Évolution de Carrière 13

Informations sur Récit
Une mise en scène magique à l'entrepôt.
6.3k mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 13 de la série de 13 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 03/11/2021
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Spectacle de fin à l'entrepôt.

MANON me tient la main, je suis dans le noir complet. Elle me guide jusqu'à l'entrée de l'entrepôt. LAETITIA prend le relais.

_L_ juju, on va jouer à un petit jeu. Tu vas adorer je suis sûre. Pour le moment, tu vas me suivre sans hésitation, on va se promener un petit peu, tu me fait confiance?

_J_ Oui Madame LAETITIA.

_L_ Très bien, tu es adorable. Enlève tes chaussures. C'est bien, relève toi. A partir de maintenant tu ne dois plus parler sans que l'on t'interroge, as-tu compris?

_J_ Oui Madame LAETITIA.

_L_ Parfait, on va pouvoir commencer. Juju laisse toi faire, on y va. Montre moi à quel point tu es excité et fiert d'être promené en laisse.

_J_ Bien, Madame LAETITIA.

Un collier m'enserre alors le cou, je sens une chaîne prendre devant moi, un casque audio est posé sur mes oreilles, il diffuse une musique déroutante. C'est une musique classique très rythmée, entrecoupée de soupirs, de râles, de petits cris sensuels. Ce sont des femmes qui jouissent. Les quelques paroles prononcées sont crues, sans équivoque. Elles sont au summum de l'orgasme. Cela m'entraîne dans une excitation affolante, mon sexe explose dans sa cage. Un coup sec me tire en avant, je me mets en marche sans hésitation.

Je suis coupé totalement de tout ce qui m'entoure, tous mes repères ont disparu. L'on s'arrête régulièrement, parfois je reste debout droit, je dois lever les bras, écarter les jambes, me baisser, m'accroupir, lever un pied,... tout ça sans un mot, je sens juste les mains de LAETITIA qui me guide, à chaque arrêt on me faire boire, à la paille, un breuvage très sucré et pétillant, une boisson énergisante, je pense.

LAETITIA fait tout pour que je perde mes repères, elle a réussi. Je ne sais plus du tout ou je suis. Je marche sans me poser de questions. Parfois je sens la laisse tirer fermement, j'accélère le pas, je suis même obligé de trottiner, de courir. Soudain, je suis arrêté, plusieurs mains me touchent. On me caresse partout, tout mon corps est alors enduit de crème. Pas un centimètre de ma peau n'est oublié. Mes jambes sont écartées, mon cul est ouvert, plusieurs doigts me pénètre, me fouille. Je sens que l'on prend un soin particulier à me graisser l'anus. Il y a au moins six mains qui me touche. Je me laisse masser avec plaisir, c'est un pur bonheur. Ma queue me fait mal dans sa petite cage tant elle veut grandir. Puis la balade reprend. Le rythme est encore plus soutenu, cela dure une trentaine de minutes, au moins. Le sol de l'entrepôt est fait de carrelage, de béton lissé, et de parquet. Là, je marche sur de la moquette ou un tapis, je n'ai aucune idée de l'endroit où je me trouve, je marche de nouveau sur le béton puis, retrouve la moquette.

j'ai l'impression de tourner en rond. Je monte alors trois marches. LAETITIA soulève un écouteur, elle me chuchote à l'oreille.

_L_Position "une" juju.

Elle me fait écarter un peu plus les jambes, plusieurs mains me touchent en même temps, des bracelets sont attachés à mes chevilles puis fixés au sol. D'autres, sont aussi fixés à mes poignets. Une grande et large ceinture est attachée à ma taille. Le collier est enlevé, un autre plus large le remplace. On ouvre ma cage de chasteté, ma queue se dresse immédiatement, je bande comme un fou, on me branle lentement, toutes ses caresses m'affole.

LAETITIA retire le casque, elle me parle à l'oreille, tout doucement. elle me demande de me plier en deux. Je m'allonge sur une sorte de table, je reconnais l'odeur et la texture du cuir. Des mains me tiennent la tête et les bras. Mon cou se pose sur quelque chose qui semble l'entourer, mes bras sont légèrement écartés, mes mains sont fixées. Mon ventre est plaqué sur la planche. Mon cul est plus haut que ma tête. Je suis immobilisé dans une position qui dévoile toutes mes parties intimes. Je ne peux absolument plus bouger. LAETITIA me Félicite pour cette très belle position et me remercie pour mon obéissance.

Je devine alors gens qui parlent, un léger bruissement me parvient de partout autour de moi. Puis un son raisonne autour de moi, je reconnais ma voix, je hurle ma jouissance, mes paroles sont claires, je remercie mes collègues, je m'entends parler de mes désirs, de mes envies. Je clame ma vénération pour mes collègues. Je parle de mes engagements, de mon désir de devenir l'esclave de toutes les Femmes qui m'entourent, de mon Épouse....

Ce sont des paroles que j'ai dites lors de mes multiples séances, il y a aussi mes confessions intimes devant ma caméra.

Je m'entends même crier de plaisir, je reconnais ma jouissance, mon orgasme. Je suis vraiment très très expressif. Cela dure longtemps. Je n'ai que le son, mais je reconnais clairement les situations, je revois les scènes, je sais que je m'exhibe sans limite.

Le son de ma voix s'arrête, il est remplacé par un tonnerre d'applaudissements. Je suis entouré de de beaucoup de voix féminines.

Je reconnais la voix de PATRICIA, elle demande le silence.

_P_ juju, nous venons toutes d'admirer une partie de tes magnifiques prestations. C'est absolument torride, tu es un très bel homme qui s'offre en spectacle. Ton exhibition sur ton lieu de travail dure depuis plusieurs semaines.

Nous sommes toutes la pour officialiser ton nouveau statut à l'entrepôt.

Ma cagoule est retiré.

Devant mes yeux, contre le mur, des images de moi sont projetées, le son semble venir de partout autour.

Les séquences s'enchaînent. Je me vois en grand, comme au cinéma. Je prends la pose, toutes ses positions sont plus humiliantes et excitantes, les unes que les autres. Tout est dévoilé, tout est montré, sans aucune pudeur. Les gros plans s'enchaînent.

Il y a même des images de la cave de Maitresse S. Je peux voir mon cul largement ouvert et défoncé, mes éjacuations avec et sans la cage, les expressions de mon visage, les frissons de mon corps. Pas un détail de mon anatomie n'est oublié.

Puis l'on passe à la pose de ma première cage de chasteté, la deuxième, le fist de CÉLINE et LAETITIA, ... Tout, il y a tout, absolument tout. Le plus fou c'est que pas une fois on voit clairement un visage féminin. Elles sont toutes floutées ou cachées. Je les reconnais toutes pourtant, mais il est impossible de les reconnaître formellement, si l'on ne les connaît pas.

Un projecteur est dirigé vers moi, la lumière m'aveugle. Il me faut plusieurs secondes avant de réaliser qu'il y a beaucoup de monde assis dernière moi. Je ne peux pas bouger d'un centimètre ou même tourner la tête, je ne peux que regarder devant moi.

Le flash se detourne, je me vois alors en direct à l'écran. Je suis attaché sur une sorte de table, un pilori. Il est fixé au milieu d'une estrade. Je suis surélevé d'un petit mètre. Tout est rouge, la table, mes bracelet, mon collier, la moquette. Cette mise en scène est impressionnante. Mon corps est luisant, je brille, mes muscles sont tendus, je comprends mieux l'échauffement. Mon visage est maintenant en gros plan, puis l'angle de la caméra change, c'est mon cul qui est exposé, mes couilles, ma queue toujours tendue.

L'estrade bouge, elle tourne. Je peux voir alors au ralenti, une vingtaine de Femmes. Toutes mes collègues sont là, assises dans des grands fauteuils, un verre à la main. Elles m'observent, me regardent, certaines avec un grand sourire, d'autres avec un regard sévère. Mon Épouse est là, elle trône au milieu, CÉLINE est sa gauche, PATRICIA à sa droite, puis vient LAETITIA, VANESSA, CHLOÉ, la Directrice Madame FLORENCE , il y a aussi Maîtresse S et ANA, elle porte toujours sa combinaison noire, puis une dizaine d'autres femmes que je ne connais pas. Je reconnais juste trois femmes qui travaille pour la boîte.

Je suis vraiment impressionné. C'est absolument fou. Elles sont toutes habillées de cuir ou de latex, de robes, de jupes, de pantalons, de shorts, de corsets,...

Elles sont juste extraordinaires. Un vrai défilé fétichiste.

Je suis sur que ce sont, pour beaucoup, des tenues confectionnées par Maîtresse S. Elles sont vraiment magnifiques. Elles sont toutes a moins de trois mètres de moi. Je peux même sentir leur différent parfum.

L'estrade continue de tourner, je refais un tour complet pour m'arrêter devant mon Épouse. PATRICIA reprend la parole.

_P_ Mon petit juju, notre petit juju, il y a quelques mois tu t'offrais un magnifique spectacle en solo. Ce soir nous sommes toutes là pour profiter d'un autre spectacle.

Julien, tu as réalisé ton phantasme d'exhibition à l'entrepôt te croyant seul, depuis grâce à nous toutes tu as découvert ta nature profonde. Tu as su évoluer et t'épanouir. Juju, tu es un homme qui aime obéir, tu cherches à nous plaire, à satisfaire nos désirs, tu t'es volontairement soumis à toutes nos demandes, tu as même devancé avec un grand plaisir toutes les épreuves que nous t'avons imposées.

Ce jour, officiellement, tu entres dans une nouvelle vie.

Comme tu as pu le remarquer notre Directrice est présente, ton Épouse, ainsi que plusieurs de nos collègues et collaboratrices. Notre Directrice générale est même descendue exprès de Paris pour l'occasion.

Juju tu as souhaité devenir l'esclave sexuel des Femmes de l'entrepôt. Ta dévotion est plus que louable, nous acceptons ta candidature avec joie. Juju ça ne s'arrête pas simplement à l'entrepôt, tout l'entreprise est impliquée, tu vas voir c'est une remarquable évolution pour ta carrière.

Nous sommes toutes conscientes de ta nature profonde, je dois te dire que l'on adore toutes ça. Tu es un très beau spécimen masculin. Ton corps est un régal pour les yeux. Un rêve pour beaucoup de Femmes. Tu es un homme né pour nous servir, un esclave fait pour être à notre disposition.

Tu es aussi et surtout le mari de STÉPHANIE. C'est ta seule et unique MAITRESSE.

Mais pour l'entreprise tu deviens notre esclave sexuel, notre jouet. Toutes les femmes ont maintenant, tous pouvoir sur toi. Rassure toi, ta vie ne sera jamais mise en danger, ton intégrité physique et morale seront respectées. Ton couple est une très belle chose, personne ne va essayer de vous séparer. Même si beaucoup d'entre nous sont un peu jalouses de STÉPHANIE, moi la première, tu lui appartient. Je le redis, c'est ta seule Maîtresse.

Maintenant, nous allons toutes te marquer, ainsi tu n'oubliera jamais ce moment pour bien comprendre qu'elle est ta nouvelle place, ton nouveau statut.

L'estrade tourne, je suis face à l'écran. PATRICIA s'avance, elle monte sur l'estrade, elle tient une longue baguette dans ses mains.

_P_ Tu vas compter à voix haute chaque coup reçu en nous remerciant, comme tu as si bien appris. As tu compris?

_J_ Oui Madame PATRICIA.

Je vois à l'écran son bras se lever puis s'abattre sur mes fesses. La baguette siffle dans l'air, ce n'est pas un film, c'est du direct. La douleur est violente, fulgurante, soudaine. Je ne peux retenir un petit cri.

_P_ juju n'ai pas honte, tu peux crier autant que tu veux, mais n'oublie pas ma demande.

Je me reprend rapidement, je me suis engagé à être parfait, je ne veux pas décevoir.

_J_ Un, Merci Madame.

Puis la Directrice prend sa place, son geste est moins fluide, moins assuré.

_J_ Deux, merci Madame.

Son coup est moins fort mais tout aussi douloureux. Une femme que je ne connais pas, s'approche à son tour, elle me gratifie d'un terrible coup sur le haut de mes cuisses.

_J_ Trois, merci Madame.

Puis une autre femme, je la reconnaît, elle travaille avec la DRH.

_J_ Quatre, merci Madame.

Les larmes commences à couler. La douleur est immense. Mes fesses, mes couilles, mes cuisses sont visées.

Elles semblent toutes viser des endroits non marqués.

Mon érection à maintenant totalement disparue.

Elles changent de côté. Tiens, une autre collègue qui travaille dans le bureau de MANON.

_J_ Cinq, merci Madame.

Puis une autre salariée que j'ai déjà vu.

_J_ Six, merci Madame.

Mes larmes coulent à flots, je ne peux pas les retenir. La douleur est insupportable. Je n'ai jamais aimé les violences physique, je ne suis pas masochiste. La! c'est très très difficile à supporter. Je fais des efforts surhumain pour retenir mes cris.

_J_ Sept, merci Madame.

Une autre femme s'avance, je ne l'a connais pas.

_J_ Huit, merci Madame.

Puis une autre femme, et une autre, et encore une autre.

Mon Épouse est à côté de moi, elle me parle à l'oreille en même temps.

Elle me félicite, m'encourage, me réconforte, sa main est chaude, douce. elle me caresse le visage, la tête, les épaules, le dos.

Les Femmes prennent leur temps, elles ne sont pas pressées, elles me laissent le temps de récupérer entre chaque coup porté.

Je vois à travers mes larmes, Maîtresse S s'avancer suivie d'ANNA.

Puis c'est au tour de VANESSA, de LAETITIA, de CORINE, et enfin de CÉLINE. je ne sais pas où je trouve la force de ne pas hurler ma douleur. Les paroles de STÉPHANIE m'aident beaucoup.

_J_ Dix-sept, merci Madame.

Mon Épouse reste seule sur l'estrade.

Elle tourne autour de moi, je sens ses mains parcourir tout mon corps, s'attarder sur mes cuisses, mes fesses, mes couilles, elle semble parcourir des doigts chaque sillon qui zèbre mon corps.

Mon sexe qui s'était recroquevillé renaît, il grandit sous ces caresses. L'image de mon sexe qui durci et s'allonge passe en gros plan sur le mur.

On voit ses doigts entourer et gratifier ma queue de plusieurs vas et viens très sensuels, puis elle stoppe brusquement ces délicieuses caresses.

Je suis au bord de l'orgasme, je sens la jouissance venir, un simple frolement suffirait à me faire exploser.

L'angle de la caméra à changé, je vois mon épouse en entier.

Elle porte une guêpière en cuir noir et rouge, sa poitrine généreuse est mise en valeur d'une façon délicieuse, ses fesses sont au trois quarts recouvertes, des bas noirs brillants semblent l'habiller comme une deuxième peau. Une paire d'escarpins noir et rouge avec des talons vertigineux complète le tableau.

Elle est tout simplement divine, c'est une Déesse.

Elle tient la baguette entre ses mains, elle éprouve sa souplesse.

Nos regards se croisent, je vois dans ses yeux une pure extase, de la fierté, de la puissance, de l'amour.

Le temps s'est arrêté, comme dans un film au ralenti, son bras se lève, la baguette s'abat sur mes fesses dans un silence religieux. Le coup est violent, précis. Il raisonne dans toute la pièce. C'est le plus douloureux, pourtant, pas un son ne sort de ma bouche excepté.

_J_ Dix-huit, merci Maîtresse STÉPHANIE .

Elle est encore plus radieuse, je veux qu'elle soit fière de moi. Je souffre pour Elle, je supporte mon supplice en silence pour lui montrer mon Amour. Elle change de côté, son bras se lève encore . Slack, un coup extrêmement fort.

_J_ Dix-neuf, merci Maîtresse STÉPHANIE.

Je pleure, les larmes coulent sur mon visage, mais je reste silencieux. Elle me frappe si fort, j'ai si mal. Mon sexe est étrangement encore en érection, je suis si excité.

Nous sommes seul au monde, plus rien n'existe que notre ballet à tous les deux.

Elle passe tendrement sa main sur mes fesses.

_S_ Mon juju d'amour, encore un petit effort. Je suis très fière de toi. Allez, le dernier, pour faire un compte rond, pour que tu n'oublies jamais que je suis ta Maîtresse. Et surtout parce-que je le veux, je le désire, j'adore ça.

Tu comprends mon juju d'amour?

_J_ Oui Maîtresse STÉPHANIE.

Elle prend son temps, je la vois sur l'écran, un grand sourire illumine son visage.

Elle passe lentement la baguette sur mon cul, descend jusqu'à mes mollets, remonte sur mes fesses. Elle elle semble viser un endroit précis. Elle lève son bras, me frappe un grand coup, peut-être le plus fort de tous.

Je hurle en silence, les larmes ne s'arrêtent pas. Mon cul doit être en sang.

_J_ Vingt, merci Maîtresse STÉPHANIE.

Elle vient devant mon visage, elle m'embrasse, essuie mes larmes.

_S_ Mon juju, je suis fière de toi, tu as passé ta première épreuve avec beaucoup de courage.

Je t'aime.

La caméra fait un gros plan sur mon cul, il strié, on discerne clairement chaque impact, du haut de mes fesses au milieu de mes cuisses.

Un moment plus tard, LAETITIA monte sur l'estrade, elle me caresse le cul, les cuisses, les jambes, elle passe de la pommade partout, je ressens un soulagement presque immédiat. Puis, elle écarte mes fesses, un liquide coule dans mon trou, ses doigts me pénètre, elle me fouille le cul. Je ne peux retenir des soupirs de plaisir.

STÉPHANIE est toujours devant moi.

_S_ Détend toi, juju, tu vas adorer ce moment.

Laisse toi faire, lâche toi, libère toi.

Profite, savoure ce moment, tu es parfait.

On a toutes très envie de jouer avec toi. Tu ne risques rien, juste prendre beaucoup de plaisir.

Les doigts ont laissez place à un objet qui rentre dans mon cul puis ressort. Ses deux mains me tiennent par la taille.

STÉPHANIE m'embrasse longuement sur la bouche.

_S_ À tout à l'heure mon juju, je t'aime.

Sur l'écran, je vois à présent PATRICIA derrière moi.

Elle tient entre ses mains un gode ceinture immense. Il est rouge lui aussi, Il pend entre ses jambes, il dépasse ses genoux. Je le sent forcer mon oeillet. Le diamètre est énorme. Il me pénètre. Lentement, centimètres par centimètres il s'enfonce inexorablement. je ne peux pas bouger.

Mon cul et mes cuisses me brûlent, la douleur atteint des summums.

Je me sent défaillir, le gode continue sa lente progression. Je m'ouvre encore et encore, je transpire à grosses goûtes.

Ma respiration et mon coeur se sont emballées. Je pousse des râles. Je gémis. Ses mains m'agrippent encore plus fermement les hanches.

Rien ne peut arrêter ce gode immense, dressé entre ses jambes. Dans une dernière poussée, je sens son corps se coller à moi.

Elle ne bouge plus, les brûlures de mes cuisses de mes fesses semblent avoir disparu. Au bout d'un moment, je la sens se reculer très lentement.

Elle sort le gode entièrement, pour l'enfoncer d'un coup sec et rapide. Puis, les mouvements s'accélèrent.

Elle me baise sans retenue, elle m'encule à fond, elle se déchaîne. Les mouvements sont amples et rapide.

La douleur, la brûlure de mon cul s'estompe, peu à peu le plaisir m'envahit. Je gémis, je couine, ce ne sont plus des cris de douleur mais des gémissements de plaisir qui sortent de ma bouche.

J'aime vraiment me faire enculer. Le plaisir m'emporte. La sensation physique est décuplée par la présence de toutes ses femmes. Je me lâche totalement, je me fais prendre le cul, je m'offre avec un réel plaisir, tout mon corps exprime ma jouissance.

Sur l'écran je peux voir le gode accroché à la taille de PATRICIA, il est vraiment gigantesque, il semble plus grand que son avant-bras. Je me sent écartelé, remplit jusqu'au plus profond de mon corps.

PATRICIA s'est reculée, le gode est toujours enfoncé dans mon cul, elle la décroché de sa ceinture . Elle le maintient au fond d'une main.

Le silence est maintenant total. Je suis en gros plan de profil sur l'écran. La Directrice est face à moi, deux autres femmes que je ne connais pas sont avec elle.

_P_ juju, mon collègue a préféré, je te présente notre Directrice Générale Madame D. et Maître LOC qui est huissier de justice.

Je veux qu'elles entendent de ta bouche, les choix que tu as fais. Es-tu vraiment volontaire pour devenir notre esclave sexuel?

_J_ Madame la Directrice S, Madame la Directrice Générale D, Maître LOC.

Je souhaite de tout mon coeur, de toute mon âme, devenir votre esclave sexuel.

Personne ne m'a obligé, personne ne m'a imposé ce choix de vie.

C'est un rêve qui devient réalité. Jamais je ne remettrai en question votre autorité, je ne causerait jamais de tords à l'entreprise.

J'ai la chance, l'honneur, le privilège, de travailler avec les plus fabuleuses collègues du monde. Elles ont su me guider, me conseiller, m'accompagner dans mon évolution. Ma seule préoccupation est de vous satisfaire, vous toutes Mesdames.

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