EVG Chez Gégé et dépucelage - 01

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Enterrement de vie de garçon, bar et groupe de rugby.
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L'enterrement de ma vie de garçon "Chez Gégé" et mon dépucelage

- Chapitre 1 -

Enterrement de vie de garçon, bar et groupe de rugby

C'était il y a une dizaine d'années.

Voici ce qui m'est arrivé le soir de mon EVG (enterrement de vie de garçon).

J'ai 24 ans et suis fiancé à Anne, de deux ans plus jeune que moi. Nous nous sommes connus à la Fac, avant que je commence à travailler pour une banque d'investissement en ville.

Elle n'est pas une bombe atomique (1m66 et 60 kilos), elle a son charme, mais surtout elle est très coquine et aime me faire plaisir en portant de jolis dessous sexy quand nous sommes au lit. Elle en a une sacrée collection, elle aime ça, et aussi de jolies tenues de ville.

Je dois dire que son penchant pour la jolie lingerie m'a bien aidé - après la première surprise - car je dois avouer qu'avant je n'étais pas particulièrement un garçon "sûr de lui", macho ou entreprenant en matière de sexe. 1m74 et 59 kilos, une pilosité faciale et corporelle quasi inexistante - limite imberbe - vous voyez je ne suis pas vraiment ce qu'on considère comme un "mâle alpha".

Nous étions fiancés depuis huit mois, et avons enfin décidé de nous marier.

C'est le printemps et nous organisons nos enterrements de vie de garçon et de jeune fille pour la semaine précédent nos noces.

Comme la coutume le veut, je sortirai avec mes potes, et Anne avec ses amies, et devons nous retrouver à la fin de la soirée. Nos amis ont décidé du thème de la soirée et du "gage" que nous aurions :

nous grimer et nous déguiser dans le sexe opposé.

Anne sera donc transformée en homme, avec l'aide de ses copines (une de ses amies esthéticiennes lui fait des sourcils épaissis, une moustache en postiche, les cheveux attachés en catogan et gominés, un peu de cirage sur le menton pour obtenir un fond de "barbe" rasée), et un costume trois pièces la masculinisant avec beaucoup de réalisme.

De mon côté, je dois me transformer en femme - mais sans l'aide de mes potes qui n'y connaissent absolument rien. Anne en revanche m'est très utile ; elle me prête tous les habits nécessaires, et me "travestit" le visage :

comme je suis presque glabre, un très léger rasage de rien du tout suffit à ôter les quelques poils très fins de mon menton.

Sa copine esthéticienne finalise le travail, elle me passe un fond de teint, m'affine les sourcils en léger accent circonflexe, m'applique un fabuleux maquillage de yeux à l'aide de fards à paupières, mascara et crayon noir, me dessine de jolies lèvres au lipstick d'un rouge discret pas trop tape à l'oeil, et quelques coups de blush m'affinent encore le visage.

Dans le miroir, j'hallucine de la transformation, des yeux de biche hyper love, une bouche coquine et un véritable visage de femme! Elle m'ajuste une perruque (le seul accessoire que nous avons du acheter) mi-longue châtain, discrète et très féminine, qui achèvent la transformation de mon visage...

La copine esthéticienne me fait une manucure et m'applique du vernis à ongles.

Pour les habits, Anne se fait une joie de m'ouvrir sa garde-robe ; elle me prête de très belles pièces. Comme nous avons presque la même taille et poids, tout me va.

Elle commence par me passer des bas fumés, pas trop opaques, à travers lesquels on voit le grain de peau, un soutien-gorge noir push-up qui, très ajusté, ramène mes petits pectoraux de poulet au centre, créant l'illusion d'une jolie petite poitrine, ensuite un porte-jarretelles à quatre lanières qu'elle agrafe aux bas, puis une culotte en dentelle.

Et enfin pour finir, une sorte de body-guêpière en dentelle très transparente.

Woow, je dois avouer que je me fais presque bander moi-même!

Elle termine le travail en m'enfilant une jolie robe noire, dont le décolleté laisse apparaître la dentelle transparente du body par-dessus le soutif - et l'ombre dessinée par ma poitrine crée vraiment l'illusion d'une vraie poitrine. Des petites fleurs rouges très discrètes égayent la robe juste ce qu'il faut.

Et enfin, des escarpins/sandales noirs à bride pas trop hauts pour que je puisse marcher sans me casser la gueule, mais suffisamment pour être sexy, féminiser le galbe des mollets et remonter mes fesses, qui dans cette robe, font ma foi un très joli fessier (comme j'ai exactement la même pointure qu'Anne, ces Salomés me vont parfaitement).

Le grand jeu quoi!

Dans le grand miroir de notre appartement, nous "admirons" nos transformations" avant de sortir ; Anne ressemble à un gentleman très classe, classique et intemporel, et moi je suis bluffé, on dirait une vraie nénette, une belle femme BCBG aux jambes galbées et au visage d'ange!

Ce soir c'est la fête, ma fiancée est adorable et la semaine prochaine nous nous marions, nous allons fêter ça.

Nous rejoignons nos amis respectifs et sortons. Anne part avec ses copines au restaurant puis faire les bars de notre petite ville, et moi pareil de mon côté avec mes potes, resto, puis bars.

La soirée se passe bien, on s'amuse grave et buvons pas mal ;-)

Et j'ai eu droit à du "madame" toute la soirée dans les bars, ça a bien fait rire mes potes!

Nous nous rejoignons vers minuit au point de rendez-vous, la fontaine de la place du marché. Nous sommes tous pas mal éméchés, il faut bien l'avouer...

De là nous partons tous en direction d'un espèce de bar de nuit qui ferme plus tard, vers 2 heures du mat', pour terminer la soirée ensemble.

En colonne de voitures nous arrivons devant le bar "Chez Gégé".

Nous nous garons sur le parking, fumons des clopes et discutons un peu ; environ la moitié des copines d'Anne et la moitié de mes potes, vont rentrer, soit car déjà fatigués ou activités le lendemain, soit parce que déjà trop alcoolisés.

Restent donc quatre potes à moi, trois copines d'Anne, Anne et moi, et deux voitures pour neuf personnes pour rentrer, ça va nickel.

Anne s'agrippe à mon cou et m'embrasse langoureusement :

- "Je t'aime" me dit-elle.

- "Moi aussi mon coeur" je lui réponds, et elle m'embrasse de nouveau, promenant sa main sur mon popotin de fille, avant de venir effleurer mon sexe devant, l'excitant légèrement.

A peine cachés des autres par notre voiture, elle soulève légèrement ma robe, se baisse et m'enlève ma culotte, qu'elle range dans son sac à main, pose délicatement ses lèvres sur le sommet de mon pénis, me met une petite claque sur les fesses avant de rebaisser ma robe, et me dit :

- "J'ai enlevé mon string aussi dans le dernier bar, le voici, sens comme il a l'odeur de ma chatte humide, mon chéri, mets-le!"

Décidément, j'adore ma fiancée, elle est délire!

D'un coup d'oeil en direction du bar, je vois ce qui devait être le patron s'éloigner de la fenêtre. A priori il n'avait rien raté du spectacle...

En joyeuse équipe de 9 lurons, nous entrons dans le bar, moi en tête, le string d'Anne dans la paume, au bras de ma "gentleman" de fiancée :

- "Bonsoir m'sieurs-dames" nous lance le patron qui me scanne, que dis-je, qui me "déshabille" du regard de la tête aux pieds, deux fois, avec un sourire presque humide, s'arrêtant sur l'échancrure de ma robe qui laissait deviner la dentelle transparente et la petite poitrine...

- "Bienvenue chez Gégé, je suis Gérard, le patron, installez-vous, ce n'est pas la place qui manque."

Le patron est seul avec ses deux dobermans, c'est un gros bonhomme jovial presque chauve qui nous félicite après qu'on lui ait expliqué le pourquoi de notre présence.

Je repère les toilettes juste après l'arrière-salle avec le billard, j'y file direct pour enfiler le string - le petit délire d'Anne m'avait excité et ma queue, même si pas très grande ou facilement excitable et maintenant que j'étais sans culotte, avait commencé des soubresauts que je craignais devenir rapidement visibles sous ma robe ajustée...

Je humais son parfum, et c'est vrai qu'elle était mouillée de cyprine et sentait la chatte de ma fiancée.

Cette idée m'excite aussi et j'enfile le string humide ; c'est la première fois que j'en porte un, la ficelle qui me rentre dans les fesses me fait un effet bizarre, troublant mais pas désagréable.

Je ressors des WC et rejoins mes amis.

Nous nous installons, commandons nos boissons, trinquons à notre santé et commençons à siroter nos verres tout en discutant de choses et d'autres, en vannant en en rigolant (l'alcool...).

Gérard nous offre une tournée de "shots" pour fêter notre événement, c'est vraiment très cool de sa part - mais ça va finir pas nous torcher définitivement cette histoire lol ;-)

Un groupe d'hommes arrive peu de temps après et s'installe à coté de nous.

Ils sont sept et ont des carrures de bûcherons ou de Vikings, et Gérard les salue tous par leur prénom. Des habitués - Gérard, joyeux et lancé, fait des sortes de présentations :

- "Hé, je vous présente la moitié de l'équipe de rugby du RC *** (notre ville...), de bons amis à moi, et vous les gars, voilà une fine bande qui fêtent leur enterrement de célibat, ils se marient la semaine prochaine - Hasta la vista baby!"

Ils nous saluent et commandent directement plusieurs bouteilles d'alcool, composant leurs cocktails eux-mêmes.

Ils sont bluffés par nos "transformations" et nous complimentent :

- "Félicitations, c'est à s'y tromper! Le gentleman moustachu, au top, la classe! Et la "dame", bluffant, on s'y tromperait, très très sexy!"

Nous rigolons et commandons une autre tournée.

J'en profite pour tirer sur le bas de ma robe qui est décidément vraiment très courte - elle découvre mes cuisses presque jusqu'au sexe, et visiblement attire le regard du petit groupe d'à-côté.

Bien que je leur trouve un air pas très catholique, ils paraissent sympathiques, rieurs et chahuteurs. Des rugbymen quoi!

Deux de mes potes et une des copines d'Anne nous disent qu'ils sont fatigués (ou torchés... lol) et qu'ils vont rentrer. Nous leur faisons la bise, ils prennent l'autre voiture et rentrent.

Les rugbymen nous sourient et nous précisent qu'ils sont là pour fêter l'anniversaire de l'un d'eux, nous leur répondons joyeusement que décidément nous avons tous quelque chose à fêter!

Ils nous proposent gentiment de trinquer avec eux. Nous acceptons avec plaisir et levons tous nos verres à l'anniversaire et à nous-mêmes.

Nous entamons une discussion courtoise et entrecoupée de blagues avec ces hommes, et constatant nos verres vides, ils nous proposent de goûter leurs mixtures.

Bien que forts en alcool, leurs cocktails sont bons, nous parlons un peu des joies et des contraintes du mariage avec ceux qui sont mariés, et de l'amusement et que "jeunesse se passe" car nous sommes tous plus jeunes qu'eux.

Ils tiennent à nous offrir une autre tournée et joignant le geste à la parole, nous proposent de réunir nos tables. La troupe est joyeuse, certes "virile" et brute de décoffrage mais sympathique, la soirée a été bonne et nous sommes tous un peu alcoolisés (de plus en plus même), alors un peu d'animation avant de rentrer est la bienvenue.

Ma fiancée semble ravie, ses copines aussi, mes potes aussi, chacun raconte des anecdotes ou des blagues pendant qu'ils nous resservent au fur et à mesure que nous vidons nos verres.

Nous n'avons pas l'habitude de boire autant et commençons à avoir la tête qui tourne...

Je me sens pour ma part sur un petit nuage.

Vers 1h30 (le bar fermant à 2 h) les deux dernières amies d'Anne disent :

- "Nous allons rentrer, maintenant, on ne se voit plus les pinceaux, hi hi hi."

Et un de mes copains renchérit :

- "Pareil, j'en peux plus mdr!"

Anne n'a pas l'air d'aller très bien non plus, mais semble "gérer" mieux que nous, alors elle dit :

- "D'acc, on va y aller", constatant même "Ah mais, il nous reste qu'une caisse, la nôtre, et on est six... Bon, moi je crois que ça va aller pour conduire, je vais donc ramener tout le monde (les deux dernières copines et les deux derniers potes), à cinq dans la voiture, et revenir te chercher après mon chéri pour qu'on rentre. Tu nous attends là? A toute, bébé."

(En même temps où d'autre pouvais-je attendre LOL).

J'acquiesce, les cinq partent en saluant tout le monde.

Moi, j'ai la tête qui tourne, je demande à Gérard s'il est possible d'avoir un café. Après toutes ces boissons, un petit besoin m'oblige à avoir recours aux toilettes.

Je me lève, traverse en titubant l'arrière-salle et retrouve les WC : "Je suis carrément pompette" me dis-je en riant.

J'en profite pour réajuster un peu mon allure - remettre un tout petit peu de rouge à lèvres, car entre les baisers d'Anne et les verres d'alcools, il en est parti ; et surtout réajuster les balconnets du soutien-gorge sous ma robe, qui avaient bougé, ouvrant l'échancrure de décolleté de ma robe un peu plus...

Cela explique les yeux un peu trop fixés sur ma poitrine durant l'apéritif.

Mais vu mon état, moi qui suis plutôt réservé d'habitude, je souris avec une pointe de fierté à l'attention que l'on me porte - n'attirant que rarement le regard des femmes avec ma silhouette fluette, j'avoue m'amuser de la situation (en-dehors de l'état d'enivrement avancé), de susciter, en femme, le désir ou le reluquage de la parts de ces mâles bien costauds, bien hétéros.

Et puis si j'aimais habituellement voir Anne porter de la lingerie, j'avoue que là en porter moi-même ne me laisse pas insensible.

Dans le miroir des WC, je me trouve sexy, "bandante".

En sortant des toilettes, je m'aperçois que cinq des hommes ont quitté la table commune. Ils se sont attablés et discutent dans cette arrière-salle du billard, toujours autour de plusieurs bouteilles d'alcool, je vois de même Gérard au comptoir qui parle, rigole et continue de boire avec les deux autres rugbymen.

Alors que je me dirige vers ma table, toujours en titubant, l'un des cinq hommes m'interpelle joyeusement et me demande de venir boire un dernier petit verre avec eux avant de rejoindre ma fiancée, afin de (me) donner quelques conseils masculins avertis pour mon prochain mariage.

Devinant mon hésitation et sans attendre ma réponse, le plus baraqué de la bande de baraqués m'attra.pe rapidement par le bras et me demande de m'asseoir.

Malgré leur gentillesse et leur bonne humeur, j'hésite à rester, mais la main ferme, mon esprit embrouillé et l'envie de ne pas passer pour un timoré / sainte-nitouche, ont raison de mes réticences.

Les autres chaises de l'arrière-salle étant déjà toutes retournées sur les tables (Gérard doit fermer dans quinze minutes) ce galant homme m'installe donc sans plus de commentaire, sur sa jambe droite, en me tenant par la taille :

- "Ça ne vous gêne pas j'espère?" finit-il par me dire.

Il plaisante un peu, me sert à boire, détend l'atmosphère et se présente en me faisant des grimaces :

- "Moi c'est Alain."

Je m'apprête à répondre en rigolant :

- "Moi c'est..." "Tssssssuuut!" m'interrompt-il prestement en me mettant son index sur la bouche, comme pour ne pas briser la magie de l'illusion entre mon apparence et mon véritable genre.

Nous discutons de rugby (je n'y connais rien!), d'eux et surtout de moi, des hommes et des femmes en général, ils me distillent des conseils au "futur marié", quelques notions sur le "cul" - pour parler crûment lol (moi qui ne suis pas un champion de la chose, et en plus avec mon état d'ébriété je n'entrave pas le dixième de ce qu'ils me racontent...) avant d'aborder notamment la fidélité qui ne doit jamais être trahie, en me donnant en exemple "Vous ça se voit que vous êtes fidèle, félicitations, c'est bien" en souriant...

Toujours en sirotant leur breuvage-de-la-mort-qui-tue :

- "Mon verre doit être magique, je n'arrête pas de boire et il est toujours aussi rempli" dis-je en m'esclaffant.

J'ai chaud, mais je me sens bien, même si le café demandé à Gérard n'est jamais arrivé.

J'ai la tête qui me tourne, mais je suis bien calé, les deux cuisses écartées autour du genou (qui n'arrête pas de bouger) d'Alain, avec la main droite de mon chevalier servant qui a lâché la taille pour la fesse droite (qu'il caresse doucement) afin que je ne glisse pas.

- "Vous avez de jolis petits seins (Ah bon? s'ils savaient mdr! - Mais c'est qu'ils savent, nom d'un pétard!), et des jambes magnifiques" me dit le plus jeune en face de moi.

Je baisse la tête et m'aperçois que le balconnet droit a de nouveau bougé, écartant à nouveau le décolleté de ma robe et laissant apparaître la dentelle du body.

Je rougis un peu et entreprends de remettre le soutien-gorge récalcitrant à sa place, mais avant que j'aie pu mettre la main sur mon téton droit pour mener à bien la remise en place, Alain me précède et passe la sienne dans mon décolleté, directement sous le body :

- "Laissez, je vais faire."

Je suis de plus en plus gêné et mes joues virent à l'écarlate.

- "Euh... bbhhh..." Je bafouille et attrape vainement le bras d'Alain, parti à la palpation de mon "sein" droit, le ramène au centre, en pince doucement le téton, le soupèse, le masse circulairement, le caresse délicatement et en titille la pointe.

Absolument pas gêné, il me complimente sur ma (minuscule, et pour cause) poitrine, avant de passer ses deux mains sous ma robe, pour caresser la dentelle de mon soutien-gorge... échancrant définitivement mon body sur l'avant.

Il ressort ses mains :

- "Ne soyez pas timide, vous avez des petits seins magnifiques, laissez-les respirer, on devinait déjà presque tout avant, alors un peu plus!"

La tête me tourne de plus en plus et Alain me rattrape in-extremis, m'évitant de tomber ; il me prend la taille à deux mains et me remet en position stable sur sa jambe.

- "Pour les nénés, ça restera notre petit secret" me murmure-t-il à l'oreille, en y plaçant un petit bisou et en continuant de me peloter entre la dentelle et le tissu de la robe.

Je suis déconcerté, très bourré, perdu entre le bonheur de la soirée, le cocasse de la situation, situation agréable au demeurant même si "surprenante" (...), mon ébriété, mes réticences de garçon timide et mon excitation du moment - je réponds en bégayant :

- "Bon d'ac...d'accord...", et je reprends mon verre.

Alain me cale de nouveau avec sa main sur la fesse droite, et sa main gauche sur ma poitrine d'éphèbe féminisé.

Sa carrure imposante, sa présence virile, puissante et rassurante, me rendent tout chose.

Je sens sa main qui me caresse légèrement la fesse sous le bas de ma robe, elle s'est relevée lorsqu'il m'a attrapée, dévoilant ainsi le sommet de mes bas, les attaches du porte-jarretelles, mon string trempé de l'odeur de ma fiancée... et les quatre autres gaillards regardent le triangle de mon string avec insistance.

Assis sur Alain, je sens son entrejambe devenir de plus en plus dur...

Ma parole, je suis en train de faire bander un joueur de rugby!

Je sens une douce chaleur envahir mon bas ventre, et j'ai l'impression d'avoir les fesses en feu, comme si elles avaient faim de quelque chose...

La ficelle de mon string me rentrant dans la raie du cul, et mon sexe durcissant également, ne m'aident pas à avoir les idées claires.

La main gauche d'Alain lâche mes seins pour venir pétrir mon sexe à travers la dentelle.

Il sent immédiatement que mon string est trempé, il fallait s'y attendre, il le caresse, avant de ramener ses doigts à ses narines :

- "Hmmmmmm, mais ça sent la chatte, putain, elle mouille! Vous allez pas le croire les gars, la coquine est trempée et elle sent carrément la moule de vraie gonzesse (... et pour cause! lol), ça sent la chatte excitée!" et il se lèche les doigts!

Il replonge ses mains vers mon bas-ventre, et je ne sais plus où je suis, ni qui je suis, ni ce qui m'arrive.

Mon cerveau part en vrille, je suis perdu, excité, enivré et chaud, mon sexe tressaille de petits soubresauts, durcissant doucement.

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