Évolution de Carrière 08

Informations sur Récit
Découverte de sensations troublantes.
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Récit n'a pas de balises

Partie 8 de la série de 13 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 03/11/2021
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L'atelier des délices

Je suis dans ma voiture, sur le chemin de retour, cette journée est folle, mon cul est toujours rempli du plug, la pommade est géniale. Mes fesses et mes cuisses me chauffe encore. J'ai quand même pris une sacrée fessée.

Je m'enfonce de plus en plus dans la soumission. J'ai toujours rêvé, secrètement, d'être dirigé et contrôlé par des Femmes. Mon physique est une bénédiction et en même temps une malédiction. Les femmes n'ont toujours vu en moi que le beau gosse viril, le mâle Alpha dominant. Depuis mes premières expériences j'ai toujours joué ce rôle. Je ne sais pas pourquoi mais j'inspire une sorte de confiance, mes partenaires se lâchent totalement avec moi. Elles expriment sans honte sans limites leurs côtés les plus salopes, je ne compte plus nombre de femmes qui se sont offertes comme des chiennes en chaleur. J'avoue que je prends énormément de plaisir à les faire jouir. C'est, et ça a toujours été ma première préoccupation, satisfaite mes partenaires, peu importe la manière.

Avec STÉPHANIE, l'alchimie à fonctionné tout de suite. Elle aime que je sois l'homme fort, puissant, le mâle protecteur, mais elle a adoré découvrir mon côté plus fragile. Elle m'a aidé à faire émerger le côté " féminin " de ma personnalité. Avant de la rencontrer, je ne parlais jamais de mes émotions, c'est elle qui m'a appris à parler de mes ressentis. Avec son aide, j'ai pu panser mes blessures de l'enfance, elle ne m'a jamais jugé, elle m'a accepté tel que suis sans vouloir me changer. Je lui fais entièrement confiance, c'est mon âme sœur. Elle connaît tout de moi. Elle m'aime pour ce que je suis. Notre relation est basée sur la confiance mutuelle, le respect et l'amour. C'est elle par exemple, qui m'a permis de prendre du plaisir anal sans honte.

Je ne suis pas dupe, je sais que mes collègues prennent du plaisir à jouer avec moi. Elles veulent me transformer, m'utiliser, m'humilier, faire de moi une sorte d'esclave à l'entrepôt, dévoué, obéissant à tous leurs désirs. Je donne peut être l'impression d'être naïf, mais mon Épouse connaît toutes mes pensées. Je lui ai dit, je l'ai même écrit dans mon cahier, j'ai expliqué clairement tout ce que je ressens, tout ce que je comprends de la situation à l'entrepôt. Elle est au courant du rôle que je joue au travail. J'ai écrit clairement mon phantasme, mon désir de m'abandonner totalement à leur contrôle. Je sais qu'elles ont été surprises par mes performances. Elles ont beaucoup phantasmé sur moi. Depuis le premier jour, j'ai vu leurs désirs sexuels, leurs yeux brillants de concupiscence.

Je l'ai compris depuis la première fois où j'ai vu les dessous de mes collègues dans les vestiaires, qu'elles voulaient me piéger. La suite est une très excitante surprise. Je prends beaucoup de plaisir à être humilié. Parfois, j'ai l'impression de les manipuler pour arriver à mes fins, mais la fessée de tout l'heure dépasse totalement et de loin mes désirs.

Je n'ai jamais été attiré par la douleur physique, je ne suis pas masochiste, mais le contrôle qu'elles exercent sur moi est absolument génial. J'aime vraiment ressentir leur pouvoir. Je prends un grand plaisir à voir émerger leurs côtés dominantes, je les découvre moi aussi, dans ce rôle de dominatrices.

La cage de chasteté est une vraie découverte pour moi. Je sais que STÉPHANIE est jalouse, elle n'a jamais apprécié que je sois entouré d'autant de si belles femmes au travail. Malgré tout elle veut mon bonheur, l'épanouissement de notre couple passe par ma fidélité. Je n'ai pas du tout envie de coucher avec d'autres. Avec mon sexe enfermé dans ce dispositif, elle a la certitude que ma queue n'est pas disponible.

Je sais qu'elle a eu, comme moi, un grand nombre d'aventures avant notre rencontre. Elle aime le sexe sous toutes ses formes. C'est peut-être bizarre mais même si elle est mon Épouse, elle ne m'appartient pas, elle est libre de faire ce qu'elle veut avec qui elle veut. Alors que moi je veux lui appartenir, lui montrer qu'elle est la seule et l'unique femme de ma vie. Je ne lui ai pas encore écrit tout ça aussi clairement, ça ne saurait tarder.

J'arrive chez moi, mon Épouse est dans le jardin avec CHLOÉ, je les entends rire depuis l'entrée. Je n'ose pas me dénuder, pourtant j'en ai très envie.

Toutes les deux, se connaissent depuis l'école primaire, elles partagent tout depuis toujours. C'est son amie d'enfance. J'embrasse CHLOÉ pour la saluer comme d'habitude, elle est contente c'est le week-end.

Je m'approche de mon Épouse, elle a les yeux brillants de désir. Elle se jette sur ma bouche, m'embrasse, me chuchote à l'oreille, qu'elle a pensé à moi toute l'après-midi, elle me veux entièrement.

Je passe un moment avec mon Épouse et son amie, partage un verre, elles ont commencé l'apéritif depuis quelques temps, la bouteille de blanc est presque vide.

STÉPHANIE m'explique que CHLOÉ ne reste pas, elle a un "plan cul" ce soir. Elles sont toutes les deux bien excitées.

Je les laisse papoter. Je vais me doucher, me faire beau.

L'eau chaude me détend. Je suis excité moi aussi. Je m'examine dans le miroir, je ne sais pas si c'est normal mais je bande depuis qu'elles ont enlevé ma cage. Après plusieurs jours enfermés, ma queue est enfin libre, je me branle machinalement, je re-découvre le plaisir de la masturbation solitaire sous la douche. Mais bizarrement mon envie d'éjaculer pourtant très forte est remplacée par le désir de ne pas décevoir mon Épouse, je veux lui faire plaisir. Je ne sais pas si elle sait que j'ai déjà éjaculé tout à l'heure devant mes collègues.

Le plug est toujours en place. Je suis surpris de le supporter aussi bien. C'est la première fois que je le garde aussi longtemps. Le sortir est plus facile que je j'imaginais. Il est propre, je me fais un lavement, par sécurité, l'eau sort propre.

J'observe mon corps, il y a peu de marques, ma peau est un peu plus rouge au niveau des fesses, mais pas de traces bleues ou violettes comme j'ai pu craindre tant mon cul me brûlait tout à l'heure.

Une bonne dose de lubrifiant, mes doigts rentrent tout seul. J'enfonce quatre doigts, je suis vraiment très ouvert. Un frisson de plaisir me parcours tout le corps. Je suis de plus en plus sensible, du cul. Je remets le plug. J'imagine qu'elle souhaite le sortir elle même.

Une demi-heure plus tard, propre, rasé de partout, habillé, d'un short et d'un tee-shirt, je retrouve les filles.

CHLOÉ est sur le départ, elle doit repasser chez elle pour se préparer pour son "rencard". Mon Épouse la raccompagne à sa voiture, sur le pas de la porte, CHLOÉ se retourne et lance en me regardant, avec un petit sourire coquin.

_C_ A très bientôt "mon petit juju".

Oups, elle est au courant? Qu'est-ce que mon Épouse lui a dit? En même temps elles se disent tout. Je prends tout d'un coup conscience, que mes phantasmes, mon intimité, mes désirs secrets, ne sont plus du tout secrets.

Quelles vont être les conséquences?

Je veux bien assumer mes penchants de soumis à l'entrepôt et avec mon Épouse, mais si tout le monde est courant? Je vais passer pour quoi? Mon Épouse reviens plusieurs minutes après, elles avaient encore beaucoup de choses à se raconter sûrement.

Elle se jette dans mes bras, elle est très caline, très chaude, très excitée. Ses mains me touchent partout, elle vérifie encore une fois que ma queue n'a plus de contrainte, elle est ravie de la sentir durcir sous ses doigts. Elle descend plus bas, passe entre mes fesses, se réjouit que mon petit trou soit toujours décoré.

_S_ Ce week-end tu es tout à moi. J'ai envie de faire beaucoup de choses très très cochonnes, CHLOÉ m'a donnée plein d'idées.

_J_ Comment ça?

_S_ Tu sais bien, CHLOÉ à beaucoup d'expérience, c'est une femme très libérée, elle collectionne les hommes les filles et,...enfin tu sais bien, elle est très sexuelle.

_J_ Mais, tu lui as tout raconté?

_S_ Bien sûr mon Amour, on se dit tout tu le sais bien.

_J_ Mais, comment je vais faire maintenant devant elle?

_S_ Comme d'habitude mon juju, ne t'inquiète pas elle te trouve génial, d'ailleurs je lui est passé ton film. Elle doit revenir dimanche nous le ramener.

_J_ Mais mon amour c'est quand même très très personnel et intime.

_S_ Tu es si fabuleux, si beau, en plus toutes tes collègues l'on vu. Ne t'inquiète pas. Tu devrais être content, une femme de plus va découvrir qui tu es vraiment. Et puis elle t'a déjà vu nu, alors ne fait pas ton pudique. Je sais que tu adore ça, regarde ta queue. Tu bande très dur, mon juju.

_J_ Oui c'est vrai je bande, mais tes mains y sont pour beaucoup. Tu sais que tu me rend toujours dur.

_S_ Oh! Oui mon chéri.

_J_ Quand même, que va t'elle va penser de moi?

_S_ Juste ce que tu es, un superbe mâle, un peu soumis qui adore lécher des petites culottes sales de tes collègues et branler ta superbe bite en reniflant leur parfum intime. Et puis arrête de te plaindre, c'est toi qui l'a voulu, alors assume tes actes. Je ne veux plus en entendre parler. OK.

A part ça, ta journée? Pas trop douloureuses tes fesses?

_J_ Sur le moment si. Mais la pommade est très efficace, plus de douleur, presque plus de trace.

_S_ Tu sais mon juju, j'ai eu peur, quand PATRICIA m'a parlé de ce qui était prévu pour la journée, j'ai fallit refuser qu'elles te fassent subir tout ça. Mais heureusement que je suis venue. C'était trop toride, très très excitant. Je ne pensais jamais prendre autant de plaisir de te voir recevoir la fessée. D'ailleurs tu as joui d'une drôle façon, en parlant de ça, comment va ton trou du cul? Tu as gardé le plug depuis midi?

_J_ Oui, c'est la première fois que je garde le plug aussi longtemps. Je me sent tout ouvert. Et je n'ai pas du mal, j'ai juste remis du lubrifiant cet après-midi, depuis je le sens presque pas. Et pour tout te dire, je n'ai rien compris à ce qui m'est arrivé. C'était la première fois.

_S_ Tu as été spectaculaire, un truc de fou.

_J_ Je suis d'accord, c'est fou ce qui m'est arrivé. Je me suis senti sur un nuage toute l'après-midi.

_S_ Tant mieux car j'ai prévu une super surprise. PATRICIA m'a parlé d'un magasin en ville. Nous sommes attendus en fin de soirée.

_J_ On va manger en ville?

_S_ Oui.

Avant de partir, elle a voulu jouir. Un petit coup vite fait bien fait avant la douche. Elle est déjà toute mouillée. En quelques coups de langue, elle jouie une première fois, mais c'est à quatre pattes qu'elle réclame ma bite.

_S_ Baise moi fort, j'ai trop envie de ta belle bite. Ohh mon juju, j'adore quand tu me prends en levrette.

L'avantage, c'est que j'ai joui il n'y a pas longtemps, je peux garder mon érection très longtemps. STÉPHANIE s'offre totalement, la tête dans le canapé, la croupe relevée, la chatte ouverte, luisante, je l'attrape fermement par les hanches, je frotte ma queue dure, tendue, entre ses fesses. Mes couilles s'écrasent sur sa chatte, je me branle dans sa raie. Elle gémit, elle se frotte sur mon sexe avec envie gourmandes.

_S_ Baise moi, je veux ta bite, baise moi fort!!!!

Elle n'a pas idée à quel point j'ai envie de la baiser. Ces derniers jours de frustration, réveillent un désir bestial. Je guide ma queue à l'entrée de sa chatte, je passe ma main sous son ventre. Je la soulève fermement, et d'une poussée brutale, je la pénétre violemment. Elle hurle, elle gémit, elle feule. Elle crie sa jouissance en quelques secondes. Je suis déchaîné, je la pistonne comme un fou, je lui défonce la chatte, elle ruisselle, son éjaculation éclabousse partout. Je la serre fort par les hanches, je la baise comme un fou, elle adore. Après plusieurs minutes elle m'implore d'arrêter, je continue de la besogner sans ralentir le rythme effréné qui la fait gémir. Mon orgasme est proche, je veux éjaculer au fond de sa chatte.

_S_ S'il te plaît Julien, je n'en peux plus, arrête s'il te plaît, mon chéri.

Sa voix à changé, elle me supplie, elle semble avoir mal. Une dernière poussée, je claque mes couilles sur son clito, reste quelques secondes avant de me retirer lentement. Ma queue est toujours dressée, je la lâche, elle s'effondre sur le canapé. Elle tourne son visage vers moi, elle n'est que plénitude, béatitude.

_S_ Merci, merci Julien, je t'aime.

La voir aussi heureuse me comble de bonheur. J'en oublie même mon envie d'éjaculer au fond de sa chatte, elle est si belle. Je suis si content de la voir pleinement satisfaite.

_J_ Moi aussi, je t'aime mon Amour.

_S_ Laisse moi quelques minutes pour récupérer, mon chéri.

Une douche plus tard, nous partons en ville. J'ai choisis mes habits, j'ai mis un caleçon cette fois. STÉPHANIE porte une robe noire moulante, très class, elle a de nouvelles chaussures à talons, elle est presque aussi grande que moi. Elle rayonne, jouir l'a rend encore plus belle.

Restaurant japonais, déambulation dans la ville. Je me laisse guider. Elle semble savoir où l'on va.

Elle s'arrête alors devant une petite devanture à peine éclairée. Un mannequin habillé d'un corsé noir, au milieu, un ensemble rouge de dessous féminin épinglé sur un côté, une paire d'escarpins aux talons vertigineux de l'autre. Une porte sans poignée à l'extérieur.

STÉPHANIE semble hésiter. Je lui fait remarquer que c'est un peu glauque.

_S_ C'est le bon numéro, la bonne rue, si si c'est là. Sonne.

Quelques secondes après, une voix féminine demande demande la raison du dérangement.

Mon Épouse répond.

_S_ C'est STÉPHANIE et Julien on vient de la part de PATRICIA.

__Entrez. C'est au fond du couloir, dernière porte à droite.

La porte s'ouvre, une vielle ampoule éclaire faiblement un long couloir sombre. La porte du fond est entrouverte.

Une voix féminine nous prie d'entrer.

La surprise est totale, nous entrons dans une grande pièce illuminée.

Des dizaines de robes, jupes, corsés, cuissardes, bottes, chaussures, chapeaux habillent des mannequins, ou sont exposés sur des cintres ce sont toutes des tenues uniques, très féminines, très sexy. C'est vraiment beau.

Ça brille, les couleurs noires, rouges, violettes, roses, blanches, bleues, formes un ensemble surprenant. Il y en a pour tous les styles. Les matières sont des mélange de cuir, de velour, d'une sorte de plastique mat et parfois brillant, de dentelle,...

STÉPHANIE est aussi surprise et fasciné que moi. On prend soudain conscience, que la personne qui nous a ouvert est derrière nous. L'on se retourne tous les deux en même temps. Une femme nous observe, elle semble amusée.

_J_ Bonjour Madame,

J'ai parlé le premier.

_Mt_ Bonjour STÉPHANIE, bonjour Julien, bienvenue chez moi, bienvenue à "l'atelier des délices".

Je suis Maîtresse M

Elle s'approche de mon Épouse, elles se font la bise, elle se tourne vers moi, me détaille de la tête aux pieds.

Je m'approche prend délicatement la main qui m'est tendue, dépose un baisser.

_J_ Bonjour Maîtresse M.

Je suis subjugué par son charisme.

Elle n'est pas très grande, elle doit avoir entre 50 et 60 ans, ses cheveux sont longs et argentés. Elle porte un chemisier blanc brillant sous un ensemble crème. Une veste cintrée, un pantalon à pince. Des chaussures blanches à talons.

_Mt_ Alors voilà le joli petit couple amoureux dont m'a parlé PATRICIA. Elle m'avait avertit de votre beauté. Elle n'a pas mentit, je suis ravie de vous recevoir chez moi. Venez, suivez-moi.

On traverse une autre salle, des grandes tables couvertes de tissus, des mannequins, des photos, des patrons, des ciseaux,... c'est un atelier de couture.

On arrive dans un petit salon, la décoration est très rococo. Des dorures et des moulures partout, une musique classique passe en sourdine.

Sur une petite table basse une cafetière italienne fume, le parfum du café embaume la pièce.

_Mt_ Le café viens de couler, voulez-vous le partager avec moi?

Juju, il paraît que tu as de réels talents. Sert nous, je te prie.

Mon Épouse s'installe dans un grand fauteuil, Maîtresse M se pose en face, je me met à genoux pour être à la bonne hauteur, il y a deux tasses, je sert le café. Je présente la première tasse à Maîtresse M, puis à mon Épouse installées dans leurs grands fauteuils.

Je reste à genoux prêt de mon Épouse.

_Mt_ PATRICIA ne m'avait pas menti, tu as un grand potentiel. Mais elle avait oublié de me parler de vous ma chère, vous êtes absolument charmante.

Alors que puis-je faire pour vous?

Mon Épouse a l'air aussi impressionnée que moi. Elle hésite à parler. Il y a un petit malaise.

Devant son hésitation notre hôtesse saisie une petite clochette sur la table et la fait tinter. Quelques secondes plus tard, sortie de nulle part, une jeune femme magnifique, habillée d'une combinaison intégrale noire, dans une matière moulante et brillante, s'approche de la table. Elle est fascinante, sa grande et longue chevelure blonde semble flotter au vent, cela donne un contraste surprenant, elle porte un large collier clouté, une laisse y est accrochée, elle descend jusqu'à son nombril. La combinaison semble être une seconde peau, je ne vois pas de couture ou de système de fermeture. Elle marche avec beaucoup de grâce, sur des chaussures à talons d'une hauteur vertigineuse. Je suis subjugué, mon Épouse est aussi fascinée que moi.

_Mt_ Je vous présente Anna, ma soumise.

_J_ Bonjour Madame Anna.

_S_ Euh oui, bonjour Anna.

_A_ Bonjour Madame STÉPHANIE, bonjour Julien.

_Mt_ Accompagne ce cher Julien au boudoir, prépare le, installe le, met le à l'aise, c'est sa toute première fois.

Nous serons plus à l'aise pour parler toutes les deux, entre filles.

Ne vous inquiétez pas pour votre Juju, il ne risque rien, je vous rassure nous le retrouverons plus tard.

Vas-y juju, suit Anna, elle ne va te manger, soit bien obéissant, nous n'allons pas tarder.

Je me lève, embrasse mon Épouse.

La femme m'invite à la suivre. Un dernier regard vers mon Épouse "pour voir la même inquiétude sur son visage.

Nous traversons plusieurs pièces très différentes, on descend des escaliers en colimaçon, on suit un long couloir en pierre, fermé par une porte en fer qu'elle ouvre avec une grande clef pendue à sa laisse. La pièce est immense, toute en pierre. C'est une sorte grand tunnel. Le plafond est voûté, lui aussi en pierre. C'est une immense cave, un ancien chai je suppose. Elle appuie sur plusieurs interrupteurs, des spots de plusieurs couleurs éclairent la pièce.

Je marche toujours derrière la femme en noir, dire que je suis impressionné est un euphémisme.

Des objets disparates, des meubles tous plus impressionnant les uns que les autres, en bois, en fer. Je suis incapable de dire ce que c'est et à quoi ils peuvent servir.

Je reconnais un pilori, une grande roue, une croix en X, des sortes de chevalets, un fauteuil médical, une grande table en bois, des cordes, des chaînes, des poulies sont accrochées sur les murs et au plafond.

L'angoisse qui me submerge depuis que j'ai quitté STÉPHANIE, monte d'un cran. Au milieu de la salle, un grand poteau trône sur une estrade. Sur un côté, des chaises, des fauteuils forment un salon autour d'une table basse. Des larges banquettes le long d'un mur, un grand lit dans coin, une grande douche à l'italienne d'un autre côté, des toilettes....

Je suis où? Je n'ai jamais imaginé qu'un endroit pareil puisse exister.

Un donjon de torture du moyen-âge? Mais avec tout le confort moderne.

Je tremble, je frissonne. J'ai vraiment très très peur d'un seul coup. Je ne peux plus bouger. La femme me parle, je ne comprends pas ce qu'elle dit. Je suis paralysé. Elle me touche le bras, le visage, ses gestes sont très doux.

Je comprends qu'elle me parle mais je n'entend pas ce qu'elle dit.

Elle s'approche alors de moi, me serre dans ses bras, elle reste longtemps ainsi. Mon coeur commence à ralentir, je me sens un peu mieux, sa voix est douce, ses paroles sont très aimables. Elle me rassure enfin. Je n'explique pas ce qui vient de m'arriver. J'ai été tétanisé, une très grande montée d'angoisse. Après de longues minutes dans ses bras, je comprends enfin sa demande, je dois me dévêtir. J'obei comme un robot, je ne réfléchis pas. Je suis rapidement nu.