Esclave du Harceleur de Mon Fils 01

BÊTA PUBLIQUE

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- Tu peux sûrement gérer ce problème. Je veux dire, où est le problème de laisser un garçon tranquille? C'est pas comme s'il avait fait quelque chose pour mériter ça.

Je commence sérieusement à m'inquiéter de la tournure que prend cette conversation.

- Vous avez raison. Je pourrais gérer ça, mais je n'ai pas vraiment de raison de le faire. Je vais vous dire, il serait vraiment plus facile pour moi de laisser mes amis faire ce qu'ils veulent. Je ne perdrais pas mon autorité. Alors que si je les oblige tout le temps à être gentil avec Jacques risque de saper mon autorité. Qu'est-ce que j'en retirerais?

- Qu'est-ce que tu veux dire?

Je commence vraiment à être inquiète.

- je dis que protéger et même aider votre vils va me coûter. Je veux une compensation pour ça. Dit-il d'une voix froide.

- Un compensation? Tu veux de l'argent pour faire quelque chose qui est bien? Crié-je.

- Oh non. Je ne veux pas d'argent. Vous voyez, j'ai plusieurs universités qui me surveillent actuellement. Et ils regardent tout, même mes finances. Dont je ne peux me permettre de gagner de l'argent ainsi. Ça risque de causer des problèmes, je ne veux pas prendre le risque. M'explique-t-il.

- Alors quel genre de compensation veux-tu?

Je suis nerveuse. Il me fait chanter pour protéger mon fils. J'ai besoin de savoir ce qu'il veut.

- J'ai pensé que vous pourriez être ma compensation. Dit-il en souriant.

- PARDON? Qu'est-ce que c'est que cette connerie. Crié-je.

Puis, en colère, je continue :

- Écoute petit salaud, je vais aller voir le directeur, puis je vais aller porter plainte à la police. Je vais même en parler aux journaux. Tu t'inquiètes pour ton avenir à l'université? Que va-t-il se passer si tu es arrêté pour chantage ou agression? Que vont en penser toutes les universités qui te surveillent?

C'est alors qu'un sourire mauvais s'affiche sur son visage.

- Personne ne fera rien. Car, si vous faisiez cela, je renverserais les rôles et dirais que votre fils me harcèle. Je peux montrer des vidéos où il est agressif sur le terrain. Et je peux demander à tous mes amis de témoigner pour moi. Soyons réaliste, je suis presque un héros pour toute l'école. L'administration, les professeurs, l'entraîneur font tout pour me choyer à cause de l'attention qu'il leur est porté. Et puis même la police sait qui je suis et m'a fait sauter plusieurs contraventions. C'est votre parole contre la mienne et celles de mes amis. Qui pensez-vous qu'ils croiront? Vous aurez la réputation de la mère trop protectrice qui refuse de voir que son fils est un vrai connard.

Merde, je suis piégée. Je n'ai que deux choix : laisser mon fils se faire harceler le reste de l'année, ou payer. Je ne sais pas exactement ce qu'il veut, mais je devine que ça a quelque chose à voir avec le sexe.

- Oh, et je dois vous dire que l'on va le harceler encore plus à l'avenir. Certains de mes mais ne l'aiment pas beaucoup. Il ne faudrait pas que malencontreusement il se blesse à l'entraînement. Une blessure « accidentelle » pourrait mettre Jacques à l'écart le reste de l'année. Ajoute Jérôme.

Je m'assois et baisse la tête en réfléchissant aux options que je peux avoir.

- Vingt-cinq mille dollars! Chuchoté-je.

- Non je vous ai dit que je ne voulais pas d'argent.

- Cinquante mille et je les mettrai sur un compte off-shore où il ne pourra être trouvé?

- C'est tentant, mais je ne peux pas. Je ne peux pas prendre ce risque. De plus, je n'ai pas vraiment besoin d'argent, je vais obtenir des bourses.

Merde! Je soupire. Je suis à court d'options pour protéger mon fils. Je lève la tête et regarde ce garçon dans les yeux.

- Que veux-tu? Demandé-je.

Autant savoir dans quoi je mets les pieds. Il sourit en savourant sa victoire. Je devine que ça n'augure rien de bon pour moi.

- Voici les termes d'un arrangement : Tout d'abord, vous serez mon esclave sexuelle pour le reste de l'année scolaire. Vous serez libre le lendemain de l'obtention de nos diplômes. Tu me laisseras t'utiliser comme je veux quand je veux, même ton cul sera disponible. Ce sera notre secret et je ne ferai rien quand Jacques sera dans les parages. Je ne veux pas qu'il soit en colère contre moi et je ne veux pas lui causer des soucis. Et les universités n'aimeraient pas un garçon avec une esclave sexuelle. c'est donc dans mon intérêt. Mais c'est aussi dans le vôtre de garder cela secret. Que pensez-vous que les médias feraient s'ils découvraient que vous offrez votre corps pour protéger votre fils? Pour parler de Jacques, je vais devenir son plus proche ami. Je l'aiderai à bien s'intégrer avec mes amis, je l'aiderai à s'améliorer en sport. Votre boulot à vous est d'être complètement disponible pour moi et de m'obéir. En fait vous allez peut-être apprécier. Je vous assure que vous allez avoir beaucoup plus de relations sexuelles que vous n'en avez eu au cours de ces quatre dernières années.

Ces derniers mots ne vont pas être difficiles à démontrer étant donné que je n'ai couché avec personne depuis la mort du père de Jacques. Je n'ai pas vraiment le choix.

- Tu me promets que personne d'autre ne le saura et que tu me laisseras tranquille lorsque tu seras diplômé?

- Je promets que je ne le dirai jamais à personne d'autre et que tu seras libre après mon diplôme. Je vais partir à l'université. Le problème avec ton fils disparaîtra et je ne peux pas vraiment t'emmener avec moi de toute façon. Rigole-t-il.

- Bien : Que veux-tu que je fasse? Dis-je, soumise.

- Tout d'abord je veux voir ce que je possède maintenant. Mets de la musique et fais-moi un strip-tease. Je vais voir si tu sais danser.

Je me lève et j'allume la chaîne stéréo. Dedans il y a un CD de rock classique de Bon Jovi. C'est tout à fait approprié comme musique. Quand j'étais petite, j'ai pris beaucoup de cours de danse : ballet, claquettes, jazz, danse moderne et même danse de salon. J'ai gardé la forme car je fais du sport pour entretenir mon corps, si bien que je peux danser sans problème. Je ferme les yeux et je laisse la musique me traverser alors que je commence à bouger.

- Ouvre les yeux et regarde-moi! Toutes les bonnes strip-teaseuses te regardent dans les yeux et te font croire qu'elles ne dansent que pour toi. Alors regarde-moi : Ordonne Jérôme.

J'ouvre les yeux et je les verrouille sur lui. C'est totalement dégradant. Être une femme adulte et mature et être obligée de se déshabiller devant un adolescent est dégradant. J'avais fait des courses dans la matinée si bien que je porte une jolie robe blanche qui se boutonne par-devant et qui se termine juste au-dessus de mes genoux. En dessous je porte un soutien-gorge bleu en dentelle avec une culotte assortie, un porte-jarretelles noir, des bas beiges et des chaussures à talons de huit centimètres. Il veut du spectacle alors je crois que je ferais mieux de lui donner du spectacle.

Je me penche et je commence à balancer mes cheveux. Il avait déplacé la table basse pendant que je mettais la musique. Je me déhanche à quelques reprises en m'avançant vers lui. Je me penche de nouveau et frotte ma joue contre la sienne, puis je me relève brusquement, me tourne et m'éloigne. Rapidement je déboutonne ma robe alors que j'ai le dos tourné. Puis en me retournant de nouveau, je hausse les épaules pour laisser tomber la robe à mes pieds.

- Super! Mais garde les bas, le porte-jarretelles et tes talons. Enlève le reste! Ordonne-t-il.

Tout en bougeant en rythme sur la musique, je prends mon temps pour dégrafer mon soutien-gorge. Puis je joue avec mes seins avant de l'enlever complètement et le faire tournoyer au-dessus de ma tête. Après l'avoir jeté sur le côté, je commence à me balancer d'avant en arrière tout en tirant les côtés de ma culotte de haut en bas. Je me tourne et je remonte ma culotte dans la fente de mon cul. Puis, essayant de m'appliquer dans mon strip-tease, je me tourne vers lui, je monte sur le canapé pour le chevaucher. Je m'accroupis et prends ses mains pour les poser sur les côtés de ma culotte. Quand ses doigts tiennent le tissu, je me lève ce qui a pour effet de retirer ma culotte. Enfin je descends du canapé et je danse un peu jusqu'à la fin de la musique. Il me dit alors :

- Très bien, je sens que je vais apprécier la situation. Je pense que nous avons à peu près deux heures avant que Jacques ne rentre à la maison. Commençons par une pipe. Mets-toi à genoux et rampe jusqu'à moi. A toi de faire tout le boulot. Enlève mon pantalon et occupe-toi de moi. Je m'attends à ce que tu avales tout sans laisser une goutte s'échapper. C'est un cadeau que je te fais, alors ne gaspille rien!

J'étais tellement concentrée sur ma danse que je ne me suis pas rendu compte des réactions de mon corps avant de me mettre à genoux. Mes tétons ont durci, mais pas à cause du froid , car il fait chaud à la maison, et ma chatte est humide. Apparemment je suis excitée par cette humiliation. Ce qui n'est pas vraiment une bonne chose pour moi étant donné la situation dans laquelle je me trouve.

Je rampe vers lui et je défais son pantalon. Il soulève un peu ses fesses pour que je puisse le baisser.

- Mon Dieu! Crié-je alors que sa grosse bite de vingt-trois centimètres de long apparaît.

- Allez, au boulot! Nous avons peu de temps et il y a encore quelques choses que je veux faire avant mon départ. Je ne partirai pas avant d'avoir fini. Tu ferais mieux de te dépêcher à moins que tu ne veuilles que ton fils nous surprenne.

Cela me sort de la contemplation de sa bite. Je ne veux même pas imaginer les conséquences si mon fils me voyait baiser son harceleur. Je finis d'enlever le pantalon et le caleçon de Jérôme, puis je prends son énorme outil dans une main. Merde, je mouille de plu en plus à l'idée de cet engin dans ma chatte. A près l'avoir caressé pendant une minute, je me penche en avant et je lèche le gland. Je ressens des picotements lorsque ma langue passe dessus. Je continue en léchant toute la hampe, la caressant doucement . La bite de mon mari avait une taille correcte, un peu plus grande que la moyenne, mais loin de ce que me présente ce jeune noir. J'aimais sucer mon époux et de ce fait je suis devenue assez bonne dans ce domaine. Finalement j'ouvre la bouche et j'engloutis son gland. Tout en faisant tourbillonner ma langue j'aspire cette grosse queue. Je pousse de plus en plus ma tête vers le bas pour prendre le plus de sa bite dans ma bouche. Puis je commence à me balancer de haut en bas. J'essaie de produire beaucoup de salive pour garder son membre dans une chaleur moite. Mais je me dis que je ne vais jamais pouvoir avaler tout son sexe. Toutefois, je suis déterminée à en prendre autant que je le peux.

Je pousse jusqu'à ce que je sente sa bite toucher le fond de ma gorge. Je prends une profonde respiration ainsi que mon courage et je pousse encore plus pour qu'il s'enfonce dans ma gorge. Je reste ainsi alors que ma gorge a des réflexes de contraction. Puis je me relève pour respirer et je descends à nouveau. Je réussis à en faire rentrer un peu plus. Je le garde un moment, mais je sais qu'il ne pourra aller plus loin. Finalement je relève la tête et je commence à lécher et sucer ses couilles en le caressant avec ma main. De retour dans ma bouche je m'applique à sucer sérieusement sa queue. Je l'entends alors qu'il commence à gémir et je sens son sexe palpiter. Il rugit alors que des jets de sperme commencent à remplir ma bouche. Je réussis à tout avaler sans en perdre une seule goutte. Quand il a fini d'éjaculer, je continue à le sucer en m'assurant de bien nettoyer son membre.

- Ok salope! Montre-moi maintenant où est ta chambre? Il est temps de s'amuser. M'ordonne-t-il en sortant sa queue de ma bouche.

Je suis surprise de voir qu'il bande encore. Rien de tel que d'être jeune pour récupérer plus vite.

Je me lève et je le conduis à l'étage jusqu'à ma chambre. Il tend la main et la pose sur mon cul pour me pétrir les fesses.

- Tu as déjà été enculée? Demande-t-il.

- Non. Mon mari n'était pas intéressé par ça. Et j'ai toujours considéré mon cul comme une porte de sortie uniquement. Dis-je fermement.

- Eh bien ça va changer. Mais ne t'inquiète pas, je ne vais pas faire ça aujourd'hui.

Après être entrés dans la chambre, il m'arrête et se place derrière moi. Il tend les mains et prend mes seins. Je suis surprise qu'il ne soit pas brutal. Il les prend en coupe et les serre doucement. Ses pouces frottent légèrement mes tétons qui sont durs comme de la pierre. Je le sens me donner de doux baisers au creux de mon cou. Je frissonne de plaisir. Une main descend alors vers ma chatte. Oh mon Dieu, mes genoux manquent de céder alors qu'il caresse mon clitoris. Un fort gémissement s'échappe de mes lèvres alors que son index et son annulaire écartent mes petites lèvres et que son majeur plonge dans ma chatte bien humide.

Je me retrouve sur le dos dans mon lit, jambes écartées. Sa tête est entre mes jambes. Je voudrais retrouver la femme qui lui a appris à brouter une chatte et me prosterner devant elle en signe de gratitude. Sa langue est vicieuse, elle est partout, me donnant du plaisir à chaque fois qu'elle me touche. Il me lèche, il plonge sa langue, il taquine mon clito, il explore tous les coins et recoins. J'atteins des niveaux de plaisir que je n'ai jamais connu. Quand finalement j'explose de plaisir, l'orgasme me submerge complètement. J'entends des sons bizarres qui sortent de ma gorge et je convulse sur le lit. Les vagues d'extase me remuent comme un taureau dans un rodéo.

Alors que je me remets doucement, il se place sur moi. Je le sens alors pousser sa queue lentement en moi. Encore une fois, je suis surpris par sa douceur. Je m'attendais un peu qu'il me prenne à la hussarde. Mais au lieu de ça, il va assez lentement pour ma chatte s'adapte. Après avoir été à mi-chemin, il recule puis il s'enfonce à nouveau. Il va un peu plus loin cette fois. Mon Dieu! Son engin est énorme. Heureusement que ma chatte s'est étirée. Finalement il se retrouve au fond de mon ventre. Il reste comme ça quelques instants pendant que je m'habitue à sa taille. Je peux sentir les battements de son cœur à travers sa bite. Cela fait grandir mon excitation. Lentement il se retire, puis il s'enfonce. Puis il commence à me baiser en rythme. Il ne faut pas longtemps avant qu'un nouvel orgasme me traverse. Une fois que j'ai joui, Jérôme se laisse aller et me baise vigoureusement. Les orgasmes se succèdent. Soudainement, il se retire complètement et me retourne pour me mettre sur les mains et genoux. Sa force me choque. Je suis comme une poupée de chiffon entre ses mains. Puis il enfouit de nouveau sa bite totalement en moi. Il me prend par les hanches et m'attire sur lui tout en poussant en avant. Comme cela, il va encore plus loin dans mon antre bien humide. Je suis dévastée par un orgasme massif quand il donne un dernier coup de rein puissant et me tiens fort alors que je sens le premier jet de sperme qui inonde ma chatte.

Nous restons allongés sur le lit pendant cinq minutes afin de retrouver notre souffle.

- Ok salope. Une de tes tâches importante est de me nettoyer la bite. Pour cela tu utilises d'abord ta bouche et ensuite tu vas chercher un gant humide et chaud dans la salle de bain pour finir de me laver.

Cela ne me gêne pas vraiment. Ce n'est pas comme si je n'avais jamais goûté mon jus. J'avais pris l'habitude de lécher mes jouets avant de les emmener au lavabo pour les laver. Je me penche et je passe quelques minutes à lécher et sucer sa queue. Ensuite je vais dans la salle de bain et je prends un gant de toilette propre que je passe sous l'eau tiède avant de revenir et laver doucement son visage avant de descendre jusqu'à son entrejambe.

- Voilà tes devoirs! Dit-il après s'être habillé.

Comme ordonné je suis restée nue.

- Ce soir tu vas te rendre dans l'un des sex-shops de la ville et tu vas te procurer plusieurs articles : du lubrifiant, un trio de plug anal, un gode de la même taille que ma bite, des pinces à tétons, un collier et une laisse. Ce soir, avant d'aller te coucher, tu mettras le plug anal et tu le garderas toute la nuit. Demain matin, tu le remplaceras par celui de la taille suivante. Enfin demain soir, juste avant de te mettre au lit, tu mettras le plus gros. Chaque jour, trois fois par jour, je veux que tu t'entraînes pendant vingt minutes à sucer le gode. Je veux que tu puisses le prendre entièrement dans ta gorge. A partir de maintenant jusqu'à nouvel ordre, tu dois garder un plug dans ton cul, sauf bien sûr lorsque tu dois le retirer pour aller aux toilettes. De plus, tu ne dois plus porter de culotte, sauf autorisation spécifique. Tu jetteras tous tes collants. Seuls les bas et porte-jarretelles sont autorisés. Pour ta garde-robe, à partir de maintenant, tu ne porteras que des jupes ou des robes avec des talons de plus de dix centimètres. As-tu compris?

- Oui je comprends.

Eh bien, il va falloir que je fasse du shopping, j'ai besoin de renouveler ma garde-robe.

- Et tu dois m'appeler Monsieur. Tout le temps.

En voyant mon air effrayé il rigole et ajoute :

- Ne t'inquiète pas, nous ne sommes pas en public et de toute façon nous ne le serons jamais.

Il part. Il me reste une demi-heure pour nettoyer et m'habiller avant que Jacques ne rentre à la maison. j'ouvre la fenêtre de la chambre pour aérer, je n'ai pas envie que l'odeur de sexe se diffuse dans la maison.

Il est 20 heures. Je me suis douchée et habillée. Le dîner a été préparé, mangé et rangé. Jacques est dans sa chambre en train de travailler et écouter de la musique. Je lui ai dit qu'il fallait que je sorte pour faire quelques courses. Évidemment je ne lui dit pas où je vais.

Je vais dans un sex-shop au bout de la ville, à l'opposé d'où nous habitons. Je me dis que c'est l'endroit le plus sûr où je risque le moins de rencontrer une connaissance. Je n'ai jamais été dans un tel endroit. J'ai acheté tous mes jouets sur internet. Je suis surprise de voir à quel point c'est propre et rangé. A première vue, ça ressemble à n'importe quel autre magasin. C'est bien éclairé et les rayons sont bien rangés et organisés. Ce n'est qu'en regardant plus près que l'on se rend compte que tous les articles tournent autour du sexe et que ce magasin est différent d'un magasin normal. En fin de compte c'est un grand magasin où on peut tout trouver. Il y a une section pour les vêtements, très sexy bien sûr. Il y a un rayon pour les chaussures, mais pas des chaussures ordinaires, il n'y a rien en dessous de talons de 15 centimètres. Bien sûr il y a le rayon DVD, mais pas question de trouver des films Disney ici. Et bien sûr il y a tous les jouets et accessoires. Ce n'est vraiment pas l'endroit miteux auquel je m'attendais. Il y a quelques clients qui semblent faire leur course comme dans un magasin ordinaire. Il n'y a pas de vieux vicieux qui me déshabillent du regard comme je m'y attendais.

Je suis au milieu, en train de regarder autour de moi pour savoir par où commencer, quand une jeune fille très polie, d'une vingtaine d'années environ, s'approche et me demande si j'ai besoin d'aide. Je lui remets la liste que j'avais rédigée et je marmonne quelque chose à propos de mon petit ami et que je veux essayer de pimenter notre vie sexuelle. Elle se contente de me sourire avant de me dire de ne pas être nerveuse, qu'elle voyait ça tout le temps.

Elle est très professionnelle, car elle m'aide rassembler les objets de ma liste. Elle me pose quelques questions personnelles afin de s'assurer que ce que j'achète est le meilleur pour ce que je veux en faire. Mais elle me met à l'aise. Elle me fait des suggestions sur certains produits, me décrit leurs caractéristiques ainsi que les avantages et les inconvénients des différents modèles. Et elle me recommande certains. Après une demi-heure, j'ai payé mes achats et je suis sortie. En revenant à la maison, je m'arrête dans une épicerie de nuit et j'achète des choses pour couvrir envers mon fils ce que je suis vraiment allée acheter.