EVG Chez Gégé et dépucelage - 03

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Nuit de folie et pute, les déclencheur de mes envies.
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L'enterrement de ma vie de garçon "Chez Gégé" et mon dépucelage

- Chapitre 3 -

Nuit de folie et pute, les déclencheur de mes envies

Ils reviennent.

Toutes ces sodomies m'ont perturbé le ventre, j'ai envie d'aller aux toilettes.

Les coups de bites et le plaisir ressenti contre ma prostate sans doute, j'ai besoin de faire pipi. Mais aussi, caca...

Je demande la permission d'aller me soulager.

Ils me détachent et, en porte-jarretelles, bas et talons, je me dirige vers les WC.

J'ai l'impression de sentir la baise à un kilomètre, d'être souillée comme une putain.

Je m'assieds sur la cuvette comme une gonzesse et ma vessie lâche un demi-litre, mon ventre se vide, mélange de graisse de coco, de merde et de sperme.

C'est étrange de se vider, après avoir été autant remplie.

Mais je sens que mes fesses en redemandent...

Devant le miroir des toilettes j'essuie un peu de foutre sur mes joues, je réajuste ma perruque, mon rouge à lèvres et mes bas - pourquoi je me refais "belle"?

En fait inconsciemment je veux leur plaire, les faire bander, qu'ils aient envie de moi...

Je me tourne à trois-quart, me cambre un peu et admire mon popotin dans la glace...

Je crois que toutes les filles font ça dans les WC ;-)

Je me trouve bandante au possible.

Et c'est là que je me dis que je ne leur en veux même pas, car une nénette dans cette tenue, avec ce petit cul de salope, comment dire, déjà qu'avec la robe c'était sexy, glamour chic habillé oui mais terriblement sexy, alors sans la robe, juste en sous-vêtements et talons aiguilles, j'ai juste l'air d'une pute de luxe.

Je dois me rendre à l'évidence, je suis un appel à la baise.

Moi-même j'en aurais eu envie!

..... J'ai la rondelle en feu.

Je reviens dans la sa salle.

Ils me repositionnent contre le billard, debout.

Mon dieu, je crois que je suis devenue une salope qui aime la bite, car sans un mot de leur part j'écarte les jambes et instinctivement je présente ma croupe...

Il a suffi de quelques heures, de quelques bites dans le fondement (à vrai dire à la première, celle d'Alain me dépucelant et me bourrant les entrailles, la révélation m'apparut comme une évidence) pour transformer un hétéro timide en chaudasse gourmande de queues.

- "Regardez comme elle tend son popotin...!"

Oui, je voulais qu'ils utilisent mon cul. Je le désirais plus que je n'avais jamais rien désiré!

Mais je ne pouvais pas le dire. Je ne pouvais pas admettre à voix haute que je le voulais, parce que ça aurait été gay.

Cambrée sur mes talons, le croupion tendu et bouillant, on recommence à me caresser délicatement le bas des reins, le sillon fessier, les couilles, la bite, les tétons.

Broute-minou repasse à l'action (décidément ce Pascal, il doit aimer ça) et me lèche alternativement la queue et l'anus.

Cette langue qui chatouille mon périnée et le lèche, mouille mon petit trou et s'y introduit... Dieu que c'est bon...

Je sens malgré moi le désir monter à nouveau.

On me met au sol à quatre pattes, mes cuisses s'écartent machinalement, je me cambre et mon cul béant - ou devrais-je dire ma chatte de garçon - est prêt à accueillir de nouveau.

Je n'ai aucun mal à imaginer ce qu'ils voient avec cette position en levrette : une chienne offerte.

Ma lingerie de pute, ma cambrure de femelle qui invite au coït, mon anus luisant de salive qui réclame accouplement, sont autant d'incitations à la saillie... ;-)

Ça les émoustille.

- "Vous voyez ça? Elle en veut vraiment."

- "Oui..... Baisez-moi....." Mince. A peine audible, la supplique m'a échappé.

- "Qu'est-ce qu'elle dit??"

- "Elle dit qu'elle veut qu'on la baise...!

- "Ha ha ha ha ha!"

- "J'ai cru mal entendre!"

- "Mais oui petite, on va encore te baiser, crois-moi! Tu sais c'était même pas nécessaire de mendier ;-) Regarde dans quel état tu nous mets."

- "Et puis c'est si gentiment demandé 😉"

Ils sont tous en cercle autour de moi et se pignolent, Norbert vient tapoter sa queue sur mes fesses, la fait coulisser entre ma raie et mes reins, oh mon dieu j'ai envie qu'il me l'enfile!

Ça y est il appuie contre ma rosette et se glisse en moi.

Il me saute un moment, me fait gémir de plaisir, ressort et éjacule sur le bas de mon dos.

Ma chatte anale, élargie, "pulse" et appelle à la copulation, un autre gars s'y engouffre aussitôt et m'ouvre encore plus, me faisant bander.

Il suffit qu'ils ajustent leurs pines contre mon anus pour qu'il s'ouvre à elles.

Ils me sodomisent encore et encore.

Philippe plonge son mandrin dans ma bouche, me crache son foutre à la gueule, et moi je me lèche les lèvres...

Le patron est allé chercher ses deux dobermans.

Il place le premier contre mes fesses, le chien me renifle le trou de balle, mais ne semble pas comprendre l'idée...

Il ne me grimpe pas, mais me lèche de partout!

Sa langue râpeuse me lèche tout le cul. Au moins, maintenant je suis propre...

Gérard ne perd pas le nord et ordonne à son chien de se coucher devant moi, le retourne et me dit :

- "Suce salope, t'es juste bonne à soulager mes chiens."

Après la bouteille dans le fion, le patron, décidément jamais en manque de perversité, va me faire baiser par ses chiens?

Devant mes faibles protestations, je reçois une nouvelle paire de claques.

Ecœurée, c'est en larmes que je m'exécute.

Le sexe moyen du chien commence à gonfler dans ma bouche, pour devenir d'une taille plus que respectable.

Pendant ce temps Gérard me regraisse un coup l'anus et se met à me besogner en levrette.

Il m'encule sans ménagement et moi je suce le pénis de son doberman...

Les autres bonhommes sont en train de se pignoler en mâtant cette scène de folie. Gérard me redonne quelques claques sur les fesses au passage.

- "Tiens! Tiens! Han! Tu aimes, hein que t'aimes ça, petite pute, t'aimes la bite hein petite chienne... T'aimes bouffer le sperme, t'aimes te prendre nos queues dans le cul et sucer mon chien!"

Avec ces mots pleins de poésie et la pine de Gérard dans mon derrière, mes larmes sèchent.

La queue du chien grossit encore dans ma bouche et "vibre", je sens sa jouissance monter et c'est avec délectation que j'avale la purée de "Médor" qui gémit de bonheur.

Ça semble avoir grave excité son maître, qui lâche sa purée au fond de mon ventre en deux-trois longues giclées.

Toujours dans son délire zoophile, Gérard fait venir le second doberman - il me renifle un coup les fesses, je suis cambrée, ouverte, lubrifiée, et mon trou sent le sexe et le sperme.

Lui ne se fait pas prier et comprend tout de suite : il me grimpe par l'arrière, je sens sa queue tâtonner une ou deux fois pour chercher mon trou, trouve mon orifice graissé, et il s'enfonce d'un coup dans mes reins.

- "QUELLE GROSSE PUTE! Elle se fait engrosser par mon clébard! HEIN QUE T'ES UNE BONNE PUTAIN, DIS-LE QUE T'ES UNE CHIENNE, DIS-LE QUE T'ES UNE PUTE!"

Dans un état second, je réponds :

- "OH OUI J'SUIS UNE PUTE... J'SUIS VOTRE PUTE..."

Ses pattes sur mon dos, "Médor II" s'agite dans mes entrailles.

Au bout de quelques minutes de ramonage canin, je sens sa queue devenir comme une grosse boule à l'intérieur de mon cul, il laisse échapper des petits jappements et me lèche le dos pendant qu'il me besogne l'intérieur.

Je me fais baiser par un chien, j'ai une queue animale dans le rectum, et ça me plait...

- "Mon Dieu, aahhhhhhhhhhh!"

Mes glapissements de plaisir sont à peine audibles tellement je suis excitée.

- "Vas-y couine petite pute, t'arrête pas de couiner, plus fort!"

Mon sexe rebande.

Qu'est-ce qui m'arrive nom de dieu, suis-je en train de virer pédé?

Je ne crois pas, je me sens toujours hétéro, mais là, la situation, le contexte, ma tenue de femelle sexy, l'excitation de ces mâles pour moi, sentir leur désir pour mon corps, mes formes, mon cul et ma bouche, sentir leurs queues durcies pour moi, rien que pour moi... Avoir exacerbé leur libido, ressentir leur envie brûlante, les voir bander pour ce que je suis, et enfin les sentir en moi...

Et eux, ils se sentent pédés, eux? Je suis sûre que non.

Huit mecs, un chien, chacun une queue entre 17 et 21 centimètres, dans ma bouche, dans mon cul, et plusieurs fois!

Ça en fait des mètres de bites en moi, mon dieu, et j'aime ça - Je ne sais pas, je me sens comme une salope nymphomane!

Le doberman m'encule toujours, et puis je sens une énorme et très longue giclée d'un liquide chaud et visqueux me remplir le fondement.

Le maître et le chien se sont vidés dans mon anatomie.

Je suis de nouveau pleine de sperme, cette fois d'un homme et de ses deux chiens...

Mon cerveau déconnecte - C'est trop de plaisir en même temps, trop de baise, trop de perversité, trop de sexe, trop de sale et trop de bien, trop de jouissances!

J'explose d'un orgasme encore inconnu à ce jour.

Je sens la sève de mes bourses monter dans mon urètre.

Je vais jouir...!

Toujours à quatre pattes, telle la chienne fécondée par le chien, sans même me toucher, mon pénis crache sur le carrelage son trop-plein de plaisir et de jouissance.

Je constate que l'on ne cesse de me prendre en photos.

Mes jambes sont tremblotantes.

Plaisir, crainte, extase, honte, jouissance, peur, et encore cette envie d'être saillie...

Ils m'ont violée, ils m'ont dépucelée, ils m'ont baisée pendant deux heures comme une traînée, mais ils m'ont fait jouir comme jamais.

Ces festivités terminées, Pascal, Norbert et Antoine m'attrapent sans ménagement et m'entraînent telle quelle, presque nue comme une pute - avec juste mon soutif, mon porte-jarretelles, mes bas et en talons aiguilles - dans leur voiture.

Il est 4 heures du matin à peu près, nous roulons un peu, et quelques kilomètres plus loin, nous arrivons sur un parking réputé pour son activité sexuelle la nuit.

Ils me sortent de la voiture, et moyennant quelques euros la passe (les salopards!), je me fais reprendre par tous les trous.

Par je ne sais combien de mecs, voyeurs, cochons esseulés, routiers, pervers du samedi soir.

Ils me refont le coup des différentes positions, cambrée contre la voiture et les jambes écartées, ou allongée sur le dos sur le capot, ou bien encore à quatre pattes à me faire enculer par un homme pendant que j'en suce un autre.

Autour de moi, d'autres mâtaient en se branlant en attendant leur tour.

Ils m'ont tous tringlée.

Petits, grands, gros, maigres, beaux, laids, tous m'ont labourée, j'ai eu le droit à tout, même un collègue de bureau vicelard à souhait qui reluque toujours les secrétaires en bas et talons... Sûr que désormais, il ne se privera pas avec moi!

Cerise sur le gâteau, ils m'ont fait baiser par deux clochards, à titre gracieux...

J'ai du foutre partout sur le visage, et de la semence masculine qui coule de mon fion.

On peut me suivre à la trace! ;-)

Suite à cela les trois comparses me raccompagnent chez moi.

Evidemment, j'avais presque oublié, le sac à main, mon permis de conduire et ma carte professionnelle, ils savent tout...

Arrivés, ils ouvrent et entrent.

Effectivement, Anne est là, dans le lit conjugal, inerte. Shootée aux somnifères, sans aucun doute.

Lubriques, décidément jamais en manque de trucs glauques, les trois hommes investissent notre lit, poussent un peu Annie sur le côté ; ils m'attrapent, me jettent dans le lit, sur le dos, les jambes écartées et relevées, le cul (encore...) offert.

Ils abusent à nouveau de moi, me sautent deux ou trois fois chacun, prenant possession de mon cul, pour la combien, 40ème fois de la nuit?

Ils me lèchent et me pétrissent mes petits tétons durcis, m'embrassent à pleine bouche et me sodomisent encore et encore - avec Anne endormie, à trente centimètres de nous.

Je dois faire une fellation à l'un de mes tortionnaires pendant qu'un autre me besogne en levrette et que le troisième continue à prendre des photos.

Prise en sandwich, je suis embrochée par mes deux orifices.

Pascal jouit dans ma bouche et j'avale tout bien consciencieusement.

Ils me claquent le cul, me disent que je suis bonne, que je suis une petite pute qui aime ça...

Je ne dis rien, je couine doucement, mon popotin cambré et ouvert parle pour moi, et mes gémissements de plaisir leur donnent raison.

- "AAH OOH... OUI... HMMMMHMM!... OUI MMMMMMMM AAH... MMMHMHHaAH AHHh aAH HMMMM oui aAAH..."

Le lit grince sous leurs assauts, ils me baisent fort, puissamment et à tour de rôle.

A quatre pattes sur le lit, j'ai leurs bites qui investissent mon fondement l'une après l'autre et j'ai le visage dans les draps. Tout près de la culotte d'Anne.

Je ne sais pas si c'est la situation hyper cochonne, et excitante à vrai dire, ou si c'est carrément toute cette soirée de folie qui m'a tourné la tête, mais j'ai une idée lubrique qui me vient, la proximité de l'intimité toute proche de ma fiancée me donne une envie.

J'ai le cul en feu comme une chienne en chaleur mais mon esprit a un bref sursaut hétéro :

je retourne Anne sur le ventre, elle ne bouge toujours absolument pas, complètement shootée aux anesthésiques, je lui écarte les jambes et lui descends sa culotte, je plonge mon museau dans sa raie culière, cette débauche de sodomies toute la nuit me donnent envie de lui bouffer la rondelle.

Je lèche son sillon fessier de haut en bas, l'humidifiant de salive, je lui mange le cul, que dis-je, je lui dévore le trou de balle.

Toujours en levrette, avec les trois gaillards qui me prennent alternativement, je me fais forer l'oeillet pendant que je rentre ma langue à l'intérieur de celui d'Anne, lui prodiguant un annulingus de malade.

Un des compères s'exclame :

- "Hé les gars, cette petite catin prend tellement son pied qu'elle bouffe le trou de balle de sa chérie, regardez!"

Ça m'excite à mort, c'est vrai.

Ils me baisent un bon moment comme ça, je suis à plat ventre avec leurs queues qui me remplissent, en train de manger la rondelle de ma fiancée, elle aussi à plat ventre devant moi.

Une dernière fois ils alternent les rôles et refont un tour pour me sodomiser.

Antoine me retourne sur le dos en missionnaire, les jambes relevées, m'ouvrant comme jamais :

- "Ahhh, je suis là-dedans jusqu'aux couilles" grogne-t-il de contentement avant de décharger au fond de mes entrailles.

- "Moi aussi" répond Norbert qui me baise la bouche comme on baise une chatte.

Ils finissent par m'uriner dans la bouche pendant que je crie de jouissance.

- "Bon enterrement de garçon, chérie, T'ES UNE BAISEUSE DE PREMIÈRE!" me disent-ils.

- "Ta fiancée c'est Anne, et toi t'es sacrément ANALE! TU SERAS NOTRE ANALE A NOUS MAINTENANT! Tu voulais un enterrement de vie de garçon, on peut dire QU'ON A VRAIMENT ENTERRÉ LE GARÇON, HEIN BÉBÉ, HA HA HA, ET T'AS AIMÉ ÇA!"

- "A l'avenir, évite de te trimballer en mini-robe et talons aiguilles, et surtout te faire enlever le string devant les bars, ça t'évitera des ennuis, ha ha ha!".....

(C'était donc ça qui avait tout déclenché, oui le fameux Gégé à sa fenêtre n'avait pas manqué une miette de la scène du parking, et avait du raconter ça à ses copains du rugby).

- "Et pour ta bonne femme, ne t'inquiète pas, demain elle aura la gueule de bois mais ne se rappellera de rien du tout."

Et ils disparurent.

J'ignore combien d'hommes m'ont pénétrée, combien de sexes j'ai sucés cette nuit, ni combien j'en ai eus dans mon ventre.

Des mètres et des mètres de queues et des dizaines de mecs dans la bouche et dans le cul, tournée et retournée et sodomisée dans tous les sens, souillée par tous les trous pendant des heures, y compris par une bouteille, deux chiens et des clochards, et on a fait de moi une pute sur un parking.

Et j'ai aimé.

Il est près de 6 heures du mat', le jour va se lever, je retire ma lingerie (presque à contrecoeur...) que je dépose sur la chaise de la salle de bain.

Je prends une douche, léchant la semence d'hommes que j'ai sur le visage et le corps. L'eau tiède est agréable, elle me décontracte, et du sperme coule de mon popotin le long de mes jambes.

Mon dieu ils m'ont remplie de foutre!...

Je me savonne le corps, les fesses, mais en passant mes doigts humides et glissants de gel-douche dans ma raie, une irrépressible excitation revient : je m'enfonce un doigt, puis deux dans le cul.

Flitch, flotch, du sperme sort encore de mes fesses, aahhmmhhmmm!

J'ai l'impression d'être une dinde qu'on a farcie de sperme par le croupion.

Flitch, flotch, flitch, flotch, j'entame quelques va-et-vient pendant que ma fente évacue doucement tout le foutre qu'ils ont déchargé en moi.

Suis-je homo, suis-je devenu une petite pédale? Non.

Suis-je une salope? Je ne sais pas...

Je me rince, sors de la douche, me couche et m'endors, la tête remplie de questions.

Tout s'est passé comme ils me l'avaient dit :

Anne ne se rappelle plus du tout ce qui s'est vraiment passé après avoir ramené nos quatre amis.

Dormant littéralement debout après les avoir raccompagnés chez eux, elle n'a plus eu la force de revenir et est rentrée se coucher ; elle a appelé le bar pour avertir qu'elle envoyait un taxi "Chez Gégé"...

Gérard avait répondu et dit que c'était OK, que j'allais très bien, et que je "m'amusais même beaucoup... et que ses dobermans m'aimaient bien"...

Le taxi est sûrement venu, mais personne n'était là pour l'attendre!

Elle a cru aussi faire un terrifiant cauchemar dans lequel, juste avec ses dessous sexy, son fiancé chéri se faisait violer dans notre lit par trois hommes, sans qu'elle puisse intervenir. Mais ce n'était heureusement qu'un mauvais rêve, ouf!

La semaine suivante, Anne et moi nous nous sommes mariés. Comme prévu ;-)

Et tous nos amis ont adoré notre mariage, comme ils ont adoré la soirée de la semaine précédente.

Moi aussi, j'ai adoré.

Maintenant, je me rends régulièrement au bar "Chez Gégé" où je me fais ramoner par tous les trous, avec parfois de nouvelles variantes obscènes :

des hommes mariés, des hétéros pervers, des couples libertins et bi, des homos qui veulent se taper du minet efféminé, des lesbiennes à gode-ceintures, plein de célibataires en manque, du fisting, des blacks (mon dieu les calibres! Hmmmmmmmmm j'en ai la raie trempée et la rondelle qui frétille rien que de penser à leurs longues, larges et fabuleuses verges en chocolat), des gang-bangs organisés par des potes de Gérard, des doubles pénétrations anales, des mecs de chantiers, souvent des pipes aux clients sous la table et bien d'autres asservissements.

Les rugbymen reviennent très souvent aussi, ceux de ce soir et tout le reste de l'équipe.

Toute l'équipe de rugby de ma ville m'a baisée, plein de fois.

J'adore ces solides gaillards, leurs 190 cms et leurs 120 ou 130 kilos, leur allure virile et leurs grosses mains puissantes sur moi, leurs grosses queues bien dures et leur sperme abondant.

J'avoue même avoir une tendresse particulière pour Alain, après tout il a été le premier, même si les suivants n'ont pas tardé, c'est lui qui m'a déflorée, il a été la toute première queue en moi, le tout premier sperme dans mon ventre.

Et il a fait ça bien, j'ai adoré son sexe en moi, il m'a rendue dingue.

Avec tous les jolis dessous sexy qu'Anne affectionne, j'ai plus que le choix pour les tenues que je prends avec moi pour me rendre "Chez Gégé". Je me change toujours dans les toilettes du bar pour me préparer, et me fais baiser dans l'arrière-salle de Gérard.

A chaque fois, je récupère une photo.

Il m'arrive même d'y aller deux fois par semaine - pour me "justifier" je dis que c'est pour récupérer mes photos plus vite...

Mais en fait non, c'est parce que j'adore ça.

- "Quand tu auras récupéré toutes les photos, tu seras libre, poulette" me dit le patron.

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