Enceinte

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Une femme enceinte entre fantasmes et réalité.
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Jipai
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Vous me remettez tant de choses en mémoire! Quelle salope j'ai pu être pendant le temps de ma grossesse. c'est fou comme l'état d'esprit d'une femme peut être transformé autant que son corps voire même davantage.

Je vous rassure, vous racontez si bien mes aventures, que j'espère être à la hauteur en retour. Vous avez bien saisi l'ambiance au travail, le patron lubrique, excitée par mon état et par ma complaisance aussi car il faut bien vous l'avouer je me laissais faire avec délice, frissonnantes quand mon collant était empoigné et vigoureusement déchiré. Le bruit du tissu craquant sous des doigts vigoureux, était comme un viol déjà, et j'avais ce désir ardent de me faire violer. Je frémissais quand deux mains fortes et décidées ouvraient le chemin pour la bite de mon patron. Il me prenait le matin pour se mettre en forme disait il. Une saillie debout sur mes talons la robe relevée sur les hanches, les cuisses un peu écartées, juste assez pour le laisser passer lui ouvrir le chemin de mon sexe, et puis aussi sentir sa bite chaude progresser vers ma vulve. Je ne sais pas pourquoi à ce moment-là, je pensais à sa femme toujours si bien mise dans ses tailleurs chics quand on la croisait en ville. Elle, si distinguée quand elle vous offrait le thé chez elle, le chignon si élégant que l'on ne pouvait pas l'imaginer une seule seconde en bataille. Elle, si pomponnée et toujours un peu distante, que j'avais tendance à lui trouver le cul serré.

Je me livrais sans retenue à son mari et je n'avais pas à ce moment-là le cul serré, loin s'en faut.

Jérôme, mon collègue, m'accueillait le matin avec son sourire en coin, il n'était pas dupe et moi j'étais rougissante comme une collégienne en face de lui. Ce chef de service m'a longtemps impressionné, on le connaissait frôleur et les femmes s'en méfiaient car sa main s'égarait facilement sous une jupe ou sur les fesses si vous portiez un pantalon. Mais vous avez une fois de plus raison, je suis tombée sous son emprise à ce moment de ma vie où j'étais bien fragile, sexuellement accessible et facile. Il lui a été facile de placer sous mon bureau cette caméra indiscrète dirigée vers mes cuisses en permanence. Comment voulez-vous que je travaille sereinement quand je recevais des mails courts et impératifs: « ouvre » ou encore « écarte », vas y « écarte plus, je bande » etc. tout y passait, j'étais sa salope, me livrant pour lui à des séances de masturbation qu'il voyait depuis son bureau.

Alors quand il devait se rendre en province en visite de chantier, il me prenait avec lui, plus pour agrémenter ses journées et ses nuits que par réelle nécessité. Oui je l'ai branlé en voiture, je l'ai sucé aussi, penchée sur lui tandis que la voiture filait sur l'autoroute. Comment avons nous pu nous mettre ainsi en danger? Et puis le soir à l'hôtel il ne prenait qu'une chambre pour économiser disait il, mais surtout pour pouvoir mieux jouir de moi. Nous baisions comme des fous, il me prenait plusieurs fois en une soirée, je le rendais dingue quand je me déshabillais devant lui, me livrant nue et en talons hauts, cambrée, les seins bien tendus, le ventre proéminent, les fesses rondes et ondulantes quand il me faisait marcher devant lui. Pendant ce temps il se masturbait en me proférant des insanités. Il s'approchait de moi par derrière, se collait à moi en m'empoignant les seins pendant que je téléphonais à mon mari pour lui raconter ma journée. Il me caressait le ventre pendant que j'expliquais à Georges où trouver les pates qu'il ferait cuire pour son dîner. Il me caressait le sexe pendant que j'expliquais à mon époux comment mettre en marche le lave-linge, ses doigts ouvrant ma fente et excitant mon clitoris alors que je souhaitais une bonne nuit à mon mari.

Il s'en suivait des chevauchées féroces où il m'imposait son sexe tendu pour des longues séances de pénétration qui me laissaient l'utérus douloureux, le vagin fatigué et ouvert. Il testait toutes sortes de positions mais il aimait par-dessus tout me prendre en missionnaire malgré mon ventre, me regarder dans les yeux et lire sur mon visage mais réactions tout en me pistonnant la fente.je le soupçonnais d'être un peu sadique et de bander davantage encore en me voyant le visage crispé, entre douleur et désir.

Alors oui je peux vous l'avouer bien des hommes ont profité de moi pendant ces neuf mois. Des médecins, des collègues mais aussi de façon plus intime et plus tendre mon père qui avait provoqué tout ceci.

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