Femme Soumise

J’étais dans ma période mec.

Paul était un excellent amant et ses fantasmes me plaisaient beaucoup. Il aimait me voir allumer les mecs de part mes tenus ou bien mes attitudes provocantes. Le résultat est qu’il me baisait merveilleusement pas la suite. Avec lui, on pouvait faire l’amour n’importe où : parking de supermarché, aire d’autoroute, toilette de discothèque, etc… J’aimais beaucoup cela et attendait toujours avec impatience la prochaine de ses idées.

Il fallait toujours un fantasme ultime, celui qui ferait passer les autres pour de petite choses sans intérêt. Le fantasme ultime arriva un jour.

Paul reçu un coup de fil d’un ancien ami de collège qui comptait venir passer quelques jours à la capital. Il venait à deux. Paul me demanda si cela me dérangeait. Je lui dis que cela m’allait tout à fait.

Marc et Alexandre débarquèrent alors dans notre vie pour une semaine. C’était des mecs très adorables. Paul prenait un malin plaisir à me faire l’amour bruyamment histoire de leur montrer que cette belle nana là était la sienne.

La semaine passa rapidement et la veille de leur départ, ils nous proposèrent de dîner au restaurant.

Alors que je me douchais, Paul ne me quittait pas des yeux. Quelque chose était en train de germer dans son esprit. Il sortit de la salle de bain.

Après m’être longuement essuyé les cheveux et légèrement maquillée, je le retrouvais dans la chambre.

« Peux tu porter cela ce soir mon amour?»

Il avait mis sur le lit des vêtements. Il y avait des bas, un string noir, un bustier rouge et une mini jupe noir. Pour finir une paire d’escarpin au talon vertigineux.

« Pas de problème, c’est toi mon maître. Si tu veux que je sois sexy pour toi et tes amis, je le serais. »

Je sentais l’un de ses fameux fantasmes se préparer.

Ma tenu fit effet sur ses amis et cela fit plaisir à Paul. Ils m’offrirent leur bras. Je me mis au milieu.

« Romane, tu es ravissantes ce soir, » dit Marc

Je fis un clin d’œil à Paul.

« Merci, c’est gentil. »

Au restaurant, je m’installais entre eux deux, avec mon ami en face. Je flirtais alors avec eux d’eux pendant tout le repas, chose qui sembla plaire à Paul vu que je sentis son pied qui essayait de glisser entre mes cuisses.

Ma jupe gênait un peu l’opération.

« Excusez moi messieurs, » dis je à mes deux voisin.

Je me levais alors et faisant bien attention qu’il ne rate pas mon geste, relevais ma jupe sur mes hanche et me rassis.

Je cru que leurs yeux aller sortir de leurs orbites. Paul souriait toujours.

« Voilà, je me sens plus à l’aise. On parlait de quoi déjà? »

Le pied de Paul se glissa alors plus facilement entre mes jambes. De temps en temps, il tournait son pied ce qui me faisait immanquablement toucher la jambe soit de Marc, soit d’Alexandre. Paul arrêta lorsqu’il sentit la soupape près à exploser.

Le repas prit fin. Je constatais que Paul n’avait pas beaucoup parlé ce soir là. J me levais et baissait ma jupe. Paul me prit par la taille durant le trajet du retour caressant le haut de mes fesses. Il était fier de moi et je n’étais pas mécontente non plus.

A la maison, on ne voulait pas se coucher de suite. Paul servit des digestif et Marc proposa de faire un joint. Cela faisait longtemps que je n’avais fumé.

L’alcool plus le joint me rendit lascive. Je me mis en chien de fusil et me blottit contre Paul. Paul posa une main sur mes fesses et les caressa doucement. Je soupirais de bien être. Je sentis l’atmosphère s’appesantir. La conversation devint inexistante. Je me laissais caresser par Paul. La dernière chose que je sentis et que Paul relevait le bas de ma jupe offrant à ses amis une belle vu de mes fesses et de mon string.

Etant endormis, je ne connais la suite que par mon ami et surtout parce que dans son esprit tordu, monsieur a voulu garder un souvenir de cette soirée et l’a imprimé sur un film.

« Elle vous plait Romane? »

« Putain, tu as trouvé une fille super bandante. J’ai cru mourir au restaurant lorsqu’elle a soulevé sa jupe. » dit Alexandre.

« Cela vous dit de la baiser? »

« Tu es fou. Elle dort là et se serait du viol. »

« Tu ne la connaît pas. Elle est très perverse. Regarda comme elle aime que je lui caresse le fesses. »

Mon corps dodelinait sous sa main.

« Alors? »

« Attend, j’en rêve depuis mon arrivé, » dit Marc

« Et moi donc, » dit Alexandre.

« Ok attendez moi. »

Il me prit dans ses bras et me porta dans la chambre. Il me mit sur le lit et retira ma jupe, mon bustier et mon string ne laissant que mes bas. Je dormais bien. Il alla prendre deux foulards. Il m’attacha les main au dessus de ma tête et me banda les yeux. Il mit mon baladeur sur mes oreilles me faisant écouter une musique très agréable.

Il rejoignit alors ses amis au salon. Il prit son caméscope et chargea une casette.

« Ok messieurs, on peut y aller. »

Il les filma alors. Ses amis furent surpris en me voyant. Le film me révéla nue, en bas noir offerte et sexy.

« Messieurs, je vous offre ma copine ce soir mais jurez moi de ne jamais tenter quoique ce soit sans ma présence »

Ils auraient jurés n’importe quoi, pourvu qu’ils me touchent.

« On te le jure. »

« Ok, elle est à vous et profitez bien parce que vous n’en trouverez pas d’autre comme elle. »

Ils se déshabillèrent et leurs mains partirent à la découverte de mes courbes.

Je me rappel très bien de mon rêve cette nuit là. J’étais dans les bras d’une superbe petite blonde. On s’embrassait, se cajolait. La fille me fit tout ce que Marc et Alexandre me fit.

Marc s’attaqua à ma poitrine, la léchant, la suçant avidement. Alexandre me faisait reluire la fente à grand coup de langue.

Mon corps répondit à tant d’attention. Il se mit à tanguer pendant que ma fente se remplit de liqueur et de salive. Je gémissais.

Mon amante me broutait merveilleusement bien.

Mes seins étaient durs. Alexandre se caressa rapidement. Il avait un superbe pénis, bien plus grand que celui de Paul.

Il s’installa entre mes cuisse et me pénétra lentement.

Mon amante me prenait maintenant avec un pénis.

Marc continuait à torturer ma poitrine et Alexandre me baisait.

Je me réveillais ne comprenant pas ce qui se passait. J’entendais de la musique et mon corps subissait un assaut de plusieurs côté. Je voulu me débattre mais mes mains étaient attachées. C’est alors que Paul me glissa son pénis entre les lèvres. Je voulu crier mais son pénis étouffa ma voix.

Une fois la surprise du réveil passé, je me mis à jouir de la situation. Je croisais mes jambes dans le dos d’Alexandre précipitant mon bas ventre à sa rencontre. Je pompais vigoureusement le sexe dans ma bouche qui finit par cracher sa semence sur mon visage. J’essayais de conserver un peu de semence dans ma bouche.

Marc prit alors la place de mon mari. J’engloutis un nouveau pénis. Alexandre me possédait de plus en plus vite et finit par éjaculer dans ma chatte gluante. Je gardais les jambe autour de sa taille, mon sexe avalant son foutre. Je le relâchais une fois fini.

Le pénis quitta ma bouche. Marc prit la place d’Alexandre. Il me caressa du bout de son sexe.

« Vas y! Qu’est ce que tu attends! Prends moi! Baise moi »

Le sexe de Marc était plus épais que celui de Alexandre. Lorsqu’il me pénétra, mon corps s’arque bouta et je poussais un cri silencieux tellement c’était bon. Mon sexe s’habitua alors à sa taille et mon bassin l’invita à commencer son œuvre. Il jouit très vite.

Paul alla prendre sa place, heureusement pour moi. Ce fut un assaut mémorable de sa part. Il faillit en oublier la caméra. Je le maintenais avec mes jambes comme pour Alexandre. J’eux le temps d’avoir mon orgasme cette fois avant que son sperme rejoigne celui de ses amis.

J’étais anéanti. Paul filma ma chatte poisseuse de spermes.

Il arrêta alors l’enregistrement et me détacha. Il m’emmena alors dans la salle de bain afin que je me douche. Ses amis avaient quitté la chambre.

J’avais les muscles légèrement endoloris. L’eau chaude me fit du bien et réveilla même mes ardeurs. Je sortis de la salle de bain, mit un petit déshabillé en dentelle et allait les rejoindre au salon.

Il regardait le film de Paul, se passant un joint et se branlant. Je m’approchais d’eux sans qu’ils ne me remarque. Mon sexe était trempé à nouveau. J’écartais les cuisses et glissais alors un doigt dans ma chatte.

«Messieurs? »

Il se retournèrent d’un seul homme.

«Y a t’il un second service? » dis je dans ma voix la plus sexy.

Ils étaient tous les trois assis ensemble. Je m’allongeais alors sur leur cuisses. Ils me caressèrent alors me donnant à nous du plaisir. Alexandre me branla. Mon corps fut parcouru par des vagues de plaisir.

Trouvant que cela suffisait, je me levais et allais dans la chambre. Devant la porte, je me retournais, retirais mon déshabillée et le laissais tomber à l’entrée.

« Messieurs! Je vous attend »

Je tournais les talons et entrais. Je disposais des coussins sur le lit et m’allongeais dessous offrant mes fesses.

Ils m’attachèrent à nouveau les main et me bandèrent les yeux.

Marc s’attaque à ma chatte sous l’œil de ses copains. J’étais suffisamment excitée comme ça.

« Baise moi, » dis je à mon partenaire.

Marc me pénétra alors que ses potes se branlaient au dessus de moi. Il me pourfendit longuement avant de jouir à nouveau en moi. Je jouis de mon côté. Paul prit a place et jouit très vite.

Ce fut le tour d’alexandre. Il me besogna longuement, en douceur, ce qui me fit jouir longuement avant de finir dans mes chairs. On s’endormit tous les quatre repus et moi toujours attachée.

Paul retira me détacha au matin. Ses amis n’étaient plus là.

On s’embrassa alors doucement, lui me caressant tendrement. Je sentis mon être s’éveiller et ma chatte s’humidifier. Paul le remarqua

« Tu es insatiable! »

Je lui souris.

«Oui! Baise moi. »

On refis l’amour.

Un mois plus tard je le quittais. Aucun de ses fantasmes désormais ne seraient meilleur à mes yeux, que celui-ci.