Emmanuelle, Déchéance Africaine 03

BÊTA PUBLIQUE

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- Lèche-moi la chatte ma petite salope de prof!! Depuis le temps que j'en rêve!!

- Non, je ne peux pas faire ça, Gabrielle!! Déclare Emmanuelle dans un dernier élan de dignité.

- Marie, claque-lui le cul à cette chienne jusqu'à ce qu'elle obéisse!! s'énerve Gabrielle en tirant sur la laisse reliée au cou de sa professeure.

La première claque sur ses fesses ne se fait pas attendre. Marie lui donne une fessée si puissante qu'Emmanuelle n'a d'autre choix d'approcher son visage du sexe de Gabrielle. Elle sort sa langue et commence à lécher la chatte de sa nouvelle maîtresse avec application, arrachant un soupir à Gabrielle. Plus Gabrielle soupire et moins les claques sur ses fesses sont moins appuyées jusqu'à se transformer en caresses. La main de Marie finit par glisser sur sa chatte et la caresse au rythme des gémissements qu'Emmanuelle procure à sa nouvelle maîtresse. La dentiste s'applique maintenant à donner du plaisir à son interne et lui lèche la chatte comme le ferait une lesbienne experte. Emmanuelle fait courir sa langue du clito aux lèvres ouvertes de sa maîtresse et risque un doigt à l'entrée de sa petite chatte épilée.

- Hummm, ouiii, donne-moi tes doigts ma petite prof soumise!! fais-moi du bien, hummmm!!

Emmanuelle entre un doigt dans la petite chatte béante de son étudiante tout en faisant rouler sa langue sur son clitoris érigé par l'excitation. Dans son dos, Marie lui écarte les fesses et se met à lui lécher le trou du cul. Cette caresse buccale détend l'anus d'Emmanuelle qui laisse échapper le sperme d'Mbemba qui finit sur la langue de Marie.

- Putain, cette salope s'est fait enculée, son fion déborde de sperme!! S'écrit Marie.

- Tu as pris une bite dans le cul ma petite pute? Demande Gabrielle en tirant Emmanuelle par les cheveux.

- Oui, c'est le chef qui m'a prise!! Avoue Emmanuelle en baissant les yeux.

- Je ne pensais pas que tu étais du genre à te faire enculer... jusqu'à ce que je te vois avec ces trois mâles en rut, ma petite pute!! Tu aimes ça ma salope?

- Pour tout vous dire, j'aime la grosse queue de Mbemba!! Annonce Emmanuelle en baissant la tête, honteuse.

- Relève-toi et laisse-moi sortir les cadeaux que nous a faits Fadima. Nous allons te donner ce que tu mérites ma petite prof soumise!!

Gabrielle cherche dans ses affaires et sort deux énormes godes en ébène assujettis à des liens en cuirs. Les objets phalliques font les mêmes dimensions que la queue du chef de village et semble avoir été crées à l'image de son sexe. Les deux jeunes femmes s'aident l'une l'autre pour poser les godes au niveau de leurs hanches et Gabrielle reprend sa position allongée sur le lit. Marie pousse Emmanuelle vers la couche et l'invite à enjamber le phallus dressé au dessus du bassin de sa copine. Emmanuelle a une hésitation mais se rappelle très vite que sa réputation est en jeu. Elle tourne la tête vers Marie et découvre que le caméscope a été mis sur un pied et qu'une petite lumière rouge prouve que tout ce qui vient de se passer a été filmé. L'excitation prend le pas sur la raison et Emmanuelle se laisse descendre sur le gros phallus d'ébène en regardant la caméra. Ces deux petites salopes d'interne veulent l'amener plus bas que terre mais Emmanuelle y voit un plaisir si longtemps enfouit en elle. Mbemba a commencé son dressage mais se sentir rabaissée par ses propres étudiantes lui procure un désir indéfinissable. Plus elle est rabaissée, plus elle ressent un désir sexuel au-delà de ses limites. Elle sait que ses deux internes peuvent utiliser ces vidéos pour la trainer dans le caniveau dans tout le campus et peut-être au-delà mais Emmanuelle y trouve une excitation toute nouvelle : elle est filmée dans sa soumission et cela lui procure un profond plaisir. Elle se met à bouger ses hanches et sa chatte monte et descend sur le phallus alors que Marie lui écarte un nouvelle fois les fesses. Elle pose le gland de son gode sur la rondelle de sa professeure et pousse lentement en lui tenant les hanches. Emmanuelle n'y tient plus et encourage ses deux internes :

- Hummm, ouiiii! Prenez-moi!! Allez, Marie, défoncez-moi le cul!!

- Tu aimes te faire prendre par tous les trous, espèce de petite bourgeoise salope!! Déclare Gabrielle en la regardant droit dans les yeux après avoir saisi sa professeure par les cheveux.

- Hummmm...

- Je veux t'entendre le dire, espèce de pute!!

- Oui, j'aime me faire prendre pas tous mes trous de salope bourgeoise!! Crie Emmanuelle en tournant son visage vers la caméra.

- Tu aimerais être ma petite pute à l'université?

- Hummm... oui, je suis déjà votre petite pute!! Répond Emmanuelle en sentant le gros chibre attaché aux hanches de Marie entrer dans son cul.

- Je vois déjà la tête du doyen quand je vais lui dire ça!! Annonce Gabrielle, triomphale.

- Comment ça, le doyen? Interroge Emmanuelle soudainement inquiète.

- Le doyen est mon parrain et je crois savoir qu'il y a longtemps qu'il aimerait te baiser ma petite pute!!

- Co... comment? s'exclame Emmanuelle.

- Tais-toi et donne-moi ta bouche ma petite pute!! Répond Gabrielle en la saisissant par les cheveux pour rapprocher la bouche de sa professeure de la sienne.

Gabrielle plonge sa langue dans la bouche de sa professeure et Emmanuelle lui rend son baiser avec envie. Elle s'imagine dans le bureau du doyen qui l'oblige à lui sucer la queue alors que Gabrielle la besogne avec ce gros gode-ceinture qui lui fourre actuellement la chatte. Cette vision l'excite au plus haut point et Emmanuelle sent le plaisir monter en elle. Ses gémissements se transforment en suppliques et elle réclame sa jouissance.

- Hummm, ouiii... c'est trop bon!! Vous allez me faire jouir!! Hummm!!

- Marie, retire-toi et pousse-la sur le coté, je ne veux pas qu'elle jouisse!!

Marie réagit immédiatement et se retire du cul de sa professeure. Elle la pousse sur le coté afin que Gabrielle puisse se dégager de la chatte d'Emmanuelle. La dentiste reste prostrée sur le lit dans sa frustration de jouissance. Gabrielle se saisit d'une cordelette qu'elle avait dissimulée sous son oreiller et commence à ligoter les poignets de sa professeure dans son dos avant de dire à Marie :

- Va le chercher, maintenant!!

Sans dire un mot, Marie quitte la chambre alors que Gabrielle fait mettre Emmanuelle à genoux au pied du lit. La dentiste est tellement affectée par sa frustration de jouissance qu'elle se laisse manipuler sans protester par son interne. Gabrielle tend la cordelette et vient l'attacher aux cheville d'Emmanuelle qui se retrouve pieds et poings liés dans le dos au moment où Marie réapparait dans la pièce. Derrière elle, entre le docteur Coulibaly qui la suit jusqu'au lit des deux jeunes femmes. Il s'approche d'Emmanuelle, la prend par les cheveux et déclare :

- Je vois que vous êtes arrivé à vos fins, mesdemoiselles!!

- Oui, maintenant elle fera tout ce que nous voulons!! Déclare Gabrielle sur un ton triomphal.

- On peut en faire ce qu'on veut? Demande le docteur en tirant sur les cheveux d'Emmanuelle pour qu'elle le regarde dans les yeux.

- Oui, mais ce soir je veux qu'elle te regarde nous baiser et qu'elle ait envie de ta grosse queue pour plus tard.

- Je suis à votre service, mesdemoiselles!! Déclare le docteur en retirant ses vêtements.

Très vite, Gabrielle place Marie en levrette sur le lit et elle se place juste au dessus d'elle afin que leurs deux petits culs soient offerts au médecin. Le docteur Coulibaly monte sur le lit et se place derrière ses deux comparses. Il plonge sa queue dans la chatte de Gabrielle qui se met immédiatement à gémir. Il la besogne pendant quelques minute avant de sortir de sa chatte et de replonger dans celle de Marie. Les deux petites salopes regardent leur professeure en se faisant fourrer par le docteur et ne sont pas avares de commentaires.

- Si tu savais comme elle est bonne cette grosse queue!! Dit Gabrielle.

- Humm... oui, je suis sûre que tu la veux!! renchérit Marie.

- Elle n'y a pas droit, elle n'a le droit que de regarder, ma chérie!! Gémit Gabrielle.

Les deux jeunes femmes se font défoncer par la grosse queue du docteur. Emmanuelle regarde avidement et sent sa chatte se liquéfier. La vision de ses deux internes en train de se faire défoncer par une grosse bite fait remonter en elle son désir et elle part dans un violent orgasme au moment où ses deux internes se mettent à jouir. Emmanuelle passera ainsi toute la nuit attachée au pied du lit à regarder ses étudiantes se faire prendre par tous les orifices par un docteur étonnamment performent. Emmanuelle ne saura dire plus tard combien d'orgasme elle aura subit juste en regardant le trio baiser.

A SUIVRE chapitre 4

Voilà maintenant deux jour que Mbemba est parti pour la capital et Emmanuelle s'est habituée à se faire promener en laisse par Fadima à travers le village. Au début, elle était très gênée et baissait la tête à chaque fois qu'elle croisait quelqu'un. Le plus humiliant était d'entendre les sarcasmes de ses internes qui marchaient derrière elle et qui parlaient ouvertement de sa condition de chienne soumise. Petit à petit, l'idée d'être la soumise du vieux chef a pris une autre tournure dans sa tête et elle s'est mise à en être fière. Ne l'avait-il pas choisie, elle, plutôt que l'une de ses deux internes? Il l'avait préférée aux deux autres pour devenir son jouet sexuel et Emmanuelle était devenue en quelque sorte la favorite du chef de village et il voulait que tout le monde le sache. Lorsque cette pensée a pris place dans son esprit, Emmanuelle a redressé la tête et s'est mise à regarder fièrement les gens du village. Elle s'est vite aperçu qu'elle pouvait lire comme de l'admiration dans leurs yeux et que, comme lui avait dit son maître, chacun savait ce que pouvait signifier cette laisse à son cou.

Bien sûr, à chaque fois qu'elle est à l'intérieur, Fadima lui retire sa laisse mais Emmanuelle n'a qu'une envie c'est que la femme du chef décide de la sortir pour se déplacer dans le village. Elle se sent comme la chose du chef que l'on exhibe mais ce sentiment d'appartenir à un maître l'excite beaucoup. Elle se rend compte que tout au fond d'elle, Emmanuelle à toujours désirée être dominée et que le simple fait de penser devoir se soumettre à ce vieil homme avec une si grosse queue la fait mouiller en permanence. Elle se rend compte, maintenant, qu'elle aurait voulu que son mari la traite ainsi, qu'il la soumette, qu'il la traite comme un jouet et qu'il la livre à des inconnus. Malheureusement, Michel est bien trop respectueux des femmes et elle sait qu'il ne fera jamais une telle chose. Emmanuelle se met à repenser aux paroles de Mbemba pendant qu'il lui prenait le cul l'autre soir. " Je vais faire de toi ma femme et je pourrai t'offrir comme je le veux", mais aussi : " Je vais te garder et tu me feras du bien avec Fadima". Ces mots lui reviennent et Emmanuelle se pose des questions. Mbemba aurait-il l'intention de la garder au village et de l'épouser? Ce n'est pas possible, sa mission se termine dans à peine deux semaines et elle devra rentrer en France. Pourquoi lui a-t-il dit cela? Il voudrait la garder à lui pour toujours? Et si c'était la raison de son départ vers la capitale? Emmanuelle n'a pas le temps de se poser plus de questions car Fadima vient de tirer sur sa laisse. Perdue dans ses pensés, elle n'avançait plus derrière la femme du vieux chef. En cette fin d'après-midi Fadima a demandé aux trois femmes blanches de la suivre afin qu'elles aillent ramasser du bois pour les besoins de la famille. La femme du vieux chef a fait sortir le petit âne de son enclos afin de pouvoir charger leur fardeau sur son dos et c'est Marie qui le guide au bout d'une longe en suivant Fadima qui guide Emmanuelle tenue en laisse. Gabrielle ferme la marche en filmant la petite troupe et les alentours avec son caméscope.

Dans le même temps, Mbemba est en entretien avec Mr N'Gobo, le doyen de l'université de Dakar. Il se trouve que le doyen n'est autre que l'un de ses nombreux neveux et que ce dernier ne peut rien lui refuser. En effet, le vieux chef a tout fait pour que son neveu devienne chirurgien et n'a pas épargné les économies du village pour qu'il puisse terminer ses études en France. C'est là qu'il a terminé ses études avec le doyen de l'université dont dépend Emmanuelle et qu'ils sont restés amis après son retour au Sénégal. C'est tout naturellement qu'ils se sont contactés avant la venue d'Emmanuelle et de ses internes et que Mr N'Gobo a proposé que les trois femmes se rendent dans son village natal. Mbemba attend patiemment assis en face de son neveu alors que les deux doyens sont en pleine conversation.

- Je te demande simplement la possibilité d'un protocole d'échange et de pouvoir garder ta dentiste et ses deux internes pour une période d'un an, éventuellement renouvelable. Explique Mr N'Gobo.

- Tu m'en demande beaucoup, Mme B. est l'un de mes meilleurs conférenciers et je me demande comment je pourrais me passer d'elle. Répond son interlocuteur.

- Je vais t'envoyer en échange un excellent maître de conférences qui devrait pouvoir te faire oublier madame B. Elle m'est aussi dévouée que toutes les compatriotes que je t'ai fait rencontrer lorsque nous étions internes. Je pense que tu n'as jamais été déçu par toutes les filles que j'ai pu te présenter! Cette femme célibataire de 40 ans sera très à ton gout, je pense, et je peux t'assurer qu'elle saura choisir les étudiantes qui vont l'accompagner. Elles sont nombreuses à vouloir partir en France pour leurs études et elle devrait pouvoir entrainer avec elle les plus jolies et les moins farouches. A ce moment précis, une tête apparaît au-dessus du bureau qui fait un grand signe d'approbation. La femme dont parle Mr N'Gobo est tout simplement en train de lui sucer la queue pendant que le doyen négocie son départ pour la France.

- Si Madame B. est avantageusement remplacée, je veux bien accéder à ta demande. Répond le doyen français.

- Tu vis toujours seul dans ta grande maison et je pense que tu pourrais les accueillir toutes les trois pour la durée de l'échange. Je suis même prêt à parier que tu auras envi de renouveler le protocole pour ton plus grand plaisir.

- Vu comme ça, je ne peux plus rien te refuser. Cependant, j'ai peur que Madame B. fasse des difficultés car elle ne pourra pas poursuivre ses recherches. Répond le doyen français d'une voix fébrile.

- Si ses recherches posent un problème, l'université est en mesure de lui installer tout le matériel qu'elle souhaite au dispensaire de Kaboudiara. Il suffira qu'elle nous demande ce qu'elle souhaite et nous ferons en sorte de la satisfaire. Répond Mr N'Gobo avec aplomb.

- Il y a du matériel très technique qui ne pourra venir que de son propre labo mais je dois pouvoir envoyer tout cela avec une personne qui l'aidera à organiser son nouveau labo. Je dois te dire que je trouve ta proposition très alléchante. Je suis même pressé de découvrir qui serons ces femmes qui viendront loger chez moi. Je crois que nous pouvons conclure ce protocole d'échange.

- Tu m'en vois ravi et je pense que le chef de Kaboudiara va se réjouir de ta décision!! Je t'envoie dès à présent tous les documents à signer et je t'enverrai un avenant dès que les deux internes auront été désignées. Dit Mr N'Gobo en adressant un large sourire à son oncle.

- Je te signe tous les documents dès réception et je te les renvoie par retour de mail!! Annonce le doyen français avec enthousiasme.

- Je te remercie, mon ami!! Tu ne seras pas déçu de cet échange, je te le promets!! Annonce Mr N'Gobo avant de raccrocher.

Après avoir reposé le téléphone, Mr N'Gobo passe sa main sous le menton de son maître de conférence afin d'interrompre la magnifique pipe qu'elle était en train de lui prodiguer.

- Ma chère Fatou, je pense que tu devrais t'occuper de mon oncle pour le récompenser de sa demande. Grâce à lui tu vas pouvoir te rendre en France accompagnée des deux internes que tu auras sélectionnées. Pendant ce temps, je vais transmettre les documents à mon confrère français.

- Avec plaisir, Monsieur!! Répond la jeune femme avant de se diriger vers Mbemba.

Fatou se place à genoux aux pieds du chef de village et soulève sa djellaba. Elle découvre sous le tissu du vêtement traditionnel le membre en début d'érection du vieux chef et pousse un petit cri de surprise en découvrant les proportions monstrueuses du vit qui commence à grossir devant ses yeux. Elle approche ses lèvres de l'énorme gland et ouvre la bouche au moment où Mbemba lui pose une main sur la tête. Fatou pose ses deux petites mains sur le membre de 35 centimètres et le branle lentement tout en faisant monter et descendre ses jolies lèvres le long de la colonne de chaire. Elle s'applique à sucer la grosse queue et la sent grossir de plus en plus. Mbemba a calé son dos contre le dossier de son fauteuil et se laisse sucer en poussant de légers gémissements. Lorsque la tension du membre est au maximum, Fatou interrompt sa fellation et se lève tout en soulevant sa jupe. Elle retire rapidement son string et vient placer sa chatte au-dessus de la bite de Mbemba. Le membre est tellement long qu'elle plie à peine les genoux avant de sentir l'énorme gland lui écarteler ses lèvres intimes bien lubrifiées par l'excitation. Elle se laisse lentement descendre sur l'énorme queue en poussant un long soupir jusqu'à ce qu'elle sente le gland venir frapper à l'entrée de son utérus. Fatou entame alors un lent mouvement de va et vient sur cette queue qui prend toute la place dans son vagin. Elle se sent totalement emplie et apprécie ce sentiment de plénitude que lui procure l'énorme queue du vieux chef. Elle a chevauché bon nombre de queues dans sa vie mais jamais elle n'a pris un si gros pieux dans sa petite chatte. Elle a comme le sentiment de se faire dépuceler une seconde fois et découvre des sensations nouvelles en s'empalant sur un tel monstre. Elle s'est maintenant habituée à cette présence hors normes et elle bouge de plus en plus vite sur l'énorme queue et gémissant de plus en plus fort. Soudain, Fatou sent une présence derrière elle et deux mains la saisissent par les hanches. Mr N'Gobo a transmis toute la paperasse et vient se joindre au duo en pleine action. Des deux mains, il lui écarte les fesses et présente son gland enduit de gel sur son petit œillet. D'une lente poussée, le doyen pénètre son maître de conférences lui arrachant un râle de satisfaction. Elle cesse de bouger sur la queue de Mbemba et laisse le doyen donner le rythme de la saillie. Ses deux trous sont dilatés par les deux queues et elle les sent se frotter à travers la fine paroi qui sépare ses orifices. Rapidement, le pubis du doyen vient claquer contre les fesses de Fatou et il se met à la limer de plus en plus vite.

- Hummm... oui... encore!! Se met-elle à crier.

- Tu aimes prendre des queues, ma petite salope!! Dit le doyen en accélérant encore le rythme.

- Hummm... c'est de votre faute, monsieur!! Vous n'avez jamais cessé de m'en demander plus depuis que vous m'avez déflorée quand j'étais en première année de médecine.

- Tu vas me faire croire que tu n'aimes pas ça!!

- Hummm... si!! Je ferais n'importe quoi pour vous plaire, monsieur!!! Oh... oui... encore prenez-moi fort... hummm...

- Je sais que tu m'es entièrement dévouée et qu'il te plait aussi de lécher une belle chatte quand je te le demande.

- Hummm... la chatte de votre secrétaire pleine de votre jus!!

- Ou celles de tes internes que je viens de baiser!!

- Hummm... j'aime lécher leurs petites chattes pendant que vous me prenez le cul!! Encore... plus fort!! Défoncez-moi avec vos grosses queues!! Hummm... je vais jouir!!

Fatou part dans un violent orgasme au moment où elle sent les deux hommes se vider les couilles dans ses orifices. Mr N'Gobo bouge encore quelques instants en elle avant de se retirer et de lui demander de se remettre à genoux devant son oncle. Docilement, elle les prend en bouche tour à tour et s'applique à nettoyer leurs queues avec sa langue experte. Fatou aura bien gagné son voyage en France et elle va entrainer avec elle ces deux jeunes internes de 19 ans qui ont finies un soir dans son lit alors qu'elles venaient de se faire sermonner de manière très spéciale dans le bureau du doyen. En guise de punition, le doyen les avait fait mettre nue devant Fatou dans son bureau, il les avait baisées, jambes largement écartées sur le bureau et avait demandé à son maître de conférence de leur lécher la chatte pendant qu'il lui prenait le cul. Fatou avait beaucoup aimé ces jeunes petites chattes et avait attiré les deux jeunes femmes chez elle. Depuis, les trois salopes passaient régulièrement la nuit ensemble et se faisaient jouir mutuellement jusqu'au petit matin.