En Folie

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Une petite vite avec une compagne de travail.
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R.Klock
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Assise sur le bureau de travail, Suzie me sourit d'un air très espiègle et tout son corps dégage une image très sensuelle. Mon regard est attiré vers la blancheur de ses cuisses. D'un geste d'une main, Suzie me fait signe de m'approcher tout près d'elle, en pointant un doigt vers elle pour m'attirer encore plus près. Suzie met un doigt sur ses lèvres et me dit tout bas:

Tut!, tut!. Sois sage.

Ses mains descendent à la hauteur de sa poitrine et elles détachent un bouton de sa blouse qu'elles ouvrent pour me dévoiler ses seins nus. J'en reste bouche bée.

À ma grande joie, Suzie avait imaginé ce scénario. Elle avait enlevé sa brassière et défait tous les boutons de sa blouse, sauf un. J'en suis fou de joie. Suzie m'en met plein les yeux.

Ses seins sont volumineux et bien fermes. Suzie continue de s'exhiber en se faisant bouger le haut du corps dans des gestes très érotiques. Sa main palpe son sein droit. Suzie le caresse délicatement du bout des doigts en jouant avec son mamelon qui durcit et s'allonge rapidement.

J'en ai l'eau à la bouche et la dévore des yeux. Sa peau est plus claire que je croyais, elle est très pulpeuse. Ses mamelons sont la grosseur d'un gros raisin et ils ornent deux larges auréoles d'un brun très foncé. C'est très affriolant. La femme répète le même manège avec le sein gauche.

Suzie place ses mains derrière ma tête et elle m'attire sur sa poitrine. La femme me serre contre ses seins moelleux.

Je lui palpe les seins de mes deux mains. Mes lèvres happent un mamelon. La petite bête me durcit dans la bouche.

Faut se calmer!

Suzie s'éloigne de moi. Elle ramasse sa brassière qui traînait sur le bureau de travail.

Surveilles, s'il n'y a personne en vue,

qu'elle me dit. Suzie enlève complètement sa blouse. Elle se tourne pour faire un tour complet sur elle-même et pour me gâter encore plus, elle se penche et bouge les épaules en faisant sautiller ses seins. Je ne manque rien du spectacle qui dure quelques secondes. Suzie remet lentement sa brassière et elle reboutonne sa blouse convenablement.

Faut se calmer!

Mais je vois la flamme dans ses yeux. Elle rajoute:

Nous avons déjà fait pas mal de folies. Il peut monter quelqu'un ici en tout temps.

Je lui réplique:

Ça va rendre le jeu encore plus excitant.

Après un court silence, elle me dit:

Il va falloir être très silencieux.

Je me hâte de glisser ma main sous sa jupe. Une autre surprise m'attend. Ma main touche son sexe nu, sans sa petite culotte. Aussitôt, ma main la masturbe. Sous mes caresses, la femme s'ouvre encore plus et elle se frotte contre moi. Suzie me dit tout bas:

Continues, si tu savais comme c'est bon.

Tout ce temps-là, elle a les yeux mi-clos. Sa langue se promène sur ses lèvres en suivant le rythme de mes doigts sur son sexe.

Surtout!, m'arrêtes pas, qu'elle me dit. Son pouce est entre ses lèvres et il me semble qu'il les caresse comme dans des mouvements d'une lente masturbation. Suzie place une main sur mes épaules. La femme s'appuie sur moi de tout son poids. Sa main descend lentement sur ma poitrine, cette main frotte mon ventre. Lorsqu'elle touche le bas de mon ventre, je bande au maximum.

La main de la femme frôle mon pénis au travers de mes jeans, elle le parcourt sur toute sa longeur et lorsqu'elle la passe sur mes testicules, je ne peux m'empêcher de siffler.

Suzie se penche, elle détache la ceinture de mon pantalon et fait glisser la fermeture éclair. La femme rélêve la tête vers moi en me faisant un grand sourire, sa langue circule impudiquement sur ses lèvres. L'instant d'après, la femme plonge sur mon sexe en plein érection. Sa bouche parcourt ma verge sur toute sa longeur et elle s'attarde sur le bout de mon pénis qui veut éclater de plaisir. J'en suis tout troublé et respire en haletant. Le temps c'est comme arrêté .

Elle me demande:

Aimes-tu, cà!, je gronde en signe de réponse.

La femme interrompt le plaisir pour me dire:

Je te veux.

De ses deux mains, la femme tient ma verge et la chatouille de sa langue. Je suis bandé à l'extrême. La femme frôle mon pénis sur ses joues, son nez, son menton. Tout cela me semble durer une éternité. La femme ouvre la bouche et elle passe l'extrémité de mon sexe sur ses lèvres, en m'agaçant du bout de sa langue.

Je n'en peux plus du doux supplice. La femme laisse couler ma semence sur ses lèvres et sur son menton pendant que ses doigts pressent mes testicules. J'en râle.

La femme a les yeux à demi-fermés, elle ronronne comme une chatte. Je lui prends le visage de mes deux mains, et , je l'aide à se relever. Après un baiser fougueux, la femme ronronne de féminité en s'accrochant à moi. Elle me dit en me regardant dans les yeux:

J'ai envie de toi.

Je lui souris et lui dis:

Moi aussi.

Sa main masse mon pénis qui est rendu tout mou. La femme se penche sur lui, le reprend dans sa bouche, elle me liche.

Sous la chaleur de son souffle, je sens ma verge qui commence à revivre. Suzie retrousse sa jupe. Elle me fait signe de m'étendre sur le dos, elle caresse mes testicules de ses deux mains et lorsque je bande à nouveau, la femme descend lentement sur mon membre. De ses deux mains, elle guide mon pénis, tout d'abord en le frottant sur sa touffe de poils et très doucement la femme l'approche de sa fente. Losqu'elle tente de l'introduire en elle, je ne suis pas assez rigide. Je la sens impatiente, mais malgré qu'elle me veut tout de suite, je sais qu'il me faut attendre encore. Pour comblér sa fougue, je place mes mains sous ses fesses et l'attire au-dessus de mon visage. La femme comprend l'enjeu et me dit:

T'es fou, t'es fou.

Je ne lui laisse pas le temps de rouspéter. Pendant une fraction de seconde, je lui entrevois le sexe. J'y plonge comme un affamé et la goûte. Mes lèvres parcourent ses lêvres bien ouvertes, pendant que ma langue découvre son clitoris qu'il déguste. La femme s'ouvre au maximum, se caresse à mon étreinte.

Ma langue plonge en son tunnel et tel un pénis, elle la darde en profondeur. Je me frotte tout le visage à son sexe. Je suis fou de son goût de femme. Suzie participe beaucoup, elle bouge comme une démone, elle aussi. J'entends son cri:

Je viens!, je viens!

Je me régale à sa saveur juteuse et j'entends son fou délire. Après ces délicieux moments, je la soulève, la guide au-dessus de mon pénis. Cette fois, je suis dur comme une bar de fer. La femme se laisse descendre sur ma verge et elle me chevauche aussitôt.

J'entre en elle, c'est très chaud. Notre rythme est très lent. J'avance un petit peu à l'intérieur de son tunnel, pour me retirer presqu'aussitôt. Je la pénêtre encore plus profondément et me retire à nouveau.

Nous sommes tellement mouillés tous les deux que le bruit de suction de nos deux sexes l'un dans l'autre, me fait bander de nouveau à en vouloir exploser. La femme ne cesse de m'encourager en répétant:

C'est bon!, c'est bon!

Suzie part à l'épouvante, elle me travaille de toute son énergie en se frottant toujours plus intensément comme mes testicules. Je parcours son tunnel de rêve en explorant ses parois qui s'accouplent intimement à mon sexe. J'arrête au début de ses lèvres et entre à nouveau rapidement en elle. La femme bouge comme un démon, elle aussi, si bien que je dois lui dire:

Attention!, je suis prêt à décharger.

Au lieu de m'éloigner, la femme m'empoigne par les hanches. La femme accentue la vitesse, elle se masturbe sur ma verge en me griffant le dos. La femme s'ouverte au maximum. Je viens en explosant en elle pendant qu'elle me chuchote:

Je te veux!, je te veux!

La femme se colle contre mon corps, elle s'agite encore quelques secondes sur mon membre et lentement, elle se laisse tomber sur mon corps de toute sa pesanteur. Nous sommes en sueur tout les deux. Nous nous reposons quelques instants pour reprendre notre respiration. La femme demeure inerte sur moi pendant une couple de minutes, je la fais s'étendre sur le dos et je repose ma tête sur son ventre.

Doucement, je m'infiltre à l'intérieur de ses cuisses. Je ne peux résister à la tentation. Je vis un vieux phantasme. Tous mes sens sont en éveille. Ils se saoulent à son odeur, ils la regardent, la reniflent, la palpent, la respirent, la goûtent.

J'entends la femme ronnonner, ce qui me rend encore plus fou. Je m'enhardis de toutes les audaces.

Lorsque nous nous sommes relevés, nous avons pris le temps d'ajuster nos vêtements en nous souriant d'un regard complice.

Tu es pas si pire pour un bonhomme de quarante-neuf ans. Puis, moi, comment tu me trouves,

qu'elle s'empresse de rajouter. Je la regarde droit dans les yeux. Je fais exprès pour la faire languir et après un instant de réflection, je lui réplique:

Si je fais une évaluation comme dans les sports olympiques. Je te donnerais une note de neuf sur dix pour ta participation Un autre neuf sur dix pour ton enthousiasme et pour ton initiative.

Maintenant, pour les notes techniques: Pour m'avoir caresser, ça vaut un autre neuf sur dix, et, pour me laisser te caresser, je te donne un gros dix plus.

Bon, maintenant, pour la note finale, je te donne un score parfait.

Tu sais Suzie, nous deux, c'est peut-être juste une aventure d'un jour. Mais, au début de l'après-midi, tu m'as demandée ce qu'il y a dans ma petite cervelle. Je te garantis que dans un coin de ma mémoire, il y a un tiroir où c'est écrit: Suzie.

Jusqu'à aujourd'hui, c'était marqué: une maudite belle plotte. À partir de maintenant, ça va être marquer: bonne botte.

Suzie me saute au cou et elle me donne un baiser fougueux. C'est une longue tendresse. Nous avons juste le temps d'être habiller convenablement, lorsque nous entendons des pas dans les marches d'escalier. C'est Robert, le copain de Suzie qui est plus à bonne heure que prévue. Il vient la chercher pour la fin de semaine.

Il nous dit:

Vous travaillez fort pour un vendredi après-midi.

Suzie lui répond:

Nous avions l`inventaire à terminer. J'ai dû travailler fort, mais j'ai bien aimé cela travailler en sa compagnie.

Elle ajoute:

J'ai même appris quelques nouveaux trucs.

Elle termine en me faisant un beau clin d'oeil.

Son copain nous dit:

J'ai bien vu cela que vous avez travaillé forts. J'ai dû parler une bonne vingtaine de minutes avec Linda, avant de monter voir ce que vous foutez de bon.

Elle m'a dit que vous en avez ri un coup cet après-midi.

Ouf!, une chance qu'il est placoteux, parce que sans cela, c'est le cas de le dire, nous nous serions fait prendre les culottes baissés.

Ils me disent:

Bye!, bye!

Ils me quittent et s'en vont tous les deux, la main dans la main. Suzie se retourne avant de descendre les marches d'escalier. Elle me fait un clin d'oeil, en se passant la langue sur le coin des lèvres. Je vois son sourire moqueur. Avec ses lèvres elle me fait:

Bonne botte.

R.Klock
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