais à ces mots « Que le meilleur gagne!!! ». Certes, je connaissais parfaitement mon boulot et ma filiale tournait bien. Mais j'avais 52 ans, j'étais un cadre «maison», vendu sur place par l'ancien propriétaire de la société.

Didier avait 41 ans, était brillant, avait fait HEC et sa filiale n'avait rien à envier à la mienne. Alors « que le meilleur gagne » sonnait comme l'heure du chômage pour moi. Qui voudrait reprendre un cadre maison de 52 ans?

Je ne parlai de rien à ma femme mais ma nuit fut très agitée. Comment faire pour sauver ma place et mon confortable train de vie? A partir de ce jour, je me mis à peaufiner mon dossier comme me l'avait suggéré Ben.

A la fin du mois Ben me convoqua à nouveau dans son bureau. Dans le canapé trônaient deux blacks, en costume impeccable. A mon arrivée, ils se levèrent et me serrèrent la main. Ils devaient bien mesurer 1m90. Avec mes 1m70 j'étais le plus petit, et le seul blanc.

Ben me présenta M. Théodore B et M. Félix R. Les fameux délégués.

Après m'avoir exposé clairement le but de leur visite et confirmé les conséquences à brève échéance de celle-ci, ils s'installèrent dans mon bureau et commencèrent à consulter l'ensemble des documents que j'avais mis à leur disposition.

Après avoir confié à mes collaborateurs la mission de répondre à toutes leurs questions, je pris congé afin de les laisser analyser toute cette documentation.

Je retrouvais Ben dans son bureau afin d'en savoir plus. Il m'informa qu'ils avaient été très impressionnés par Didier, qui non seulement avait démontré sa capacité à diriger sa filiale, mais aussi en avait profité pour les accompagner dans les meilleurs endroits de la ville.

Décidément, la pression était pour moi. Que faire de plus? Si sur mes capacités professionnelles, je n'avais pas de doute, je n'étais pas moins bon que Didier, mais pas meilleur que lui. Donc, ce n'était sur ce point-là que je pouvais faire la différence. Paris by night ... Bof ...

C'est alors que je me rappelais avoir distingué une alliance chez chacun de mes « clients ». Sachant à quel point la famille était importante en Afrique, je compris que la différence était là. Didier était célibataire, donc sans assise familiale, j'étais marié, avais deux enfants eux même mariés. J'allais donc les inviter à dîner chez nous, au cœur d'une famille, voilà mon atout gagnant.

Pendant le repas du midi, je leur proposai donc ainsi qu'à Ben de venir dîner chez nous le vendredi soir suivant afin de fêter la fin de leur mission.

Le soir, j'informai mon épouse Marie-Laure de cette importante invitation, sans lui préciser les risques. Ma femme est un véritable cordon bleu et, de ce côté, je savais ne rien avoir à craindre.

Le vendredi matin en question, après avoir dit à mon épouse de se faire belle et féminine pour le soir, je retrouvai mes deux juges à mon bureau. L'inspection se termina vers midi. Nous partîmes déjeuner et passâmes le reste de l'après-midi à un dernier jeu de questions-réponses. Ils semblaient satisfaits. Ce que me confirma Ben discrètement. Ils n'arrivaient pas à nous départager professionnellement.

Vers 19h00, nous partîmes à la maison. Je prévins discrètement Marie-Laure de notre arrivée. Parvenus à destination, avant même de sonner, la porte s'ouvrit sur ma ravissante épouse. Elle se doutait que cette réception était importante et s'était apprêtée en conséquence.

Le coiffeur avait fait merveille avec ses longs cheveux blonds qui cascadaient sur ses épaules. Son petit chemisier blanc à jabot cachant sa poitrine que l'on devinait bien remplie sans être importante, sa jupe arrivant aux genoux, puis ses jambes gainées de noir terminées par des escarpins à hauts talons fin de la même couleur offrait le tableau de la femme idéale.

Malgré ses 48 ans, Marie-Laure en faisait 10 de moins. Je l'embrassai en la remerciant discrètement et constatai par la même occasion, au touché, la présence de porte-jarretelles que nous affectionnions tant dans notre intimité. Elle me sourit, tout aussi discrètement, et me rendant mon baiser, me dit :

- C'est pour après leur départ, pour te détendre.

Je présentai Théodore et Félix à Marie-Laure qui connaissait déjà Ben et nous passâmes au salon pour déguster quelques coupes de Champagne. Ma femme était une hôtesse remarquable et chacun put en juger tant elle était attentionnée pour chacun d'entre nous.

Après un repas fabuleux qui ne reçut que des compliments, nous retournâmes au salon pour quelques verres de digestifs et autres. L'ambiance était détendue et nos invités semblaient apprécier cette soirée et nos alcools. Si mon épouse et moi-même étions sobres, Ben, Félix et Théodore étaient déjà bien partis et parlaient parfois dans un dialecte qui m'était inconnu mais qui semblait bien les faire rire tous les trois.

Lorsque je descendis dans la cave pour chercher un vieil Armagnac que je voulais leur faire goûter, Ben me rejoignit.

- Tu sais ce qu'ils disaient? Me dit-il.

- Non, mais cela vous faisait bien rire. Lui répondis-je.

- Hé bien, que ta femme leur plaisait beaucoup et que si elle était gentille, elle ferait certainement pencher la balance. Car ils préféraient la baiser que de baiser Didier. Je te résume car c'était plus détaillé et cru... C'est à toi de voir...

Puis il tourna les talons et remonta, me laissant là comme un con avec ma bouteille à la main. Je remontai enfin de la cave avec en tête, ce que venait de me dire Ben et je servis l'Armagnac. Tous trois parlaient, de plus en plus souvent dans le dialecte et riaient. Je me doutai maintenant de la raison et de la cible de leurs rires. Marie-Laure était partie dans la cuisine, nous laissant deviser entre hommes.

Vers une heure du matin, Ben se leva et dit en me fixant :

- Nous allons partir, c'est dommage, mais tant pis il faut bien faire des choix dans la vie et les assumer...

Cette phrase était pleine de sous-entendus, surtout que Félix et Théodore avaient fait silence et me regardaient aussi avec insistance. Il me fallait faire un choix. Sans réfléchir je lui répondis :

- Attendez je vais chercher ma femme pour qu'elle vous salue.

Je partis presqu'en courant dans la cuisine. Ma femme fut surprise par cette brusque arrivée et me regarda inquiète.

- Tu en fais une tête, qu'est qu'il t'arrive?

Je racontai tout à Marie-Laure et je conclue par la confidence de Ben.

- Les salauds! Que vas-tu faire? Me dit-elle.

- Je ne sais pas. Soit le chômage pour une longue durée et à mon âge, il va falloir restreindre énormément notre train de vie, soit en passer par leurs exigences, mais ça je ne peux pas te le demander. Après de longues minutes de réflexion Marie-Laure dit :

- Cela fait des années que je profite largement des fruits de ton travail, alors pour une fois que je peux t'aider, si tu en as besoin je ferai ce que tu veux, décides!

- Tu es certaine, tu ne me le reprocheras pas?

- C'est si je ne le faisais pas que je me le reprocherais.

- On y va alors?

- On y va!

- Tu devrais retirer ton soutien-gorge, ce serait plus explicite.

Marie-Laure ouvrit son chemisier, retira son soutien-gorge et referma son chemisier, non sans oublier de fermer les trois derniers boutons du haut. Nous quittâmes la cuisine et nous dirigeâmes vers le salon la main dans la main, comme deux animaux que l'on traîne à l'abattoir.

Lorsque nous entrâmes dans le salon, nos trois invités étaient debout et devisaient. Ils nous regardèrent et je vis leur visage s'éclairer. Il est vrai qu'ils devaient avoir compris notre accord à la simple vision de Marie-Laure dont les seins libérés semblaient avoir leur vie propre sous le chemisier et dont le décolleté était maintenant très prometteur.

- Vous allez bien prendre un dernier verre avant de nous quitter? Proposai-je.

- Oui, si c'est Madame qui nous sert. Répondit Félix.

Ils prirent place tous les trois dans le canapé et attendirent. Nous étions tous les deux debout au milieu du salon. Marie-Laure se dirigea vers la table basse, prit la bouteille, servit chacun des verres et se redressa.

- Non! Ordonna Félix qui semblait prendre les choses en main.

- Restez donc penchée, pour nous laisser admirer ce merveilleux tableau.

Marie-Laure se pencha à nouveau, les mains appuyées sur la table. Grâce à la glace fixée au-dessus du canapé, je pouvais avoir la même vue qu'eux sur ce que leur offrait mon épouse. Son décolleté était largement baillant, permettant de voir distinctement sa poitrine libre pendre sous elle.

- Relevez la tête et regardez-nous afin de libérer notre champ de vision. Demanda Félix.

Marie-Laure obéit et cambra ses reins. Elle releva la tête laissant ses cheveux se répandre sur ses épaules et offrit la vision de ses seins à nos invités. Malgré cette humiliation d'être ainsi obligé d'offrir ma femme et d'imaginer ce qu'elle devait penser, je me rendis compte que je commençais à bander. J'avais d'autant plus honte que je vis une larme couler sur la joue de ma tendre épouse.

C'est le moment que choisit Félix pour s'adresser, toujours dans son dialecte, aux deux autres et que tous trois se mirent à rire. La colère aidant, je ne pus m'empêcher de leur dire :

- Vous pourriez avoir au moins la politesse de nous parler dans une langue que l'on puisse comprendre et éviter de trop profiter de la situation!

Félix me répondit :

- Vous avez tout à fait raison et nous vous prions de nous excuser, cela ne se renouvellera plus. Je disais à nos amis qu'avec une si belle paire de nichons, votre femme ne devrait pas pleurer et que si elle savait ce qu'on allait lui mettre, elle sourirait aux anges et en redemanderait comme une bonne salope qu'elle doit être et qu'en plus elle servirait votre carrière!

Avant même que j'ai eu le temps de répondre, il plongea la main dans le décolleté de Marie-Laure et lui caressa les seins sans aucune retenue.

- Ses seins remplissent bien les mains d'un honnête homme, sa peau est douce et ses pointes sensibles, elle a l'air d'aimer ça la cochonne, vous devriez essayer mes amis. Continua Félix en libérant la place.

Il avait raison, Marie-Laure adorait que je lui caresse ses petites pointes. Maintenant, c'était les mains de Théodore et de ce salaud de Ben qui profitaient des seins de Marie-Laure. Ce dernier que nous connaissions depuis 10 ans, qui n'avait jamais osé une seule allusion ou un geste de déplacé envers ma femme semblait se rattraper d'une certaine frustration.

Il est vrai, que contrairement aux deux autres, avec son ventre énorme, son visage aplati, il ressemblait plus à un gorille qu'à un Apollon. Il ne devait jamais avoir espéré, autrement qu'en payant, profiter ainsi d'un tel corps. Marie-Laure d'ailleurs l'ignorait savamment lorsque parfois il venait prendre un verre à la maison le soir après le bureau pour parler de dossiers.

A force de lui triturer ainsi les seins sans ménagement, le chemisier de Marie-Laure céda jusqu'à son nombril, libérant complètement sa poitrine et l'espace nécessaire à un accès total et cela faillit lui faire perdre l'équilibre. D'un bond, Félix se leva et l'attrapa en même temps que moi pour l'empêcher de tomber, puis il la remit en position, mains posées, chemisier grand ouvert et ses deux seins pendants se reflétant dans le verre de la table basse. Rapidement, Théodore et Ben reprirent la danse de leurs mains sur la poitrine de Marie-Laure qui semblait les hypnotiser.

Félix fit alors le tour de mon épouse, lui flatta les reins et se tournant vers moi, me demanda de lui présenter le cul de ma femme. Je m'approchai et tendant la main vers le fessier de Marie-Laure, je lui dis :

- Les fesses de ma femme!

- Non, ce n'est pas comme cela, je veux que tu me découvres complètement les fesses de ta femme et que tu me dises : je t'offre le cul de ma salope de femme.

Je restai interdit. Déjà je n'avais jamais parlé ainsi à mon épouse et je me sentai ridicule. Félix, qui semblait être le mâle dominant de la soirée, me dit :

- Alors! j'attends! il faut savoir offrir pour gagner!

Je m'approchai de Marie-Laure, pris le bas de sa jupe dans mes mains et la relevai sur ses reins en disant :

- Je t'offre le cul de ma salope de femme!

Théodore et Ben qui s'étaient arrêtés pour regarder la scène s'exclamèrent en même temps :

- En plus elle a un porte-jarretelles la cochonne. J'adore.

Félix me dit :

- Il me semble que je ne vois pas tout son cul.

Je pris alors l'élastique de son string et le descendis le long de ses jambes puis me relevant je dis à nouveau :

-Je t'offre le cul de ma salope de femme!

Inconsciemment je sentai que j'y prenais plaisir. Félix recula et dit :

- Merci, je l'accepte et vais l'enculer à ma guise. Regardez c'est pas beau une femelle qui attend la saillie!

J'étais très choqué de l'entendre parler ainsi de Marie-Laure, j'aurais voulu lui mettre mon poing dans la figure et les chasser de la maison. Mais nous étions allés déjà trop loin et je ne pouvais pas. Il le savait et jouait avec nous. C'était la règle du jeu : Le gain, une place en or avec une rémunération conséquente, le risque le chômage. Il voulait savoir jusqu'où nous étions prêts à aller pour conserver mon poste et il allait nous pousser dans nos derniers retranchements. A nous de décider de la dernière limite à ne pas dépasser en espérant qu'il la fera sienne.

Comme les trois autres, je me mis à regarder ainsi Marie-Laure, perchée sur ses escarpins noirs, penchée en avant, les seins pendants sortant de son chemisier, la jupe relevée découvrant ses jolies fesses encadrées par le porte-jarretelles retenant ses bas noirs.

C'est vrai qu'elle était bandante ainsi et que ma queue me confirma immédiatement mon impression. Marie-Laure tourna la tête et me regarda dans les yeux. Ce que je vis dans son regard me fit chaud au cœur : de l'amour. Elle semblait dire, je fais cela pour nous, laisses les jouer cela n'a aucune importance, je t'aime.

Tous les trois s'approchèrent et examinèrent le fessier de mon épouse.

- Ecarte tes cuisses pour nous montrer ta chatte. Ordonna Félix.

Marie-Laure obtempéra. Félix s'approcha et pris chacune des fesses de mon épouse dans ses mains et les écarta :

- Regardez ce joli petit trou qui demande qu'à être éclaté. On dirait qu'il nous parle.

Et tous se mirent à rire. Puis, il mit son doigt dans sa bouche, l'humecta et le plaça sur la rondelle de Marie-Laure et, lentement mais inexorablement, le fit disparaître dans son petit trou. Je vis ce doigt noir s'enfoncer au fond de Marie-Laure. Ma femme se mordait les lèvres, les mains crispées sur la table basse, subissant cette pénétration dont elle n'était pas une adepte. Puis le doigt ressortit pour s'enfoncer plus rapidement et plus profondément. Théodore en profita pour s'agenouiller et glisser sa tête entre les cuisses de mon épouse.

- Humm elle sent bon, j'ai envie de lui bouffer la chatte.

Joignant le geste à la parole, il enfourna sa langue dans la chatte de ma femme à la recherche de son petit bouton. Marie-Laure adore ce type de caresse et rapidement cela lui fit oublier ce doigt qui la violait et ne passait pas inaperçu. Son corps semblait vivre sa propre vie et se cambrait pour rechercher cette langue qui lui faisait tant de bien.

- C'est bon, elle a une super chatte la cochonne et en plus elle en redemande. Dit Théodore entre deux coups de langue.

Ben fit alors le tour de ma femme et se retrouva devant elle. Il défit son pantalon qui tomba au bas de ses jambes. Il Fit glisser son slip qui retrouva son pantalon et il exhiba un sexe qui me sembla énorme, très large et de très bonne taille.

- Michel, tu ne m'en voudras pas, mais j'ai toujours rêvé de me faire sucer par Marie-Laure. Elle m'énerve avec son air de petite bourgeoise hautaine et j'ai envie de sentir ma queue baiser sa bouche de salope, je peux?

Avant même que je réponde, il avait attrapé la tête de Marie-Laure et placé sa bite au niveau de ses lèvres.

- Allez petite salope ouvre ta bouche de bourgeoise, suce ma grosse queue de black!

Son gland vint buter sur la bouche de Marie-Laure qui s'entrouvrit. Il continua et je vis son membre s'enfoncer entre les lèvres de ma femme. Il maintint la tête de mon épouse et d'un coup de reins s'enfonça. Marie-Laure s'étrangla, des larmes jaillir de ses yeux et elle recracha son sexe.

- Ça va pas! Dis-je.

- Ta gueule! Quant à toi salope, reprends-moi en bouche et suce-moi bien à fond!

Il releva la tête de Marie-Laure et écrasa ses lèvres sur les siennes. Il lui roula une pelle puis remis sa queue devant la bouche de ma douce. Marie-Laure, en équilibre sur une main, un doigt dans les fesses et une langue dans la chatte, s'empara du sexe de sa main libre et reprit sa fellation.

- Tu es moins fière salope avec ma bite dans la bouche, tu ne te doutais pas que Ben avait une aussi grosse queue et qu'un jour il te baiserait, moi si!

Je compris alors que Ben avait du certainement tout préparer dans cet espoir et que les circonstances lui avaient permis d'assouvir son fantasme. Félix avait profité de cette opération pour se libérer à son tour. Il demanda à Théodore de se pousser et présenta son sexe à l'entrée de Marie-Laure. Son gland écarta ses petites lèvres et lentement sa queue, qui était aussi de belle taille, pris possession de la chatte de Marie-Laure. Après, un ou deux aller-retours il ressortit complètement et vint se placer sur la rondelle de Marie-Laure.

Ma femme arrêta sa fellation et cria un « Non!!! Pas là!!! » en essayant de se dégager. Mais Ben la rattrapa et lui remit sa bite dans la bouche. Théodore la bloqua et Félix, d'un léger coup de reins, fit pénétrer son gland dans le petit cul de ma douce. De grosses larmes coulaient sur les joues de Marie-Laure, mais je n'eus aucune réaction. J'étais hypnotisé par cette colonne de chaire noire qui s'enfonçait entres les fesses blanches de mon épouse. Bientôt elle se trouva complètement empalée.

Je regardai ma femme, la bite de Ben dans la bouche, ce dernier la tenant par les seins qu'il malaxait sans douceur et en l'insultant, Félix enfoncé dans son cul, qui commençait lentement à bouger la libérant pour mieux la reprendre, les mains bien plantées dans ses fesses. Pendant ce temps, Théodore baladait ses mains et son sexe, qu'il avait lui aussi libéré, sur toutes les parties du corps de Marie-Laure restées libres.

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