Elle Ch. 02

Informations sur Récit
Une révélation avec ma belle-fille Christine.
3.2k mots
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Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 03/30/2015
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L

ELLE TROISIEME VOYAGE

Le voyage retour s'est effectué dans le silence chacun d'entre nous plongé dans ses pensées, Christine et moi pensant à la suite des évènements qu'allions nous faire vis à vis de nos couples respectifs et surtout quand et comment nous pourrions nous revoir.

Martine quand à elle était perturbé par ce qu'elle avait vu, au travers de ses commentaires je pensais qu'elle était excitée, j'ai même eu l'impression que lors de notre dernier passage à la campagne elle aurait été réceptive à être incluse dans nos découvertes, malheureusement pour elle nous étions trop absorbés par ce qui nous arrivait pour être réceptif aux désirs de Martine.

Nous sommes arrivés chez Martine, nous avons chargé le pickup en silence, il n'y avait pas de planche ou étagères à charger, nous sommes remontés dans le pickup, Christine s'est installée sur mes genoux comme pour le précédent voyage et m'as susurré qu'elle voulait jouir à nouveau sur ce voyage. Nos caresses n'avaient plus de retenues elles se sont faites directes, je soulevais son teeshirt et ma bouche trouva tout de suite le chemin de son tétons qui s'était durci par anticipation.

Mes mains se sont glissées dans son short pour caresser ses fesses en insérant un doigt entre elles à la recherche de son anus, j'avais envie qu'elle jouisse vite et fort, mon autre main est venue se glisser par les ouvertures le long de ses cuisses à la rechercher de son clitoris. Elle était déjà toute mouillée et je ne résistais pas enfonçant un doigt, pendant que mon pouce commençait à caresser son clitoris, Christine gémissait de plus en plus. Martine nous regardait en conduisant, son regard se remplissait de désir les gémissements de Christine la perturbait et depuis ce matin nos ébats commençaient vraiment à l'exciter.

Le va et vient des mains de Christine sur mon sexe commençait aussi à être extrêmement perturbant je me demandais lequel de nous deux allait jouir le premier, j'essayais de me contrôler alors que Christine voulait jouir avant d'arriver à la campagne, j'accélérais ma caresse sur son clitoris tout en lui disant que je voulais la pénétrer avec mon sexe, elle arrêta de me masturber se raidi avec un petit cri elle joui, son vagin se contractant sur mon doigt.

J'avais envie de la déshabiller et de la prendre la sur le siège du pickup. Martine nous dit : désolé mais je suis obligé de m'arrêter. Je la regardais elle avait les oreilles toutes rouges et le regard dans le vague, elle s'arrêta, mis sa main entre ses cuisses, nous la regardions avec Christine allait elle se masturber devant nous? Pour ma part si elle le faisait je l'accompagnerais, je bandais au point d'avoir mal aux bourses, il fallait que quelque chose se passe.

Christine prit l'initiative, s'agenouillant devant moi elle dégagea mon pénis et le prit dans sa bouche, après avoir dis à Martine : touche toi tu as comme nous besoin de jouir. Martine baissa son short pour se caresser, nos regards se sont accrochés, elle a accélérer son mouvement tout en s'enfonçant un doigt, Christine s'activait sur mon pénis caressant avec sa langue le gland, avec une de ses mains mes bourses, avec l'autre son clitoris.

Le regard de Martine allait de la fellation de Christine à mes yeux et je sentais qu'elle était sur le point de jouir, c'était la même chose pour moi je savais que cela allait arriver vite Christine accélérait son mouvement, soudain Martine annonça je vais jouir, je vais jouir, cela déclencha mon orgasme, Martine eu un petit cri et dit : oh c'est trop bon! Christine avalait mon sperme et se raidit à nouveau elle aussi venait d'avoir un mini orgasme.

Nous sommes restés là une bonne dizaine de minutes la pression retombait tranquillement, qu'allait-il se passer quand nous reprendrions conscience de notre environnement et de ce qui venait de se passer.

La situation était perturbante nous nous apercevions que nous étions tous les trois dans un état de frustration dans nos couples respectifs qui nous amenait à un comportement que la morale jugeait amorale, mais notre besoin de nous sentir en accord entre nous avait dépassé les tabous, nous nous étions rassasiés ensemble de notre besoin physique, cela nous rapprochait, et engendrait une complicité particulière notre relation venait de passer un tabou qu'aucun de nous ne pouvait imaginer seulement ce matin.

La première à prendre la parole, Martine, nous expliquant qu'elle était désolé mais que le spectacle que nous lui avions donné l'avait terriblement excité, qu'elle ne pouvait plus se retenir, qu'elle devait avoir un orgasme, et l'aveu que sa vie sexuelle actuelle était extrêmement frustrante son marie n'ayant plus vraiment le gout pour une recherche de plaisir mais juste rapidement le sien.

Ensemble avec Christine nous lui avons expliqué que nous comprenions son besoin, et surtout que notre comportement depuis ce matin était grandement responsable de l'état dans lequel elle s'était retrouvée, aussi, la voir se masturber comme elle l'avait fais nous avais excité au point de jouir pratiquement en même temps qu'elle, cette image nous aura marqué pour toujours, elle faisait complètement partie de notre découverte.

Christine enchaina expliquant qu'elle avait besoin de se sentir aimer apprécier comprise, car sa vie de tous les jours était compliquée son mari pas toujours très présent avec de grandes difficultés à prendre les bonnes disposition dans son travail ce qui le laissait extrêmement frustré, avec les conséquences que l'on pouvait imaginer dans leur vie de couple.

Pour ma part la situation sans être plus simple, l'était quand même un peu j'avais besoin d'échanger avec les personnes que j'aimais et de vivre ces moments intenses comme ceux que nous venions de partager.

Nous avions tous les trois de motivations différentes mais comme souvent le point de rencontre était là. Nous nous sommes rhabillés, Martine repris le volant un peu contrarié, mais Christine commença à plaisanter sur nous et l'atmosphère se détendit d'un coup avec des allusions pour savoir jusqu'où nous aurions été si nous n'avions pas été dans le pickup. Comme je lui expliquais la situation n'aurait certainement pas évoluer de cette façon.

Arrivé à la campagne nous avons vite déchargé et repris la route pour la maison de Martine qui nous donna la clé de la maison de campagne, en nous laissant entendre qu'elle ne dirait pas non à une invitation à nous rejoindre demain si nous le souhaitions. Christine était un peu estomaqué par la proposition, dans le même temps elle remarqua à haute voie qu'en effet compte tenu de la journée d'aujourd'hui on pouvait se demander pourquoi dire non à cette suggestion.

Le retour se passa rapidement, arrivé chez Martine, après lui avoir souhaité une bonne soirée avec des petits baisers plus appuyés que ce matin, nous avons repris la voiture de Christine pour rentrer. Dans la voiture Christine me demanda quel prétexte nous pourrions trouver pour nous échapper demain, elle voulait que nous ayons la possibilité de nous découvrir tranquillement. Je lui répondait que nous allions trouver un prétexte avant demain matin. La vie repris son train train, en arrivant chez Christine, enfants, mari était dans l'attente, il fut décidé d'aller à la pizzeria d'à coté ce qui réjouit les enfants. Pour ma part je voulais me retrouver le plus vite possible seul avec moi-même pour essayer de comprendre ce qui m'arrivait.

Le lendemain

La soirée avançait mais nous nous jetions des regards plein de désirs de nous toucher, de nous effleurer, tout en essayant d'éviter que cela soit trop visible, je décidais de m'éloigner et de jouer avec les enfants ce qui me permit de détendre l'atmosphère.

De retour à la maison nous nous sommes tous souhaiter une bonne nuit. Dans mon lit je n'arrêtais pas de penser à cette journée, mes mains sentais la rondeur de ses seins, ma bouche avait le gout de ses tétons, mon sexe en érection désirait son sexe, et c'est avec beaucoup de difficultés que je finis par trouver le sommeil, les images de la journée m'empêchant de me détendre, je commençait à me caresser mais décidait d'arrêter en pensant à la journée de demain, et je finis par m'endormir.

Le lendemain matin au petit déjeuner Christine annonça qu'elle avait reçu un appel de Martine qui lui demandait si ce ne serait pas trop abuser de faire un dernier voyage.

"N'oublie pas que je repars ce soir, mais bon si tu veux l'aider à terminer ce déménagement, je veux bien vous aider. Il aurait été plus simple de louer une camionnette" lui dis-je avec un clin d'œil.

"Bon, je l'appelle pour lui dire que nous arrivons d'ici une demi heure, de toute façon cela ne devrait pas nous prendre plus de 2 à 3 heures"

Christine prit le téléphone, appela Martine avec laquelle elle avait du mettre au point ce prétexte ce matin.

Après, une bonne douche nous nous retrouvons dans notre tenue de "travail" teeshirt et short, direction la campagne. Après une dizaine de minutes de route Christine arrête la voiture.

"J'en ai trop envie depuis ce matin j'attends ce moment", nous nous embrassons.

Reprenant ma respiration "Plus vite nous serons arrivé, plus vite nous pourrons prendre le temps de nous embrasser....et plus si affinités" lui dis je en souriant.

Nous reprenons la route car nous ne sommes qu'à 20 minutes de la maison des parents de Martine.

"Christine, hier l'attitude de Martine dans la voiture c'était vraiment très chaud"

"Oui, la notre aussi, elle n'est pas très satisfaite de ce coté son mari ne pense qu'au boulot et la délaisse, ou c'est vite fait et elle n'a pas le temps d'avoir même qu'un mini orgasme. Elle m'a avoué qu'elle se caressait souvent, mais après la journée d'hier je pense que nous pouvons en parler, de plus elle est très jolie. Je n'avais jamais vu personne jouir devant moi, et quand c'est arrivé rien ne pouvait m'arrêter, j'étais trop excitée. Et on a joui pratiquement tous les trois ensemble"

Ce que tu me faisais était divin, ta bouche était tellement chaude, ta langue tellement douce dans ses caresses, et Martine me regardais droit dans les yeux, je voyais son plaisir arrivé. C'était trop intense je ne comprenait plus ce qui se passait ta bouche son regard j'avais l'impression de faire l'amour avec vous deux, j'ai mis un moment à retrouver ma lucidité"

"Tu as eu envie de faire l'amour avec Martine?"

"Oui, c'était trop fort j'avais envie de sentir vos deux corps contre le mien, et toi?"

"Tu veux dire si j'avais envie de faire l'amour avec Martine" "Oui" je lui réponds.

"Non, me dit-elle, mais comme toi nous sentir les uns contre les autres après notre orgasme c'était presque un besoin, j'ai hâte d'arriver, que tu me prennes dans tes bras et que tu me fasses l'amour toute cette discussion m'excite."

"Moi aussi, je n'ai pas pu dormir de la nuit, je pensais à tes seins dans mes mains, tes tétons sur mes lèvres, cela m'excitait trop!"

"Tu sais tu n'étais pas le seul, quand tu as joui dans ma main et ensuite dans ma bouche, cette impression je n'ai pas arrêté d'y penser, le gout restait collé à ma langue. Tu m'excites, avec tous ces discours j'ai trop envie de toi, touches-moi! "

Ma main se glissa sur sa cuisse remontant doucement à l'intérieur de celle-ci. Sa peau douce, la chaleur qui s'en dégageait m'excitait, mes doigts l'effleuraient descendant et remontant chaque fois un peu plus haut vers l'ouverture de son short.

Elle me répéta "touches moi". Je décidais de ne pas répondre mais de laisser ces caresses continuer pour accentuer son excitation, son désir. Le mien commençait à être un peu inconfortable aussi je me repositionnais.

"Nous sommes arrivés, tu n'as pas oublié la clé"

"Non, Martine m'a dis d'utiliser sa chambre au premier"

Christine gare la voiture devant l'entrée, nous descendons de voiture, devant la porte nous commençons à nous embrasser en nous frottant l'un à l'autre, ma main passe dans l'ouverture de son short, aucune barrière mes doigts sont en contact avec son sexe, une bouffée de chaleur m'enveloppe, celui-ci a été rasé avec juste une petit duvet sur le dessus, j'ai envie de le voir, de le découvrir, de l'embrasser, de le lécher....j'ouvre la porte pour nous précipiter vers la chambre de Martine, pas volet tout est illuminé de soleil.

Je porte Christine jusqu'au lit, en prenant ses seins dans mes mains je lui retire son teeshirt, ses seins sont la devant moi les tétons durcis par son excitation. Ma bouche se penche sur eux et commence à les lécher en alternant gauche droit. Christine gémit :

"Continue c'est bon, ta bouche, ta langue sont douces, continue"

Ces mots m'excitent, je rentre mes lèvres sur mes dents et saisis un de ses tétons que je mordille.

"Oh oui comme ça c'est trop bon, oui continue"

Mes mains descendent sur son ventre en direction de son sexe je veux le découvrir, je pousse son short vers le bas elle lève les jambes pour le retirer, elle est nue!

Je me soulève, la regarde, elle est belle! mes yeux se remplissent de ce corps je n'imaginais pas qu'elle puisse être aussi désirable, nos regards se croisent, nous avons la même envie nous faire l'amour.

"Tu es trop belle, trop désirable, je t'aime!"

"Viens me dit -elle, fais moi l'amour"

En l'embrassant je me déshabille, nos corps se frottent l'un contre l'autre, nous gémissons dans la bouche l'un de l'autre, mes mains la caresse, et les siennes commencent à me découvrir, j'ai envie de sentir sa main sur mon sexe, mais elle ne fait que passer à coté sans le toucher.

Ma bouche mordille ses tétons, elle gémit, ma main descend entre ses cuisses, effleure son sexe sans le toucher, caresse l'intérieur de ses cuisses. mais je veux rien précipiter j'ai envie de gouter son sexe, de la savourer quand elle va mouiller. J'embrasse, lèche son corps en descendant vers ce qui va être mon bonheur, ma main continue à l'effleurer, elle continue à gémir. Je la positionne au bord du lit et me mets à genoux juste à sa hauteur, ma bouche glisse le long de l'intérieur des cuisses, en passant devant son sexe je souffle légèrement sur ses lèvres, sur son clitoris que je vois commencer à émerger de sa protection.

C'est trop beau j'ai presque envie de la prendre de suite de me ruer à l'intérieur de son intimité de profiter de ce gant qui va m'insérer pour me faire jouir. Non, prenons notre temps ce moment va arriver, après son plaisir. Ma langue glisse entre ses cuisses remonte vers les lèvres de son sexe, le lèche l'extérieur redescend vers le périnée, remonte sur l'autre coté, souffle sur clitoris.

Ses mains descendent, ouvrent son sexe et je vois apparaitre l'intérieur, ma langue caresse l'intérieur de ses lèvres et se pose sur l'ouverture de son vagin, je la goute son nectar est là je n'ai plus qu'à le lécher pour m'en imprégner, je continue mes caresses et soudain j'enfonce ma langue dans ce doux canal, je peux boire son jus, je l'entends gémir son corps a des soubresauts, tout cela m'excite, je remonte ses jambes sur le lit, cela dégage son périnée et j'aperçois la pastille brune de son anus.

Ma langue descend, caresse cette extrémité et remonte vers son vagin elle commence à avoir des petits cris et son corps se raidit, je prends son clitoris dans ma bouche et commence à l'aspirer délicatement en le caressant avec ma langue, elle se raidit encore et soudain pousse un petit cri, les spasmes de son vagin attirent ma bouche qui va pouvoir se délecter des son jus, mon doigt caresse son anus qui est lubrifié par son humidité vaginale.

Maintenant, ma verge doit la pénétrer, je bande à en avoir mal, je la repousse légèrement sur lit et approche ma queue de son entrée, la mouille avec son jus, caresse son clitoris elle se raidit et me dit

"non pas là c'est trop fort, pénètre moi, je veux te sentir, viens"

Je me pousse à l'intérieur, comme je l'imaginais c'est un gant de douceur qui m'enveloppe, je m'enfonce, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps, je suis tout près de jouir, elle sent que je suis tout près, elle me dit

"je suis tout près attends moi!"

J'accélère mon mouvement, elle répond en essayant de m'enfoncer plus loin. C'est trop fort, je lui dis :

" je vais jouir" j'accélère "c'est trop bon" je me répand en elle, ce qui déclenche son orgasme, elle pousse un cri et je sens son vagin se serrer sur mon sexe....Nous restons enlacer sans bouger pendant de longues minutes.

Sans nous désunir nous nous mettons sur coté et commençons à nous caresser doucement, en se regardant dans les yeux, ce moment est sacré nous redescendons sur terre tranquillement en profitant l'un de l'autre.

Christine, "comment te sens tu?"

"Bien et toi, c'était trop bon je ne pensais pas que nous arrivions à jouir ensemble dès la première fois, tu es trop belle, laisse moi te regarder" je me relève légèrement, la contemple, lèche l'aréole de son sein, mordille le téton "j'ai toujours eu envie de profiter de tes seins, de les câliner, de les gouter, ils sont trop beau" Elle sourit, remonte ma tête vers elle et m'embrasse, nous sommes dans un autre monde, rien ne compte que nous, mes mains reprennent leur caresses, les siennes aussi.

Nous sommes restés là et petit à petit, notre désir est revenu, elle pris l'initiative de me caresser avec sa bouche en descendant vers mon sexe qui recommençait à durcir, elle se mit devant le caressant avec ses mains jusqu'à ce qu'elle le prenne dans sa bouche, il commença à durcir quand il était comme elle le souhaitais, elle avança son bassin vers le mien avec l'idée de s'empaler.

Mes mains s'emparèrent de ses seins en les caressant, elle gémit quand elle descendit sur mon sexe, avec un mouvement lent d'avant en arrière elle commença à me caresser avec son vagin quelle douceur jamais je n'aurais pu imaginer une telle sensation.

Notre étreinte et nos caresses continuaient jusqu'à ce que l'excitation commence à monter, elle accéléra le mouvement, je savais que dans cette position je pouvais tenir beaucoup plus longtemps, mais à un moment ce n'était plus ce que nous voulions je la retournais, et m'enfonçant en elle j'accélérais mon va et vient, elle se mit à gémir poussant mes fesses avec ses jambes, et prenant ma tête l'amena contre ses lèvres, l'étreinte devenait violente elle voulait jouir et me faire jouir, son corps, tout à coup, se raidit avec un petit cri elle jouit. Je la regardais elle ouvrit les yeux et me fixa intensément, nous sommes resté dans cette position sans bouger les yeux dans les yeux.

Le temps passait, nous avons émergé de cet état que l'on pourrait presqu'ile comateux, pour prendre une douche, et se préparer à notre retour.

"Christine, je n'ai jamais eu un plaisir aussi intense, c'était incroyable, je comprends les personnes qui disent je ne veux pas que cela s'arrête"

"Tu sais" me dit elle "je n'ai, moi aussi, jamais vécu ou ressenti quelque chose d'aussi complet" elle me prit dans ses bras pour m'embrasser.

Dans mon for intérieur, ce soir je rentrai chez moi à 600 k ms, nous nous parlerons au téléphone mais cet instant était cet instant, quand serait-il possible qu'il y en est un autre. Christine devait penser la même chose car son regard est devenu lointain et triste.

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