Educatrices Ch. 04

Informations sur Récit
Le piège se referme sur Marielle la gouine.
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Partie 4 de la série de 10 pièces

Actualisé 09/15/2022
Créé 05/13/2008
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Coulybaca
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Texte personnel Coulybaca

Tous les jeunes participant physiquement à l'action sont âgés de plus de 18 ans.

Chapitre 4 : Le piège se referme sur Marielle la gouine.

Après une nuit entière de repos, Françoise sentit une vague caresse le long de son dos, Miloud éveillé le premier se frottait insidieusement contre sa croupe, cherchant à la sodomiser en douceur.

Il écarta largement les deux rotondités épanouies, dégageant nettement sa cible.

Puis pressant du gland l'œillet sensible, il força.

La brûlante douleur transperça Françoise, elle ne réalisait pas encore ce qui se préparait, seul son anus durement sollicité palpitait d'affolement, le reste de son corps était encore engourdi, à demi plongé dans les bru-mes du sommeil.

D'une poussée violente, le gland mafflu pénétra le goulot du petit sanc-tuaire crispé, la douleur fulgura dans ses reins.

Pensant sortir d'un cauchemar, elle reprit rapidement pied dans la réali-té, empalée par une bite qui frayait impérieusement son chemin dans son intestin frémissant.

Miloud, sans plus se soucier de ses gémissements s'arc-bouta, et le gros cylindre s'enfonça lentement jusqu'à la garde au cœur de sa gaine dis-tendue.

Déjà, la souffrance s'estompait, remplacée par une bienfaisante impres-sion de plénitude.

Son boyau culier avait entièrement absorbé le gros rouleau de chair, Mi-loud se sentait pris comme dans un étau.

Au ras des couilles, le sphincter tressautait lui étranglant la tige comme un collet le lapin au sortir du gîte.

Se trémoussant avec entrain, contre le glorieux pétard, il entama son branle d'avant en arrière, certain de ne pouvoir se contrôler longtemps, tant son plaisir était grand.

Muscles tendus à craquer, enserrant la pine dans son fourreau de ve-lours, totalement éveillée, le ventre affolé, elle se mit à ruer contre son pubis.

Un incroyable orgasme montait dans ses reins conquis, elle en voulait encore plus, s'empalant jusqu'à la racine sur le prodigieux braquemart, l'empoignant de ses sphincters comme avec un poing qu'elle aurait res-serré et desserré en mesure pour mieux contrôler, retarder le flux qu'elle savait imminent .

Sans se poser d'autres questions, elle prétendait profiter à fond de ce chibre qui l'emplissait tant, provoquant tant de plaisirs nouveaux, incon-nus, incongrus.

Dans un grand jaillissement il ne tarda pas à se déverser dans le cul dompté, l'inondant de son foutre chaud.

Lors de son retrait, l'anus béant, elle sentit la liqueur grasse suinter de son anus, lui poissant la chatte.

Elle dut s'essuyer soigneusement l'abricot avant de passer jupe et tee-shirt tandis que Miloud s'habillait.

Sur le pas de porte elle rencontra Charles et Stephan tenant enlacée une Murielle aux yeux soulignés de larges cernes noirs.

Elle eut tout de suite l'explication, de ces larges marques de fatigue, Stephan expliquait, vaguement admiratif :

- Putain tu parles d'une salope... On vient de se la faire en sand-wich... Je te raconte pas!

Les deux éducatrices veillèrent toute la matinée sur les jeunes puis les envoyèrent à la télé lorsque Miloud les appela :

- Françoise... Murielle... L'autre salope, monte aux groupe... A vous de jouer!

Toutes deux s'avancèrent vers l'arrivante.

-- Bonjour... Francoise Ledoux... Murielle Degat... Se présentèrent-elles.

-- Sylvie Bonnart, je connais déjà Murielle de vue, mais... Vous Françoise, c'est la première fois que je vous vois ici le week-end...

-- Sylvie s'ennuyait seule avec les gamins... Elle m'a demandé de lui tenir compagnie... Mais entrez on discutera mieux autour d'un verre... Suggéra Françoise .

-- Avec plaisir... Je m'ennuie à crever dans l'infirmerie, je cherchais quelqu'un pour passer le temps... Avoua l'arrivante.

Toutes trois s'installèrent sur les fauteuils profonds de la salle de vie, les deux éducatrices, comme l'avait ordonné Miloud, se placèrent face à leur invitée.

Les jambes légèrement écartées, elles semblaient ne pas être conscien-tes que dans cette position, l'infirmière pouvait tout détailler de leurs chattes velues.

Un éclair intéressé brilla dans l'œil de Sylvie, visiblement, tout en conversant, elle comparait discrètement les deux touffes, la fréquence de ses regards indiscrets indiqua bientôt la craquette qui captivait le plus son attention.

Visiblement elle appréciait plus particulièrement la blonde cramouille de Françoise.

Celle ci, comme convenu, multiplia les effets de cuisse, se levant et se rasseyant pour faire le service, se frottant, comme par inadvertance contre Sylvie, lui permettant ainsi d'apprécier la fermeté de sa poitrine, le soyeux de ses cuisses, l'ampleur de son cul.

Il devint bientôt évident pour tous que Sylvie goûtait fort ses contacts fur-tifs, elle évaluait la silhouette de Françoise, fort gênée d'un intérêt si pal-pable.

Elles amenèrent petit à petit, insensiblement la nostalgique jeune femme à se confier, lui arrachant peu à peu, sans heurt des confidences plus intimes, qui permettraient aux garçons de la connaître mieux, de déter-miner plus clairement son profil...

De la savoir gouine ne suffisait pas, il en fallait plus pour mener à bien leurs desseins.

Brisant la conversation, l'infirmière les quitta, invitant cette nouvelle amie qu'elle convoitait à se joindre à elle , le soir mˆme pour l'apéritif.

Après son départ, les deux jeunes femmes firent leur compte-rendu aux garçons impatients d'en savoir plus.

La quarantaine, Sylvie était mariée, mère de trois grands enfants.

Elle avait débuté comme infirmière dans un hôpital de la région, puis s'était consacrée à l'éducation de ses trois enfants, le salaire confortable de son mari leur avait alors permis de vivre largement.

Ils avaient acquis une maison 6 ans plus tôt, et de ce fait remboursaient des traites élevées parfaitement supportées par le budget initial.

Mais malheureusement, l'année précédente, la situation avait brusque-ment évolué, ses jumeaux ayant dépassés les dix-huit ans fatidiques, le couple avait perdu les allocations familiales ce qui était encore supporta-ble.

Mais la dessus son mari perdit son emploi, et ne retrouva qu'un boulot de surveillance inintéressant, sous-payé, l'éloignant du foyer du vendredi soir au mercredi midi.

La seule solution, permettant de palier aux pertes financières, avait été son retour dans la vie active.

L'IME à partir de cette année ayant ouvert un internat permanent, elle avait postulé pour ce poste relativement bien payé et autorisant une vie conjugale en rapport avec l'emploi du temps de son mari.

Cependant elle se sentait très seule, le peu d'activité réelle de son bou-lot, la contraignant à rester inactive, désœuvrée, dans de longues gardes stériles, peu mouvementées, elle cherchait à lier avec le personnel de

service, cherchant un dérivatif à son ennui.

-- On lui en collera du dérivatif à la vieille... D'autant plus que c'est tout bon... Elle ne peut pas se permettre de scandale... Elle per-drait son boulot, et pour en retrouver un autre... Si on tire des vi-déos bien juteuses... On l'a à notre pogne! Commenta Charles.

-- J'ai l'impression que c'est Françoise sa préférée... Alors ce soir t'as intérêt à lui jouer le grand jeu... On sera dehors! Intervint Mi-loud.

-- Mais j'ai jamais fait ça avec une femme... C'est dégueulasse... Je n'y arriverai pas... Je ne saurai pas comment... Se révolta Fran-çoise.

-- Tu te débrouilleras... T'inquiètes pas... Elle te montrera, faut ja-mais perdre l'occasion d'apprendre... De toute manière on te de-mande pas ton avis... N'oublie pas les photos! La menaça perfi-dement Miloud.

Françoise n'insista pas plus, elle ne pouvait pas se le permettre, et Mi-loud le savait, elle opina de la tête.

Lui flattant les reins, Miloud accepta sa reddition, dédaignant de la com-menter plus.

La journée se déroula normalement, la sieste fut l'occasion de quelques enconnages, pipes et enculages mais ce fut surtout Murielle qui fut solli-citée, Françoise devait garder tout son influx pour le soir.

A dix neuf heures tapantes, elle se rendit à son rendez-vous, Miloud avait veillé à sa tenue.

Elle arborait un tee-shirt sur sa peau nue.

Les pointes de ses seins, raidies par l'angoisse, cherchaient à perforer le coton, si elle avait déjà entendu parler de caresses entre filles, elle n'avait jamais pratiqué, d'ou son angoisse.

Sa jupe courte révélerait immanquablement l'absence de culotte dès qu'elle s'assiérait.

Avec un grand sourire Sylvie lui ouvrit la porte, elle s'était aussi parée pour la rencontre, à chacun de ses pas ses cuisses fuselées s'évadaient par les fentes de son déshabillé noir plus fait pour suggérer la richesse de ses formes que pour les voiler.

-- Je me suis mise à mon aise... Annonça-t-elle tout en invitant Françoise à s'asseoir.

Dès ce premier mouvement elle entrevit la chatte dénudée de Françoise, elle ajouta moqueuse :

- Toi aussi à ce que je vois!

Deux verres d'alcool plus tard, l'atmosphère se fit franchement plus chaleureuse, l'ambiance se réchauffait, Sylvie confia à Françoise le poids de sa solitude.

A la conversation futile de l'après midi, succéda des confidences plus intimes, l'infirmière semblait brûler ses vaisseaux, par petites touches elle amena le débat sur un plan plus personnel préparant sournoisement le terrain pour l'assaut qui devait suivre.

Elle, si gaie dans la vie courante, dépérissait à Moyembrie, sa nature exubérante ne pouvait se contenter de trois jours et trois nuits d'absti-nence.

Tenant ces propos, Sylvie s'était levée, avait contourné la chaise de Françoise et s'appuyait maintenant lascivement contre son dos.

Sur ses épaules Françoise éprouvait la tendre chaleur de la poitrine de la belle inassouvie qui se penchant apercevait dans l'échancrure du tee-shirt le sillon médian séparant les deux globes veloutées.

les gestes de Sylvie se firent plus enveloppants, tout en discutant elle avait posé la main sur l'épaule de Françoise.

Imperceptiblement, elle la laissait glisser, dans l'ouverture béante du col, elle entama des caresses furtives sur le haut des lourdes masses.

Malgré elle Françoise commençait à se sentir troublée, si au début elle avait refreiné son instinct qui la poussait à rejeter brutalement la main envahissante, peu à peu son esprit s'échauffait, de se savoir épiée par ses possesseurs la mettait dans tous ses états, et comme la caresse in-sidieuse éveillait dans toute sa poitrine des petits élancements de plaisir!!

Sylvie, constatant l'évolution favorable de ses entreprises se fit plus ten-dre et plus nette dans ses intentions, elle empauma un robert, le massa longuement, estimant sa densité, sa fermeté.

Puis elle glissa la main dans le sillon velouté sous le sein et en de lentes rotations remonta vers l'aréole dont la peau se granulait, un soupir s'échappa des lèvres de Françoise qui avouait ainsi son trouble, son émoi à sa tentatrice.

Profitant de l'abandon passager de Françoise, Sylvie lui dénuda lente-ment le torse, caressant maintenant ses deux seins, dressant pareille-ment les deux tétons dardés.

Ses lèvres se posèrent sur la peau tendue, de la langue elle assiégea l'un des mamelons, puis aspira à pleine bouche le téton durci, le téta goulûment, le mordillant et le léchottant.

Des éclairs de plaisir explosaient maintenant dans la tête de Sylvie, elle tendait son buste vers la bouche de sa partenaire.

Relevant la tête, Sylvie lui prit les lèvres, sa langue moite s'immisça dans la bouche grande offerte franchit la barrière des dents, s'entortilla, agile et enveloppante, autour de celle de Françoise qui s'alanguissait sur sa chaise.

Profitant de son avantage, Sylvie remonta doucement la jupe sur les cuisses charnues qui déjà se disjoignaient, d'une main elle suivit la voie largement dégagée du pubis atteignant la fourche poilue, deux doigts coururent le long de sa fente, s'imprégnant du jus onctueux, qui peu à peu débordait du con survolté.

Elle s'empara du clitoris déjà dressé hors de son capuchon protecteur, le pinça, l'agaça jusqu'à complet affolement.

Cet affolement gagnait maintenant tout son corps, son ventre embrasé se pressait à la rencontre des doigts, oubliant tous ses préjugés, Fran-çoise vibrait sous les caresses son corps aspirait à plus.

Contournant la chaise Sylvie se laissa couler aux genoux de Françoise, sa tête s'enfonça comme un coin entre les cuisses largement ouvertes, offrant toute la motte à la convoitise de la séductrice, elle posa ses lÈ-vres sur la fente velue et embrassa longuement la déchirure.

De la langue elle explora les recoins de sa féminité débusquant à nou-veau le bourgeon de chair qui cette fois s'érigea tel un petit bec au sortir de l'œuf.

La langue se faisait maintenant envahissante, la salive et le jus séminale se mélangeaient détrempant la moule de plus en plus accueillante.

La langue en rouleau, elle fraya son chemin dans l'étroit passage qui s'adapta immédiatement à la conformation de ce tendre envahisseur, après toute une série de caresses profondes elle quitta la douce tiédeur du sexe englué pour suivre le périnée, et malgré le rebord de la chaise parvint à caresser de la pointe la rondelle mauve de l'anus palpitant.

Profitant du total désarroi de sa proie, Sylvie termina son effeuillage et c'est totalement nue que Françoise assista au strip ultra rapide de sa débaucheuse.

Immédiatement, ne lui laissant pas le temps de se ressaisir elle lui reprit les lèvres et l'attira fermement vers le lit qui leur tendait les bras.

Les deux corps nus se pressèrent l'un contre l'autre tandis que lèvres à lèvres les deux gouines se palpaient mutuellement le corps, éprouvant la fermeté des fesses rebondies, envahissant les sillons profonds des culs ouverts avant que les doigts raidis ne se perdent dans les intimités de l'une et de l'autre.

Françoise avait maintenant tout oublié de ses préventions initiales, elle ne pensait plus qu'à la joie de son corps qui exultait sous des caresses jusqu'ici inconnues.

Se relevant, Sylvie se retourna et s'installa tête bêche sur Françoise, lui livrant la vision de la fourrure rousse qui lui envahissait tout l'entre cuisse.

Tandis que Sylvie reprenait ses caresses labiales, Françoise s'attarda dans la contemplation du premier sexe féminin qu'on lui livrait ainsi.

Tout concourait à l'affoler, la douce tiédeur qui émanait du con juteux, l'odeur intime de la rousse qu'elle respirait à plein nez, les élancements de son ventre embrasé qui maintenant l'enflammaient.

Se remémorant la caresse qui tout à l'heure l'avait tant émue elle épiait les mouvements spasmodiques de l'anus ridelé, qui s'entrouvrait de fa-çon obscène sous ses yeux ébahis, bientôt elle ne put plus se retenir et curieusement, au lieu de tester le goût de la craquette qui lui était offerte, sa langue se posa sur le sphincter anal, tenta de le forcer de la pointe, parvint à le pénétrer doucement.

Les fortes effluves qui parfumaient le trou du cul ardent agissaient comme un aimant sur elle.

Quittant le pertuis écartelé sa langue suivit le périnée, tout aussi odorant, avant de séparer les lèvres pendantes de la jeune bacchante et de mi-gnoter son con tout à fait gluant.

Au contraire Sylvie abandonnait le siège de sa cramouille trempée pour s'aventurer vers son anus qui à son tour se mit à vibrer sous les coups de langue envahissants.

Le délicieux 69 dura longtemps, chacune voulant se repaître des avan-tages de l'autre, les corps soudés frémissants de longs frissons volup-tueux, elles se perdaient dans un océan de stupre.

Elle entendit vaguement Sylvie farfouiller dans sa table de nuit, sans y prêter plus d'attention.

Un ronronnement discret se fit entendre et brusquement un objet rond se glissa dans sa fente et la parcourut en vibrant.

L'image de l'énorme godemiché qu'avait employé l'infirmière la veille, s'imprima derrière ses rétines, elle eut, à cette image mentale un violent recul, mais allongée sous sa partenaire, défaillante elle ne pouvait pas opposer une bien grande résistance.

Le groin volumineux du postiche parcourut toute sa crevasse avant de venir menacer sa vulve et de lentement s'y introduire.

Le passage fut éprouvant, mais bientôt elle sentit la totalité du leurre lui distendant le vagin à le faire craquer, les frémissements de l'engin l'en-traînèrent en un orgasme fabuleux.

Pour ne pas être en reste avec son initiatrice elle enfonça brutalement deux doigts joints dans son anus, le forçant à accepter la pénétration, à admettre index et annulaire bientôt rejoints du majeur.

Le cul secoué de spasmes se contractait autour des doigts fouineurs, les serrant à les écraser, la craquette domptée enveloppait le vibreur trans-mettant à toute la matrice les rudes sensations éprouvées.

Rapidement l'orgasme ravagea les deux femelles lubriques les laissant pantelantes et anéanties allongées l'une sur l'autre.

Reprenant leurs esprits elles se redressèrent lentement, et le geste mou revêtirent, l'une jupe et tee-shirt, l'autre sa courte chemise de nuit.

Après un court instant de silence, Françoise révéla à sa partenaire d'amour :

- C'est la première fois avec une femme... Je ne l'avais jamais fait!

- J'espère que cela t'a plu... Pour une première tu t'es bien fait gou-gnotter? Demanda Sylvie, l'air satisfaite

- Tu l'espérais bien pourtant... Sinon pourquoi venir nue sous ta jupe?

A ces paroles, Françoise se rappela brutalement les raisons de sa ve-nue, et rougissante de confusion, elle dut travestir la vérité.

-- Oui, peut-être inconsciemment... Répliqua-t-elle

-- Mais jamais je n'aurai cru que...

Sylvie la coupa :

- Allons ne boude pas ton plaisir... On recommencera... Si tu veux j'ai une amie qui vient demain soir, tu pourras te mêler à nos jeux... Je ne connais pas de meilleur moyen de combattre l'ennui!

- On verra demain... Mais pour l'instant je dois aller coucher les gosses! Souffla Françoise franchissant le pas de porte.

- - Viens demain... La pria Sylvie

- - Je ne connais pas de meilleure lécheuse que Fabienne... Tu ver-ras elle a le feu et cul, et... Comme avec son vieux mari elle a ra-rement sa ration... Même mon gode elle le prend dans le cul! Un volcan je te dis...

Abrégeant la conversation, sur un dernier signe de la main, Françoise s'engagea dans le sentier qui la ramènerait vers les groupes.

A peine un coude du chemin la dérobait-elle aux yeux de sa rousse amie, que les trois comparses la rejoignirent, la braguette déjà ouverte, Miloud lui intima :

- Eh ben ma cochonne... Quel spectacle... On a là un reportage au-quel elle aura bien du mal à résister... Mais... En attendant suces-nous... On en peut plus d'attendre!

S'agenouillant dans l'herbe du talus, elle suça tour à tour les trois bites tendues à éclater et une nouvelle fois ce jour, le nez dans les poils des trois compères, du sperme crémeux lui emplit la bouche, se déversa dans son arrière-gorge et elle avala la semence de ses maîtres.

La soirée se déroula calmement, les deux filles passaient de genoux de l'un aux genoux de l'autre, leurs charmes offerts à toutes les caresses des plus légères aux plus insinueuses.

Ils commentèrent la situation, estimant qu'ils avaient là matière suffisante pour soumettre la belle, puis ayant obtenu quelques maigres précisions de Françoise concernant la future visiteuse de l'infirmière, ils décidèrent, à toutes fins utiles d'envoyer Murielle acheter une bande vierge le len-demain.

Se promettant un avenir des plus enthousiasmant, avec des cohortes de femelles dociles, qui leur obéiraient au doigt et à l'œil ils gagnèrent leur chambre.

Cette nuit Françoise se partagea entre Charles et Miloud, elle suça l'un tandis que l'autre l'enculait et c'est après un dernier sandwich qu'ils s'en-dormirent , elle réalisa alors, que comme l'avait prédit Murielle elle espé-rait maintenant que rapidement Sylvie les rejoindrait.

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