Emmanuelle, Déchéance Africaine 04

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

- Comme tu peux le voir, Fatou est parfaitement docile. Elle me sert depuis son arrivée à la faculté car elle m'a été confiée par ses parents que je connais de longue date. J'ai beaucoup pris soin d'elle et depuis son arrivée à Dakar, elle fait tout pour me satisfaire. J'ai commencé par la déflorer puis je l'ai doucement amenée à se donner, d'abord à ses professeurs hommes ou femmes et maintenant elle se livre de son plein gré à ses collègues. Elle va beaucoup nous manquer!! Penses-tu pouvoir la remplacer?

- Mon maître m'a confiée à vous, Monsieur, et il m'en voudrait sûrement si je n'étais pas à la hauteur de vos espérances. Répond Emmanuelle d'une voix pleine d'assurance.

- Approche, je veux que tu remercie Fatou de partir te remplacer à Paris.

- Bien, Monsieur!! déclare Emmanuelle en se levant de son fauteuil pour venir prendre place à la droite de Fatou.

Le doyen retire sa main de l'entrejambe de la professeure et prend celle d'Emmanuelle pour la poser sur la vulve de Fatou qui pousse un profond soupir en sentant les lèvres de sa consœur se poser sur les siennes. Emmanuelle ne sait pas se l'expliquer mais elle à très envie de donner du plaisir à cette femme qui lui permet de rester dans ce pays qui lui a fait découvrir des plaisirs nouveaux. Comment aurait-elle pu penser il y a quelques semaines qu'elle deviendrait cette esclave sexuelle avide de se donner comme une chienne en chaleur. La langue de la dentiste passe la fine barrière des lèvres de sa collègue et leurs langues se mêlent dans un balai parfaitement synchronisé. Les doigts d'Emmanuelle entre dans la vulve extrêmement lubrifié de Fatou qui soupir de plaisir en les sentant remuer en elle. Le doyen ouvre le chemisier de sa disciple et caresse d'une main ses jolis seins fermes dont les tétons pointent avec arrogance. Il fait lentement remonter sa main vers les visages des deux femmes qui n'ont pas cessé de s'embrasser et presse sur la tête d'Emmanuelle pour qu'elle lâche la bouche de Fatou et que ses lèvres descendent vers la poitrine offerte de sa collègue. La dentiste blanche se délecte de cette poitrine et alterne léchage et mordillement des mamelons. Du coin de l'œil, Emmanuelle voit le doyen sortir sa queue et la plonger dans la bouche de Fatou, étouffant ainsi les gémissements déclenchés par son action sur les seins et dans la chatte de la dentiste noire. Après quelques minutes passées dans la bouche de sa professeure, Boubacar tire Emmanuelle par les cheveux et plonge son dard dans sa bouche. Trois longs jets de sperme inondent la cavité buccale de la dentiste qui s'empresse de trouver la bouche de sa consœur pour partager avec elle la précieuse semence. Leurs langues se mêlent dans un très long baiser et petit à petit le sperme disparait au fond de leurs gorges. Monsieur N'Gobo s'est rajusté et presse maintenant les deux femmes pour qu'elles remettent de l'ordre dans leur tenue afin de se rendre au prochain conseil qui se tient dans les minutes à venir. Pendant leur déplacement dans les couloirs, le doyen donne ses consignes :

- Fatou, avant de partir pour Paris tu vas devoir montrer nos traditions à Emmanuelle. Elle va devoir te remplacer et cela implique que tu lui montre ce que nous attendons d'elle au sein de la faculté.

- Je dois vraiment tout lui montrer, Monsieur?

- Oui, mon oncle me l'a confier et je peux en disposer à ma guise comme je dispose de toi!!

- Je pense qu'elle est en mesure de servir aussi bien que moi!! déclare Fatou en prenant la main d'Emmanuelle.

Ils arrivent enfin dans une grande salle de réunion où se trouve une quinzaine de professeurs qui discutent en petits groupes. La plupart sont des hommes entre 50 et 60 ans mais, dans un coin à l'écart, Emmanuelle remarque un petit groupe de quatre trentenaire dans lequel on retrouve les deux seules femmes de l'assistance. Fatou se tourne vers sa consœur et lui explique que tous ces hommes ont été ses professeurs pendant ses études et qu'elle avait été la professeure du petit groupe de trentenaire. Fatou entraine ensuite Emmanuelle vers le fond de la salle alors que le doyen prend la parole :

- Mes chers confrères et consœurs, je vous présente Madame Emmanuelle Batelle qui va remplacer Fatou pendant son absence. Elle m'a été confiée par mon oncle et vous allez pouvoir vous en servir comme vous vous êtes toujours servi de Fatou. Il existe cependant une condition, il vous est interdit d'ensemencer son ventre. Pour l'avoir déjà testée, je peux vous affirmer qu'elle est totalement réceptive et docile.

- Que notre doyen soit remercié!! crie un homme aux cheveux blancs au fond de la salle.

- Merci à notre doyen!! reprend en cœur toute l'assemblé.

Fatou se met alors à genoux au fond de la salle et tire Emmanuelle par la main pour qu'elle l'imite. Elle explique à voix basse à sa collègue qu'à chaque réunion importante, ses confrères peuvent disposer d'elle comme ils l'entendent pendant une heure et qu'elle devra faire de même. A la simple perspective de servir d'esclave sexuelle à toute cette assistance, Emmanuelle sent immédiatement son sexe s'humidifier. Une hiérarchie semble s'être établie car ce sont les plus anciens qui s'approchent des deux femmes en premier et qui leur donne leurs queues déjà tendues à sucer. Très rapidement, Emmanuelle est entourée de trois hommes, le plus âgé plonge sa queue dans sa bouche alors que les deux autres lui prennent les mains pour les poser sur leur vits turgescents. A l'image de sa collègue, la dentiste blonde passe de queue en queue et pompe avec vigueur tous les hommes qui se présentent à elle. Après que tous les hommes soient passés par la bouche des deux femmes, les deux jeunes dentistes noires viennent les inviter à les suivre. Tous les gestes sont maitrisés et le cérémonial semble bien rôdé car les hommes font une véritable haie d'honneur aux quatre femmes jusqu'à la table de conférence. Les deux trentenaires remontent leur jupe et dévoile leur sexe parfaitement lisse avant de s'allonger côte à côte sur la table les cuisses largement ouvertes. Emmanuelle voit Fatou se pencher en avant et plonger son visage vers le sexe offert de l'une des deux jeunes femmes. La professeure blanche imite sa consœur et se met à lécher avec gourmandise le jeune sexe offert de la seconde jeune femme. Alors que les deux trentenaires se mettent à gémir sous les coups de langue des deux soumises, Emmanuelle sent sa robe remonter sur ses reins et une queue plonger dans sa chatte. A partir de se moment, les queues vont se succéder dans la chatte ou dans le cul des deux soumises avec plus ou moins de ménagement. Emmanuelle se réjouit d'être traitée comme une vulgaire pute qui se ferait prendre en gang bang au fond d'une impasse plongée dans l'obscurité. Lorsque la jeune femme qu'elle travail de la langue et des doigts se met à jouir, la dentiste part dans un violent orgasme en sentant de longs jets de sperme lui remplir le cul. L'un des hommes saisit Emmanuelle à bras le corps et l'allonge près de la jeune femme qu'elle vient de faire jouir. Elle tourne la tête et constate que Fatou a subit le même sort. Les deux trentenaires invitent leurs collègues du même âge à les prendre alors que les autres hommes continuent à perforer indifféremment la chatte ou le cul des deux soumises. Ceux qui ont choisi de prendre la chatte d'Emmanuelle se retire pour gicler sur son ventre alors que ceux qui choisissent de la sodomiser vident leur semence épaisse dans son cul. Lorsque tout le monde à bien joui, Fatou est invitée à nettoyer le corps de sa partenaire de chaine avec sa langue avant qu'Emmanuelle ne se délecte de la semence qui macule la peau d'ébène de sa consœur. Après se nettoyage en règle, les deux femmes remettent de l'ordre dans leur tenue et prennent place autour de la table pour assister au conseil comme si rien ne s'était passé au court de cette dernière heure.

Emmanuelle suit de manière distraite les débats jusqu'au moment où le cas de trois étudiants perturbateurs de seconde année est évoqué dans le conseil. Il s'agit de trois étudiants brillants issus des quartiers modestes de Dakar qui perturbent bon nombre de cours par leurs revendications et leur non acceptation du corps enseignant féminin. Après avoir eu connaissance des frasques des trois étudiants et avoir pensé secrètement devenir leur jouet sexuel, Emmanuelle ose lever timidement la main pour faire une proposition :

- Monsieur le doyen, peut-être pourrais-je devenir leur tuteur et tenter de ramener à la raison ces jeunes gens!!

- Emmanuelle, ils sont nombreux à avoir essayé sans jamais y parvenir!! Penses-tu vraiment pouvoir obtenir autre chose de ces jeunes hommes sans t'attirer leur mépris? Répond le doyen, septique.

- Peut-être qu'une nouvelle professeure, occidentale de surcroit, pourrait les ramener dans le droit chemin et je suis tentée de dire qu'il ne coute rien d'essayer!! répond Emmanuelle avec l'assurance qui l'a toujours caractérisée dans sa propre faculté.

- Si cela ne te pose pas de problème, je vais les convoquer dès demain afin que tu puisses les rencontrer et établir avec eux un protocole pédagogique avant ton départ pour Kaboudiara.

- Je vous remercie pour votre confiance, Monsieur le doyen, et j'essaierai de me montrer à la hauteur de vos attentes afin de vous aider au mieux régler ce problème. Répond Emmanuelle en soutenant les regards de l'assistance alors qu'elle sent son bas-ventre se tordre à la seule pensée de se confronter à des mâles sexistes qui pensent que la place d'une femme est derrière les fourneaux.

Après deux autres dossiers, le doyen clôture la séance, confit Emmanuelle à Fatou pour qu'elle lui montre son bureau et leur demande de le rejoindre dans son bureau pour midi afin qu'ils aillent déjeuner ensemble. A la grande surprise d'Emmanuelle, les deux femmes empreinte un ascenseur et descendent dans les sous-sols de l'hôpital. Elles empruntent un long couloir et finissent par arriver devant une porte capitonnée que Fatou ouvre avec une clé sécurisée. Les deux femmes entrent dans un petit bureau très ordinaire qui ne semble pas nécessiter une telle débauche de sécurité. Fatou explique à sa collègue que le doyen a fait concevoir ce bureau exprès pour elle et qu'il cache bien des secrets. Fatou actionne un bouton dans le tiroir de son bureau et la petite bibliothèque qui se trouve au fond de la pièce se met à pivoter. Lorsqu'elle passe cette porte dérobée, Emmanuelle n'en croit pas ses yeux. Elle y découvre un véritable temple SM avec tous les accessoires s'y rapportant : fouets, cravaches, martinets, croix de Saint André, matériel de suspension, collection de godes en tous genres, cordes, chaines, masques de cuir, crochets anaux, pinces de seins et tant d'autres objets de plaisirs extrêmes. Fatou s'amuse de l'expression de surprise qu'elle lit sur le visage d'Emmanuelle mais elle se met en devoir de lui donner des explications :

- Le doyen, mon Maître, a imaginé et fait réaliser ce bureau pour pouvoir se servir de moi à tout moment. Cette pièce est parfaitement insonorisée et il peut m'y punir à sa guise sans que quiconque puisse entendre quoi que ce soit.

- Elle contient un nombre impressionnant d'objets de plaisir!! déclare Emmanuelle d'une voix admirative.

- La collection du Maître a commencée depuis mes années de fac car je suis très vite devenue sa soumise. Au début, je le servais dans son bureau mais il a rapidement fait aménager ce local dépourvu de fenêtre pour m'y installer. L'emplacement discret lui permettait de m'y conduire comme il le souhaitait et le petit bureau en vitrine a toujours fait illusion. Mon Maître a fait l'acquisition de tous ces objets au gré de ses envies et sur demande des différentes personnes qu'il a amenées ici pour me partager.

- Comme j'aimerais que mon maître possède autant d'objets de plaisir!! déclare la dentiste blonde en effleurant le cuir d'une cravache du bout des doigts.

- Ce bureau va devenir le tien et, comme tu l'as compris, mon Maître veut que tu me remplace en tout point. Cela veut dire qu'il te conduira sûrement dans cette pièce comme il le fait avec moi.

- Mon Maître m'a confiée à lui et je dois obéissance à Monsieur le doyen quand je suis à Dakar. J'aimerais beaucoup qu'il ait envie de me punir.

- Les prétextes pour infliger une punition sont nombreux et je peux t'assurer qu'il ne mettra pas longtemps à te conduire ici. Je l'ai déjà entendu parler de toi à des personnages important de la haute société sénégalaise qui sont impatient de rencontrer l'esclave blanche aux cheveux blonds qu'ils rêvent tous de posséder. Déclare Fatou en entrainant sa collègue à l'extérieur du bureau.

La professeure sénégalaise ferme le local et confit la clef à sa consœur avant de l'entrainer vers le bureau du doyen. Il les attendait et les emmène en ville dans un grand restaurant pour le déjeuner. Après le repas, le doyen fait reconduire sa soumise chez elle et prend le chemin de l'aéroport avec Emmanuelle. Après un quart d'heure d'attente dans le terminal d'arrivée, la dentiste voit enfin apparaître ses deux collègues parisiennes. Son amie Laurence, une femme menue de 51 ans pour 58 Kg aux cheveux blonds mi-long et bouclés, se précipite vers elle et la serre dans ses bras comme si elles ne s'étaient pas vues depuis de nombreuses années. Emmanuelle sent la petite poitrine aux seins pointus de son amie se presser contre les sien et, pour la première fois depuis qu'elles sont amie, la dentiste à envie de les caresser et résiste à l'envie de poser sa bouche sur celle de Laurence. Elle réalise soudain que cette femme l'a toujours attirée tant elle aimait la sentir contre elle quand elle se rencontrait à l'hôpital. Emmanuelle se rend compte que ce n'est pas la première fois qu'elle sent son sexe s'humidifier au contact de son amie et que son carcan de bonnes manières bourgeoises l'a toujours empêché d'écouter ce que son corps réclamait depuis longtemps. La dentiste est tirée de ses rêveries lorsque Laurence lui glisse à l'oreille :

- Je ne peux pas te laisser cinq minutes sans que tu fasses des bêtises. Je pense que tu vas devoir me raconter beaucoup de choses.

Après ces effusions de joie, Emmanuelle n'a pas le temps de répondre car, Laetitia, sa cadre de santé lui serre la main sans grand enthousiasme. Cette jeune femme de 41 ans aux cheveux longs et bruns, légèrement plus grande que la dentiste, aime porter des hauts talons et paraitre bien plus grande que son mètre soixante dix huit. Les deux femmes n'ont jamais été proches et Emmanuelle n'a jamais aimé la façon dont sa cadre lui fait comprendre qu'elle est sa supérieure. Malgré ces petits différents, Emmanuelle se surprend à regarder Laetitia autrement et elle admire ses longues jambes gainées dans un pantalon de tailleur moulant. Malgré ses 68 Kg, la jeune femme à une taille fine. Sa veste de tailleur ouverte sur un chemisier rose fuchsia souligne parfaitement ses épaules carrées et laisse entrevoir une jolie poitrine qu'Emmanuelle semble découvrir pour la première fois. En quelques secondes, son imagination prend feu et elle se voit léchant ces jolis seins après s'être fait prendre au jeu autoritaire de sa supérieure. Elle comprend soudain que Laetitia a depuis toujours joué à un jeu de domination avec elle par cette obsession permanente de paraitre plus grande qu'elle et par les ordres parfois cinglant de sa supérieure. Emmanuelle a toujours détesté cela mais sa nouvelle condition de soumise la fait regarder sa cadre de santé sous un autre angle qui ne lui déplait finalement pas.

C'est encore Laurence qui la tire de ses rêveries en la tirant par la manche. C'est presque à regret qu'Emmanuelle lâche la main de Laetitia car elle s'aperçoit que durant tout le temps où son esprit vagabondait, elle ne l'a pas lâchée une seule seconde. Les deux femmes récupèrent leurs bagages et le doyen invite tout le monde à le suivre vers l'extérieur. Monsieur N'Gobo paye un chauffeur de taxi pour s'occuper des bagages et lui donne l'adresse à laquelle il doit les déposer. Il invite ensuite les trois femmes à prendre place dans sa grande berline avec chauffeur et leur fait découvrir la capitale sénégalaise en rejoignant sa grande demeure coloniale. Arrivé à son domicile il demande à son valet et à sa femme de chambre de monter les bagages de ces dames dans les chambres qu'il leur a allouées. Laurence sera logée dans la chambre attenante à celle d'Emmanuelle et elle découvre que la grande salle de bain est commune aux deux chambres. Les portes en trompe l'œil sont tellement bien dissimulées que la dentiste n'avait pas remarqué ce petit détail qui change tout. Les deux amies vont pouvoir se retrouver dans la même chambre sans avoir à parcourir les couloirs de la demeure. Pour sa part, Laetitia sera logée dans l'aile opposée de la demeure qui reste parfaitement symétrique. Boubacar invite la cadre de santé à prendre place dans une chambre qui ressemble en tout point à celle de Laurence et d'Emmanuelle. De la même manière, la salle de bain est partagée par une deuxième chambre que le doyen assure être la sienne. Il rassure toutefois Laetitia en lui indiquant que pendant toute la durée de son séjour, il se rendra dans une autre chambre afin de préserver l'intimité de la jeune femme. En l'entendant dire cela, Emmanuelle se demande pourquoi il n'installe pas Laetitia dans cette autre chambre mais elle ne prend pas le temps d'y penser plus car Laurence la presse pour retourner dans leurs appartements. Son amie à mille questions à lui poser et elle brûle d'impatience de se retrouver seule avec elle. Arrivées devant leurs chambres, Laurence attire son amie dans sa chambre et commence à la questionner en défaisant ses bagages :

- Ma chérie, il va falloir que tu me racontes comment tu en es arrivée là!!

- De quoi parles-tu? que veux-tu que je te raconte? demande Emmanuelle en s'asseyant sur le lit de son amie.

- Ne fait pas l'innocente!! Je veux que tu me parles de ça!! déclare Laurence en montrant la page d'accueil du site Internet à son amie.

- Mon dieu!! Ne me dit pas que tu as reçu l'adresse de ce site!! annonce Emmanuelle la voix tremblante.

- Elle est très vite arrivée sur ma boite mail au bureau. C'est ce gros porc de Philippe qui l'a diffusée à trois ou quatre de nos collègues et la nouvelle s'est propagée comme une trainé de poudre. Pour la plupart, nous n'avons accès qu'aux photos mais on en voit suffisamment de toi pour comprendre que tu cachais bien ton jeu.

- Je n'ai jamais rien caché car je n'ai jamais été comme ça avant mon arrivée ici. C'est le chef de village qui m'a appris à me soumettre car j'avais bafoué son autorité. Tout ceci, ce site et le reste, vient de Gabrielle qui m'a piégée et qui a fait parvenir tout ça au doyen de notre faculté.

- Notre doyen? demande Laurence, surprise.

- Oui, il n'est autre que le parrain de Gabrielle et cette petite salope lui est totalement dévouée. C'est lui qui a monté ce site et qui a diffusé son adresse avec mon accord.

- Tu es d'accord avec ça?

- Depuis mon arrivée ici, j'ai beaucoup changé. Comme je te l'ai dit, le chef de village m'a appris à le respecter et m'a fait découvrir la soumission. Je ne connaissais pas cette face cachée de moi-même et je dois avouer que j'y ai pris goût. La première fois que j'ai irrité Mbemba, il m'a convoquée au conseil de sage du village et il m'on tous baisé après que le chef de village m'ai punie à coup de cravaches. J'ai joui comme jamais auparavant et depuis, je sers mon maître en tout ce qu'il me demande.

- Emmanuelle, il faut que je t'avoue quelque chose mais je ne sais pas vraiment par où commencer!

- Nous sommes amie depuis longtemps et je pense que tu peux tout me dire!! répond Emmanuelle en posant une main sur la cuisse de Laurence.

- En fait, voilà!! Un jour, à la maison, Allain m'a surprise dans le bureau en train de regarder les photos sur ce site. En s'approchant, il a vite vu que toutes ces photos étaient de toi mais il a aussi vu que... ma main s'agitait entre mes cuisses. Il n'a pas résisté et il m'a prise debout contre le bureau alors que nous regardions défiler les photos de toi.