Esclave de Mère - Ch. 04 et fin

Informations sur Récit
La situation évolue de façon inattendue.
2.7k mots
4.44
2.9k
0
Récit n'a pas de balises
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
meo75
meo75
63 Admirateurs

Je me suis totalement remise des opérations, et je reste surprise chaque fois que je croise mon image dans le miroir. Si je suis habituée, maintenant, à la lourdeur de ma poitrine, la vue de celle-ci provoque chaque fois une profonde excitation en moi, d'autant que l'ensemble créé par Sandrine semble plus sortir d'un manga que d'une réalité, tellement je me trouve jolie, affolante, sexy, fraîche et perverse à la fois. Un drôle de mélange. Mes anneaux tirent sur mes tétons, et avec la barrette derrière l'anneau, ils sont extrêmement proéminents.

Les choses changent à la maison, cela a commencé subtilement. Une remarque de Sandrine à Mère sur les marques qu'elle m'a faite avec un couteau. Des ébats entre elles de plus en plus bruyant et, à ce que je juge, de plus en plus violents. Des tortures me concernant qui se concentrent ces derniers temps sur mes précieuses couilles. Sandrine voulait que je la supplie de mes les enlever, mais je ne peux plus supplier, alors chaque jour je le lui fais comprendre. Mais elle me dit qu'elle n'est pas encore convaincue de ma vraie volonté. Et pourtant, je le suis, convaincue, tant elles me font souffrir continuellement.

Ce qu'elles préfèrent, quand elles ne me piétinent pas, c'est de les coincer entre deux plaques de plexiglass épaisses, et serrer autant que possible les deux plaques l'une contre l'autre, pour les aplatir, serrant les 4 vis progressivement, faisant une pause quand je m'évanouis, pour continuer ainsi au maximum de leur force! Je n'ai plus que deux masses écrasées, je ne comprends pas qu'elles n'éclatent pas. Les plaques sont percées de plusieurs trous, leur permettant de faire passer aiguilles ou broches, contacteur pour les électrocuter, voire la mèche de la perceuse. J'en pleure en continue, et ma seule satisfaction est de les voir se faire jouir sur le spectacle comme des folles, prendre des photos pour les publier sur un blog que Sandrine tient depuis le début.

C'est dans cette situation, complètement brumeux de tant de souffrance, que j'ai pu assister pour la première fois au basculement de leur relation. Tandis que Mère allait enfoncer une broche à poulet dans mon sein, Sandrine l'a violemment prise par les cheveux, l'a giflée, et jetée à terre, en lui intimant l'ordre de ne pas m'abimer, que j'étais son œuvre maintenant. J'étais choquée, non par ses mots, mais par sa violence. Mère a essayé de résister, mais Sandrine l'a giflée à nouveau, longuement, Mère se laissant finalement faire, et finissant par baiser les chaussures de Sandrine en lui demandant pardon!

- Ce n'est pas la première fois que tu me désobéis, maintenant cela suffit.

- S'il vous plaît Maîtresse, j'aime tellement cela

- Oui je le sais, mais ce n'est plus ton fils, c'est Camille ma créature, elle ne t'appartient plus. Et aujourd'hui j'ai décidé que tu ne t'appartenais plus.

- Pardon (Mère est interloquée, relève son visage vers Sandrine, qui lui assène une gifle terrible)

- J'en ai marre de tes crises et de ton comportement, tu ne vas pas être la première que je vais dresser!

- Tu, tu veux me dresser (Mère est ébahie, mais malgré ma confusion, je ne la sens pas effrayée)

- Tu en rêves n'est-ce pas?

- Oh mon Dieu Sandrine (Nouvelle gifle, suivie d'un coup de pied entre les cuisses de Mère)

- Maîtresse dorénavant, tu m'entends? (Elle me fait peur, je ne l'ai jamais vue aussi redoutable)

- Oui Maîtresse (Mère rampe à ses pieds, c'est totalement déstabilisant pour moi, mais je ne dis rien évidemment, je ne fais rien évidemment, et finalement je ne pense rien)

- Je préfère cela, tu es comme Camille au fond, une vraie chienne, les chiennes ne viennent pas des chattes! Je vais parfaire Camille et en même temps je vais faire de toi une autre chienne, et tu vas avoir le même destin.

- Oh Maîtresse (Mère Gémis et tremble de tout son corps)

Je vois alors Mère se caresser et jouir dans un orgasme au volume inconnu, elle se tord dans tous les sens, les membres explosés de plaisir. Sandrine la regarde avec un sourire méprisant.

- Profites-en tant que tu as un clitoris. Tu hais tellement les hommes, je vais faire de toi une pute de bas étage, qui va se faire baiser à la chaîne, tu ne seras que trois trous béants comme ta progéniture.

Voir Mère ainsi est stupéfiant. J'ai l'impression que Sandrine a pris vingt centimètre de taille.

Du coup la vie à la maison a pas mal évolué. Plutôt en bien pour moi, car si je reste torturée et contrainte en permanence, c'est bien plus limité, avec mes couilles en point d'orgue (Sandrine m'a promis de s'en occuper dès que Mère serait mieux dressée), mon cul et ma taille. Qu'elle a décidé d'accentuer, puisque Mère ne s'y oppose plus, elle veut que je fasse un petit vingt-huit et je pourrais porter du 12 ans me dit-elle.

Le rythme de vie est lui le même, je m'occupe de toutes les corvées, je subis mon lavement profond deux fois par semaine, mais il est prodigué exclusivement par Mère, puis je dois le lui prodiguer à mon tour. Mère a interdiction de lever le regard sur moi, c'est quelque chose d'étrange, et cela modifie progressivement mon regard sur elle. Je ne suis plus terrifiée, car elle n'a aucun droit sur moi, et peu à peu je suis remplie du mépris que Sandrine lui témoigne. Un mépris d'une violence inouïe, et je sens Mère ployer un peu plus à chaque fois, tout en coulant et en se caressant frénétiquement. Je ne sais ce que Sandrine lui a fait, rien sans doute, mais cet aspect de Mère m'était totalement inconnu.

Mais les plus gros changements sont ailleurs. D'abord je suis bien plus chouchoutée, je suis parfois massée par Mère, souvent enduite de crème nourrissante pour ma peau ou mes cheveux, tout mon corps est définitivement épilé, je suis en permanence manucurée, maquillée, la peau ultra douce. Mon corps n'est plus jamais fouetté, et surtout, je suis libérée du corset la journée. C'est étrange car elle veut me resserrer, mais elle souhaite que je puisse aussi évoluer sans. Je me sens tellement démunie dans ces cas-là.

La grande nouvelle a été l'arrivée de Sylvie à la maison. Je l'ai reconnue tout de suite, bien entendu, la vendeuse du CA, qui est l'amante de Sandrine depuis de nombreuses années, à l'insu de Mère, humiliée de sa déchéance, et devant ramper devant cette jeune femme aussi sadique que perverse. Les deux femmes ont préparé depuis longtemps la déchéance de Mère, et ne manquent pas de lui raconter par le menu tout ce qu'elles ont fait à son insu, tandis que Mère est ligotée sur la table, torturée de bien des manières que j'ai connues en profondeur! Tellement mortifiée d'avoir été ainsi manipulée st se retrouver sous la coupe de sa rivale!

Sylvie a à peine vingt ans, et au contact de Sandrine, devient d'une incroyablement perversité. Le fait qu'elle soit de mon âge est très perturbant pour moi, qui voyais les Femmes Dominantes comme mures. Elle n'est pas trop dure avec moi, comme Sandrine, aime ma présence, jouer avec moi, m'utiliser pour son plaisir, c'est un délice. Elle n'est pas la dernière à me martyriser le sexe et les couilles, et à inventer de nouveau jeu, mais je la sens plus dans le jeu avec moi que dans l'expiation. De nouveaux jeux, comme la dilatation de ma vessie avec la fameuse crème de Sandrine, si efficace pour torturer longuement et sans se fatiguer un esclave. Mère l'a subie tant de fois, y compris dans son utérus : Sandrine avait démesurément ouvert le vagin de Mère, extirpé le col, et injecté la crème au plus profond d'elle, en quantité telle que le ventre s'est gonflé. Sylvie a voulu alors le gonfler autant que possible, et elles y ont injecté en plus de quatre litres d'eau. J'avais vraiment l'imression de voir Mère enceinte. Sandrine a ligaturé le col, laissant Mère giser à peine consciente à terre, les deux femmes fouettant son ventre ainsi gonflé.

Car Mère a clairement pris ma place tout en bas de la hiérarchie. Comme si Sandrine et Sylvie voulaient lui faire payer le fait d'avoir du se cacher si longtemps? Elle a suivi un chemin comparable au mien, Sandrine ne changeant pas ses plaisirs. Elle a ainsi perdu la voix, beaucoup de kilos, eu un visage rajeuni de façon spectaculaire. Nous paraissons plus comme deux sœurs que Mère et Fille. Même opération des tendons d'Achille, mais elle a subi aussi l'ablation des côtes flottantes, puisque partant d'un quarante, le travail était considérable à réaliser. Sylvie voudrait un trente-deux, mais Sandrine juge plus raisonnable de maintenir les trente-quatre. Le corset semble bien plus serré que les miens je trouve! Mais pour souffrir, elle souffre!

Elle n'a pas voulu toucher à ses seins les trouvant déjà assez gros, mais a décidé, à l'effroi total de Mère, de lui raser définitivement la tête. Laser aidant, elle va rester complètement chauve, avec son collier métallique identique au mien, son côté esclave est flagrant, tandis que je fais plus fantasme de soumission, c'est très différent. Mère a tellement pleuré, et a hurlé, sans bruit bien entendu, quand Sandrine a demandé à Sylvie s'il fallait lui supprimer la poitrine. Les deux femmes ont repoussé la décision! Pauvre Mère. Elle est tellement fébrile, se précipite aux pieds de ses Maîtresses, en totale dépendance et obéissance, je pense qu'elle est dressée. Alors que les deux Maîtresses nous apprennent que demain c'est notre grand jour, encore un, Mère est suspendue au plafond par ses seins, tandis que je le suis par mon paquet, nous gisons là comme deux lustres de décoration.

Sandrine a décidé de me délivrer de mes souffrances. En deux étapes, la première sans anesthésie, la seconde avec. Mais avant, je suis spectateur de l'opération sans anesthésie sur Mère, où Sandrine va lui arracher les ovaires. Sylvie est tellement excitée, elle essaie de se calmer en se faisant jouir maintes fois, mais sans résultat. Mère est solidement ligotée, hurle sans bruit, essaie de bouger, implore, mais rien n'y fait. Je trouve qu'elle donne vraiment envie de la torturer, et plus elle implore, et plus j'aurais envie de lui faire mal.

Sylvie prend plaisir à baigner ses mains dans le sang de Mère, embrasse Sandrine pendant l'ablation. Mère perd plusieurs fois connaissance, mais doit ouvrir la bouche pour avaler le premier puis le second ovaire. Elle pleure, mais Sandrine la force à la remercier en lui tendant la main à baiser. Elle recoud rapidement, Sylvie lèche le sang éparpillé et Mère est sortie de la table d'opération sans ménagement, l'opération est bénigne. Je ne suis pas certain que Mère, en pleurs, soit d'accord. Son visage ainsi tout lisse est magnifique, même les sourcils ont été supprimés, elle ne ressemble plus à un être vivant, mais à un manneauin en magasin! Et elle fait si jeune, c'est fou.

Je suis attaché tout aussi solidement, mon sexe et mes scouilles posées devant moi. Je suis soulagée depuis le temps que j'attends ce moment. Sandrine ne sait pas à quel point, car il ne s'agit pas seulement des souffrances occasionnées, mais surtout de ce qu'il signifie, de ce que j'étais et qui va disparaître. J'en suis comblée. Elle incise la peau des bourses, le sang coule à peine, j'ai une perfusion d'adrénaline. Je regarde fascinée, comme Sylvie. Mère est attachée dans une position obscène, nous montrant son cul atrocement dilaté par un gode enfoncé jusqu'à la garde. Ma pauvre Mère, elle semble à la fois tellement souffrir, mais tellement à sa place, je dois l'avouer.

Sandrine retire une boule sombre, reliée par un long fil, c'est étrange. La douleur est instantanée, très forte, mais franchement j'en ai connu tellement. Sandrine me regarde en souriant, coupe le fil, la couille pend par son fil. Elle s'approche de Mère et lui fait avaler l'horrible morceau, en souvenir de tout ce qu'elle a pu me faire souffrir. Mère voudrait hurler, mais n'émet qu'un peu d'air, pas même de bruit. Mon sexe bande, à ma grande honte. Je sais qu'il n'en a plus pour longtemps. La seconde couille subit le même sort, me voici soulagée. Le plus dur commence, Sandrine taille dans la peau des bourses, en enlève une grande partie, mais pas tout. Cela brûle, Sylvie me caresse doucement le cou, elle me regarde avec des yeux qui me font fondre. Je crois qu'elle sait, comme je suis profondément amoureuse d'elle. Sandrine c'est autre chose, mais Sylvie, c'est ma véritable Maîtresse, elle possède mon cœur à tout jamais. Je la vois sourire, comme si elle entendait mes pensées.

Celles-ci s'arrêtent net, car, sans que je ne l'ai perçu, un puissant soporifique m'a été administré. Sandrine me dira que la suite était trop délicate pour que je puisse y assister. Je ne sais si je le regrette. Je me réveille avec Sylvie me couvant des yeux, mon cœur bondit. Elle sait, elle sent ce qui se passe entre nous. Je crois que Sandrine aussi, qui s'en moque, car elle a Mère à son service et cela lui va bien pour exercer son sadisme. Je n'ai bien entendu pas d'analgésique, je ressens des douleurs curieuses, mais aussi des paliptations, des sensations comme si j'avais mon sexe, sans doute l'effet du membre fantôme.

Après deux semaines de galère, avec les sondes urinaires et autres, Sandrine dévoile devant les trois femmes son chef d'œuvre. Je ne suis qu'à moitié surprise, mais folle de joie, de voir que mon sexe, mes couilles ont laissé la place à une très jolie vulve, avec des lèvres charnues, dépourvue néanmoins de petites lèvre, et avec juste un capuchon, sans clitoris. J'apprends alors que pendant ma convalescence, Sandrine a décidé de laisser ses seins à Mère, mais de réduire considérablement son clitoris, ses orgasmes sont devenus rares, difficiles, mais tellement puissants. Mère n'est plus là, son regard est rivé à Sandrine, elle est en totale adoration, fascination, dévotion, c'est tellement beau à voir. Et c'est drôle, car plus Sandrine est méchante voire ignoble avec Mère, plus celle-ci est collée à elle!

Pou revenir à moi, je passe des heures à regarder mon sexe, absolument fascinée. Mais les choses difficiles commencent, il faut étirer mon vagin, avec des exercices quotidiens et progressif pour m'ouvrir. Sylvie s'en charge, pour mon plus grand bonheur. Et lors de l'introduction du premier, petit, gode j'ai la surprise de ma vie, avec le fou rire de Sandrine, et l'incompréhension de Sandrine. Si je pisse par le vagin, c'est que Sandrine m'a greffé mon gland dans le vagin, comme un col de l'utérus, gardant ses fonctions inervées. Chaque pénétration, provoquent en moi plein de frissons, de désirs et une excitation démentielle, vaine car je ne peux plus jouir, et je reste ainsi des heures, collé à la fuck machine, au bord d'une jouissance qui ne viendra jamais. C'est le summum de sa perversité.

Avec beaucoup d'application, il ne me faut pas plus de deux mois pour avoir un vagin fonctionnel et lubrifié avec les glandes que Sandrine m'a greffée, empruntant une partie de celles de Mère. Je suis tout à fait fonctionnelle, et, hormis les testorone que je prends quotidiennement et qui me maintiennent excitée, j'ai tout d'une jeune femme, d'une magnifique jeune femme, à ce que je peux voir dans les yeux de Sylvie et de tous ceux que nous croisons dans nos sorties.

Nous sortons toutes les quatre dans un club sm et faisons sensation, mais surtout Mère qui y est chaque fois plus suppliciée, alors qu'en ce qui me concerne, c'est surtout le fétichisme qui est la pratique que Sylvie m'impose, avec des tenues d'écolières plus crédibles que nature, même si en latex ou en skai! Si j'excite énormément les hommes et femmes présents, c'est surtout Sylvie qui en ressort trempée et en besoin de sa poupée.

J'apprends que le plan initial était de me louer à l'année comme esclave sans limite pour de riches étrangers. Mais Sandrine est trop attachée à sa création, et Sylvie à moi, aussi elles décident que nous restertons ainsi à 4, Sandrine et Sylvie mariée, chacune avec sa témoin esclave à son service. Heureusement Sylvie reste dure et sadique, car cela me rassure chaque fois que je souffre, mais cela n'atteint jamais ce que j'ai pu endurer sur mes parties sensibles!

meo75
meo75
63 Admirateurs
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 9 mois

Un Happy End pour lui et une découverte de l'enfer pour sa mère

OlivX

Partagez cette Récit