Florence de Femme Mariée à Callgirl 02

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Florence découvre le plaisir anal et ses premiers clients.
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EMILIEDAN
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FRANÇOISE A MON APPARTEMENT

Dix-huit heures, la voix de Françoise résonnait dans l'Interphone de mon appartement.

Dès son entrée, elle se dirigeait vers moi et saisissait son foulard que j'avais noué autour de ma gorge. Le tenant par les deux extrémités, elle exerçait une traction sur ma nuque m'invitant à me rapprocher de son visage.

Me saisissant alors par la nuque, elle m'appliquait un langoureux baiser, j'avais alors instinctivement un petit mouvement de recul.

Elle gardait alors ses deux mains sur ma nuque, ses pouces exerçant alors de savantes caresses sur les lobes de mes oreilles.

M'attirant plus près sa bouche à proximité de mon oreille gauche elle me chuchotait :

-- Ma chérie, dans les soirées où tu devras exercer tes talents d'hôtesse, il n'y aura pas que des hommes mais également des femmes. Détends-toi

De nouveau elle posait ses lèvres sur les miennes et je sentais sa langue gourmande envahir ma bouche. J'étais submergée par un sentiment étrange et je fermais les yeux.

Ses mains agiles en un éclair, me délestaient de mon chemisier et de mon soutien-gorge. Une main me caressait les cheveux l'autre palpait mes seins que je sentais frémir.

Elle pinçait maintenant le bout de mon sein gauche qui se dressait maintenant avec arrogance.

A présent me libérant de toute caresse, elle s'était reculée et m'adressait d'une voix douce mais exigeante :

-- Enlève ta jupe et ta culotte

Je m'exécutais, je la regardais, en un éclair elle venait de se libérer de sa jupe portefeuille fendue qui tombait au sol.

Je découvrais alors stupéfaite, l'absence totale de culotte. Sans me laisser le temps de réagir, elle m'appuyait sur les épaules m'invitant à m'agenouiller.

Dans un seul et même mouvement, elle venait de poser son pied gauche sur l'assise du canapé et la pression de ses mains derrière ma nuque invitait mes lèvres à se poser sur son abricot qui luisait d'excitation.

Je n'avais jamais connu une telle relation, mais j'étais comme hypnotisée par son regard et soumise à ses exigences. Elle se dressait sur la pointe des pieds permettant aux lèvres de sa chatte de se frotter sur ma bouche. Elle accompagnait ma découverte de petits mouvements du bassin qui humectait maintenant ma bouche entrouverte.

-- Goûte-moi ma petite Florence. Tu as deux mains, elles sont faites pour t'en servir caresses toi et fais-moi jouir.

À ces mots je m'étais mise en position accroupie, je me surprenais à caresser de ma main gauche ses fesses et même à taquiner son anus. A présent, je me délectais de son nectar qui ruisselait sur ma langue et glissait lentement dans ma gorge. Sous les doigts de ma main, droite mon clito se dressait et me servait de petites éjaculations.

La pièce résonnait maintenant de nos gémissements et du clapotis qui s'exprimaient entre nos cuisses.

Françoise me saisissait par les cheveux, m'incitait à me relever. Elle se reculait et me lança un regard profond en saisissant sa jupe qu'elle renouait autour de ses hanches.

-- Bien ma chère Florence, rhabille-toi. Tu apprends vite et tu es obéissante, mais il te reste tant à découvrir à commencer par ce week-end. Tu accompagnes mon mari qui négocie un important marché avec des clients russes et chinois. Ce ne sont pas des tendres en affaires mais ils adorent les hôtels luxueux de la Côte d'Azur et Marc a retenu une immense suite avec ce qu'il faut pour les ravir. Tu es toujours partante.

-- Oui Françoise, je suis tout de même un peu anxieuse. Tu seras là.

-- Non, cesse de faire la gamine tu dois te préparer à toutes les éventualités et tu dois assumer sans réserve tes engagements.

-- Je ferais de mon mieux.

-- Non pas de ça, tu devras être excellente et si les circonstances l'exigent te plier aux désirs de ces invités. Nous sommes bien d'accord.

-- Oui Françoise

-- Bien, ne me déçoit pas.

DANS L'AVION AVEC MARC ENTRE PARIS ET MOSCOU

C'était la première fois que je voyageais avec mon patron et son interprète Nathalie. Nous étions de nuit dans un jet privé entre Paris et Moscou où nous devions récupérer nos deux clients. J'étais installé côté hublot, à la gauche de Marc. Sa secrétaire occupait une place derrière nous. Je regardais par le hublot ces milliers de petites lumières au fil des villes que nous survolions. J'étais enfoncée dans ce fauteuil pullman sous la douce ambiance de la lumière tamisée qui enveloppait la cabine.

Le dossier étant incliné en arrière, l'ourlet de ma jupe était considérablement remonté à la limite de mes bas. Cela n'avait pas échappé à Marc, dont le regard naviguait de mes pieds à mes genoux pour finir sur le haut de mes cuisses.

Sa main gauche sans préambule se saisissait de ma cuisse droite et ses doigts remontaient immédiatement au dessus de mes bas.

Je murmurais

-- Monsieur ce n'est pas raisonnable. Vous êtes marié et vis-à-vis de Françoise.

-- Vous plaisantez j'espère. Vous n'êtes pas là pour avoir des états d'âme, mais pour remplir votre mission et obéir. A moins que vous vouliez tout arrêter.

-- Non monsieur ce n'est pas ce que j'ai voulu dire

-- Alors tais-toi et enlève immédiatement ta culotte.

Mes mains sous ma jupe faisaient glisser ma culotte que j'allais mettre dans mon sac.

-- Donne-moi ce joli sous-vêtement. Je vois que ma femme a toujours aussi bon goût. Je me suis laissé dire que tu avais pris du plaisir avec elle.

-- Oui monsieur

-- Tu ne lui as pas dit « ce n'est pas raisonnable Françoise vous êtes mariée et vis-à-vis de Marc »

-- Non monsieur

Marc s'était tourné vers moi et sa main droite me caressait l'entre jambes. L'index et l'auriculaire replié de part et d'autre des lèvres de ma chatte, majeurs et annulaires caressaient de bas en haut ma fente qui s'humidifiait en dévoilait l'érection de mon petit clito.

Ses doigts agiles à chaque mouvement s'enfonçaient plus avant dans mon sexe. Avec frénésie sa main allait à un rythme démentiel de haut en bas, puis ses doigts quittaient brusquement mon sexe. Alors mes lèvres s'écartaient pour laisser jaillir un flot incontrôlé de cyprine.

Marc recommençait encore et encore, parfois il tapotait mon sexe du plat de sa main en riant.

-- Tu vas être une bonne ma petite Florence tu as du talent. Avance tes fesses au bord du siège, laisse-toi glisser. Écarte bien tes cuisses, tient tes genoux à deux mains.

J'étais, comme avec sa femme, envouté par sa voix grave et autoritaire. Mes fesses sur le bord du siège je tenais mes genoux repliés sur ma poitrine. Mes reins reposaient sur le bord de l'assise du fauteuil laissant mon petit cul dépasser du fauteuil.

-- Voilà c'est bien Florence, respire et détends-toi. Profite de chaque instant tu n'es pas bien là

-- Si monsieur

A présent, sa main pouvait sans peine atteindre mes fesses. Marc tapotait tendrement mon petit cul. Il taquinait également mon anus qui était vierge de toute caresse.

Ses doigts trempés de ma cyprine dessinaient le contour de mon petit œillet brun, pendant que son pouce investissait mon vagin. Ma respiration était courte et saccadée et face à ce début de caresse anale je murmurais

-- Marc pas là s'il vous plaît.

-- Chut ma douce, détends-toi laisse-moi te guider vers ce plaisir qui t'est encore inconnu.

Sa bouche gratifiait mon oreille droite de mille baisers. Son pouce faisait ruisseler ma chatte sur ses doigts qui s'agitaient sur mon anus. Son index humide tapotait délicatement cet anneau vierge. Je sentais alors sa première phalange investir lentement ce nouveau puits de jouissance.

-- C'est bien ma petite Flo, chaque fois que mon doigt avance, détend ton petit anus et accompagne ma douce pénétration avec une petite poussée pour ouvrir ton puits d'amour .

Maintenant j'accompagnais ce doigt qui s'enfonçait de plus en plus. Il remontait vers le haut pressant la fine paroi qui le séparait du pouce qui s'agitait dans mon sexe.

J'étais totalement transportée. Je gémissais à chaque pénétration qui me procurait maintenant un soupçon de plaisir.

Des frissons parcouraient mes reins, mon dos et remontaient jusqu'à ma nuque. Je gémissais sous les caresses expertes de cet homme.

Marc avait sorti son pouce de mon vagin. A présent, il me pénétrait l'anus de deux doigts.

La rapidité de ces pénétrations successives et la pression sur mon périnée me déclenchaient un orgasme vaginal, et provoquaient une éjaculation violente et incontrôlée de cyprine.

Les doigts de marc quittaient alors mon fondement, pour laisser la paume de sa main s'inonder de ce précieux témoignage de ma jouissance.

A nouveau il recommençait à me pénétrer et à s'offrir ma virginité anale.

A présent, c'est avec trois doigts groupés qu'il investissait mon anus. Mes petits coups de reins en avant lui témoignait sans nul doute possible, le plaisir qui me poussait vers cette pénétration que je découvrais.

De la même manière que l'avait fait son épouse, Marc cessait brusquement ses caresses me laissant essoufflée et pantelante. J'ouvrais lentement les yeux

-- Monsieur j'ai joui comme jamais, mais vous.

-- J'aime ma femme mon petit. Je ne suis pas là pour jouir, mais pour vous préparer à supporter les exigences parfois pénibles de nos clients.

-- Pénibles! Que voulez-vous dire monsieur.

-- Il faut vous faire à l'idée Florence que votre mission ne vous apportera pas toujours la jouissance. Par contre vous vous devez d'obtenir celles de nos invités. Vous serez souvent pour eux, l'occasion de réaliser leurs fantasmes les plus secrets.

-- Mais jusqu'où peuvent aller leurs exigences à mon égard.

-- Il n'y en a pas sauf si vous dites non. Dans ce cas, nul doute que je perdrais un gros contrat et que vous perdrez votre job. Françoise vous l'a clairement dit je crois.

-- Oui monsieur. J'irais aussi loin que nécessaire pour vous et pour moi.

-- Très bien Florence, allez prendre une douche et revenez ici pour vous reposer. Demain soir nous serons avec nos clients à Nice et vous devrez être resplendissante et efficace.

J'étais épuisée, vidée par cette jouissance anale qui venait de se révéler à moi. Vous dire que je n'étais pas inquiète des informations de Marc sur le déroulé des soirées avec les clients reviendrait à vous mentir. Mais j'étais déterminée, excitée et impatiente d'être au cœur de cette soirée russo-chinoise.

DANS L'AVION DE MOSCOU A NICE

Soutien gorge culotte et porte-jarretelles assortis de bas noirs. Chemisier rose pâle large décolleté jusqu'à la naissance du sillon de mes seins pour le haut. Veste blazer blanche et jupe portefeuille fendue sur la cuisse droite pour le bas. C'est ainsi que que j'accueillais en cabine nos invités.

Notre russe Igor, la cinquantaine cheveux grisonnants un corps de sportif était accompagné de son interprète, Olga une grande blonde aux yeux verts toute en rondeurs affichant une trentaine d'années.

Notre chinois Tao, petite quarantaine de taille moyenne, un visage souriant aux yeux bruns, était en compagnie de Bao une brune aux yeux bleus, de taille moyenne dont le physique devait sans nul doute attirer les hommes

C'est dans le petit salon du jet autour d'une table en Plexiglas ronde que nous nous installions dans de confortables fauteuils.

Marc avait les deux interprètes à ses côtés, et je me situais en face de lui, encadrée à ma gauche par Igor et à ma droite par Tao.

Je sentais que l'ambiance était tendue et que nous allions vers des négociations délicates.

Les interprètes expliquaient que les tarifs que proposait Marc étaient proprement inacceptables. Et que sans effort il serait impossible de signer un accord.

Marc soulignait que nous disposions de plusieurs heures de voyage pour atteindre Nice. Qu'il serait bon de nous détendre afin de mener calmement cette négociation.

Il proposait aux invités de nous installer dans un petit salon afin d'y prendre un apéritif dinatoire.

Je me retrouvais entre nos deux clients dans une banquette moelleuse. Ma jupe s'était relevée et je leur offrais une vue imprenable sur mes longues jambes gainées de noir.

Chaque fois qu'ils se penchaient pour attraper petits fours et coupe de champagne, je sentais très nettement la pression d'un genou ou d'une main sur mes cuisses.

L'alcool aidant, c'était maintenant un bras posé sur le dossier qui donnait l'occasion à une main baladeuse de me caresser les reins, le dos ou la naissance de ma nuque.

Marc me souriait et je lisais dans ses yeux que je ne laissais pas ses clients indifférents. Il expliquait aux interprètes qu'il serait agréable de signer les contrats avant d'arriver à Nice, ce qui permettrait de consacrer notre séjour dans la suite aux plaisirs que peut offrir la vie en France.

Les deux hommes demandaient alors quels plaisirs pouvaient exister ici qui leur serait inconnu dans leurs pays.

-- Messieurs, Florence le moment venu, répondra certainement à toutes les questions que vous vous posez sur les plaisirs à la française.

-- (Igor) Pourquoi ne pas répondre tout de suite?

-- (Tao) C'est vrai Florence ne peut-elle pas nous donner un aperçu de ces plaisirs.

Je me levais afin de leur faire face, et je relevais lentement ma jupe pour dévoiler la naissance de mon porte-jarretelles. Assis en contrebas dans leurs fauteuils bas il pouvait sans aucun doute apercevoir la naissance de ma culotte. Leurs yeux brillaient lorsque je leurs déclarait

-- Savez-vous que c'est un Français en 1876 qui a inventé le porte-jarretelles. Alors Croyez-moi messieurs, si à l'instant l'heure est au travail, ne doutez pas que Nice sera pour vous le lieu de tous les fantasmes et des plaisirs.

-- (Igor) Mademoiselle c'est un engagement que vous prenez

-- (Tao) Florence, Marc nous a dit que vos actes était à la hauteur de vos promesses.

-- Messieurs l'heure est aux contrats, respectez le vôtre et Nice deviendra la ville de vos rêves.

Je lisais dans leurs yeux l'immensité de leur désir et j'avoue que j'étais inquiète de ce qu'ils pourraient exiger de moi. Je rabaissais lentement ma jupe et j'allais m'installer à l'écart au fond de la cabine. Marc saisit la balle au vol.

-- Messieurs repassons à la table des négociations.

-- (Igor et Tao ) vous êtes très adroit Marc

Après avoir échangé entre eux, l'interprète chinoise chuchota à l'oreille de Marc qui me regarda avec un regard profond.

Bien plus tard j'appris que nos deux clients avaient clairement déclaré à Marc que s'ils signaient les contrats, ils entendaient disposer de moi toute une nuit.

À ce moment précis, ignorant tout de cette déclaration, j'avais pourtant un étrange pressentiment.

Je percevais dans leurs regards qui me fixaient, qu'ils me feraient payer le défi que je leur avais lancé, mais j'étais bien loin de me douter de ce qui m'attendait dans la suite de ce palace.

EMILIEDAN
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