Educatrices Ch. 10

BÊTA PUBLIQUE

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Refreinant ostensiblement un sanglot, avec lenteur, après une vague hésitation elle s'agenouilla et la main tremblante s'empara du sceptre tendu qui menaçait ses lèvres .

Bigre qui aurait pu croire qu'il soit si membré!

Le beau Francis proposait à sa convoitise une belle flamberge, épaisse, longue, raide à souhait.

Déjà la queue en main, elle brûlait du désir de la sentir vibrer dans sa bouche.

Elle ne devait pourtant pas marquer une hâte suspecte, aussi freinant délibérément son envie, la mine défaite elle feignit encore l'hésitation, passant une langue tremblante sur le vit brandi, comme repoussant l'iné-luctable instant ou elle devrait l'emboucher.

--Grouille l'encouragea-t-il... La voix oppressée

--Fourres la dans ta bouche... Lèches... Sinon...

Maintenant elle pouvait décemment l'absorber, il était convaincu qu'il la pliait à ses ordres, aussi avec délectation elle ouvrit largement les lèvres et goba voracement le chibre convoité.

Avec un soupir de satisfaction, de bien être il s'engouffra dans le fin fond de sa gorge, mais à peine eut-il le temps de goûter le contact de sa langue de velours, de l'écrin soyeux de ses lèvres, que dans un râle sau-vage, il s'exonéra en giclées puissantes dans son pharynx.

Sans marquer la forte déception qu'elle ressentait du fait de cette conclusion hâtive, elle continua d'aller et venir sur sa hampe tout le temps de sa longue éjaculation, avalant à petites gorgées le foutre tiède qui lui tapissait la gorge, puis sans rien y paraître, sournoisement, ser-rant ses lèvres à la base même de ses couilles elle entreprit de lui rendre une vigueur de bon aloi.

Tout à sa joie d'avoir souillé de son foutre la gorge de la belle qu'il convoitait depuis quelques jours avec la plus grande violence, éperdu de bonheur, il la laissa faire se réjouissant de sentir sa bite reprendre de la consistance dans la chaude caverne.

Cette fois, elle voulait recevoir le fruit de ses efforts, aussi sa bouche se fit-elle tendre, la caresse de se lèvres aériennes.

Elle l'aspirait jusqu'au delà de son gosier, puis retirait lentement la tête, caressant longuement de ses lèvres les moindres replis de sa tige avant de l'enfourner de nouveau avec la même savante lenteur.

Cette fois la fellation dura longtemps, comme s'il en était besoin, d'un seul coup, lorsqu'il se cabra il resserra sa prise sur la nuque de sa zélée pipeuse, s'enfonça encore plus, lésant les amygdales, repoussant la luette dans l'arrière gorge, et de nouveau à de gros bouillons épais, crémeux, inondèrent son palais.

Empressée elle avala goulûment le sperme tiède qui la ravissait, puis elle s'attarda longuement à la toilette du braquemart tressautant qui ve-nait de lui accorder tant de joie avant de le ranger avec habileté dans son slip.

Ne doutant pas qu'il devait à la menace qu'il faisait planer sur sa tête ce succulent pompier, la voix mâle il exigea :

-Dorénavant tu seras à ma botte... Je te ferai tout ce que j'ai vu sur le film... Tout... Je te baiserai à couilles rabattues... Je te défonce-rai le trou du cul... Tout je te dis... Tu devras m'obéir...

Affichant une mine honteuse, contrite, elle souffla :

-Oui... Oui, mon chéri... Tu feras de moi ce que tu voudras... Je se-rai ta chienne... Mais je t'en prie ne dis rien à personne...

La fine mouche avait atteint son but, à nouveau elle devrait se plier sous le torse d'un jeune amant, qui, elle n'en doutait pas en prenant de l'assurance, et au besoin grâce à de discrètes suggestions saurait la faire râler sous lui, et très certainement, l'autorité venant sous d'autre.

A nouveau elle devrait combler les désirs, les vœux d'un adolescent qui ne tarderait pas à la traiter en objet, à l'échanger, à l'avilir.

Elle retrouverait ce fort sentiment de honte, d'humiliation

de déchéance dont elle avait tant besoin pour jouir à pleine gorge, son corps se verrait à nouveau souillé par des étreintes, même les plus bes-tiales qu'elle ne pourrait refuser... La pleine vie reprenait .

EPILOGUE .

Comme elle l'entendait, Françoise amena son jeune voisin a asseoir son emprise sur elle, elle lui suggéra le plus souvent les étapes qui l'amène-raient à une totale dépendance, inventant des situations, des actions qui peu à peu révélèrent en Francis des qualités insoupçonnées .

Par son entremise, elle pervertit à son tour son mari, mettant ses copines à son entière disposition, bientôt, Francis vécut comme un coq en pâte, disposant à son gré des quatre femelles et en faisant disposer le mari de Françoise, ce qui leur permit de varier à l'infini les scénarios.

Sylvie retrouva du boulot, recommandée par André, elle sut de la bou-che, du con, du cul gagner une place bien méritée.

Fabienne et Murielle, tout comme elle se prêtèrent avec jubilation à leurs jeux.

Complices de Françoise, elles surent tout comme cette dernière suggé-rer des situations scabreuses qui semblaient toujours venir des mâles; alors qu'en réalité elles menaient le jeu..

Coulybaca

Janvier 2008-01-03

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 8 ans
insane- malsain. trop long..profils peu crédibles

1. j'ose rappeller que les actes de ces 3 jeunes mâles en rut et en quête de domination, sont ni plus ni moins reprehensibles par la Loi, non en tribunal correctionnel, mais en cour d'assisses. A savoir, chantage, coups et viols répétés en bande organisés avec préméditation.. sont passibles de 12 ans de réclusion (12 ans à se faire sodo.. par d'autres voyoux bien rodés au crime)Etonnant qu'aucu'une asso (comme FEMEN) n'aie pas intenté une censure à l'encontre de l'auteur. Salutations

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