Emma

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l'évolution de ma copine.
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Je m'appelle Alexandre. Physiquement je suis plutôt banal : 24 ans, 1,78m, châtain. Je ne suis pas spécialement musclé, je pourrais dire que je suis même plutôt maigre.

Depuis trois ans maintenant, je suis en couple avec Emma, que j'ai rencontré à la fac.

Tous les jours, je remercie le ciel de l'avoir mise sur mon chemin et d'avoir permis qu'elle s'intéresse à moi. Un véritable canon : 24 ans elle aussi, 1,70m, un visage d'ange, des cheveux châtains tombant sur les épaules, des jambes magnifiques, un cul rebondi à damner un saint et surtout une poitrine en 90D, bien fermes.

Au début de notre relation, Emma était assez réservée et traditionnelle coté sexe : je prenais toujours l'initiative de nos rapports sexuels. Sans être un champion de la baise, j'arrivais tout de même régulièrement à la faire jouir, avec ma langue ou avec mes mains. Mon sexe étant dans la moyenne basse, je faisais mon possible, mais je voyais bien que je ne lui fais pas grand effet avec....

Depuis quelques mois, je fantasmais à mort sur les relations candaulistes, de voir sa femme avec d'autres hommes. J'avais consulté en cachette des sites spécialisés, qui m'avaient donné une gaule d'enfer. Je m'en étais ouvert à Emma qui m'avait vertement rabroué au départ « c'est toi que j'aime » mais avait fini par me laisser en parler sans rien dire.

Pour la convaincre, je ne lésinais pas sur les moyens : je la complimentais constamment sur son physique, je faisais remarquer à quel point les types dans la rue n'arrêtaient pas de la mater. Elle en rigolait.

Puis je lui offris de la lingerie osée et des vêtements de plus en plus courts, lui disant à quel point elle était belle dedans...

De fil en aiguille, je vis bien qu'elle semblait de plus en plus réceptive à mes idées. Mais je n'imaginais pas à quel point!

Au tout début de l'été dernier, nous partons vers le soleil de l'Espagne pour une semaine de détente et de farniente. Nous avons réservé une charmante petite maison à deux pas de la plage et du centre-ville d'une petite station balnéaire de la Costa Brava.

Quand nous défîmes nos valises, je m'aperçus tout de suite que Emma avait décidé de me faire plaisir pour ce séjour : des petites robes courtes et échancrées, des débardeurs aux décolletés généreux, des shorts moulants...

Je ne fis aucun commentaire, mais j'étais intérieurement ravi!

Après le dîner, je lui propose d'aller boire un verre en ville, ce qu'elle accepte avec joie. Je m'habille simplement d'un bermuda et t-shirt mais quand Emma sort de la salle de bains je suis époustouflé : petite robe bleue à mi-cuisses avec un haut qui lui donne un décolleté très prononcé et des petites sandales à lanières.

Emma est un canon au naturel, là c'est carrément une bombe sexuelle!

Je la complimente sur sa tenue, elle me répond : « c'est pour te faire plaisir mon amour et puis les vacances c'est fait pour se lâcher un peu »

J'espérais en mon for intérieur qu'elle allait se lâcher complètement!

Il n'y a que quelques minutes de marche pour arriver dans les rues animées de la station. Beaucoup de bars et du monde. Je vois bien que les regards masculins sont très appuyés sur ma chérie, elle fait mine de ne pas s'en apercevoir, la coquine...

Nous pénétrons dans un bar musical doté d'une petite piste de danse. Nous commandons des mojitos puis Emma demande à danser. Je suis complètement claqué par le trajet, je décline. Mais je l'incite à aller danser seule.

Pas besoin de pousser longtemps! Emma se lève et commence à se trémousser sur les rythmes latinos. Il ne faut pas longtemps pour que tous les types non accompagnés de la piste se rapprochent doucement de ma chérie pour essayer de danser avec elle. Un grand black baraqué vient devant elle et commence à onduler à son rythme. Emma me regarde pour savoir si elle accepte ou non. Mon air ravi et un hochement de tête affirmatif de ma part lui donnent le feu vert pour danser avec lui.

Le black met rapidement les mains sur ses hanches et tous deux commencent une sarabande endiablée. Ils se parlent souvent à l'oreille en riant, mais je ne peux évidemment pas entendre leur conversation. Les danses se succèdent et ça devient de plus en plus chaud sur la piste : Emma danse maintenant dos au black. Cette petite coquine ondule ses belles fesses carrément sur le haut de son pantalon! Les mains du mec sont de plus en plus baladeuses, elles se promènent sur ses hanches ses fesses, remontent sur ses seins opulents. Emma, prise par la musique, cale sa tête sur son épaule... C'est carrément chaud! Sur ma chaise j'ai une trique d'enfer! Des images me viennent dans la tête : j'imagine Emma se faire démonter en levrette par ce type dans les chiottes, ou qu'elle décide de me planter là pour aller chez lui se faire baiser...

À la fin de la chanson, Emma arrête de danser, remercie son partenaire d'un baiser sur la joue et vient me rejoindre toute guillerette. Il est visiblement déçu!

- « ça va chérie? »

- « Oui mon cœur, il était sympa mais très chaud!

- « Ah oui? »

- « Il est français il arrêtait pas de me dire que j'étais magnifique, que je lui faisais de l'effet et tout. Et j'ai bien senti qu'il disait la vérité si tu vois ce que je veux dire... »

La salope! Il lui a bien fait sentir sa trique à travers son pantalon. Je poussai l'avantage.

- « Et tu ne lui a pas proposé plus? »

- « T'es fou! «

- « Bah quoi, tu pourrais le remercier de t'avoir fait danser quand même »

- « Comment? »

- « En allant le sucer dans les chiottes par exemple! »

Emma me regarda droit dans les yeux comme pour me jauger. Étais-je sérieux ou pas? Une seconde de réflexion, puis d'un bond elle se leva et alla droit sur le black. Ils discutèrent dix secondes, le black ne devait pas en revenir, mais Emma lui prit la main et le guida jusqu'aux toilettes. Devais-je suivre au risque de tout gâcher ou y aller pour mater? Je décidai d'attendre sagement.

Une dizaine de minutes plus tard, je les vis sortir des toilettes pour hommes, lui très détendu et elle, hilare, rajustant sa robe et un peu échevelée.

Les deux tapotèrent sur leur téléphone puis ma dulcinée lui fit un bisou sur la joue et revint vers moi pour me dire sur un air de défi :

- « Voilà c'est fait, monsieur est cocu! »

Je me contente de sourire d'un air entendu et nous rentrons directement vers la maison. Arrivés, je n'y tiens plus et demande des détails.

- « On s'est enfermés dans une cabine, il m'a roulé un patin direct! J'ai commencé à caresser sa bite à travers son pantalon, il n'a pas mis trois secondes à se déboutonner et à sortir sa bite, et quelle bite, t'aurais vu cet engin! »

J'étais déjà en érection, je la laissais continuer en buvant ses paroles.

- « Je me suis accroupie et j'ai commencé à lui lécher la queue, en deux trois coups de langue il était au garde à vous! Je l'ai pompé sans réfléchir! Je te dis pas, à peine la moitié et il était déjà au fond de ma bouche! Il m'a attrapé les cheveux et à commencé à imprimer le mouvement de sa pipe. En fait, il me baisait la bouche. »

Ma bite me faisait mal tellement elle était tendue. Quelle salope, elle pipe un inconnu dans les chiottes et elle se vante d'avoir été traitée comme une traînée!

- « ça a duré un moment puis il m'a relevé et retourné comme une brute! J'ai dû m'appuyer à la porte du cabinet. Ce salaud a relevé ma robe, arraché mon string et m'a fourré la chatte direct! »

Joignant le geste à la parole, elle sortit de son sac un morceau de chiffon qui avait été un string de grande marque que je lui avais offert. Bon pour la poubelle! Emma continuait obligeamment son récit, autant pour m'exciter que pour s'exciter elle aussi.

- « Il m'a besogné comme un dingue, je sais pas combien de temps ça a duré, mais il a fini par lâcher un râle et cracher son sperme sur mes fesses. On s'est rajustés comme on a pu et on est sortis. Voilà »

- « Ça t'a plu? »

Emma rougit et lâcha un petit « oui » timide. Je l'embrasse passionément et la rassure :

- « Je t'aime encore plus si c'était possible. Viens allons nous doucher »

Après la douche nous nous couchons, je commence à titiller Emma il ne faut pas longtemps avant qu'elle ne vienne me chevaucher. J'adore la voir ainsi, je ne me prive pas de lui caresser ses magnifiques seins. Elle s'agite énormément et exprime son plaisir de plus en plus fort alors que mon sexe n'a jamais été vraiment de taille à la faire décoller.

- « Tu aimerais que ce soit ce black qui te baise à nouveau, hein, salope! »

Elle ne répond pas mais ses va et vient sont de plus en plus rapides et ses soupirs de plus en plus intenses.

- « Tu veux qu'il te défonce, hein, et tu voudrais bien qu'il appelle des copains pour qu'ils viennent te démonter comme une bonne petite pute, hein? »

Emma part alors dans un grand cri de jouissance avant de s'affaler sur moi et de sombrer dans un profond sommeil, où je la rejoins bientôt.

Quand je me réveille, Emma n'est pas dans le lit. Je la trouve sur la petite terrasse, assise sur un transat, complètement nue, en train de boire un café. J'ai une érection rien que de la voir comme ça. Elle tapote sur son téléphone. Déjà le black d'hier?

- « bonjour mon trésor »

- « bonjour mon amour , bien dormi? »

- « parfait, et toi? »

- « comme un bébé »

- « Tu écris à quelqu'un? »

- « Ben, c'est Ibrahima, le gars du bar hier soir, il m'a écrit »

- « Ah, il veut quoi? »

- « Me revoir, tu penses bien... »

- « Et tu lui as dit oui j'espère? C'est open jusqu'à la fin du séjour. Après on oublie tout »

Emma me regarda d'un air énigmatique et, sans répondre à ma question, se leva pour aller prendre une douche.

Après le déjeuner, nous décidons d'aller passer une journée plage. Notre logeur nous a conseillé une plage un peu plus retirée où il y a moins de monde. Il nous suffit de marcher quelques minutes sur de mauvais chemins et en effet, il y a un peu de monde, mais on a pas l'impression d'être dans le métro à 18h!

Nous nous déshabillons et je comprends pourquoi Emma était allée s'habiller dans la salle de bains : elle avait acheté un nouveau maillot, un haut push up qui faisait ressortir ses gros seins de façon incroyable, un bas échancré en V dont l'arrière laissait apparaître la moitié de ses fesses! Un véritable appel au sexe!

- « chérie ton maillot te va à merveille! »

- « il te plaît? C'est une surprise pour toi? » avec un air presque enfantin.

- « avec ce maillot et ce qu'il y a dedans, tu vas en attirer des chacals! »

- « C'est ce que tu veux, non? » me rétorqua-t-elle en tirant la langue.

J'étais bluffé. L'épisode du bar hier soir n'était pas un accident. Elle rentrait bel et bien dans mon jeu pour mon plus grand plaisir. Je comptais bien profiter de la situation dès que l'occasion se présenterait.

Une quinzaine de minutes après notre arrivée, arrivent un peu bruyamment trois mecs, typés maghrébins, qui s'installent à une dizaine de mètres de nous. Les coups d'œil incessants qu'ils jettent sur Emma et leurs conciliabules en nous regardant prouvent qu'ils n'ont pas choisi cet emplacement par hasard!

Il fut dire qu'Emma fait bronzer son dos, donnant une vue imprenable sur sa superbe paire de fesses et ses seins comprimés dans son haut. On ne sait pas si elle regarde les types ou son magazine avec ses grosses lunettes de soleil.

C'est le moment pour moi :

- «T'as vu les trois mecs, chérie? Ils arrêtent pas de te mater! »

- « J'ai vu, et ça te plaît, mon cochon! »

- « Je m'éclipserais bien, histoire de voir si ils oseraient t'aborder. Tu leur diras que je suis juste un ami qui est parti »

- « Toi, tu veux vraiment que je me fasse baiser! »

- « S'ils te plaisent... »

Ni une ni deux, sous le regard mi-médusé, mi-amusé d'Emma, je me lève, je ramasse mes affaires et fais semblant de partir. Après avoir disparu de la vue de tous je me planque dans les dunes environnantes d'où je peux observer la suite discrètement.

Les trois se sont immédiatement rapprochés d'Emma et ont engagés la conversation. De mon poste d'observation, je n'entends bien sûr rien, mais je devine que ça drague sec. Emma s'est retournée et leur expose ses gros seins devant le nez.

Ça a l'air de bien se passer puisque les quatre commencent bientôt à rigoler. Les trois mecs se sont carrément installés à côté de ma chérie. Ça discute et ça rigole et je vois des mains qui se font baladeuses, au début timidement puis franchement. Un des mecs met carrément une main sur la cuisse d'Emma qui ne le repousse pas.

Tout le monde va à l'eau, les quatre batifolent, se jettent de l'eau, jouent à s'attraper et les mecs l'attrapent par les fesses ou les seins sans qu'elle ne s'en offusque! Mon maillot me serre terriblement!

Une fois revenus sur le sable et séchés, je vois que la conversation se fait plus licencieuse, plus tendue. Un des mecs qui avait doucement rapproché son visage de celui d'Emma finit par poser ses lèvres sur celles de ma chérie. Et Emma lui rend! Vu le temps passé, ce n'est pas un petit smack mais un véritable patin qu'ils se roulent! Enfin ma petite salope a cédé!

Les voilà qui s'allongent sur les serviettes tout en continuant à se galocher pendant que les deux autres la tripotent de plus en plus sérieusement : leurs mains sont passées des jambes aux cuisses, puis des cuisses aux seins et au triangle pubien.

La scène dure une éternité et devient de plus en plus chaude, les deux tripoteurs font passer leurs mains sous le maillot, je vois bien qu'Emma est en train de perdre pied. Va-t-elle se faire partouzer sur la plage?

Une once (encore!) de pudeur doit la traverser puisqu'elle se relève brusquement et se rajuste. Je les vois discuter deux minutes, je vois tout le monde se rhabiller. Où vont-ils?

Les voilà qui quittent la plage et marchent vers la sortie. Je les suis à distance.

Arrivés sur le parking, les voilà qui grimpent dans une voiture et filent!

Je suis catastrophé : notre voiture est à la villa, le temps de l'atteindre ils seront loin! Me mettre en travers et arrêter tout ça? Ils sortent déjà du parking et prennent la route. Je les perds de vue.

J'envoie un texto angoissé à Emma, mais elle ne me répond pas.

Que vont-ils faire d'elle? La baiser? Certainement!

Mais elle se trouve à leur merci et Dieu sait ou ils l'emmènent!

Elle pourrait se retrouver baisée à la chaîne par d'autres, séquestrée, camée, vendue à un bordel en Afrique (j'avais lu avec délectation des articles sur des rabatteurs pour la traite des blanches)

Rien que ces pensées m'ont fait éjaculer dans mon maillot.

Je n'avais plus qu'à rentrer à la villa et attendre. Au milieu de la nuit, j'entendis enfin la clé tourner et une Emma bien vivante mais visiblement très fatiguée et la tenue chiffonnée passer le pas de la porte. Je l'assaillais de questions :

- « Tu vas bien mon amour? Ça s'est bien passé? »

- « Oh que oui! Viens dans la chambre je vais te raconter »

Dans la chambre elle se déshabille, nous nous allongeons sur le lit et, après que je lui ai dit où j'en étais resté de son après midi elle me raconte la suite :

- « On a roulé un moment, leur piaule était dans les terres. Celui qui était derrière avec moi, qui m'avait embrassé tout le temps, a continué et en a profité pour me tripoter de partout, en baissant le haut de mon maillot et en me doigtant à fond. Il m'a chauffé à mort! Ce salaud a fait glisser son short et a sorti une de ces bites! Un monstre! Il a guidé ma tête vers sa queue et sans réfléchir je l'ai gobé! »

J'écoutais cette confession halluciné. Ma petite chérie fidèle et un peu prude s'était transformée en une pute affamée de bites. J'étais aux anges!

« Je l'ai sucé comme ça un moment, et nous sommes arrivés chez eux. Autant te dire que je ne sais pas où c'est, j'étais trop occupée à pomper! C'est une villa de location un peu comme nous. À peine entrés, ils m'ont quasiment arraché mes vêtements, m'ont emmené dans une des chambres et là... »

- « Là quoi? »

- « Ils m'ont dit que j'allais ramasser mais que j'allais jouir comme jamais ; J'ai été jetée sur le lit, Ils m'ont prise l'un derrière l'autre, deux en même temps, un dans ma chatte un dans ma bouche, des fois un seul me besognait, je leur ai fait des branlettes espagnoles et deux fois ils m'ont prise les trois en même temps les salauds : un dans ma bouche un dans ma chatte un dans mon cul! Ils avaient dû prendre un truc parce qu'ils étaient infatigables! Moi j'avais vraiment l'impression d'être leur poupée gonflable ou une pute de bord de route. Et en plus ces enfoirés en rajoutaient en me traitant de pute blanche, de sac à foutre, d'esclave à arabes. Ils me disaient qu'ils allaient me ligoter, me foutre dans leur coffre et me ramener dans leur cité où je leur servirai de vide couilles à eux et leurs potes, me foutre sur la nationale pour que leur rapporte, ça me faisait un effet fou de les entendre me traiter comme la dernière des putes!

Quand ils ont enfin été rassasiés, ils m'ont fait me rhabiller et m'ont laissé pas loin d'ici, et voilà! »

- « Tu as joui? »

Emma rougit à la question

- « Oui, plusieurs fois » souffla-t-elle

J'étais ravi et très excité.

- « Tu m'as dit qu'ils t'avaient ramené, mais tu ne t'es pas douchée? »

- « Non pas encore, j'ai toujours leur sperme dans mes orifices » dit elle une pointe de perversité dans la voix.

Sans réfléchir je me jetai sur sa chatte pour voir. j'écarte délicatement le bikini et je vois tout de suite que l'intérieur du maillot est gluant et sent le sexe d'homme. Un épais liquide blanchâtre s'écoule encore de sa chatte. Cette petite salope a vraiment ramassé!

Je continue mon inspection de son corps : son anus est lui aussi malmené et des traces de sperme collent un peu le derrière du maillot. Ses seins étaient eux aussi un peu poisseux, certainement des restes des branlettes espagnoles qu'elle leur avait fait.

Je me suis redressé et l'ai embrassée. Surprise et d'abord réticente, elle ne résista finalement pas et je pus apprécier le goût un peu salé d'une bouche qui a sucé des bites et avalé du foutre à la chaîne.

Je n'ai pas pu résister à la tentation de la pénétrer, de sentir le sperme des autres, l'humiliation de passer le dernier. Il ne m'a pas fallu longtemps avant de tout décharger et de mêler mon sperme aux leurs.

Nous sommes rentrés chez nous le surlendemain. Elle n'a pas revu Ibrahima, elle ne voulait pas lui laisser croire à autre chose qu'un coup d'un soir.

Mais depuis notre aventure, nous avons donné un nouvel élan à notre couple, Emma se laisse aller et n'hésite plus à me faire porter des cornes quand elle en a envie. La seule limite : elle me dit tout et ne se lance jamais dans une relation durable. Elle me surprend souvent:

- Certains soirs elle décide de sortir seule. Elle s'habille en mode « petite salope en manque » : robe moulante bien courte et décolletée, sous laquelle elle « oublie » souvent de mettre une culotte, et d'escarpins à hauts talons.

Elle écume les bars musicaux et les soirées. Quand elle rentre tard dans la nuit, elle me raconte ses aventures, baisée en levrette dans les chiottes du bar, culbutée sur le capot d'une voiture sur un parking ou ramenée jusque devant chez nous où elle chevauche son chauffeur sur le siège conducteur pour le remercier. Cette coquine vient ensuite me montrer sa chatte pleine du sperme d'inconnus.

- Son boulot l'emmenait quelquefois à côtoyer des petits délinquants venus dans sa boite effectuer leur réinsertion. Jusque-là, elle ne leur avait accordé que des sourires polis et avait évité leurs tentatives de drague. Pour le dernier, impliqué dans un trafic de drogue, elle sortit le grand jeu : elle demanda à ce qu'il soit affecté dans son bureau, venait tous les jours en chemisier qu'elle déboutonnait bouton par bouton jusqu'à lui laisser voir tout son sillon mammaire, ce qui lui faisait sortir les yeux de la tête. Elle portait des jupes courtes et moulantes et s'amusait à lui demander de l'aider chercher des dossiers tous comme par hasard en hauteur, promenant son popotin devant son nez et lui permettant parfois de voir son string.

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