Doux délire

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soumission légère.
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J'avais organisé un dîner chez moi avec 3 de mes meilleurs amis. Nous avions tous un goût prononcé pour le sexe mais étions très discret au sujet de nos aventures. Jamais un nom n'avait filtré ni un détail pouvant identifier notre partenaire. Pourtant ce soir-là j'allais faire une exception en décidant de te présenter à mes amis tout en t'assurant de leur discrétion absolue. Etant tous quatre issus du monde de la finance helvétique, le secret bancaire et la discrétion étaient fortement ancrés en nous.

Comme tu étais surprise d'être conviée à notre agape toute masculine, je t'ai simplement répondu que pour cette soirée-là tu serais ma soumise et devrais te plier à tous mes désirs et toutes mes volontés. Je connaissais le dilemne qui sommeillait en toi...Etre le centre d'attraction d'un groupe d'hommes t'effrayait tout en t'excitant au plus haut point. Nous avions déjà joué en toute intimité à certains jeux de soumission ou tu devais accepter mes caprices mais jamais encore nous n'avions fait l'amour avec d'autres. Pour ma part la perspective de te prêter à d'autres hommes me répugnait tant je tenais à toi. Mais tous deux étions attirés par l'exhibitionnisme sans toutefois aller plus loin que de se faire de petites gâteries dans un parking ou sous une porte cochère.

La garantie que mes amis sauraient se tenir et respecteraient mes limites te rassura, mais tu voulais quand même en savoir plus quant au déroulement de la soirée. Je répondis par la négative ne t'indiquant que la date, l'heure ainsi que l'habillement. Je te voulais chez moi jeudi à 18h précise, habillée d'une mini-jupe noire, de bas résille noirs, haut talons et d'un chemisier blanc. Tout sous-vêtement étant prohibés. Un petit tablier blanc avec des dentelles devait finir de te déguiser en soubrette.

Tu arrivas le jeudi avec 20 minutes de retard, une habitude chez toi! Dès que je t'ai ouvert la porte je t'en ai fait la remarque en te précisant bien que tu serais punie pour ta faute...en temps voulu. Tu avais revêtu un imperméable mais une fois celui-ci enlevé j'ai remarqué que tu avais appliqué à la lettre mes consignes. Tu avais vraiment l'air d'une petite bonne dans une famille bourgeoise. Je t'ai tout de suite demandé de te pencher en avant afin de vérifier que tu ne portais pas de culotte. La vue de tes fesses nues m'excitait toujours et je dû me retenir pour ne pas les caresser, les écarter et y glisser ma langue.

En lieu et place je t'ai administré une bonne dizaine de claques sur les fesses pour te punir de ton retard. Ensuite je t'ai ordonné de t'asseoir sur une chaise, jambes bien écartées afin de glisser dans ta chatte deux boules de geishas que j'avais achetées, boules munies d'un vibreur à piles à l'intérieur et qui s'enclenchait au moyen d'une télécommande. Pour faciliter leur mise en place, et parce que j'en avais aussi envie, je me suis mis à genoux pour te lécher le temps que ta grotte à plaisir s'ouvre et soit bien mouillée. La saveur de ta mouille m'excita et je me mis à bander. Il me fallut faire un gros effort pour ne pas te prendre tout de suite...Dès que tu fus à nouveau debout je t'ai demandé de marcher dans le salon. Après quelques pas je pressais sur le bouton de la télécommande ce qui te fit pousser un petit cri de plaisir. Tu m'as dit que jamais tu ne réussirais à te retenir si je l'utilisais dans la soirée...ce qui me fit sourire.

A 19h la sonnette de l'entrée retentit et tu allas ouvrir la porte à mes trois amis et les accompagna au salon. Ils furent surpris de voir une bonne leur ouvrir ainsi chez moi mais ne quittèrent pas des yeux ta gracieuse silhouette qui les précédait. Après les salutations et les « comment ça va? » je dis de façon polie mais ferme :

- Sylvie, vous pouvez servir l'apéritif.

J'expliquais alors à mes amis que pour mieux profiter de leur présence j'avais commandé les services d'un traiteur plutôt que de cuisiner moi-même comme d'habitude. Ils ne purent s'empêcher de faire quelques commentaires sur la chance que nous avions que le traiteur mette à notre disposition une si ravissante personne.

Tu amenas le plateau avec la bouteille de champagne et les petits fours et te mis à nous servir en prenant bien soin de te pencher en avant afin que mes hôtes puissent bien profiter de la vision de ton cul magnifique. A la couleur rosée de tes joues je sus que tu devais faire un effort pour jouer le jeu que nous avions fixé et que tu m'avais maintes fois suggéré. De plus la perspective d'être punie devant mes amis t'effrayait hautement. Alors que tu servais le troisième verre j'ai pressé sur le bouton de ta télécommande ce qui te fit pousser un petit cri de surprise et bien évidemment te fit verser un peu de champagne à côté du verre.

- Que se passe-t-il Sylvie? Veuillez vous mettre à genoux et lécher ce nectar. Mais avant, veuillez déboutonner votre chemisier afin de ne pas le tacher.

Tu hésitas un court instant puis t'exécutas ce qui surprit mes hôtes. Mais vu leur visage illuminé ils apprécièrent. Dès que tu quittas la pièce ils me pressèrent de questions auxquelles je répondis vaguement, me contentant de leur expliquer que j'avais trouvé un traiteur offrant un service très personnalisé. Et pour bien le leur prouver...

- Sylvie, venez au salon et mettez nous un peu de musique.

Tu arrivas prestement, le chemisier reboutonné et choisis un cd de Bob Marley. Tu me demandas si tu pouvais quitter la pièce mais je t'ai répondu de bien vouloir danser devant nous...ce que tu fis. J'aime voir ton corps superbe se déhancher en rythme. Evidemment je m'empressais de déclencher à nouveau les vibrations dans ta chatte mais cette fois je ne les arrêtais pas avant la fin du morceau. Excitée comme jamais tu te mis à caresser tes seins en dansant, leur mamelon pointant fièrement sous ton chemisier. A la fin du morceau je t'ai demandé de t'approcher de moi et je mis ma main entre tes cuisses en expliquant à l'assemblée que je voulais vérifier si tu étais mouillée... Détrempé ton puits d'amour! J'en ai profité pour porter mes doigts à ma bouche pour te déguster.

- Messieurs, Sylvie va passer vers vous que vous puissiez à votre tour vérifier si ses sécrétions vous satisfont. Mais n'en faites pas plus que ce que j'ai fait...c'est la règle. Tu commenças par mon voisin de droite qui à son tour toucha ton con pour nous annoncer qu'effectivement tu mouillais bien. Quand tous t'eurent touchée je te demandais de venir à nouveau vers moi. D'avoir été caressée par quatre hommes à la suite t'avais beaucoup excitée, ce que je remarquais à ta chatte nettement plus détrempée que quand j'avais commencé.

Messieurs nous allons passer à table. Mais je prie Sylvie de bien vouloir se dénuder en nous gratifiant d'un striptease sensuel sur un blues de Hendrix. Dès les premières notes de musique tu te mis à onduler des hanches tout en enlevant ton tablier. Puis vint le chemisier, que tu mis longtemps à déboutonner complétement. Tes seins, sans être énormes, étaient magnifiques, en forme de poire. Leur bout durcissait sous les caresses de tes mains et de tes doigts... Vint le tour de ta jupe qui glissa lentement le long de tes jambes fines et bronzées dévoilant ton pubis recouvert d'une fine toison de la couleur des blés. Tandis que nous tirions les dernières bouffées d'un joint je pressais à nouveau la télécommande ce qui déclencha chez toi des secousses et tu te mis à te toucher la chatte avec un manque de pudeur qui me surprit et que j'attribuais à l'excitation de la situation. Quand le morceau prit fin je t'ordonnais d'aller te coucher nue sur la table de la salle à manger et priais mes compagnons de passer à table. Quand je revins de la cuisine avec une partie du repas, un de mes convives avait mis un coussin sous ta tête afin qu'elle soit plus confortablement installée.

- Que celui qui a eu cette délicate attention lui caresse les seins pendant que je dispose la nourriture...

Rémy ne se fit pas prier et fit lentement rouler les pointes entre ses doigts avant de prendre tes seins tout entiers dans ses mains. Je dû lui demander d'arrêter afin de pouvoir préparer le repas. Il stoppa avec regret mais il était moins une...... car tu arrivais presque au point de non-retour...Mais pas question que tu jouisses maintenant...pas tout de suite.

Je disposais sur ton corps nu 4 tranches de foie gras à la lisière de ton pubis, quelques brins d'aneth au-dessus, les tranches de saumon fumé recouvrant ton ventre à la hauteur du nombril et la crème aigre au raifort sur chacun de tes mamelons. Le reste de ton ventre et de ton torse était maintenant recouvert de différentes viandes froides, de terrine ainsi que de moutarde et autre mayonnaise à même le corps. En apothéose je t'ai rempli la chatte de sauce hollandaise et disposais sur tes cuisses des asperges vertes cuites « al dente » pour ne pas les casser en les trempant dans la sauce qui dégoulinait légèrement de ta chatte. Le tableau de la femme que j'aimais, nue sur la table et recouverte de délices gastronomiques disposés tel un tableau de peintres hyperréalistes tels que Bodin ou Bowen méritait qu'on l'admire un instant. Nous reculèrent de quelques pas pour mieux apprécier cette nature pas si morte et Bernard et Paolo voulurent prendre une photo avec leur portable ce que je leur interdis en leur expliquant que Sylvie était ma Maîtresse depuis bientôt deux ans et que pour des raisons de discrétion je les priais de ne jamais faire mention de cette soirée. Je savais pouvoir leurs faire confiance.

Deux heures que tu étais à notre service, plus émoustillée par la situation que vraiment excitée, à part les moments oû j'enclenchais les boules magiques ou ceux oû tu te caressais. Il était temps de passer aux choses sérieuses...

- Bon appétit mes amis. Ne vous privez surtout pas de manger et de toucher notre servante d'un soir.

Nous commencérent à manger avec nos doigts. Paolo entama le saumon en le trempant dans la sauce qui recouvrait tes seins. Bernard te caressa le ventre avant de s'emparer une asperge en l'utilisant pour caresser son clitoris délicatement avant de l'enfoncer dans sa chatte pour la recouvrir de sauce hollandaise. Je pris une tranche de foie gras alors que Rémy faisait rouler une tranche de jambon cru à même ta peau et tu commençais à gémir. Quant à moi je t'ai remise à l'ordre plusieurs fois pour que tu ne bouges pas ni tes bras ni tes jambes. Tu aurais voulu te caresser, nous toucher...

- Tu veux jouir? Soit mais uniquement sous nos caresses et sans remuer avant que nous ayons terminé notre repas.

Tous se mirent à te caresser tout en mangeant...huit mains sur toi...quatre paires d'yeux qui t'admiraient. Plus nous mangions et plus la surface de caresses augmentait. A un moment nous fûmes tous les quatre à manger une asperge, caressant ton clito, pénétrant ta chatte tandis que nos mains s'occupaient de tes seins...de tes cuisses...Tu jouis plusieurs fois et tes orgasmes se faisaient plus intenses quand j'actionnais encore le subtil mécanisme des boules. Quand il ne resta plus que de la sauce, mayonnaise et autre gélatine, nous nous mirent à lécher ton corps avec avidité, ton puits d'amour m'étant réservé. Quand tu fus presque propre nous répandirent du champagne et te léchèrent encore et encore tout en te caressant.

Tu étais épuisée quand la sonnette de l'entrée retentit.

- Sylvie, va ouvrir...nue...

Tu n'osas pas refuser et te dirigeas vers la porte d'une démarche chancelante et ouvris en prenant soin de ne montrer que ta tête, le reste de ton corps restant caché par le battant de la porte.

Trois magnifiques jeunes filles firent leur entrée. Une blonde, une Africaine à la peau d'ébène et une sud-américaine basanée et toutes trois dotées d'une magnifique poitrine...

Leur apparition dans le salon fut acclamée par mes potes qui devenaient de plus en plus chauds et qui bandaient comme des ânes....

- Mes amis je vous félicite pour votre retenue et votre respect envers Sylvie. Maintenant vous méritez amplement de prendre votre pied à votre tour...éclatez- vous...baisez autant qu'il vous plaira... La nuit est à nous...

Je t'emmenais dans la salle de bains et nous nous enlacèrent sous la douche. Nos baisers furent d'une extrême douceur tout comme notre étreinte qui suivit.

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