Erika, esclave sexuelle 03

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Achats au sex-shop.
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Partie 3 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 09/17/2017
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Cette histoire est traduite avec l'aimable autorisation de l'auteur HotStuffPrya. Elle a été publiée en 2009.

Cette histoire est une Fiction et ne peut être réelle. Elle raconte l'exploitation sexuelle d'une jeune étudiante. Elle peut choquer. Pour les personnes n'aimant pas les récits de soumission féminine, ne continuez pas à lire.

------------------

Le lendemain matin, Erika est dans la cuisine pour me faire le petit-déjeuner. Elle porte un ensemble de sous-vêtements vert. Elle a fait une queue de cheval avec ses cheveux. Elle cuisine des toasts et du café.

Elle me rejoint dans la salle à manger et dépose les aliments en face de moi. Puis elle se tient à mes côté, immobile, les mains derrière le dos, attendant que je finisse.

Lorsque j'ai terminé, elle débarrasse la table et commence à laver la vaisselle. J'entre dans la cuisine et lui demande à quelle heure commencent ses cours.

- A 8 heures Maître! Répond-elle en rinçant un bol.

- Et quand pars-tu?

- Vers 7 heures 30 Maître!

Je regarde ma montre et je vois qu'il est 7 heures. Je lui dis qu'elle ferait mieux de se préparer. Elle laisse tomber l'éponge puis quitte la cuisine et mon appartement. Je me place devant mon ordinateur pour travailler. Dans 8 heures ma salope sera de retour à la maison.

***

Vers 16 heures, Erika revient. Elle entre dans la cuisine et se déshabille. Puis elle me rejoint. Hier soir, à notre retour, je lui ai donné la règle numéro cinq. Dès qu'elle revient, elle se met en sous-vêtements et elle me rejoint pour me sucer. Elle a besoin de vitamines tous les jours et mon sperme contient beaucoup de protéines et vitamines.

Je suis à mon bureau en train de téléphoner quand elle arrive. Je lève les yeux vers elle et en dressant mon index je lui signale d'attendre. Puis avec le doigt, je lui indique le sol pour qu'elle se mette à genoux. Elle obéit.

Quelques minutes plus tard, je raccroche, je me lèvre et me rapproche d'Erika. J'attrape sa queue de cheval et je la tire derrière moi. Nous allons au salon et je m'installe sur le canapé. J'écarte les jambes et elle se met à genoux entre. Je défais mon pantalon et elle m'aide à enlever mon caleçon. Puis elle commence à lécher ma queue de la base au gland. Enfin, elle met sa bouche sur ma queue et glisse sur elle. Elle me masse les couilles et continue de me sucer.

Je m'assois plus droit sur le canapé et je lui dis de mettre ses mains dans le dos. Je saisis l'arrière de sa tête avec mes mains et je baise sa bouche violemment. Elle fait toutes sortes de bruits :

- gacckkk... umpptttthhhhh... ggpptthhhhh.

Ces sons m'excitent et je force encore plus sa bouche. J'enfouis ma queue tout au fond de sa gorge comme je lui avais promis la nuit dernière. Après quelques secondes, je me retire. De la salive et du sperme coulent de sa bouche sur le plancher.

- Lèche salope. Dis-je.

Elle obéit et nettoie le sol, avalant tout le sperme et la salive.

Je me remets à l'aise sur le canapé et je lui demande :

- Tu as pris la pilule?

- Non Maître. Dit-elle timidement.

- Pourquoi salope?

- Le pharmacien n'en avait plus Maître.

- Tu as fait combien de pharmacies?

- Un seul Maître.

Je me lève, attrappe sa queue de cheval et je la relève. Puis je claque durement son cul en demandant :

- Pourquoi n'es-tu pas allée dans une autre?

- Je suis désolée Maître.

Je la relache et je lui demande d'aller se nettoyer. Une minute plus tard, quand elle revient, je lui ordonne d'enlever ses sous-vêtements. Puis je jette à ses pieds une petite robe verte que je lui demande d'enfiler. Elle m'obéit.

Ensuite, nous partons dans ma voiture pour aller à la pharmacie. Quand nous entrons dans celle-ci, il n'y a qu'un homme au comptoir avec des lunettes cerclées et une barbe de deux jours. Je dis à Erika :

- Tu vas lui demander tes pilules. S'il n'en a plus, qu'il trouve une autre pharmacie qui en a. Ne reviens pas sans cette information.

- Oui Maître?

Erika se dirige vers le comptoir. L'homme la regarde et sourit (Erika fait cet effet sur tous les hommes, jeunes ou vieux)

- Que puis-je faire pour vous? demande-t-il.

- Bonjour, je voudrais des pilules pour la contraception. Elle donne son ordonnance au pharmacien qui va dans la réserve. Quelques minutes plus tard, il revient les mains vides :

- Désolé Mademoiselle, nous sommes en rupture de stock.

Je m'approche du comptoir et m'assois sur une chaise. Ainsi je peux tout entendre et voir si Erika m'obéit. Elle m'a vu venir. Elle se dandine d'une jambe sur l'autre et dit :

- Oh Monsieur, j'en ai vraiment besoin. Y'aurait-il une autre pharmacie où je pourrais en trouver? Vous pouvez regarder?

Le pharmacien commence à dire :

- Mademoiselle, je peux en avoir en deux jours si vous pouvez attendre jusque-là.

- Je ne peux pas attendre. Je suis trop excitée et je veux qu'on me baise. S'il vous plaît, pouvez-vous rechercher un autre magasin.

L'homme écarquille ses yeux à ce que vient de dire Erika. A l'expression de son visage, on dirait qu'il n'a jamais vu une fille aussi excitée lui demander la pilule. Il pousse ses lunettes sur le nez et dit :

- Euhh... Et bien... Je vais voir ce que je peux faire. Je ne peux rien vous promettre.

- Merci beaucoup. Vous ne savez pas à quel point je suis excitée. J'ai tellement besoin d'une bite en moi.

Erika regarde du coin de l'œil si je l'ai entendue parler de cette façon. J'ai l'impression qu'elle se figure que si elle s'humilie alors je serai gentil avec elle. Mais je veux sa chatte et je l'aurai.

Le pharmacien regarde dans son ordinateur, en jetant de fréquents coups d'œil à la jeune fille en se demandant si on lui fait une blague. Quelques minutes plus tard il dit :

- Désolé Mademoiselle mais je ne trouve rien.

- Zut. Vous ne pouvez vraiment pas m'aider. J'ai besoin de ces pilules.

- Vous pouvez toujours utiliser des préservatifs en attendant.

- Je ne veux pas de préservatifs. Il ne voudra pas les mettre. Je veux dire qu'il n'aime pas porter des préservatifs. Il préfère la sensation naturelle de sa queue à l'intérieur de moi.

Une fois de plus, elle me jette un coup d'œil.

- Eh bien, je ne sais pas que vous dire... J'ai regardé partout et je ne le trouve pas.

- Regardez encore s'il vous plait. Je vous récompenserai si vous trouvez. Dit Erika en caressant le visage du pharmacien.

Celui-ci en laisse presque tomber son stylo. Il dit :

- je vais encore regarder.

Puis il disparait dans sa réserve.

- Il ferait mieux de revenir avec quelque chose. Dis-je à Erika.

La jeune fille se tourne vers moi et dit :

- je suis désolée Maître. Je suis vraiment désolée.

Au même moment, le pharmacien revient avec un petite bouteille de pilules :

- J'ai trouvé Mademoiselle, elle étaient rangées au mauvais endroit.

Les yeux d'Erika s'illumine et elle lui répond :

- Oh merci beaucoup.

Il lui tend les pilules et elle les paye. Puis elle regarde autour d'elle pour s'assurer qu'il n'y a personne d'autre que moi. Elle se tourne vers l'homme et fait glisser les bretelles de sa robe pour exposer ses seins bien fermes.

Les yeux du pharmacien s'écarquillent et il s'approche. Il tend ses deux mains pour les poser sur la poitrine exposée. Puis il la malaxe et pince les tétons. Erika est sur le point de crier mais elle se retient. Elle fait un pas en arrière, remonte sa robe et s'éloigne très vite.

L'homme me regarde et dit :

- Personne ne va me croire. Celui qui la baise est vraiment chanceux.

Je me contente de sourire et je sors de la pharmacie. Je rejoins Erika dans la voiture. Elle est en train de mettre une pilule dans sa bouche et elle boit de l'eau pour faire passer. Elle me sourit. Je ne dis rien et je démarre.

Dix minutes plus tard, je me gare devant un sex-shop. J'ordonne à Erika de m'accompagner. Nous sortons de la voiture et entrons dans le magasin.

Un homme de 40 ans environ se trouve derrière le comptoir. Il discute avec deux autres hommes de son âge. Quand ils nous voient entrer, ils cessent de parler. Ils regardent derrière moi et fixent Erika. L'un des hommes est bouche bée. J'avance et je dis :

- Bonjour, Pouvez-vous m'aider?

- Bien sûr. De quoi avez-vous besoin? Me demande le caissier tout en regardant Erika.

- J'ai besoin d'un collier de chien avec sa laisse et peut-être aussi de pinces à mamelons.

- Les colliers c'est rayon 3, et les pinces c'est rayon 5.

Je me dirige vers le rayon 3. Erika me suit, la tête baissée. C'est la première fois qu'elle entre dans un sex-shop et elle est gênée. Elle sent dans son dos que les trois hommes la reluquent.

Dans le rayon indiqué, je regarde les colliers et j'en trouve un en cuir noir gravé avec le mot « SALOPE ». Je le mets autour du cou de la jeune fille et je recule pour l'admirer. J'aime bien. Ce collier est bien approprié sur elle. Je choisis une laisse avec des maillons en fer pas trop petits pour pas qu'ils cassent mais pas trop gros non plus. J'attache la laisse au collier et je tire dessus. Erika trébuche en avant. Je continue à tirer pour aller à l'autre rayon. Je fais attention à ce que les hommes me voient bien trainer ma soumise par la laisse.

Je regarde les différentes sortes de pinces et en choisit trois. Puis je me dirige vers le vendeur en tirant Erika derrière moi. Je pose mon choix sur le comptoir et je demande :

- Pourriez-vous m'aider à choisir quelles pinces sont les mieux?

Le caissier saisit une des pinces à mamelon, une petite pince métallique fine, et il dit :

- Eh bien, celle-là pince légèrement le mamelon. Il n'y a pas une grosse douleur.

- Ah, j'aimerai essayer.

Puis je regarde Erika et lui ordonne :

- Viens ici!

Je lui demande alors d'enlever sa robe. Elle fait glisser les bretelles sur ses épaules et la robe tombe au sol. La jeune fille est maintenant debout devant nous, complétement nue à part le collier de chien. Je pose la pince sur un mamelon. Erika se mord la lèvre inférieure. Lorsque je tire, elle gémit légèrement. Mais ce n'est ce que je veux. J'enlève cette pince et je demande au vendeur :

- Vous n'auriez pas autre chose?

L'homme a un large sourire et attrape un ensemble de pinces derrière son comptoir. Il ouvre le paquet et me tend une paire de pinces en métal reliées par une chaîne. Tout de suite, je les pose sur ma soumise qui crie un peu mais pas trop. Je tire dessus et Erika grimace. Je dis au vendeur :

- Ok je les prends avec le collier et la laisse. Combien?

- 56 euros.

Je paie le caissier en espèces, regarde Erika pour lui dire :

- Remercie le vendeur de nous avoir aidé!

- Merci d'avoir aidé mon Maître. Dit-elle.

- Maître? J'aime bien la façon dont les jeunes aiment les jeux de rôle de nos jours. Dit l'un des autres gars.

Ses cheveux sont lissés en arrière mais on peut clairement voir du blanc sur les côtés. Il porte de lunettes et son visage est grassouillet. Il continue de parler :

- Elle est très jolie cette créature.

- Merci. Répond-je.

Il me tend la main et dit s'appeler Allen. Je me présente ainsi qu'Erika. Celle-ci le regarde et hoche la tête pour dire bonjour.

- Euhhh, je me demande.... Si elle est.... Euhhh.... Vous voyez?

- Hein? Oh, vous voulez savoir si c'est une bonne affaire? Elle est bonne mais doit être formée un peu plus sur la manière de faire plaisir aux hommes. Dis-je en m'accoudant au comptoir.

Maintenant, les trois hommes détaillent Erika de haut en bas. Elle ne bouge pas, la tête baissée, les mains dans le dos. Les pinces sur ses mamelons font qu'ils durcissent. Son visage est rouge d'embarras.

L'homme à lunettes dit :

- Eh bien, si vous avez besoin, je peux lui apprendre à être une bonne soumise. Dites-moi si vous voulez de l'aide. Ah ah ah!

- Moi aussi, comme Allen je me propose d'aider. Dit le caissier.

Le troisième homme hoche simplement de la tête et fait un clin d'œil à Erika. Je réponds :

- D'accord, je vais garder cela à l'esprit.

- Pas de problèmes! Il vous faut autre chose : gode, plug, lotion, menottes....Demande le vendeur.

- Hummmm, un plug anal... Qu'en penses-tu Erika, tu veux essayer?

Elle me regarde en sachant bien que je ne lui demande pas vraiment son opinion. Elle comprend que je veux lui faire dire qu'elle veut essayer. Elle dit :

- J'aimerai bien essayer des plugs anaux Maître.

- Je suis désolé mais je ne t'ai pas entendue. Peux-tu parler plus fort?

- J'aimerai essayer des plugs anaux Maître. Dit-elle plus fort.

- Bien, laissez-moi vous aider à en choisir un. Dit Allen.

Il se dirige vers Erika, place sa main dans son dos et la pousse légèrement vers le rayon 2. Je les suis tout en regardant la main de l'homme descendre lentement vers le cul de la jeune fille.

Quand nous arrivons au rayon, la paume de l'homme est fermement pressée contre la fesse gauche d'Erika. Quand Allen enlève sa main, une trace rouge reste sur la peau blanche. L'homme choisit alors deux plugs : L'un est noir avec une tête pointue, l'autre est en argent avec un bout rond. Il me les tend pour que je puisse les inspecter. Après quelques secondes, je les lui rends en disant :

- Comme vous m'avez aidé à choisir, je pense que c'est à vous de les mettre dans son cul.

Allen saisit rapidement les plugs. Puis il demande à Erika de se tourner et de se pencher. Elle obéit. L'homme écarte ses jambes puis, il écarte les fesses et introduit le gode noir. Erika laisse échapper un cri de douleur. Mais Allen pousse le plus aussi profondément qu'il peut puis il recule.

Erika se redresse et nous fait face. Je lui demande :

- Comment te sens-tu?

- Je me sens bien Maître. Répond-elle la tête baissée.

- Regarde-moi quand je te parle! Dis-je en haussant le ton.

Elle relève la tête et montre son visage rouge de honte. Elle dit :

- Je me sens bien Maître.

- Bon, revenons au comptoir et demandons aux autres gars.

Je prend la laisse et je la tire en avant.

Le deuxième gars au comptoir est en train de sentir l'odeur d'Erika sur sa robe. Quand il nous voit, il laisse tomber le bout de tissu et saisit sa bite à travers son pantalon.

- Vas-y, demande-leur! Dis-je à Erika.

- Est-ce que ça me va? Dit-elle en se retournant et se penchant pour qu'ils puissent bien voir.

- On dirait que c'est fait pour toi ma chérie. Dit le vendeur.

- Mais ma bite serait mieux. Dit l'homme qui a reniflé sa robe.

- Allen, essayez l'autre s'il vous plait.

A peine ai-je fini ma phrase que l'homme est déjà sur elle. Il retire le plug noir et insère immédiatement l'autre. Erika pousse un cri plus fort alors que la tête ronde perfore son petit trou. Mais c'est moins fort que hier soir où je l'ai bien sodomisée.

- Comment te sens-tu?

- Bien Maître... celui-ci est mieux.

- Bon, bien, Combien coûte celui-là? Demandé-je au vendeur.

- Le plug argenté? 49,90 euros. Mais pour vous je le fait à 39,90.

- 40 euros, Je ne sais pas trop. Dis-je.

- Maître s'il vous plaît, s'il vous plaît, achetez ce plug pour moi. Dit Erika.

Elle s'approche de moi, se met à genoux et saisit ms chevilles. Puis elle supplie :

- Je vous promets de le porter tous les jours. Même pendant mes cours.

- Hummmmm... Bon si tu le veux vraiment. D'accord, je vais prendre celui qui est coincé dans son cul. Dis-je au vendeur en lui tendant l'argent.

- Merci Maître. Dit Erika.

Allen dit alors :

- Maintenant qu'elle a un plug anal, pourquoi ne pas trouver quelque chose pour sa chatte, un gode peut-être.

- C'est pas idiot. Vous pouvez lui en montrer? Demandé-je à L'homme à lunettes.

Allen prend Erika par la laisse et s'éloigne dans les rayons. Quelques instants plus tard ils reviennent, la jeune fille portant plusieurs godemichets et vibromasseurs dans les mains. Elle pose tout sur le comptoir devant moi.

Les trois autres hommes se pressent autour de nous, chacun donnant son avis sur celui qu'elle devrait essayer. Le caissier prend un des objets long de 30 centimètres et dit :

- Celui-ci est nommé le monstre des godes.

- Veux-tu l'essayer Erika? Demandé-je.

- Oui Maître. Me répond-elle.

- Bien. Dites les gars, pouvez-vous l'aider à monter sur le comptoir qu'elle soit plus à l'aise?

Les trois hommes font place nette sur le comptoir en jetant les objets qui s'y trouvent par terre. Puis ils saisissent la jeune femme pour la monter dessus. Erika s'installe confortablement. Je lui tend le gros vibromasseur. Le vendeur a déjà mis des piles et allumé l'interrupteur.

Erika saisit l'objet massif et l'insère lentement dans sa chatte serrée, cette chatte que je n'ai pu encore baiser car elle n'avait pas pris de pilule.

La jeune fille insère le gode aussi profond qu'elle le peut. Elle commence à gémir et pousser des petits cris. Elle fait des va-et-vient avec le vibromasseur de plus en plus vite tout en criant de plus en plus fort.

Et tout en pistonnant sa chatte humide avec l'engin, elle commence à malaxer ses seins. Je me penche et tire sur la chaine reliant les deux pinces sur ses tétons. Ce qui la fait crier encore plus.

Elle se déchaine sur le vibromasseur qui sort et entre de son vagin à grande vitesse. Puis elle soulève une jambe en l'air et commence à pousser le gros gode tout au fond de son sexe.

L'homme silencieux défait son pantalon et se masturbe. Allen et le vendeur font bientôt de même. Erika est encore plus excitée de voir trois inconnus se masturber. Elle accélère encore plus le mouvement et crie très fort. Puis elle jouit bruyamment, le jus de sa chatte coulant sur le comptoir.

Tout en se remettant de son orgasme, elle joue avec le vibromasseur sur sa chatte. Elle se détend. Le gars silencieux se branle de plus en plus vite si bien qu'il est bientôt prêt à éjaculer. Sans trop y penser, il vise la poitrine de la jeune fille et la tapisse de grands jets de sperme.

Erika est surprise. Elle crie. Mais l'homme continue à se vider sur ses seins. Dès qu'il a fini, Allen et le vendeur prenne le relais. Ils éjaculent en même temps sur ma soumise : Allen sur son visage et ses cheveux tandis que le caissier se libère sur son ventre.

Quand les hommes ont fini, Erika s'assoit sur le comptoir et me regarde. Je souris et je dis :

- Je pense que ce vibromasseur est un bon choix. Je le prends.

Erika, toujours assise, commence à essuyer le sperme sur son visage, ses seins et son ventre. Je lui rappelle la règle numéro 4 qui ne s'applique pas seulement à mon sperme. Alors elle lèche ses doigts recouverts de sperme jusqu'à ce qu'ils soient propres Puis elle continuer à récupérer le liquide sur son corps. Enfin elle demande :

- Maître, puis-je sucer la dernière goutte de sperme de ces hommes?

- Oui.

Elle se dirige d'abord vers Allen, se met à genoux et lèche sa bite. Elle suce le gland pour le rendre propre. Puis elle fait la même chose à l'homme silencieux et au caissier. Ayant fini, elle revient au centre du magasin et s'immobilise, les mains derrière le dos, la laisse tombant devant elle et la chaîne entre ses mamelons ondulant.

- C'est une sacrée putain de salope que vous avez là. Dit Allen.

- J'approuve. Dit le vendeur.

- Je suis content de m'être trouvé là aujourd'hui. Dit le troisième homme, parlant ainsi pour la première fois.

Je me tourne alors vers Erika et je dis :

- Bon ça suffit. Mets ta robe à moins que tu ne veuilles rentrer à la maison dans cette tenue.

Elle saisit la robe et l'enfile par la tête cachant ainsi les pinces de ses tétons.

- Dis merci avant que nous partions.

- Merci à vous tous.

Je prends la laisse et je tire ma soumise hors du magasin sous les applaudissements des trois gars.

A suivre...

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Anonymous
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AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans

Excellent, vivement la suite

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