Flic et Pute

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Lisa a deux amours: la police et les voyous.
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D'aussi loin qu'elle se souvienne, Lisa n'avait joui joui qu'en s'imaginant dans des situations de soumission et d'humiliation. Toutes aussi anciennes étaient ses ambitions de devenir policière. Si ses rêves professionnels étaient connus de tous, elle se gardait bien de parler à quiconque de ses fantasmes honteux. Son père pourtant les eut peut-être préférés à la perspective de voir sa fille en uniforme bleu. Prof d'université, il avait connu dans son adolescence les barricades de 68 et la libération sexuelle qui s'en suivit. Ce que Lisa avait soigneusement refoulé, et ce dont son père, retoqué par sa mère ne se vantait plus depuis longtemps, c'est qu'elle avait appris à lire toute seule en piochant notamment dans son impressionnante collection de livres érotiques et qu'il l'avait surprise un jour en train de déchiffrer une édition originale d'Histoire d'O.

La vie amoureuse de Lisa correspondait parfaitement à l'image sage et ordonnée qu'elle se faisait de l'existence : elle fréquentait des jeunes gens de son âge, respectueux et doux, défendant des valeurs traditionnelles à l'opposé des convictions paternelles. Des jeunes gens très bien avec qui elle s'ennuyait beaucoup, ne parvenant à leur exprimer ses désirs secrets et contrainte de recourir à son fantasme chéri à chaque rapport sexuel pour en obtenir quelque satisfaction.

Brillante étudiante, elle devint policière très rapidement et se trouva comme compagnon un jeune brigadier très sympa, à l'esprit ouvert juste ce qu'il faut, le candidat idéal pour fonder une famille. Elle obtenait beaucoup de plaisir dans ses bras, en s'imaginant violée par des voyous sous ses yeux. Mais ce qui l'excitait au-delà de tout c'était le chantage. Se figurer des situations où elle devait, en uniforme, se livrer à un ou plusieurs hommes pour éviter un scandale par exemple, la propulsait rapidement vers un puissant orgasme, qui ne devait rien ou peu de choses à l'agitation de son gentil amoureux entre ses jambes.

Flic depuis trois mois, Lisa obtint une puissante ovation de la part des manifestants lorsqu'elle s'agenouilla en signe de soutien à la cause noire, contre les violences policières. A l'émotion suscitée par ces acclamation succéda un autre ressenti, plus ambivalent, lorsqu'un grand black qu'elle avait arrêté récemment se planta devant son visage en brandissant à travers son pantalon un braquemart qu'elle devinait énorme. Levant les yeux vers lui, elle croisa son sourire carnassier en arrière plan du portable qu'il brandissait vers elle de sa main libre.

Elle connaissait cet homme. Une fois de plus, du fait de ce voyou, son fantasme effleurait la réalité, suscitant une profonde émotion qui fissurait un peu plus la cloison qui le maintenait dans la clandestinité.

Depuis le début des manifestations faisant écho à la mort de Georges Floyd. Lisa se sentait tiraillée entre son devoir de flic et les principes humanistes transmis par sa famille et qu'elle conservé lorsqu'elle avait fait le ménage dans la culture quasi-hippie qui lui avait été transmise. Certains de ses collègues partageaient son malaise tandis que d'autres disaient sans retenue l'animosité que leur inspiraient ces manifs anti-flic. Parmi ces derniers, une minorité profitait de l'occasion pour exposer des opinions extrêmes qu'elle taisait d'habitude ou exprimait en sourdine. Les agressions plus fréquentes auxquelles les fonctionnaires devaient faire face dans les cités rendaient tout le monde nerveux, même les moins aigris, y compris Lisa. Cette dernière fut envoyée un soir en patrouille avec Marc, un brigadier presque retraité, usé jusqu'à la corde, ripoux à peine dissimulé, réactionnaire revendiqué. Alors qu'ils circulaient en voiture cité des Fleurs, ils croisèrent Djamel A, multirécidiviste en ballade entre 2 séjours en prison. Marc, qui conduisait, s'arrêta à sa hauteur et ouvrit la vitre coté passager, où Lisa était installée : « Alors Djamel, on prends le frais en attendant d'y retourner? ».

L'homme se pencha et s'accouda à la portière.

- Tieeeens, mais c'est Marco! Comment tu vas, enculé de poulet? Putain, mais vous recrutez de la bombasse chez les keuf ces temps-ci, s'écria-t-il en scrutant Lisa.

- Monsieur, surveillez votre langage, vous pourriez être inculpé pour outrage à agent, répliqua la jeune femme, camouflant parfaitement l'émoi suscitée par le compliment grossier. Et reculez je vous prie.

- Ici t'es chez moi, poulette, c'est à toi d'être polie.

Le visage à quelques centimètres de celui de l'homme, Lisa posa instinctivement sa main sur son arme.

- Éloignez vous de la voiture, monsieur!

Mais Djamel ne bougeait pas et essayait manifestement de détailler ses formes sous sa tenue réglementaire.

- Putain de salope, comment je te niquerais, si tu voulais bien...

- Monsieur, reculez immédiatement!

- Je te ferais ramper devant ma grosse queue, t'en redemanderais encore et encore, t'en aurais jamais assez. Alors je te descendrais dans une cave et tu ferais la pute pour moi, avec amour.

Ce que décrivait l'homme correspondait si bien aux scénarios qu'elle échafaudait en secret qu'elle en fut un instant désarçonnée et resta bouche bée avant de reprendre ses esprits.

Elle fit taire son désir et tenta d'ouvrir la portière mais l'homme la maintenait fermée. Il racla le fond de sa gorge et cracha au visage de la jeune flic. A nouveau, elle poussa la portière qui s'ouvrit mais se bloqua quelques centimètres plus loin. Djamel se mit à hurler « Aïïïïïeeee, putain , elle m'a éclaté le genoux, violence policière! A l'aide! » Puis il se roula par terre en se tordant à la manière des joueurs de foot. Lisa savait qu'il fallait agir vite. Elle sorti du véhicule de patrouille, mit l'homme à plat ventre et lui passa les menottes. Marc l'aida à faire asseoir Djamel sur la banquette arrière tandis qu'il continuait à hurler : « Violences policières! Ils m'embarquent après m'avoir frappé! A l'aide! »

Des types sortirent de leur bloc armés de barres de fer et des gosses, surgit d'on ne sait où commençaient à jeter des cailloux sur la voiture qui partit en trombe. Enfin, tandis qu'ils roulaient, Lisa essuya le crachat qui coulait sur sa joue.

Djamel fut libéré après une heure de poste et une déposition à l'inverse du rapport de Lisa. Elle ne le revit pas avant cette manif où elle et quelques autres avaient décidé de reproduire l'attitude de collègues outre-atlantique, un genou à terre face à la foule en colère, solidaires de leur sentiment d'injustice et de la cause qu'ils défendaient.

C'est ainsi que Lisa se retrouva agenouillée, le visage à quelques centimètres de l'entrejambe de l'homme qui lui avait craché au visage. Brandissant ses couilles, glissant sa main le long de son pénis, il dessinait en relief à travers le survêt un imposant appareil génital, sa queue en érection montant sur le coté jusqu'à la pointe supérieure de son bassin, jusqu'à l'élastique du pantalon. Horrifiée d'être filmée dans cette attitude humiliante, Lisa était parallèlement fascinée par cette énorme bite, comme on peut l'être devant un phénomène exceptionnel, mais sans doute aussi parce qu'elle correspondait aux calibres qu'elle s'imaginait prendre dans tous les trous dans certaines de ses fantaisies. Circulèrent ensuite sur les réseaux sociaux, en vue subjective, l'image d'un black se touchant à travers le survet face à une jeune flic blonde, bouche-bée, présentant une ressemblance frappante avec M. MLP.

Peu de temps après, Marc demanda à Lisa une conversation privée et lui annonça que Djamel avait pris contact avec lui et lui avait indiqué son intention de déposer plainte contre Lisa pour violences policière. Il était apparemment en possession d'un certificat médical indiquant une fêlure de la rotule ainsi que des plaies au niveau des poignets et un traumatisme des cervicales. Lisa protesta, il était impossible qu'il ait été à se point blessé. Il ne pouvait s'agir que d'un faux. A peine l'avait elle bousculé pour sortir de la voiture. C'est lui qui en avait fait des caisses... Marc secoua la tête, il avait soigneusement examiné le document. Tout était en règle : deux médecins avait consulté Djamel après son départ du poste et avait rédigé un rapport accablant pour Lisa. Débutante, elle risquait sa carrière selon Marc.

La jeune femme se mit à pleurer. Elle avait tant travaillé pour décrocher ce poste, pour faire le même job que son amoureux, brigadier dans une autre commissariat à l'est de Paris. Lisa vit tous les rêves échafaudés ensemble s'écrouler. La petite maison de ville à retaper, le mariage en juin avec tous les copains et la famille, tous ses projets de vie allaient être balayés par le faux témoignage de ce salaud.

C'est alors qu'une brèche s'ouvrit dans le mur déjà fissuré entre fantasme et réalité et qu'a l'angoisse se substitua subitement l'excitation.

- Ecoute, dit Lisa, tu connais ce type, tu peux lui parler.

- Oui, je peux mais tu sais il y a peu d'espoir pour qu'il revienne sur...

- Non, non. Je voudrais juste que tu lui dises que je ferais n'importe quoi pour qu'il retire sa plainte.

- Que tu ferais n'importe quoi... Vraiment? Tu es bien sûre de vouloir que je transmette ce message?

- Oui, tout à fait sûre.

Marc relaya la proposition de Lisa auprès de Djamel et revint rapidement vers elle.

- Il y a peut être un moyen, dit-il, d'éviter le scandale.

- Ah oui, soupira Lisa, et alors, que demande-t-il?

- Oh je ne crois pas que tu en sois capable, laisse tomber.

- Dis moi, je t'en prie!

- Écoute, Djamel, enfin, la partie adverse, est d'accord pour un arrangement à l'amiable, comme tu le proposes.

- Un arrangement?

- Oui, oh je sais même pas si je t'en parle. C'est trop... Enfin, tu seras pas d'accord de toutes manières.

- Allez, Marc, dis moi de quoi il s'agit.

- Bon. Alors voila, il est ok pour passer l'éponge, pour ne pas déposer plainte contre toi en échange d'une pipe.

- Une... quoi?

- Une fellation si tu préfères. Tu vois c'est dégueulasse. J'aurais pas dû t'en parler.

L'image de la queue de Djamel dans son survet gris s'imposa à l'esprit de Lisa dans un grand luxe de détail que sa mémoire avait méticuleusement enregistré. Elle restait sans voix, son regard dans le vague. Il n'y aurait bientôt plus de frontière protégeant le réel de l'imaginaire. Ce dernier, débridé, avait commencé à envahir sa vie, la remplissant d'une joie coupable, submergeant toutes les objections qu'elle pouvait se faire.

- Une fellation, répéta-t-elle stupidement.

- Oui, et il faut te décider tout de suite. Il attend ton accord avant d'envoyer sa plainte au proc.

Lisa envisagea même que son amoureux la quitte pour une autre fille, une des nombreuses qui devaient lui tourner autour dans son commissariat. Elle fut pendant un instant envahie de panique à cette idée puis récupérée l'instant d'après par son désir, décidément plus puissant.

- Dis lui que c'est d'accord.

- Tu es bien sure?

- Oui, je crois que je n'ai pas le choix. Je ne veux pas tout risquer...

- Bon... Mais il y a deux autres conditions.

- Lesquelles?

- Il exige que tu sois en uniforme pendant... et que tu avales son sperme.

Lisa s'efforça de dissimuler l'excitation provoquée par ces derniers mots en faisant semblant d'être choquée.

- Quoi?... Mais c'est... J'ai jamais fait ça, même pour mon copain!

- Désolé Lisa, il a dit que c'était pas négociable.

- Oh quelle horreur!

- Ce qu'on peut discuter par contre c'est le lieu. Il voudrait que ça se passe dans une cave. Je pense pouvoir le convaincre de faire ça chez moi. Au moins je pourrai te protéger...

- Dis lui que c'est d'accord.

- Ok. C'est toi qui va lui envoyer un texto. Il a préparé une sorte de petit contrat que tu dois lui renvoyer.

Marc tendit un bout de papier à Lisa qu'elle recopia sur son portable. Elle le relut au comble de l'excitation, ne se souciant même plus de la camoufler aux yeux du vieux brigadier, prit une grande inspiration et appuya sur la touche « envoi », provoquant l'explosion définitive du mur qui protégeait sa vie et contenait son désir.

« Moi, Lisa Colombina, gardienne de la paix, coupable de violences sur monsieur Djamel A, accepte de sucer ce dernier jusqu'à ce qu'il jouisse dans ma bouche et d'avaler l'intégralité de son sperme, en contrepartie de quoi il n'engagera pas de poursuite contre moi. »

Lisa arriva chez Marc avec son petit sac à dos contenant sa tenue de service.

- Il est déjà là?

- Oui, il t'attend dans le salon. Ça va, il a l'air de bonne humeur. Va te changer dans ma chambre, il ne veut pas te croiser avant que tu sois en uniforme.

Lisa ôta rapidement ses vêtements. Elle enfila son uniforme par dessus un ensemble Aubade offert par son amoureux pour la st Valentin et qu'elle n'avait jamais remis depuis ce soir là puis rejoignit le salon.

Djamel était assis jambes écartés dans le canapé et portait le même survêtement que le jour de la manif.

- Tiennnns, mais qui voila?

Lisa ne savait que faire, restait immobile au centre de la pièce, bras ballant dans son costume de gardienne de la paix.

- Approche salope!

- Monsieur, vous n'avez pas le droit de m'insulter! Cela ne fait pas partie du deal.

- Ok, ok. On verra plus tard. Viens par ici.

Lisa avança docilement jusqu'à l'homme et se planta à un mètre de lui, dans un quasi garde à vous.

- Regarde moi ça Marc, comme elle est bonne cette fliquette. Elle doit bien vous faire bander à tous au commissariat. Putain quand je pense que je vais lui baiser la bouche. Je te laisserai lui toucher le cul et les nichons si tu veux...

Lisa, qui avait envisagé cette perspective, en tremblait de plaisir, mais elle joua son rôle.

- Monsieur, il n'est pas question que ni vous ni Marc ici présent ne touchiez mes parties intimes! Je ne suis ici que pour accomplir un acte sexuel mécanique sur votre personne, rien de plus.

- Ouais, bien sûr ma poulette, on verra ça en cours de route. Y a un truc sur quoi on est entièrement d'accord : tu ne fera rien ici dont tu n'a pas vraiment envie.

Le noir se leva et domina Lisa d'une tête.

- Met toi à genoux dans la position que tu avais pendant la manif.

Lisa obtempéra, se retrouvant un genou à terre, face au tronc à peine dissimulé par le pantalon de coton.

- Allez, fait sortir l'engin en baissant mon froc.

Elle saisit les bords du survet et tira vers le bas. Le gourdin noir, libéré d'un seul coup, se rabattit comme une barrière vers le visage de Lisa, lui arrachant un petit cri de surprise en percutant le bout de son nez. Jamais elle n'avait vu en vrai d'aussi gros membre. La queue de cet homme était au moins deux fois plus grande et plus épaisse que celle de son amoureux. Elle était parcourue d'énormes veines qui accentuaient l'impression de puissance et se terminait par un gland violacé entièrement découvert.

- Fais un petit bisou à la bête pour commencer.

Lisa leva des yeux de chien battu vers Djamel puis, hébétée, retourna à l'observation de cette bite exceptionnelle sans plus pouvoir en détacher son regard. A nouveau, elle obéit, approcha et déposa une bise du bout des lèvres sur le gland.

- C'est bien, tu vois, elle mord pas. Allez, prend le dans ta bouche et tète-le!

Sans toujours oser toucher la bite, elle ouvrit la bouche et, s'aidant de sa langue, y fit entrer les trois quarts du gland d'abord, le suçotant, puis, sans qu'on lui demande rien, la totalité. Elle se rendit compte à ce moment que non seulement Marc n'avait pas quitté la pièce, mais qu'il avait sorti sa queue et commencé à se branler.

- Non, pas devant lui, se ressaisit Lisa afin de ne pas paraître trop heureuse de son sort.

- T'arrête pas putain! Je te garde une heure à genoux si tu proteste encore. Si tu veux que je me vide les couilles vite fait, applique toi et ferme la!

Lisa abdiqua avec joie. Elle ferma les yeux et entrepris de se consacrer exclusivement à sa tâche, masturbant l'homme tout en le suçant. Comme cela durait, elle donnait le meilleur d'elle même dans l'exercice, léchant parfois les énormes couilles très odorantes du noir, pensant ainsi accélérer la survenue de son orgasme. Un tel traitement amenait en général son copain à éjaculer en moins d'une minute mais cela durait maintenant depuis une éternité et rien ne venait, sinon un inconfort au niveau des mâchoires et un filet de bave qui pendait à son menton qu'elle finit par renoncer à essuyer.

Par ailleurs, son bas ventre réclamait une main ou autre chose. Ce besoin de stimulation à cet endroit la conduisit à se tortiller sans qu'elle s'en rende vraiment compte.

- Bon allez, ça suffit la pipe à papa, on va passer aux choses sérieuses!

Djamel attrapa les cheveux de Lisa à pleines poignées et commença à lui baiser furieusement la bouche, manquant de l'étouffer. Elle toussait, crachait, des bulles de morve se formaient à son nez mais Djamel continuait son pilonnage. Comprenant que l'homme ne relâcherai pas son étreinte de sitôt, elle cessa de résister et s'efforça de reprendre un souffle dès que c'était possible. Occupée à respirer elle était en même temps dans une excitation ascendante, nourrie par les insultes qui maintenant pleuvaient.

« Putasse de merde, truie, chienne, connasse » ; Djamel avait ouvert les vannes et déversait son fiel sur la jeune femme blonde.

Les caméras et micros HD dissimulés un peu partout dans la pièce capturaient la scène sous tous les angles : un homme noir très musculeux, pantalon sur les chevilles, poussant son énorme gourdin à un rythme effréné dans la bouche d'une magnifique fliquette blonde, clone de M. MLP, qui semblait accepter son sort tant bien que mal.

Les doigts crispés dans les cheveux de la fille, Djamel grimaçait en crachant son venin tandis qu'un autre homme, dont le visage devait être flouté dans les vidéos qui circulèrent ensuite, la cinquantaine bedonnante, très poilu, se branlait à quelques centimètres du visage de la femme en marmonnant lui aussi des insultes à son adresse.

Djamel, avant d'aller plus loin, voulu tester la docilité de sa proie.

- Mains dans le dos, connasse.

Lisa croisa ses bras dans son dos.

- Vas y Marco, fit Djamel, prends ta part du contrat, palpe cette chienne. Fais toi plaisir. Elle dira rien.

Marc s'accroupit près de Lisa et glissa tout de suite une main sur un nichon et l'autre dans la raie de son cul rebondi, que son uniforme dans cette position dessinait parfaitement, semblant appeler à la caresse.

Lisa en éprouva aussitôt une espèce de soulagement. Son corps se cambra pour accueillir les mains qui la touchaient et répondaient à son désir montant. Renonçant à son personnage, au lieu de se débattre, elle offrit sa croupe et ses seins à la caresse, gardant les bras dans son dos.

Heureusement, se dit elle, ses gémissements, irrépressibles mais sourds, étaient couverts par les injures débitées en continue par les deux hommes. Marc ne se gênait plus désormais.

« Espèce de petite pute qui se croit mieux que tout le monde, tu fais plus la leçon là, hein? Tu prends une bite de noir dans la bouche et tu te laisses palucher par un vieux porc réac. Sale petite conne, tu vas apprendre où est ta place! »

Bientôt, Djamel décida de tenter une autre position. Il allongea Lisa sur le dos sur un grand accoudoir plat du canapé en cuir, tête pendante dans le vide. Cette dernière se laissa soulever comme un pantin et ne se rendit compte de sa position que lorsque Djamel lui intima l'ordre d'ouvrir sa bouche en grand, ce qu'elle fit.

- Détend toi, salope et dit AAAAHHH.

- AAAAHHH

L'homme prit son élan et planta sa queue aussi loin qu'il le put dans la gorge de la fliquette, la rentrant tout de même aux trois quarts. Lisa battait des jambes et des bras. Comblée par ce traitement brutal, elle avait cependant l'impression que sa mâchoire allait se disloquer et son cou éclater. Mais l'homme ne relâcha pas son étreinte et elle comprit une nouvelle fois qu'il lui faudrait s'y adapter, et que résister ne servait à rien, sinon à retarder son propre plaisir. Elle revint donc au calme. Après tout, la grande prise d'air précédant l'assaut lui permettrait une apnée d'autant plus longue.

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