Elizabeth

Je me prénomme Élisabeth j'ai 41 ans je travaille comme manager dans une entreprise d'études de marché et de qualité de produits ce n'est pas ce que je préfère dans la vie mais il faut bien vivre, j'ai un diplôme de styliste mais très peu d' expérience professionnelle, je ne suis pas très confiante, et perd rapidement mes moyens devant des gens autoritaires,directifs et ce n'est pas ce qui manque dans le monde du fashion.Je suis marié à Sébastien 43 ans qui change régulièrement de travail car la routine et la monotonie lui pèse, mais participe activement au foyer,nous n'avons pas d'enfants et ce n'est pas la faute d'avoir essayé mais malheureusement tous les tests cliniques ont été négatifs. Pendant toute la période où je voulais absolument tombé enceinte j'en voulais à mon mari qu'il lui a déjà une fille d'une autre liaison, j'ai été insupportable, l'insultant, le méprisant et trouvant toutes les excuses inimaginables pour le rabaisser lui et ses spermatozoïdes alors que le problème venez de moi de mon corps et de ma tête. Mon mari quant à lui m'a toujours aidé pour que je garde espoir et m'a même laisser le choix d'allez me faire engrosser par quelqu'un d'autre que lui, que j'étais le seul maître de mon corps et que je pouvais en disposer comme j'en avais envie , cela m'avait toujours paru une offense, jusqu'à ce que je tombe sur une revue ou le témoignage de certaines femmes correspondait à ce que j'avais vécu, certaines disaient que si elles avez eu un mari plus compréhensible et plus ouvert sur la vie, de monde et la sexualité peut- être seraient-elles tombées enceintes sinon seraient elles plus épanouies dans leur vie avec surtout l'embarras des choix.

Mon mari ma toujours suggéré de m'amuser dans la vie, d'être sexy, belle, de charmer et me laisser charmer, de mettre mon corps en valeur, de sortir avec des amis et d'aller plus loin si je le souhaitais avec bien sûr en retour les détails croustillants a lui raconter. Pareil, je ne trouvais pas ça normal qu'un homme qui aime sa femme lui parle comme ça et la pousse dans les bras de quelqu'un d'autres (hommes ou femmes) jusqu'à ce que je tombe sur cette revue et le témoignage de ces femmes et comment l'épanouissement de leur être avait changé leur vie et surtout le développement de leur énergie sexuelle, de leurs désirs trop longtemps retenus, du passage à l'acte qui selon la plus part est encore meilleur lorsque l'on a le consentement du mari , l'accroissement de leur vie affectif, spirituelle et intellectuelle.

Pendant plusieurs semaines, je fis des recherches sur d'autres témoignages de femmes, je m'inscrivais sur des forums amicales et de santé, j eu beaucoup de discussions et à quatre vingt dix pour-cent , les femmes qui réussissaient leur vie affective et professionnelle s'adonnaient à une sexualité active de chaque instants, faisant de leur vie, une succession de moments érotiques, pour la plus part des femmes mariées avec le consentement de leurs maris et vis et versa. Certaines étaient maintenant libertine et ne regrettaient en rien leur petite vie maussade d'autrefois, une d'entre elle Nathalie une femme d'une cinquantaine d'années qui était totalement amoureuse de son mari avec qui elle avait la chance de partager cette vie , me donna des liens de site érotiques, et me conseilla quelques histoires qui à chaque fois lui faisait de l'effet, un exquis mélange de pluralisme, de bisexualité et de soumission.

je me laissais tenté, il ne fallu pas cinq minutes pour que mon sexe sur mette à mouillé et que je me masturbe.

Toute retournée par ce que je vivais et pensais, je décidais de faire comme ces femmes mais devais je en parler à mon mari, n'allait il pas encore penser que je me foutait de lui .

La semaine suivante la plus part de mes journées de travaillent se passèrent comme d'habitude, à la différence c'est que maintenant je regardais différemment les hommes qui venaient, cherchant à les charmer et à me laisser charmer.

Un après midi dans les toilettes de l'entreprise ,tout en me donnant l'envie et le courage de passer à l'acte, une honte, une gène montait dans mon visage, je me sentait écarlate,mon estomac se tendait, mes jambes fléchissaient,mon sexe s'entrouvrait, des images obsèdes défilés dans ma tête, ma langue sortait et titillait le gland d'une bite imaginaire, mes doigts maintenant étaient dans mon sexe et une décharge me procura un orgasme, je jouis.

je me mis la main sur ma bouche pour étouffer le reste de mon râle . Je restais immobile, honteuse, haletante, j'approchais mes doigts souillés de mon nez et je reniflait mon parfum.

je sortis des toilettes sans me laver les mains. Tout le reste de la journée dès qu'une occasion se présentait je saluais les hommes et les femmes de ma main souillée, et à chaque fois j'éprouvais une pointe d'excitation. j'étais sur la bonne voie, je ne me sentais déjà plus pareil, mon regard sur mes collègues de travail changeait aussi. A la maison ou dans les toilette de l' entreprise qui

devenait de plus en plus souvent le lieu salvateur de mes masturbations, l m'arrivait de fantasmer sur des scénarios ou mes collègues de travail y prenaient place.

Je n'en avait toujours pas parlé à Sebastien avec qui je faisais de plus en plus l'amour hanté par l'idée de sucer un autre ou de me faire prendre en même temps , se qui décuplait mon excitation pour notre plus grand plaisir. Je lui est toujours refusé de me sodomiser, pourtant lorsque je suis bien excité il peut me mettre jusqu'à quatre doigt dans mon anus, il m'avait pourtant acheté des plugs anal pour que je puisse l'assouplir et jouer avec avant mais, je les ai mis directement à la poubelle sans les utiliser une seul fois, je le regrettais un peu maintenant. J'avais aussi parlé sur internet avec des femmes qui arrivaient à jouir par le cul et qui en pratiquant la sodomie régulièrement, se trouvaient beaucoup plus détendues et relaxées avec moi de problèmes intestinaux et se trouvaient plus envoutées par la perspective de faire l'amour avec plusieurs hommes bien membrés sans contrainte.

Nathalie m'apprit aussi que si l'on veut un jour devenir une bonne soumise et s'adonner au joie du SM, les jeux anal sont obligatoires et que une fois que l'on y à pris goût on ne peu plus revenir en arrière.

De plus en plus mon esprit est chamboulé, je veux changer de travail, de ville, je veux m'épanouir et vivre ma vie de femme.

je me souvint alors d'un fantasme que Sebastien un jour que nous faisions l'amour amena ceux qui accrut considérablement mon plaisir , mais qui après coup me laissa béa, prenait maintenant un sens différent.

Sebastien me voyais au milieu d'hommes et de couples plus fortuné et professionnellement bien positionné , à qui si j'offrait quelques faveurs sexuelles pourraient m'ouvrir quelques portes ou quelques avantages et j'étais maintenant convaincue que c'était se qui il y avait à faire.

Je décide d'en parler le soir même avec lui. j'appréhende beaucoup, et si je mettais fait des idées , si lui ne disait que cela pour rester dans l'ordre du fantasme, je sait que mon mari avait fréquentait les club échangistes plus jeune, qu'il avait plusieurs relations dont une SM avec une fille qu'il attachait en laisse et l'a donné en pâture à des mâles en rutes, j'ai toujours été jalouses de ses histoires parce qu'il ne l'avait pas vécu avec moi, quelle sotte, tout ce temps perdu.

et j'avais bien l'intention d'écrire mes aventures avec lui, je l'aime, il m'aime, il est ouvert, attentionné, pervert...

je lui envoie un message pour lui dire que j'emmène l'apéro et qu'il faut que je lui parle. j'ai acheté une bouteille de champagne.

Il m'écoute sans prononcer un mot, jusqu'à la fin, il me demande si je suis vraiment sure, certaine lui réponds je.

Nous trinquons sobrement, ce qui m'inquiète un peu, Sebastien à l'air pensif. Nous finissons la bouteille. Sebastien me regarde, on sort me dit il, met une robe, fais toi belle, je t'emmène au restaurant.

Main dans la main nous déambulons dans les rues, il me regarde , sourit, il est beau, je l'aime. Dans une rue ,un homme vieux, promène son chien, nous nous arrêtons et le complimentons sur sur son labrador et l'intelligence de ceux ci, celui ci dit qu'il n'a aucun mérite ce sont des chien intelligent de naissance, la conversation se poursuit , Serge nous raconte qu'il est séparé et vis à quelques pâtés de maisons, Sébastien me regarde, sourit, me dis je t'aime, se retourne et parle à l'oreille de Serge, celui ci ne dit mot pendant quelques secondes,il a l'air étonné, peut après il prend son porte feuille et en sort un billet qu'il donne à Sébastien

Je regarde mon mari je ne comprends pas ce qu'il manigance, il me sourit et me donne le billet, c'est cinquante euros et me dit qu'il à proposé à Serge de voir mon sexe et de le toucher.

je deviens rouge pivoine, une émotion d'excitation et de honte me monte à la tête, Sebastien me dit aussi que je peux rendre le billet, des bouffées de chaleurs et de désirs inondent mon corps,à demi inconsciente je remonte ma robe jusqu'à la taille, faisant apparaître mes bas et ma culotte de dentelle blanche, ma respiration s'accélère , je prends mon souffle ,ferme les yeux et d'une main hésitante écarte ma culotte exhibant mon minou épilé là dans la rue, pour un inconnu à la demande de mon mari. J'ouvre doucement les yeux, Serge est en face de moi, il n'en perd aucune miette,il sorti sa verge et se masturbe, j'écarte un peu plus les cuisses, mon intimité luisante brille à la lueur du réverbère .

-« qu'est ce que vous êtes belle » dit Serge

De ma main libre, je prend celle de Serge et la pousse contre mon sexe, des frissons me parcours et je suis au bord de l'orgasme lorsqu'il me pénètre d'un doigt, Serge est au bord de l'éjaculation je baisse mes yeux vers son sexe au moment ou il râle et des jets de sperme jaillissent sur mes cuisses. Nous restons immobiles quelques secondes, haletant tout les deux.

J'apperçoit Sebastien qui me sourit, ravi.

Nous mettons de l'ordre dans nos tenues et cordialement nous nous quittons avec de vagues promesses de se revoir, j'embrasse Serge sur la joue, tandis que son sperme ruisselle sur mes jambes.

Ce moment m'a paru une éternité alors qu'en faite il n'a duré pas plus de dix minutes. Sebastien m'enlace tendrement, pose ses lèvres sur les miennes, je sent son sexe dure contre moi, sa langue vient chercher la mienne, nous nous embrassons comme cela n'était plus arrivé depuis des années.

fin de la première partie