Domination Noire 07

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La famille bourgeoise s'enfonce...
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Partie 7 de la série de 7 pièces

Actualisé 08/16/2023
Créé 05/10/2020
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LucasDehi
LucasDehi
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En cette fin d'après-midi ensoleillée, le calme règne dans le quartier prisé de la bourgeoisie parisienne. C'est dimanche et tout le monde se prépare pour la nouvelle semaine qui démarre.

Cependant, dans certaines villas, il arrive que le calme de la fin de semaine soit compromis. Pour diverses raisons dont une qui, avouons-le, ne nous serait peut-être même pas venue à l'idée. Dans la maison de la famille Martin, le calme est menacé par une raison assez inhabituelle.

Ce pavillon, un des plus grands du quartier, est la demeure d'une famille bourgeoise des plus ordinaires. Une mère aimante et deux filles de bonne famille, magnifiques, avec un avenir qui semble tout tracé.

Les voisins du quartier ne se doutent évidemment pas que cette famille irréprochable subit depuis quelques jours une rééducation pour la moins étrange. Sylvie Martin, Juliette sa fille de 25 ans et Lisa, sa petite dernière de tout juste 18 ans attirent bien des regards et de nombreux pères de famille et jeunes adolescents des environs, ont plus d'une fois fantasmé sur leurs visages angéliques et leurs formes avantageuses. Plus d'une fois, un homme a joui en rêvant secrètement de maquiller de son foutre le visage aristocratique de Mme Martin ou les gros seins de sa fille Lisa. Mais bien sûr tout ça dans le secret, c'est un quartier correct et on ne voudrait pas faire de scandales...

Cependant, ils leur auraient suffi de regarder à travers la fenêtre de la maison en ce dimanche après-midi pour s'apercevoir que ces bourgeoises ne sont en fait pas si chastes... Qu'auraient-ils dit en voyant la mère Martin se faire prendre par ce jeune arabe sur le canapé familial? Qu'elle aurait été leur réaction en se rendant compte que la jeune Lisa suçait la chatte de sa propre sœur sous les encouragements d'une jeune black? Et qu'auraient-ils pensé en contemplant la déchéance du mari de Juliette, obligeait de lécher le gland d'un autre homme, un gode enfoncé dans le cul. C'est sûr que cela aurait fait jaser et aurait naturellement nourri les fantasmes les plus pervers... Mais que voulez-vous, le dimanche après-midi, dans ce quartier si correct, tout le monde reste chez soi, ne se mêlant pas des affaires des autres.

De la bave s'écoule de mon menton et coule sur le sol de mon salon. Rachid a décidé de me former aux gorges profondes et pour son plus grand plaisir, je commence à m'améliorer. Il faut dire que son engin est d'une taille disproportionnée et réussir à la prendre en entier au fond de ma gorge est un exploit en soi.

Il appuie sur ma nuque et me force à le reprendre en bouche. Son gland va si loin que j'ai l'impression que je peux le sentir dans mon estomac. Il presse ma gorge et se masse la bite à travers mon cou. J'ai les larmes aux yeux mais je ne dis rien, résignée à obéir à mon maitre.

- Quelle salope! Elle suce bien mieux que ses filles! s'exclame Rachid.

- Tu devras t'occuper d'elles après alors. On a besoin de championnes pour gagner un max d'argent! Lui répond Leia en se baladant dans la pièce, équipée d'une tenue en cuir noir digne d'une véritable dominatrice.

Elle porte son regard sur François qui est assis sur une chaise, le cul envahi par un gode ventouse et la bite à demi bandée.

- Quant à lui, il va falloir continuer à élargir son cul. Il n'y a pas de raison qu'il ne travaille pas non plus.

Le mari de Juliette, bâillonné, pousse un gémissement de terreur en entendant les paroles de Leia. Leia se rapproche et secoue son membre quelques instants. Le malheureux bande immédiatement et envoie des coups de reins en direction de sa maitresse.

- Espèce de fiotte! l'insulte Leia en lui griffant la queue. Tu vas nous rapporter autant que ta pute de femme je te le dis!

François baisse la tête, contemplant avec honte son érection. Dans un coin de la maison, Lisa passe le balai. Elle est vêtue comme une vraie servante, le porte jarretelle et des pinces sur les tétons en plus. Si on fait bien attention, on peut apercevoir le bout d'un gode planté dans sa chatte. Elle doit serrer les jambes pour ne pas le faire tomber... Farida l'a chargée de nettoyer la maison après ce week-end de luxure.

Juliette, mon autre fille, se fait baiser dans la cuisine par Moha. On entend ses gémissements étouffés et le claquement du bassin de Moha sur ses fesses. Son mari, François, jette des rapides coups d'œil dans sa direction. Le regard fou, il contemple son épouse prendre son pied avec ce noir des bas quartiers.

- J'ai super faim! crie Moha depuis la cuisine. Tu veux pas commander à manger Farida?

- Bonne idée, surtout qu'il faut qu'elles prennent des forces pour ce soir. Répond-elle malicieusement.

À ces mots, Leia affiche un sourire pervers tout en agitant frénétiquement le gode que porte Lisa au fond de son vagin. Elle est récompensée par les gémissements plaintifs de cette dernière. Tandis que Farida appelle pour commander des sushis, bien sûr à mes frais, nous sommes envoyées toutes les trois à l'étage pour se préparer pour cette soirée si spéciale... Sous la directive de Leia, nous nous retrouvons affublées de la manière la plus provocante possible.

Je suis vêtue d'une tenue en latex noir achetée au sex shop. La combinaison est manche longue mais laisse sortir ma poitrine grâce à deux trous prévus à cet effet. Mes seins lourds semblent narguer la gravité et je me surprends à me féliciter mentalement pour mon physique avantageux. Je porte aussi des menottes aux poignets, Leia me les a détachées pour l'instant et je me demande avec affolement à quoi vont-elles servir, même si j'ai déjà ma petite idée... Juliette, mon ainée, est vêtue d'une jupe très courte. En haut, elle porte un body transparent ne cachant en rien ses seins. Évidemment, elle n'a ni soutien-gorge, ni culotte. Leia nous veut « accessible à chaque instant ». Lisa, ma dernière fille, est sûrement celle qui a l'air la plus « salope ». Leia lui a fait des couettes de chaque côté de la tête, ce qui lui donne un air de petite fille perverse. Elle a poussé le vice à l'habiller en uniforme scolaire, en petite jupe écossaise et en chemise. Sa chemise a les trois boutons du haut ouverts et laisse bien voir la ligne au milieu de ses gros seins. Le fait qu'ils soient aussi bombés et bien en place sans soutien-gorge est hypnotisant. Sa culotte lui a elle aussi été confisquée.

Je contemple mes filles et surtout celle de 18 ans, habillée comme une petite fille sage et innocente et pourtant que je sais si dépravées. Je voudrais me détester de les avoir conduites à toute cette perversion mais je ne peux pas. Leia me répète souvent de ne pas refouler ma nature de femme blanche soumise aux dominants. « Vous devez assumer votre état de soumise née. Votre asservissement est la meilleure chose qu'il vous soit arrivé! », nous scande-t-elle tandis que nous accomplissons ses pires volontés.

Notre petit groupe redescend alors dans le salon. François, toujours nu, contemple sa femme et sa belle-famille. Penaud, il ne peut s'empêcher de penser à quel point elles sont toutes bandantes.

Nous devons, sous les invectives de Leia, passer l'une après l'autre devant François qui à genoux sur le sol, nous enfonce à chacune deux doigts dans le vagin. Il branle ainsi sa femme en premier puis la petite sœur de celle-ci avant de finir par moi. Je sens ses doigts s'agiter dans ma vulve rendue moite à cause de la situation. Il retire sa main et je jette un regard à mes filles. Juliette, la respiration saccadée, a les yeux rivés sur son mari, doigtant sa propre mère.

La sonnette de la porte d'entrée retentit, les sushis sont là! Moha m'ordonne d'aller ouvrir et je m'exécute, soumise. Un jeune homme dans la vingtaine se tient là, devant chez moi, un sac en papier à la main. L'effet de surprise est immédiat. Voir une femme mûre, parée de la sorte! Ce n'est pas tous les jours. Ses yeux passent de mon visage à mes seins offerts et sa bouche est ouverte dans une exclamation silencieuse.

- Rentre donc! propose Moha.

Le jeune hésite un instant et puis passe la porte. Son visage se décompose quand il constate que deux autres femmes sont aussi dénudées que la première. Un homme blanc est nu, à genoux au milieu du salon.

- Ne t'inquiète pas, on va pas t'embêter. Lui dit la personne de couleur noire qui lui a dit de rentrer. Tiens l'argent des sushis et pour le pourboire je te laisse le choix. Prends celle que tu veux!

Le livreur n'en croit pas ses oreilles, ce jeune noir qui semble avoir toute autorité sur ces femmes lui propose de se servir. Il sent bien que tout ceci n'est pas normal. Des racailles comme cela dans cette villa avec à leurs pieds toute une famille, non ce n'est pas habituel. Mais il ne risque rien à en profiter un peu. Il regarde la femme mature. Ce n'est pas souvent qu'on a l'occasion d'en baiser des comme ça! Mais la plus jeune avec sa tenue d'écolière et ses énormes seins l'attire terriblement.

- Je vais prendre celle-là. Dit-il la voix enrouée, en montrant ma petite fille du doigt.

Moha fait un signe à Lisa en lui disant :

- Viens ici salope! À genoux et donne un pourboire à ce gars!

Je vois Lisa rougir et s'approcher du livreur. Docilement, elle s'agenouille et défait son pantalon. Une bite déjà bien dure saute à sa figure. Ma fille met ses mains derrière son dos et ouvre la bouche. Ravi de l'invitation, le livreur y enfourne sa bite. Lisa commence une fellation. Je la regarde et je vois qu'elle sait vraiment comment faire.

Excité, le livreur saisit ses deux couettes pour tirer sa tête sur sa queue. La bite au fond de la gorge, ma fille étouffe et tousse avant que le gars ne la laisse reprendre son souffle. J'entends Moha dire, tout en rigolant :

- Tu te vides où tu veux! Dans sa gueule, sa chatte ou son cul! C'est toi qui décides! Le cocu suce très bien lui aussi si jamais.

François lève la tête, horrifié. Lui, le gendarme, va servir de sac à foutre à un livreur de sushis. Mais le jeune garçon, après avoir une nouvelle fois poussé sa bite au fond de la gorge de ma fille, dit :

- Je veux ton cul de petite pute!

Lisa sort le sexe de sa bouche et se tourne sans rien dire. Elle rabat sa jupe sur son dos et lève son cul vers le livreur. Celui-ci positionne sa queue à l'entrée du petit trou de ma fille cadette et il pousse. Son sexe pénètre sans trop d'efforts le cul offert.

- Putain, j'y crois pas! J'avais encore jamais enculé quelqu'un! Putain que je suis bien dans cette salope!

Il commence à limer ma fille qui, maintenant, gémit sans discontinuer. Et cinq minutes plus tard, il se raidit et je le vois se vider dans ma progéniture.

Quelques secondes plus tard, il se retire. Je vois son foutre sortir du cul de Lisa. Le livreur sourit en remettant son pantalon. Il dit :

- N'hésitez pas à commander de nouveau! Dites que vous voulez que je vous livre et on vous fera une réduction.

Le livreur de sushi part et je vois nos maîtres s'installer sur ma table de salle à manger. Leia dit alors :

- Mmmmm j'ai faim! Je suis sûre que nos putes ont faim aussi. Les jeunes, vous passez sous la table et vous vous appliquez. Vous n'aurez à manger que ce que vous arriverez à sortir de nos sexes.

Elle me regarde et me dit vicieusement :

- Toi la vieille, tu vas aller sucer ton gendre! Applique-toi à le vider, tu n'auras que ça à bouffer.

Honteuse et effrayée de devoir faire une fellation à François, je regarde ma fille Juliette. J'esquisse un sourire comme pour lui demander pardon et je vais me mettre à genoux devant François qui se tient maintenant debout, la bite bien dressée. Ce salaud semble excité par le fait que je dois le sucer. J'enfourne sa bite, bien décidé à faire durer le plaisir. Je m'applique à le sucer sous les regards de nos tourmenteurs ainsi que de mes deux filles. Mais celles-ci ne peuvent nous regarder longtemps. Elles sont obligées de passer sous la table et elles alternent entre chattes et bites pendant que nos maîtres mangent.

Du coin de l'œil, alors que je m'applique sur la queue de François, m'arrêtant de sucer dès que je sens qu'il va gicler, et reprenant peu après, je vois mes filles faire jouir Leia, Farida, Rachid et Moha. Elles s'étouffent dans le jus féminin mélangé de foutre.

Cela dure environ une demi-heure, avant que Leia ne se lève et dise :

- Bon les putes, il est temps d'y aller!

Je m'empresse alors de finir de sucer François. Dans un grand gémissement il éjacule et regarde sa belle-mère avaler son sperme, les yeux rendus fous par tant de perversité.

Leia nous attache à tous un collier et une laisse avant que nous sortions de la maison. Je suis inquiète, est-ce que nos voisins vont nous voir? Avant que nous montions dans ma voiture et celle de François, je crois voir les rideaux bouger chez mon voisin d'en face, un jeune qui vient de s'installer dans le coin avec sa femme...

Nous roulons pendant un moment et nous dirigeons vers les immeubles du quartier populaire de la ville. Il s'agit d'HLM mal entretenus, une cité où la police ne vient presque jamais. Nous descendons de voiture. Je dois dire que François, mes filles et moi sommes effrayées. Que va-t-il nous arriver? Je me doute un peu, mais j'ai quand même peur. Pourquoi nous ai-je fourré dans cette situation.

Nous rentrons dans un des immeubles. Le hall est sale, jonché de détritus, les boites aux lettres complètement vandalisées. Je me demande comment des gens peuvent vivre dans ces conditions. Leia et Farida n'hésitent pas à nous claquer le cul ou tirer sur notre laisse pour nous faire avancer. Nous montons deux étages. Dans les escaliers, Rachid et Moha n'hésitent pas à nous doigter sans vergogne, me cinglant le cul de leurs mains.

Nous nous arrêtons devant un appartement. Leia frappe et entre...

Nous entrons dans l'appartement. Une dizaine de jeunes noirs et arabes nous attendent là, dans le salon. On se croirait dans un véritable squat. Des détritus jonchent le sol et la pièce sent la fumée. Je suis terrorisée par cette ambiance glauque qui y règne. Je regarde mes filles qui sont toutes autant effondrées. Je me rends compte qu'une bonne partie de l'audience sont des élèves du lycée des autres classes. Et ils me découvrent, dans ma combinaison noire moulante, seins nus, les tétons dardés malgré moi... Une acclamation nous accueille! Les jeunes sont visiblement ravis d'enfin voir les trouvailles de leurs amis et nos tortionnaires sont accueillis comme des héros. Un grand noir qui a l'air d'être le plus âgé ici s'avance vers Leia.

- Je constate que tu ne m'as pas menti. Elles sont magnifiques. Dit-il d'une voix grave.

- Et aussi soumises que magnifiques Omar tu peux me croire. Répond fièrement Leia en baissant les yeux.

Je comprends que le dénommé Omar doit être quelqu'un de plutôt important. Il plante son regard sombre dans le mien et je me sens comme une proie devant un prédateur. Un prédateur imposant, au corps d'athlète et qui dégage une aura indéniable de domination pure.

- Je saurai en faire bon usage! J'ai toujours besoin de nouvelles femelles comme celle-ci pour mes affaires. En plus, en famille... Ça peut rapporter gros...

À ses dires, mon sang se glace. Je pense qu'Omar doit être le leader du groupe mais mouille sûrement dans des affaires beaucoup plus sombres que la simple domination d'une famille bien-pensante. De sa main droite, il me presse le sein. Son regard dure me fixant intensément. Je baisse la tête sans même savoir pourquoi. Il me regarde encore un instant puis se retourne et reprend sa place sur le canapé. Sans même une parole, j'ai l'impression qu'il m'a déjà dit beaucoup de choses...

Moi et mes filles sommes poussées par Moha et Rachid au milieu de la pièce. Le pauvre François doit subir d'innombrables moqueries tandis qu'il est là, toujours nu, les yeux fixant le sol. Des injures racistes et humiliantes fusent avant que Omar ne demande le silence.

- Que les chiennes nous fassent un petit spectacle. J'ai besoin qu'on me mette en forme! Pas vous? lance-t-il à l'assemblée, joueur.

Proposition approuvée par le public. Je ne comprends pas ce que l'on attend de nous mais Leia semble avoir sa petite idée. Elle propose un show incestueux entre les deux sœurs, Omar d'un hochement de tête valide l'idée. Il s'installe dans un fauteuil ayant une vue parfaite sur le centre du salon. Mes deux filles, complètement effrayé semblent hésiter mais leur conditionnement prend le dessus et le besoin d'obéir les rattrape. Je regarde alors ma progéniture se placer tête bêche, Lisa est au-dessus de Juliette et très vite sous les encouragements de la foule, mon ainée introduit son doigt dans la vulve de ma cadette. Cette dernière sort timidement sa langue et commence à agacer le clitoris de sa grande sœur.

François, debout dans le coin de la pièce, regarde la scène. Ses yeux brillant d'une excitation malsaine. Je dois faire le service des jeunes, qui en profitent pour me palper les seins à travers ma combinaison à chaque fois que je m'approche d'eux. Ils finissent vite rouges et mes tétons érigés sous les multiples pincements. Mes filles sont maintenant en ciseaux, se frottant vulve contre vulve. On entend leurs halètements tandis qu'elles s'agitent de plus en plus rapidement l'une sur l'autre sous les ordres de Leia. Les jeunes ont sorti leurs queues et se branlent devant ce porno en temps réel. Omar félicite Leia pour la qualité de sa soumission et c'est la première fois que je vois cette dernière vraiment émue pour un tel compliment.

Je suis à genoux et j'essaie de me débattre avec 3 jeunes qui veulent absolument que les suce en même temps. Ils essaient de faire rentrer les 3 bites dans ma bouche, ce qui est impossible reconnaissons-le. Ils se mettent d'accord et j'en suce un tandis que je branle les deux autres, j'alterne rapidement après que certains se plaignent de ne pas assez profiter de la salope. Un des jeunes avec une bite plus longue que les autres me fait suffoquer et de grosses quantités de salive me tombent sur les seins. Poitrine qui est maltraitée par ces jeunes hommes, trop content de l'aubaine. Je m'active comme une folle sur la bite avant de passer à l'autre, me faisant un devoir de bien les sucer. Les insultes pleuvent et m'électrisent. Farida m'insinue un doigt dans la chatte et me confirme que je commence à être trempée.

Je me sens si salope à sucer ces post ado tandis qu'ils ont les yeux rivés sur le spectacle lesbien auquel se livrent mes propres filles. J'ai envie de me toucher mais Farida, sadique me l'interdit. Je les pompe avec des bruits humides, les regardant par en bas.

Lisa les yeux exorbités, gémit bruyamment tout en balançant son bassin. Juliette, toute rouge, a la bouche ouverte, de la bave coule sur son menton. Elle ne tarde pas à jouir, les yeux révulsés tandis que Lisa se fige, en poussant un cri bref et en éjectant un jet de mouille sur sa sœur.

Omar est assis dans un confortable fauteuil et regarde Juliette d'un regard impérieux. Il sait que nous ne sommes plus que des poupées de chair et qu'il a toute autorité sur nous, étant visiblement lui-même le supérieur de nos maitres actuels.

- Viens ici chienne! Aboie-t-il à ma fille.

- Tu as entendu ton maitre? Dépêche-toi! la houspille Leia.

Juliette rampe misérablement à ses pieds, son corps tremblant encore dû à l'orgasme qu'elle vient d'obtenir. Omar enlève le bouton de son pantalon et avec un sourire carnassier lui demande de bien vouloir le déshabiller pour le sucer. Mon ainée s'exécute et en sort une longue bite, probablement parmi les plus longues que je n'ai jamais vues. Je vois ses yeux s'agrandirent, un mélange de peur, de stress mais aussi une excitation trouble se voit sur son visage.

Elle démarre en léchant le membre de bas en haut, n'osant pas le prendre en bouche. Mais cela ne convient pas à Omar qui prend sa tête à deux mains et embroche sa bouche. Ma pauvre fille a les larmes aux yeux et suffoque, elle ressort la bite de sa bouche et crache sur le sol une grosse quantité de salive. Puis elle reprend la verge en main et s'y remet comme une professionnelle accomplissant son devoir. Son body transparent est déchiré et Omar en profite pour prendre ses seins à pleines mains.

LucasDehi
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