Entre les mains d’Amalia

Amalia et le tatoueur n'en finissaient plus d'admirer ma vulve...encore plus proeminente du fait de l'echauffement du baume dépilatoire..

Morte de honte, je finis par rabattre le pan du tissu qui me servait d'habit.

Ils parurent surpris et Amalia dit d'un ton sévère : « je pense que tu as besoin d'un peu d'éducation... Rentrons maintenant »

Le retour vers l'appartement me semblatdurer une éternité..je sentais l'air moite de la Guyane sur ma peau fraichement dénudée..mais en même temps, chaque effleurement du tissu sur le devant de mon corps était comme une carresse qui me procurait une excitation involontaire.

A peine arrivées dans l'appartement, Amalia m'ordonna de me mettre nue...

Je n'arrivais pas à résister à l'ascendant croissant que cette femme exercait sur moi.

Je me débarassais donc du tissu que me recouvrait.

Elle m'attira alors vers la glace de l'armoire de la chambre..

« regarde comme tu es superbe...une femelle dans toute sa splendeur...tes mamelles sont magnifiques...ta tribu avait trouvé un nom parfait pour toi..mais je te veux pour moi...je veux que tu sois ma femelle blanche... »

Je ne savais quoi dire..dans le mirroir je voyais ses mains parcourir mon corps, malaxant mes seins , en pinçant les pointes...puis descendre vers mon sexe...

Elle pris mon clitoris entre son pouce et son index et commença à le branler vigoureusement..Je poussais un gémissement alors que mes jambes se dérobaient sous moi et je dus m'appuyer sur larmoire pour ne pas tomber...je sentis alors son autre main s'insinuer par derrière et un doigr s'enfoncer dans mon sexe...alors que son pouce forçait l'anneau de mon cul...je poussais un cri...et tentais de me dérober...mais elle renforça sa prise et de son autre main saisit mes cheveux qu'elle tira en arrière...

« tout doux ma belle femelle..!tu as besoin d'être domptée...tu es une jument sauvagemais bientot yu seras à ma main... »

Les minutes qui suivirent ressemblèrent en effet à un rodéo...le mirroir me renvoyait mon image...ruant de la croupe pour essayer de mes libérer des ses doigts...sa main fermement aggrippée à ma crinière....et je finis par m'avouer vaincue...me retrouvant à quatre pattes sur le sol...mamellespendantes frémissant au rythme de mon souffle saccadé..

J'aurais voulu lui cachet que j'avais joui sous ses doigts...mais mon sexe était trempé...

Elle se retira de moi avecun grand rire...

« tu vois ce n'était pas si pénible..tu t'y feras trés vite...maintenant à mon tour »

Elle me repris par les cheveux et sans ménagement me tira vers le lit où elle me fit allonger sur le dos.

S'étant dévétue, elle vint s'assoir sur monvisage et ses lèvres s'emparèrent de mon clitoris...

J'acceptais alors de lui rendre la pareille...

Nous étions trempées...de sueur et de plaisir...mais je me rendais compte que j'étais en train de perdre le contrôle...de mon corps ...de mon esprit.et de ma vie comme je devais le réaliser plus tard..

Toutefois, le lendemain, alors que nous déjeunions (moi nue elle habillée..), je lui demandais ce qu'elle attendait de moi.

Nous devions partir deux jours plus tard, et je n'avais aucun projet une fois rentrée en métropole, et surtout aucun point de chute à part des parents éloignés dont j'ignorais par ailleurs la localisation exacte.

Elle fut très franche: « je veux que tu sois ma femelle...disponible pour mon plaisir...tu pourras continuer à travailler , mais tu devras vivre avec moi...suivre mes règles...mais je te laisse réfléchir ce matin...tu peux me dire non.. et tu pourras partir quand tu voudras si tu le souhaites...mais rappelles toi...tu seras ma femelle et traitée comme telle.. »

Le plaisir de la soumission me tendais les bras....et après quelques heures de réflexion...je lui dis que j'acceptais..

« Très bien...nous allons bien nous amuser je pense..pour commencer on va aller t'habiller pour le voyage de retour, et il y a une petite formalité à accomplir pour officialiser notre marché... »

Je l'entendis téléphoner à son cousin tatoueur..sans comprendre ce qu'ils se racontaient.

Puis nous sortimes pour aller dans la seule boutique de vêtements de la ville..

« c'est moi qui choisit comment tu seras habillée dorénavant.. »

J'étais toujours nue sous le « boubou poncho » qu'elle m'avait prêté les premiers jours.

La vendeuse, une jeune métisse nous accueillit avec un grand sourire

« je cherche une tenue de voyage pour mon amie »

« oui en effet..là c'est un peu...comment dire...sexy pour prendre l'avion... »

« j'ai pensé à un leggins et un chemisier léger si vous avez ça... »

« oui bien sûr »

La vendeuse nous fis rentrer dans la cabine d'essayage.

« mets toi nue...je veux qu'elle te voit en revenant... »

Lorsque la vendeuse ouvrit le rideau, j'étais debout nue au milieu de la cabine....

« oh! pardon »

« ne vous faites pas de soucis...elle est habituée..elle vient de vivre nue au milieu d'une tribu pendant deux ans.. Elle avait même un nom tribal...la blanche aux grosses mamelles..»

La vendeuse, sans aucune gêne, avait les yeux fixés sur mon sexe...

« surprenant n'est ce pas?...et vous veriez son clitoris quand elle est excitée... c'est rare...elle a bien de la chance »

J'attendais...rouge de honte les yeux baissés...La vendeuse posa les vêtements et s'apprétait à nous laisser quand Amalia lui dit de rester...

« vous pourrez donner votre avis comme ça.. »

J'enfilais alors le jogging et le chemisier choisis.

Amalia se leva et déboutonna le haut du chemisier pour un décolleté plus profond.

De plus elle tira sur le leggins à la taille, ce qui eut pour effet de mouler ma vulve en détail..

« voila..tu es très belle comme ça...pas la peine d'essayer autre chose...ça me plait... »

Je n'avais pas mon mot à dire..je commençais à comprendre qu'Amalia était fière d'exhiber sa « femelle »

La vendeuse avait compris aussi et adressa un clin d'oeil entendu à Amalia.

« Bon voyage et amusez vous bien » dit elle en nous tenant la porte..

Les regards des personnes croisées dans la rue et leur réflexions parfois obscènes contentèrent Amalia...

Je la voyais fière de m'exhiber ainsi...demontrer qu'elle me possédait...mais il lui fallait aller plus loin.

« maintenant nous allons chez mon cousin Djambé...j'ai un cadeau pour toi »

Je ne savais pas à quoi m'attendre..si j'avais su peut etre aurais je renoncé à me soumettre à sa volonté écrasante...