Femme D'officier en Territoire Ara

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Lauren était stupéfaite d'avoir ainsi joui, c'est alors qu'il reprit ses vas et viens, plongeant au plus profond de sa foufoune pour ensuite observer de voluptueux retraits, soumise à ce traitement, elle reprit tout de suite pied dans la réalité, il lui donna une petite gifle, histoire de la ramener à lui.

Elle grimaçait de peur, preuve qu'elle était maintenant pleinement consciente de ce qui lui advenait. Il haussa alors le rythme la labourant de plus en plus vigoureusement, et à nouveau cette queue qui l'avait emmené sur des sommets jusqu'ici juste entrevus la replongea dans un orgasme inouï.

-"Mon Dieu ....... Je vous prieeeeeeee...... S'il vous plait ...... Colonelllll.......Mettez un préservatif .......S'il vous plait ........Vous allez m'engrosser .........Ohhhhhhh..... Je vous en prieeeeeee......Nonnnnnnn ...!"

Gémisait-elle essayant de le repousser.Mais io continuait sa savoureuse entreprise à nouveau le corps de Lauren répondait, elle noua bras et jambes dans son dos, grommelant :

-"Oh, Mon Dieu .......N ooonnnn......."

Et tremblant de tous ses membres le colonel s'enfouit dans les tréfonds de son utérus qu'il éclaboussa de son épaisse liqueur visqueuse.

Il se tenait maintenant à la tête du lit observant la jolie petite femme du capitaine O'Brien, elle s'était recroquevillée en position foetale, goutte à goutte son foutre gluant s'écoulait de sa fente poissant sa toison d'or. Il jeta un oeil concupiscent sur son petit cul tout rond, une véritable aubaine qu'elle soit encore vierge du trou du cul.

Sachant que ni Raheem, ni son débile d'ami ne lui avaient cassé, il était certain qu'il serait le premier, qu'il allait lui ravir son pucelage anal.

Stupéfaite, encore sous l'influence lénifiante de son orgasme, Lauren s'était mise à 4 pattes sur l'ordre du colonel, La queue frémissante il posa ses lèvres sur la charmante croupe de la naïve petite femme ,il jeta un oeil à l'extérieur au travers des grands rideaux, il hésitait, Dieu ce j'aimerai entendre cette petite salope hurler lorsque je lui aléserai la rondelle.

Bon Dieu je ne peux pas la faire crier avec les pavillons des voisins si proches, elle beuglera certainement si fort qu'elle ameutera tout le voisinage en quelques secondes.

Le concupiscent colonel se mit en bonne position, l'agrippant fermement aux hanches, comme il allait la bâillonner d'une main, il entendit le sifflement aigu des réacteurs d'avions rentrant à la base. Un large sourire illuminant son visage, il se rappela que la direction des vents avait changé ce midi, ce qui signifiait que les avions en approche, allaient passer juste au dessus de la résidence des officiers.

A 4 pattes, tenue fermement par hanches, Lauren grogna lorsqu'il manipula son clito si sensible, réveillant son plaisir, elle ignorait tout des intentions démoniaques du colonel.

Un instant plus tard, il détrempa sa bite dans la moiteur de sa caverne, et affermit sa prise sur ses hanches. C'était le bon moment, il entendait le hurlement des réacteurs amorçant l'atterrissage. Pressant sa bite raide contre le goulot de son anus, il grogna sourdement et s'enfonça d'un violent coup de rein.

Lauren, le corps tétanisé de douleur à cette sauvage agression hurla à pleins poumons :

-"Oaieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee ............ ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!"

La douleur déchirante fusait dans ses reins, irradiant ses lombes ; à la douleur de l'effraction se mêlait l'horreur de se voir ainsi traitée, comme une pute de bas étage.

Heureusement comme, il l'avait escompté le hurlement des réacteurs avait couvert ses beuglements, personne dans le voisinage ne s'inquiéterait donc, c'était vraiment inénarrable, Grâce au hurlement du réacteur du F-16 du capitaine O'Brien il avait pu ravir le pucelage anal de la gentille madame O'Brien.

Ils en avaient maintenant pour une heure de débriefing. Le bon colonel avait donc tout son temps pour permettre à adorable madame O'Brien de reprendre ses esprits et de reprendre une allure conventionnelle.

Sortant par l'arrière de la maison, il reprit la grand route, ça avait été un véritable jeu d'enfant.

Parvenant aux abords du centre de débriefing, il se réjouit à l'idée d'aller saluer la capitaine O'Brien. Rien n'était plus jouissif que de venir saluer le mari alors qu'il venait de baiser sa petite femme par tous ses orifices.

Le capitaine O'Brien écoutait avec grand plaisir son officier supérieur louer les qualités de son adorable petite femme qui avait si bien organisé la réunion des femmes d'officiers. Lorsque le bon colonel lui dit qu'il avait de la chance d'avoir une si adorable petite femme, et de plus d'une telle beauté, il se félicita de son bonheur.

Lauren était désespérée d'avoir enduré une telle épreuve cet après-midi. Elle ressentait une vive douleur émanant de sa rondelle meurtrie, elle dut cependant bander son énergie, pour se consacrer au ménage et à faire disparaître toute preuve de son aventure.

Elle n'avait pas encore préparé le repas du soir lorsque son époux rentra à la maison. Il lui dit de ne pas s'en faire pour le dîner, ils allaient manager au mess des officiers. Elle ne voulait pas y aller, de crainte d'être confrontée au colonel pervers, mais Patrick insistait, il voulait déguster un bon steak saignant.

Pendant tout le dîner, Lauren se sentit nerveuse, son tourmenteur se tenait au coin du bar, pendant toute la soirée, elle sentit les yeux du colonel posés sur elle, la dénudant à nouveau. L'orchestre s'installa pour la soirée, les couples se formèrent, alors qu'ils dégustaient un digestif, atterrée Lauren vit le colonel se diriger vers eux.

Le capitaine O'Brien le salua chaleureusement, tendant sa large main vers Lauren, le colonel lui demanda si elle était fière de sa performance de ce jour, brisant le peu d'assurance qu'elle affichait mais elle ne pouvait refuser la main que lui tendait son bourreau. Le capitaine O'Brien était très fier de sa réussite, mais Lauren savait que ce n'était pas à cette performance que le colonel faisait allusion.

Le capitaine n'avait pas de raison de refuser que sa gentille femme danse avec le bon colonel, Lauren ne pouvait rien faire pour l'empêcher de l'escorter sur la piste de danse nimbée d'une lumière diffuse. Elle frissonna d'anxiété lorsque le colonel l'entraîna vers le coin le plus sombre de la piste. Il s'agissait d'un slow et elle devait se blottir entre les bras de l'homme qui l'avait violée l'après-midi même. De plus elle devait supporter ses sarcasmes :

-"Que dirait ton beau capitaine s'il venait à découvrir la cassette vidéo, ou à découvrir que j'ai baisé sa femme si fidèle jusqu'à l'os? "

-"penses tu qu'il se réjouirait de te voir baiser avec le gros débile? "

Lauren savait qu'il la tenait dans ses griffes. Lors de la seconde danse elle blêmit en entendant ce qu'il voulait qu'elle fasse. Heureusement il y avait peu de danseurs,et personne ne faisait attention à eux.

Son mari était assez loin d'eux, les couples de danseur la dissimulaient totalement, elle s'accroupit et tendit la main vers la grosse bosse qui déformait sa braguette. Elle aurait voulu hurler, lorsqu'elle dut embrasser la grosse bite raide de l'officier au travers de son pantalon, à proximité de son mari.

Les trois semaines suivantes, Lauren se réjouit, elle n'avait plus eu affaire au colonel Simpson, elle priait pour que le pervers soit lassé de son corps, mais en son fort intérieur elle savait qu'il n'en avait pas fini avec elle, et elle avait peur de ce qui pouvait arriver dans un proche avenir.

Depuis ce terrible faux pas dans la zone interdite, elle avait peur de s'éloigner des grilles de la base, elle espérait que son mari serait transféré sur une autre base ce qui la tirerait de cette horrible situation.

Lauren s'était levée tôt ce matin elle avait préparé un bon petit déjeuner pour son mari, il partait en manœuvres toute la semaine. Elle lui donna un dernier baiser et le regarda entrer dans le quartier général affolée de se retrouver à nouveau seule.

Une heure plus tard, des fenêtres de sa cuisine, Lauren assistait à l'envol des F-16, elle vit son mari et son escadron disparaître rapidement dans les nuages. La sonnerie du téléphone la rappela dans la réalité; Elle resta muette, figée par l'angoisse, le combiné à la main en entendant les consignes de son interlocuteur.

Une heure plus tard, vêtue d'une jolie robe et chaussée de hauts talons, Lauren quittait les limites de la base. Elle reconnut la femme qui l'attendait à l'entrée, c'était la même qui l'avait ramenée chez elle ce terrible jour. C'était une domestique noir de Raheem, le trafiquant de drogue et d'esclave, elle devait la conduire au palais du pervers. Lauren aurait voulu tourner les talons, pour retourner dans la relative sécurité de la base, mais elle craignait les conséquences qui en découleraient.

Arrivée au luxueux palais de son suborneur, Lauren hésita à boire le rafraîchissement que lui tendait un domestique, elle avait peur qu'il ne veuille encore la droguer, comme lors de sa visite initiale, Mais la son guide et le domestique la surveillaient avec une telle intensité qu'elle sut que de toute manière elle boirait le breuvage préparé.

Peu après elle identifia clairement les lieux spectateurs de sa déchéance, frissonnante de peur, elle se tortilla dans le lit sur lequel elle s'était étendue, sensible à l'intense chaleur qui embrasait ses reins. Elle haleta lorsqu'on ouvrit la porte, elle vit alors trois colosses noirs s'approcher d'elle et du lit. Elle les reconnut alors, c'étaient le colonel Simpson, Raheem le trafiquant de drogue et Mimba le serviteur débile.

Les trois jours suivants, Lauren fut baisée dans ses trois trous, forcée de sucer des bites tandis que d'autres la baisaient, elle y laissa ses dernières illusions.

Elle se sentait si honteuse, presque responsable, bien que cette situation soit surtout due à l'emploi de drogues qui avaient dénaturé ses comportements.

L'instant le plus délirant survint quand elle dut sucer la bite du colonel Simpson alors que Raheem la baisait en con et que Mimba forçait sa rondelle de sa gigantesque mentule.

Le colonel Simpson et Raheem étaient si contents de leur collaboration qu'ils se considéraient maintenant comme des partenaires, cette collaboration devait inclure des complices de Raheem, des hommes issus de la même classe.

Pour s'assurer de leur dévouement ils décidèrent d'accorder à ces comparses un bonus particulier : aussi quelques jours plus tard, ils formaient une queue, rangés par ordre d'importance dans le trafic. Ils étaient forts surpris d'avoir été convoqués pour toucher ce bonus, ils avaient déjà fait complète allégeance à leurs patrons. Ils avaient dînés et discutés avec eux et chacun frissonnait dans l'attente de cette gratification si particulière.

Lauren ignorait totalement comment elle avait survécu à cette terrible épreuve, épuisée, elle regardait son corps couvert de sperme des pieds à la tête. C'était elle le bonus offert aux sbires de Raheem. Les hommes n'en avaient eu cure de son manque de réaction lorsqu'épuisée elle les sentait se succéder dans ses trois trous gorgés de foutre, seul importait le fait de baiser de la viande blanche. Elle ignorait totalement le nombre d'hommes qui s'était régalé de ses charmes, Il s'agissait là de crapules, de rebus de la société. Ils l'avaient prise continuellement, l'un après l'autre, Puis ils étaient venus par groupe de sept, elle s'étendait sur un homme tandis qu'un second se faisait sucer, un troisième l'enculait, elle en branlait deux tandis que les deux derniers se frottaient contre ses seins et ses jambes.

Cinq semaines plus tard, Lauren préparait le repas de son mari lorsqu'elle fut prise de nausée, ce qui correspondait à son retard de règles, elle alla droit dans la salle de bain, le test de grossesse lui confirmèrent ses pires craintes, elle était grosse, ce qui n'était guère étonnant sachant la quantité invraisemblable de foutre qu'elle avait stocké dans son utérus, elle ignorait bien qui pouvait être le géniteur, mais elle était certaine d'une chose le futur père était noir!

FIN DE L'HISTOIRE

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de Black Demon

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 15 ans
superbe histoire

femme d"officier baisée, un vrai régal

Partagez cette Récit